Il y a environ 3 ans, ma femme et moi sommes partis en vacances au Portugal avec notre voiture et en toile de tente. Pour la première fois, les enfants étant maintenant « grands » nous sommes partis que tous les deux. Nous étions excités rien qu’à l’idée de se retrouver rien que nous deux dans les endroits merveilleux que nous connaissions. Après un voyage de 1000 kms, toujours éprouvant sous la chaleur de l’Espagne, nous faisons une halte dans le nord du Portugal, au bord d’une petite rivière qui serpente au milieu des montagnes de ce merveilleux pays… Pour bien comprendre notre sentiment de liberté, je suis obligé de vous décrire ce lieu particulier qui est situé à environ 2 kms du premier village et de toute habitation. Pour y accéder, il faut emprunter une piste de quelques centaines de mètres, passer un petit pont, longer la rivière et là vous vous trouvez au bout du monde, dans un endroit habituellement paisible mais qui l’été est fréquenté par les migrants Portugais, qui revenant au pays pour les vacances, reviennent sur leur terrain de jeu de leur enfance faire découvrir à leurs épouses et enfants ce lieu qui doit leur rappeler tant de bons souvenirs…Sous la chaleur de l’été Portugais, juste au niveau de la frontière avec l’Espagne, je vous laisse imaginer la chaleur qui peut régner les après-midis de canicule…C’est donc tout naturellement que les jeunes et parfois moins jeunes villageois s’emparent de ce lieu pour se rafraîchir dans les eaux froides de la rivière. Quand nous arrivons sur ce lieu, notre première chose c’est de sortir un matelas pour s’allonger à l’ombre des arbres qui bordent la rivière…histoire de récupérer un peu de nos forces après ce long voyage. Quand le soir viens, nous plantons notre tente 4 places de manière à être le plus longtemps à l’ombre le lendemain matin. Nous sortons ensuite notre petite table, nos chaises pliantes et prenons un apéritif bien mérité et bien venu… Quand les derniers villageois sont rentrés au village, tout le terrain nous appartient… Un véritable paradis, seules les grenouilles croassant viennent troubler la sérénité du lieu. Mais nous ne sommes pas là que pour dormir, notre plaisir qui nous guide vers cet endroit c’est de pouvoir faire l’amour en toute liberté, en pleine nature, ne pas se retenir…se retrouver seul au monde comme sur une île déserte… L’apéritif ayant chauffé nos esprits, ma femme ayant enlevée son string, moi-même lui dévoilant certaines parties de mon corps qui l’excitent particulièrement, nos paroles tournent très vite à imaginer comment va se dérouler notre petite soirée. Ma femme passant langoureusement sa langue sur ses lèvres me suggère ses pensées profondes. Elle enchaîne en relevant sa jupe courte tout en écartant ses cuisses : elle me dévoile maintenant son sexe rasé et ses lèvres inférieures toutes humides de désirs. Cela ne tarde pas à provoquer chez moi une érection qui attire son regard. Malgré l’heure tardive, j’ai bien compris qu’avant de manger il y avait une autre faim à satisfaire… Je m’approche d’elle lui présentant mon sexe qui se dresse devant ses yeux…elle pose son verre de whisky et s’empare avec sa bouche de l’amuse-gueule que je lui tends…la faim la tenaillant elle sort sa langue pour mieux avaler l’engin qui laisse s’écouler le lubrifiant naturel. Elle entame de lents mouvements de sa tête d’avant en arrière, me jetant un regard sous-entendu. L’excitation me gagnant, je l’entraine vers le matelas resté à ciel ouvert. Là allongés tous les deux, je lui demande de venir au-dessus de moi en position « 69 » ses jambes écartées éclairés par la lune me laissent voir son sillon que tout à l’heure j’irai labourer en profondeur. Nous sommes grisés par ce sentiment de liberté, nous n’avons plus de retenus les mots crus sortent instinctivement comme encouragés par ce lieux rappelant la vie des premiers hommes… Je fais mettre ma femme à quatre pattes devant moi jambes écartées, elle me présente sa croupe la tête appuyée sur le matelas et écartant de ses deux mains ses fesses bombées. Dans la pénombre j’aperçois cet objet que j’aimerai posséder mais quelle me refuse craignant que cela soit trop douloureux…J’essaye de profiter de la situation pour faire un passage de langue furtif sur son anneau mais je sens sa réticence… Inutile d’insister ce sera pour plus tard… je suis terriblement excité j’ai envie de la lécher, de la pénétrer…je redoute le moment où tout est fini, j’aime cet état d’excitation ou tout peut arriver… soudain elle me dit quelle est tellement excité quelle sent quelle a besoin d’expulser sa cyprine abondante. Je lui demande de le faire sur moi sur ma bouche grande ouverte… je m’allonge sur l’herbe séchée, elle vient face à moi, au-dessus de mon visage tout en s’accroupissant écartant ses cuisses, j’attends avec impatience le moment où je vais recevoir ce liquide chaud sur mon visage happant au passage avec ma langue un peu de son liquide d’amour…C’est encore mieux qu’un whisky, je suis dans un état d’ivresse tant je suis excité par la situation, cet abandon que l’on connait que dans des situations extrêmement rares… Je prends une serviette pour m’essuyer le corps qui est tout inondé de son liquide. Elle aussi est toute excitée par cette situation. Si les premières fois ou elle m’a fait ça, elle était gênée, maintenant elle le fait volontiers, elle s’est que c’est un grand plaisir pour moi de la recevoir ainsi. Nous reprenons notre position favorite : la levrette, son cul est magnifique, je délire sur lui, je l’imagine s’entrouvrant sur ma poussée… elle se caresse ses lèvres, son clitoris enflé par l’excitation… Ses seins lourds se balancent d’avant en arrière sous mes coups de boutoir elle gémit… « Tu peux y aller personne ne t’entend » « vas-y lâche toi » « tu aimes ça que je te baise comme ça » autant de mots qui ne font que décupler sa jouissance et la font s’abandonner encore plus … elle me répond par « Oh ouiiii… va y prend moi fort » « je veux ton jus » « mmmmm, c’est bon continu ! » Je sens monter en moi ce point de non-retour que j’essaye de prolonger, essayant de gagner quelques millisecondes de plus de bonheur… sachant que dans la seconde qui suit ce sera du passé… Mon liquide chaud l’envahi, je sens son vagin se contracter sur mon sexe… on s’écroule tous les deux tels des animaux qui viennent de s’accoupler. Ce fut bestial mais tellement bon ! La nuit a étouffé nos bruits le bruit des grenouilles a pris le relais de nos cris de jouissances, les étoiles dans le ciel pur de l’altitude de ces montagnes sont mille fois plus nombreuses que chez nous. Cette nuit nous allons dormir seul au monde au milieu des grenouilles !
Nos vacances au Portugal 3
12. février 2020
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