Partie 4:
Rappel partie 3:
Point de vue de Julie:
Voilà 4 semaines que je vis les plus belles journées de ma vie avec mon petit poney… ou plutôt mon monstre. 4 semaines qu’il me laisse jouer avec sa bite. 4 semaines que mon jeune amant m’ejacule copieusement tout son jus de mâle dans la bouche, l’anus, le vagin, sur le visages, sur les fesses, les seins…
4 semaines que mon jeune poney deviens peu à peu étalon… et que ma petite chatte s’adapte tant bien que mal,peu à peu, au format démesuré de sa queue…
4semaines, durant lesquelles j’ai réussi à ne coucher qu’une fois avec boubakar, mon copain, prétextant des excuses bidons. C’était nullissime… ma chatte est totalement détendue désormais. Je n’ai pas envie qu’il s’en rende compte,Je le sentais, mais à peine. Ça ne m’excitait pas du tout… je pensais à « mon petit poney sur meusure » tout le long… à comment il viendra me chevaucher bestialement, le lendemain, pour me faire oublier cet ennui… j’ai honte de penser cela de lui, mais il ne m’intéresse plus… je ne sais vraiment pas ce que vas devenir notre relation.
Bref.
au bout de ces 4 semaines je m’aperçue que je n’avais plus de règles depuis un petit moment. Impossible, je prenais mes pillule sans exception. J’attendis 2 ou 3 jours supplémentaires, en vain. Je fit donc un test de grossesse… positif. et je dut me rendre à l’évidence. J’étais enceinte. Ce que je lui disais pour m’exciter au lit était-il vraiment arrivé? Ce gosse m’aurait-il réellement engrossée???
A cette pensée, un coup de stress couplé a une excitation immense s’emparait de moi… étais-je enceinte d’Antoine, mon élève? Ou peut être de boubakar, qui m’avais baise une seule fois? Non… comparé à la trentaine d’ejaculations qu’Antoine avait fait dans mon vagin… c’était peu probable, bien que possible?.et quelles ejaculations…
bref, soit j’etais enceinte d’Antoine, mon amant, soit le test de grossesse fiable à 99% s’était trompé. Oui, c’est sans doute ça, le test a du se tromper.
Complètement perdue et sous le choc, et ne sachant quoi dire, je fit sans doute la chose la plus stupide à faire dans cette situation, je n’ai rien dit. A personne. Je ne voulais pas y croire.
Je fit un second test de grossesse, Negatif!!!! Ouf… quel soulagement… cela me simplifie grandement la vie. Je me voyais bien incapable d’expliquer ça.
A la fois soulagée et presque très déçue…
Je décidât donc d’oublier ça.
Cependant, etrangement, plus les jours passèrent, et plus je me sentait déçue de ne pas avoir été engrossée par antoine… je sentait comme un vide en moi… j’en était presque à me demander si je n’allais pas arrêter la pillule sans rien lui dire pour qu’il m’engrosse. Je voulais le sentir vider ses jeunes grosses couilles en moi…
Je voulais sentir son jus en moi, et voir son jus grandir en moi. me faire enfler le ventre. Qu’il me baise enceinte, Je voulais un enfant et je voulais qu’il soit le père.
Cette idée m’excitait terriblement.
Je me sentait sale d’avoir de pareilles pensées, je ne pouvais pas lui faire un gosse dans le dos. Après tout, ce n’était qu’un « gosse » (meme si mieux equipé que 99% des hommes)
Il se passât quelques jours, puis les vacances de la Toussaint, pendant lesquelles antoine partit en vacances… je dit endurer une semaines sans sexe, et surtout sans lui. Je me bénit d’avoir fait un moulage de son sexe, pour m’aider à supporter son absence, bien qu’il ne valait pas l’originale…
En revanche, la seconde semaine, à ses côtés,fut absolument torride. Suite à mes conseils, Mon poney commençait à être extrêmement bon au lit… et jamais rassasié ! Je boitât du lundi au dimanche.
Quelques jours plus tard,
N’ayant toujours pas eu mes règles, je me fit examiner plus serieusement… ça ne pouvais pas être un simple problème hormonal.
Je pris donc rendez vous.
Je tombât de haut… Le médecin était formel, j’étais enceinte de plus de deux mois… sans que nous le sachions antoine m’avais engrossée dès le tout début, malgrés ma pillule…
le premier test fiable a 99% avais dit vrai,
C’est le second qui avait dit faux, et m’avais fait croire que je n’était pas enceinte…
Une (deux) chances sur cent et il a fallu que ça tombe sur moi…
Et c’est vrai qu’en regardant mon ventre de plus près, je voyais depuis quelques jours une certaine rondeur… une certaine prise de volume.
J’étais là fois la femme la plus heureuse la plus excitée et la plus inquiète du monde…
j’allais être maman…
Complètement perdue, je me demandait comment j’allais annoncer la nouvelle.
Antoine était en voyage scolaire pour les 2 semaines de la rentrée. Bêtement, Je n’osa pas lui dire et décidât d’attendre son retour pour lui dire de vive voix.
A son retour, j’étais enceinte de plus de deux mois et demi… mon ventre commençait à ne plus laisser de doute sur ma grossesse.
Je sentais en moi la présence de mon futur fils de faire plus grande de jours en jours…
Je mis de gros vêtements de plus en plus amples, pour ne rien laisser paraître de la situation… ni au lycée ni ailleurs.
Quand enfin il rentrât de son voyage scolaire en Italie, un vendredi soir…
Je lui envoya un SMS: une invitation chez moi… pour un « afterwork » comme on les aimait…
Mais je ne suis pas sure d’avoir le courage de lui dire… je vais peut être juste profiter de l’instant.
Point de vue de antoine:
– Enfin rentré. Ce voyage en Italie M’as semblé, bien que très intéressant, vraiment interminable. Voilà 2 semaines que je n’ai pas vu Julie. 2 semaines sans baiser. Malgré les nombreux nudes que nous nous envoyions, Je ressentais fortement les symptômes du manque…
Le bus arriva enfin, face au lycée. Les élèvent descendirent, rejoindre leurs familles qui les attendait sur le parking.
Moi, c’est une toute autre personne qui m’attendais… Julie, ma petite CPE, qui me regardait du fond avec son grand sourrire… je souris à mon tour. Elle me fit signe discrètement d’approcher. Tout en me montrant où était gare son véhicule. Elle s’esclypsa discrètement de la foule, et je la suivis.
Sous sa tenue « de camouflage de ses formes » elle s’était habillé de manière incroyablement sexy.
Decolleté plongeant, ouvert dans le dos, jupe élégante et courte, superbement maquillée, et avec absolument aucune entrave à mes envies potentielles. (Comprennez, pas de soutif ni de culotte.)
Ah,Cette chienne savais même faire bander…
ayant dit à mes parents que je passais le week end chez un ami, je n’eu aucun problème à la rejoindre dans sa voiture, Garée un peu à l’écart dans le parking des enseignants, désert à cette heure.
Elle m’attendais, sieges baissés. On se jetta l’un sur l’autre et s’embrassa comme des fous.
« Qu’est-ce que tu m’as manqué, mon poney… »
« Toi aussi, ma salope… »
Dans notre étreinte, Je la plaquât contre le siège arrière et, pendant que cette nympho glissât ses mains contre mon jean pour ouvrir ma braguette pour en sortir mon sexe, je commençât a lui att****r les seins et lui malaxer au travers de ses vêtements. Ils m’avait manqués…
N’en pouvant plus d’envie, elle me branla à fond, et posa mon gland, gorgé de sang, a l’entrée de son vagin.
Je ne put résister à arracher sa petite tenue, pour liberer dessous, ses énormes seins prisonniers de leur entrave de tissus.
Ils me semblait encore plus gros que d’habitude. Je les ai dévorés.
La sensation de la chaleur et l’humidité de sa chatte contre le bout du bout de mon gland, m’acheva. Je lui mis de grands coups de reins, jusqu’à la garde. Elle hurlat des obscénités à mon égard. Quel bonheur…
J’avais l’impression que son vagin aspirait littéralement ma queue. Nous étions en manque. Je la pillonat de toutes mes forces contre son siège arriere, en claquant bien mes testicules contre sa peau. Je l’explosait. On hurlait. Pas du tout discrets, la voiture était ballottée au rythme de mes coups de queue.
En lui arrachant le haut, je remarquat sans y’a faire plus attention que ça, que son ventre était changé. Il semblait plus lisse et volumineux. Ses seins également.
Sur le coup je n’y attachât pas plus d’importance que ça.
Ses seins encore plus gros et plus fermes que d’habitude attirèrent inconsciemment mes mains. Je lui malaxait la poitrine en lui pinçant les tétons tout en la débourrant en missionnaire, en lui mettant quelques fessées, car j’adorais la sensation de faire vibrer ses chairs sur ma queue. Le tout en l’attrapant à la gorge de temps à autre, comme la chienne qu’elle était, comme nous adorions ça tout les deux. Pendant mes quelques jours d’absence, sa chatte s’était resserrée à nouveau. Je me devais en bon gentleman de lui remodeler à mes dimensions.
Je sentait de nouveau ma queue là pénétrer et déplacer ses organes sous mon passage. Quel plaisir de se sentir si profond en elle.
Elle couinais de plaisir ou de douleur je ne sais pas, sous mes assauts, tout en me caressant le torse de ses mains et en me griffant de ses ongles en m’agrippant, lors de ses orgasmes.
Elle ne se contentait pas de mouiller, je pouvais observer, entre chaque claquement de mes couilles sur ses fesses, qu’elle avais complètement arrosée mes couilles, mon jean, et son siège arrière de sa cyprine…
Elle hurlais des obscénités
« Ouuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii mon salaud! Ma pauvre petite chatte! Vas y continue mon poney… chevauche moi comme tu le désire, serre mon cou plus fort… nourris moi. Nourris ta julie par pitiééé…. nourris ta chienne sur le parking…. »
Je continuais à la baiser toujours plus fort en lui mettant de grandes claques bien méritées sur son cul bombé.
Me sentant près à ejaculer, je lui attrapât les fesses à deux mains et la soulevât pour placer son vagin bien en face et à hauteur de à queue,
Et je la debourra sans aucune retenue, de toutes mes forces. Le plaisir était immense. La voiture secouait dans tout les sens, je hurlais de plaisir et ma chienne eue un orgasme particulièrement puissant qui m’acheva. Elle hurla, et Son vagin de resserra autour de ma queue. je craquât. Mes couilles pleines à ras bord de ce voyage scolaire se déversairent au plus profond de la chatte, et sur le corps de ma CPE, dans de longs et puissants jets de foutre, pendant presque une trentaine de secondes. (Quasiment 18 jets de sperme)
Dont la moitié au fin fond de sa petite chatte, puis , voulant profiter de mon jus, Julie se précipita sur mon sexe pour recevoir une dizaine de jets de sperme sur le visage, la langue, son ventre, et sur son 80H qui méritait bien lui aussi de recevoir mon foutre.
Dans un long rale, je finit de me vider.
Quel plaisir immence. Quel sentiment de libération.
Je l’avais complètement enduite de ma semence, et je dois l’admettre, pour mon plus grand plaisir.
Je m’effondra sur elle, fatigué, la tête dans ses seins enduits d’épais jets de mon sperme. Elle étalât mon sperme sur ses seins, choquée, disant qu’elle n’avais jamais vu autant de sperme de toute sa vie et qu’elle ne pensait même pas ça possible.
En effet, jetait moi même surpris de la quantité de sperme que j’avais synthétisé.
Elle léchât le surplus de sperme tout en me laissant m’appuyer la tête dans ses seins et en me massant l’arrière du crâne de l’autre main.
J’etait hzureux, et épuisé. Je voulais juste dormir entre ses gros seins.
On fit un petit « câlin » (difficile à croire dans une situation où sa chatte et son visage dégoulinent de mon sperme et ou ma queue est encore 3quart molle et pleine de son jus, mais ce câlin fut très apaisant. Affectueux.)
Une dizaine de minutes plus tard, je me réveillat entre ses seins. Je m’était endormi.
Elle souris et me dit: « tu m’avais manqué mon poney… » ma queue lui répondît qu’elle aussi en durcissant contre sa cuisse. Elle ria.
Je lui fit quelques suçons et je lui repondit qu’elle aussi m’avais manqué…
entièrement nus, nous décidions de nous glisser sur les sièges avants, et de rentrer enfin chez elle…
mais, en restant complètement nus, pour le challenge!
Les rues était prèsque désertes à cette heure, mais ça l’ amusa beaucoup de me faire lui bouffer les tétons au feu rouge sous le regard amusé et un peu choqué d’un vieux couple qui passait non loin.
On arriva enfin à son parking, tant bien que mal.
Personne.
On enfila nos blousons, toujours nus dessous,et on Traçât jusqu’à chez elle.
Dans l’ascenseur elle remarquât que mon sperme coulait abondamment de sa chatte. Elle s’amusat a le récupérer et le lécher pour m’exciter.
Je lui attrapât les fesses et lui petrit le cul dans l’ascenseur pendant qu’elle m’observait faire dans le mirroir avec un grand sourire. Je lui enfonçât un doigt, puis deux, dans le cul. Elle gémit.
Elle plaçât ses fesses contre mon sexe, et elle se mis à gigoter, puis voyant que ca mz faisait de l’effet, à twerker carrément sur ma bite. « Putain de merde, Julie… » dis-je en me sentant durcir de nouveau, raclant sa raie avec mon gland sous le passage de mon sexe qui se redressât.
Cette énorme salope prenais un plaisir immense à me frotter avec son énorme fessier, doux chaud et bombé… son regard plein de malice me fixait dans le miroir, et s’amusait beaucoup de me voir en vain tenter de controler mes pulsions.
La vue de ma chienne de CPE cambrer le cul sur ma queue me fit à nouveau craquer.
Je m’agacat de ma faiblesse, et dit enervé, « Putain, Julie! » brutalement, Je lui attrapât fermement les cheveux, et lui enfonçât trois doigts dans le cul sans prevenir, elle hurlat. Je fit quatres ou cinq Vas et viens avec mes doigts en guise de préliminaires, Puis je lui enfonçât mon gland dans les fesses. En essayant de lutter très fort contre la tentation de m’enfoncer directement en elle jusqu’à la garde. finalement je lui enfonçât seulement un tiers de ma queue. Mais
Elle hurla comme une folle.
« OHHHhHhHhH Putain antoine c’est trop gros! Doucement, gentil poney… gentil… Dit elle en sentant brutalement son anus se dilater.
Sentant la douleur dans sa voix,je ralentit, et lui mis de petits coups de reins en restant sur le premier tiers de mon sexe.
Elle poussait de petits couinements de plaisir à chaque vas et viens. C’était si mignon et bandant à la fois…
Voyant qu’on bloquait l’ascenseur,
Je la portât en la soulevant par le dessous des jambes, toujours plantée sur ma queue, et je courra vers son appartement avant que quelqu’un ne vienne nous faire chier ou nous déranger. (Nous ne nous faisions pas d’illusion sur le fait que la moitié des voisins avais dus nous entendre…)
Une fois à sa porte, elle ouvris tant bien que mal, toujours à bout de bras assise plantée au bout de mon sexe.
Je remarquait son ventre légèrement bombé dans le mirroir en entrant… etrange, me dis-je. Mais sans soupçonner quoi que ce soit quoi que ce soit de plus qu’une rondeur liée à la digestion.
Une fois rentrés, déjà nus, on se précipita sous la douche, toujours a bout de bras et plantée sur ma queue, et je l’enculat bestialement sous l’eau qui nous coulait sur le corps. Ce n’était pas très pratique, mais nous avions bien trop envie de baiser.
Peu à peu mais non sans mal, je réhabitua son cul a ce que je l’encule jusqu’à la garde.
Je l’enclulais contre le mur de la douche tout en lui doigtant le clito comme une chienne de l’autre main pendant qu’elle hurlais des obscénités, comme à son habitude.
Elle eu un violent orgasme, qui n’excitât beaucoup, et elle se jetta par terre pour me faire une énorme branlette espagnole sous la douche avec le gel douche en guise de lubrifiant pour mon sexe.
« Alors mon poney, ça t’amuse d’exploser le cul de ta Petite chienne? Salaud. Ça t’amuse de faire crier ta CPE, hein, Avoue! Avec ton jeune monstre entre les jambes! De cracher tes putains de litres de sperme en moi c’est ça que tu veux? C’est a ça que je te sers?
Me faire étrangler, tirer les cheveux, et te servir de sac à foutre en même temps, jusqu’à ce que tu m’engrosse?
Ouuuuuhhhhh…. viens là mon étalon… » me dit elle en coinçant ma grosse queue entre ses gros seins.
Cette chienne savait comment m’exciter.
« Putain t’es vraiment la reine des chiennes julie…. branle moi plus fort putain. » lui dis-je, la queue entre ses énormes seins qui me faisait un effet considérable,
Je l’attrapat par les cheveux et lui coinça ma queue boen entre les seins. Je lui mis quelques biffles,
Et la fit me branler ainsi une bonne demi heure. J’étais au paradis. De temp en te ms le plaisir me faisait baragouiner des remarques sans queue ni tête, du genre: « putain de seins de chienne t’es vraiment bonne qu’a ce que je te remplisse de mon foutre, Julie. » lui confirmais je tout en me faisant branler de plus belle sous son regard si beau et si chienne a la fois. Elle semblait particulièrement apprécier ces « compliment ».
tout en lui baisant les seins à pleine queue, Julie sucait à pleine bouche l’extrémité de mon sexe qui dépassait.
Complètement affamée.
Je sentait mes couilles frotter contre le haut de son ventre.et ma queue claquer et fouetter ses seins à chaque vas et bien.
Je la faisait me sucer comme la dernière des putes, et j’adorais ça.
Cette salope m’as branlée ainsi si bien et
si longtemps que je finit par craquer et lui déverser dans un long râle, tout mon sperme restant, entre ses gros seins gonflés.
16 jets, inutile de vous dire qu’Elle en pris plein la gueule.
Cette chienne en était complètement en extase.
Elle hurla tout en recevant entre ses seins, mes premiers jets de sperme en plein visage,
« OH OUIIIIIII Mon bebe…. vas y jouis pour moi mon poney!!! Espèce de monstre je veux tout ton épais jus de mâle… ahhhhh, nourris moi encore… » elle était en transe tout en recevant ma pluie de semence.
Elle ajoutat dans un couinement, le souffle coupée, d’une manière presque inaudible: « putain mon poney ça m’étonne pas que tu m’ai mise en cloque malgres ma putain de pilule… c’est monstrueux. »
Je m’écroula assommé par ce nouvel orgasme. Quelle femme tout de même.
On s’allongea 2 minutes, histoire de souffler un peu. elle se blotit contre moi, toujours enduite d’une épaisse couche de mon sperme.
Je ferma les yeux, à ses côtés, quand soudain je tilta sur sa dernière phrase….
Ce n’était pas possible, j’avais du mal entendre..:
Je me mis à regarder son ventre… il semblait effectivement légèrement bombée, comme une femme en tout début de grossesse… ou une femme avec un ou deux kilos de plus que dans mon souvenir, me dis-je, bêtement, en balayant cette idée qui me semblait trop absurde pour être envisageable. Être père? A mon âge? Ridicule, je n’ai même pas le bac.
Quand tout à coup, dans le silence, ma pensée fut interrompue. « toc toc toc »
« bonjours, un colis au nom de Julie! Tu est la juju?
« merde…. c’est Aline, ma meilleure amie! »
« La prof d’art plastiques? »
« Oui… elle m’apporte un dossier urgent… je dois l’avoir au plus vite! Mais je ne suis pas du tout présentable! » dit elle.
Elle sembla reflechir, puis,
Précipitamment, elle étala mon sperme sur son visage, bien finement sur sa peau, afin de le rendre « transparent » et le faire secher.
Elle me dit « comme ça c’est bon? »
Elle sentait mon sperme à 2 mètres……… mais on avais pas mieux. Je lui dit que oui, pour la rassurer.
Nous avions complètement oubliée ses seins, encore enduits de longues traînées de mon sperme bien épais et visibles.
Elle se rhabilla dans la précipitation, et alla donc ouvrir. Un petit coup de deo, et elle dit
« Oui j’arrive! »
Quand elle repassa devant moi en allant vers la porte, je manquât de m’étouffer. Son décolleté était enduit de mon sperme… impossible de lui dire, son amie aurais entendue.
Je tentât de courrir nu la ratt****r, mais elle clanchat la porte pour ouvrir à son amie, je fis donc demi tour illico et me cachât dans le porte manteau. De là je pouvais voir la scène, j’etait très mal à l’ aise pour elle:
« coucou Julie!!! Tu vas bien ma canaille? Je t’ai ramenée les dossiers scolaires manquants pour lundi! Comme je passais dans le coin, je me suis dit que c’était l’occasion! » dit elle.
« Aliiiiiiiiine! Ca me fait plaisir de te voir! Moi ça vas super, et toi? Oh merci c’est trop gentil, je ne sais pas ce que j’aurais fait sans toi… » dit elle en essayant d’avoir l’air naturelle, persuadée de ne pas avoir de traces.
« Avec plaisir! Dis moi, je… ( a ce moment là elle marquât un stop, elle venais de voir mon sperme dans son décolleté.)
Elle rougis; et gênée, dit: « Oh, pardon, je savais pas que tu était occupée, boubakar est rentré? Donc ça s’arrange entre vous! Je le pensais en formation à bordeaux pour le week end! »
Sans se douter de rien, elle lui répondît avec un grand sourire
« non non, je suis seule là j’allais me coucher. Et Oui c’est bien le cas, il est à bordeau jusqu’à mardi. pourquoi ? »
Elle compris immédiatement la situation… son amie trompait son collègue.
Elle fut choquée, et tout en regardant ses seins enduits de mon sperme, elle fit un pas en arrière.
« Bon il se fait tard, voila tes dossiers julie. On se vois lundi, hein? Et on vas dire que je n’ai rien vue! » dit elle en partant, un peu gênée.
Julie ne comprenais pas ce qui venait de se passer. Elle lui repondit « Daccord, encore merci. » et referma la porte.
Misère…
Je sortit de ma cachette, nu, et lui expliqua ce qui venais de se passer, agacé par la situation.
Elle se regarda dans le miroir, constata l’énorme ejaculat qu’elle avais sur la poitrine, et compris son erreur…
« oh Putain… mais quelle conne!!! »
Je lui fit part de mes doutes sur le fait qu’elle fasse courir la rumeur au lycée,
Mais elle me rassura:
« Non je ne pense pas, ce n’est pas son genre, et puis elle l’as dit elle même… elle ne racontera ca à perso… »
A ce moment la porte s’ouvrît de nouveau.
Aline venais récupérer son téléphone qu’elle avais laissée dans le sac des dossiers.
Trop tard pour se cacher. Par miracle, Julie vue la porte se pousser en première, et eue le réflexe de me jeter une serviette au visage pour cacher mon identité, en criant « cache toi! »
La serviette faillit retomber et ne plus cacher mon visage, je dut donc utiliser mes deux mains pour la ratt****r et me maintenir caché derrière.
Comme toujours je voyais par semi transparence au travers la serviette.
« Désolée, j’ai oubliée mon teleph… » dit elle en passant la tête par la porte, puis s’arrêtât net.
Elle nous vis, Julie ultra gênée; et moi, la queue en semi érection, devant julie, tentant tant bien que mal de cacher mon visage. Eh, merde…
Elle dit: « ouuuuuuups… puis tout en me fixant, genee, elle ajoutat, choquée, « eh bien putain de merde j’ai jamais vu un truc pareil… où est-ce que t’as signée pour changer ton mari? c’est humain? C’est qui? Je le connais? Tu me le prête?
(J’étais un peu choqué et très amusé d’entendre ces mots de ma prof d’art plastiques qui semblais si « sage » dans la vie de tout les jours.)les plus timides sont les plus perverses, croyez moi…
Julie, énervée, se précipita pour cacher mon sexe avec ses mains. Elle dit énervée, « ça suffit Aline, tu te fout de moi, laisse nous maintenant. Merci, et à lundi!!! »
Aline ajouta en riant « eh bien ma canaille tu t’emmerde pas toi! Il dois te laisser dans un sale état, surtout quand il te… »
Sur ces mots, Julie claquât la porte sur Aline, mettant un terme à la discussion.
« Misère de misère… » dit elle, très gênée.
Elle verouilla la porte , « par sécurité »
Et ajoutat « heureusement qu’elle ne dira rien, je connais trop de secrets sur elle. »
Cela me rassurât.
Je ne tenais pas à ce que notre relation se sache, et encore moins mon identité.
Pour oublier ça, elle me fit un grand plat de pâtes à la viande avec lequel je me petat le bide, et on regarda un bon film au lit, nus.
Durant ce film, mon regard fut plusieurs fois attiré par son ventre.
Plus je regardait son ventre, plus j’avais l’impression qu’elle était enceinte.
Intrigué, je me glissait derrière elle, et posa mes deux mains sur son ventre rebondi, le palpant avec curiosité.
Elle me vis faire et rougis.
Son ventre était effectivement plus rond et plus ferme que d’habitude.
Surpris, je le palpat encore, tout en me disant: sexy, on dirais qu’elle est en cloque. Un vieux fantasme. Surement ce plat de pâtes qui lui est resté sur l’estomac…
Me voyant faire, elle posa ses mains sur son ventre puis sur les mienne, et me dit:
« Antoine, j’ai quelque chose à t’avouer… » en se tapotant le ventre.
surpris, je lui demandât « ah? et quoi donc? »
« Eh bien antoine je suis enceinte, enceinte de plus de deux mois. Presque 3.
En fait ça correspond exactement à… la première fois que je t’ai eu en moi. »
J’étais pas prêt. Je resta bouche bée un instant.
-> La suite au prochain épisode, qui arrivera très vite.
comme toujours n’hésitez pas à commenter et liker si ça vous a plu, ça me motive à continuer et me permet de voir si ce que j’ecris plait.
N’hésitez pas à faire part de vos retours suggestions et resentis, positifs ou négatifs.
A très vite…
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