Suite à mon retard durement puni, Christian, avec l’accord de mon mari, décide me confier à son ami Ben, dresseur professionnel qui possède un manoir en Normandy. Il ne compte plus le nombre de femme qu’on lui a donné à dresser. Il a aménagé au sous-sol un espace dédié à la soumission.
Pour mon premier jour, Ben décide de m’emmener à la plage. Nerveuse, je marche nue devant lui à petit coups de cravache sur les fesses. Il me remet un sac en me disant :
« Bien ! Femelle, dans ce sac tu trouveras ton maillot de bain. Dans cette tenue, les baigneurs auront tout le loisirs d’admirer la salope que tu es ! »
Je suis un peu hésitante.Mais Christian et mon mari m’ont offert à ce type pour être dressée et je dois subir sans me rebeller les humiliations qu’il exigera de moi. Quand je retire le maillot du sac, toute la réalité de ma soumision et de mon exhibition se révèle. J’aurais préféré être nue à la plage que de revêtir cet accoutrement. Il s’agit ni plus ni moins qu’un filet de soumission qui met en exergue mon anatomie. Honteuse et gênée, mais ne voulant pas décevoir le Maître, j’enfile ce filet. Une foi arnachée, il ne me laisse pas le temps de réfléchir.
« Bien, allons-y! »
J’ai tout à coup une envie pressante et lui demande :
« Puis-je me rendre au toilette Monsieur ? »
Il rigole et me lance :
« Pauvre idiote ! Une femelle ça pisse où ça se trouve. Allez pisse ! »
Dépitée, je fait devant lui.
Arrivés à la plage, Je regarde à la ronde et heureusement la plage est quasiment déserte. Le Maître m’indique l’emplacement où je dois mettre nos serviettes. Timide, j’ose lui demander :
« Puis-je enlever ce filet ? Il risque de me faire des marque de bronzage. »
Il me répond alors :
« He bien justement ainsi tu ne pourras cacher ton entière soumission. Pour l’instant, Michèle, vas au magasin là-bas acheter deux grandes bouteilles d’eau, un tube de vaseline et quelques préservatifs. Les clients pourront voir ainsi à quel point tu es une salope ! »
Je suis terrifiée à l’idée de m’exhiber ainsi. Je préférerais être complètement nue que de s’exhiber avec ce ridicule et obscène maillot.
A mon retour, Ben me dit :
« Michèle, je ne voudrais pas que tu prennes des coups de soleil. Prends donc cette crème solaire et demande à cet homme sur la plage de t’en étaler sur le corps. Assure-toi qu’il t’en mettent bien partout. Si ce soir, je vois des coups de soleil sur ta peau, il t’en cuira ! »
Je regarde nerveusement l’homme en question. Il jette déjà depuis un moment des regards insistant dans ma direction. Quand l’homme me voit approcher, il affiche un sourire satisfait. Timidement, je lui demande :
« Excusez-moi monsieur, pourriez-vous me mettre de la crème solaire s’il vous plaît. »
« Évidemment avec grand plaisir ! » Répond-t-il en regardant Ben qui lui fait un clin d’œil évocateur. L’homme se lève et admire mon corps presque nu.
L’homme sourit et commence à oindre mon dos. Il étale la crème avec de longs mouvements circulaires. Son regard ne quitte pas ma poitrine. Avec délicatesse, il se met à me masser les seins avec la crème. Il peut voir mes mamelons qui réagissent instantanément à la caresse. Incrédule, il regarde mes réactions pendant quelques secondes. Puis il glisse sa main sous les lanières du filet et s’occupe de mon mont Vénus. J’émet un légèrement feulement quand il effleure de ses doigts mon clito tendu. Ce contacte m’électrise et j’écarte sensiblement les cuisses pour libérée le passage de sa main. Je remarque le renflement qui déforme le maillot de bain de l’inconnu. J’éprouve un réel plaisir dans cette humiliation. L’inconnu prend de la hardiesse en voyant ma docilité et mon coquillage qui suinte de mouille en me disant :
« Merde ! Mais tu mouille comme une salope ! T’aime qu’un inconnu te tripote ?! »
« Oui , merci Monsieur. »
Ben qui regarde la scène est aux anges quand il voit l’inconnu me titiller le clitoris avant de glisser un doigt dans mon vagin trempée sans que je m’y refuse. Je ferme les yeux avec ces sensations mélangées. Je me sens salie mais j’aime cette caresse publique.
Des jeunes voyant cette scène me sifflent. Je sens tous les regards braqués sur moi. Un homme s’approche et demande :
« Jolis nibard ! On peut toucher ? »
Sans attendre la réponse il se met à me malaxer les seins pendant que l’autre continue à me fouiller la chatte. J’ondule entre leurs mains et ne peux réprimer mes gémissement de plaisir. A ce rythme, je ne vais pas tarder à jouir.
J’entends dans mon dos Ben qui cri :
« Dis leurs que t’es une grosse salope et que t’aime sucer et te faire fourrer ! »
Je suis morte de honte quand les deux hommes reprennent en cœur :
« Alors comme ça t’aime te faire mettre et sucer des inconnus ? T’es une sacré salope. Voyons si tu suces aussi bien qu’il le dit ! »
Honteuse, je m’agenouille et avant de commencer à les sucer, je leur avoue :
« Oui je suis une vraie chienne et j’adore sucer de belle queues ! »
Autour de nous, d’autres hommes ne ratent rien du spectacle que j’offre.
Certes, mes fantasmes sont nombreux, mais jamais je n’aurais pensé qu’un jour je sucerais des inconnus sur une plage en public.
Soudain, en pleine fellation, j’entends :
« Les mecs vous avez vu cette salope qui suce comme une pute ! »
Je sursaute et découvre de jeunes types qui me regarde avec avidité. Très salope comme le veut Ben, je leurs dit avec un trémolo de honte dans la voix :
« Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez. Mon Maître dit que je ne sers qu’à ça ! »
Les garçons n’en croient pas leurs oreilles. En bonne soumise je me remet à sucer mes deux mecs. L’un des jeune glisser sa main dans ma chatte détrempée. Je laisse docilement et avec un plaisir non dissimulé ce jeune me fouiller l’intimité.
« Wow, cette chienne est trempée ! » Dit-il à ses potes.
Un autre dit :
« Elle suce comme une vraie pute cette salope ! Je peux l’essayer ? »
Celui que je suce lui dit :
« je vous en prie ! C’est une vrai délice ! »
Il sort sa queue dressé et me la fourre dans la bouche.
« A mon tour! » Dit un autre garçon.
Le premier retire ses doigts de mon vagin en présentant sa queue pour me la fourrer jusqu’à la garde. Sa verge entre sans difficulté au fond de mon con de femelle en chaleur. Je bouge mon bassin pour imprimer un mouvement de va-et-vient sur la jeune queue qui me bourre. Comme une chienne en chaleur je pousse des feulements de plaisir. Je sens une vague de plaisir me submerger. J’ai oublié où je suis avec toutes ses sensations exquises et honteuses.
Les queues qui utilisent ma bouche sont prisent de spasmes. Ils se lâche aussitôt dans ma bouche et comme le veut Ben, j’avale leurs jeune semence masculine.
« Regardez ça les mecs ! Cette pute avale le sperme sans qu’on lui demande ! »
Dans la foulé, celui qui me bourre le vagin éjacule à son tour. Une foi que tout ces mecs se sont vidé les couillent, ils m’abandonne en disant :
« Bon Dieu, t’es la plus grosse salope qu’on a jamais vue ! »
Les garçons éclatent de rire et s’en vont. Je rejoins mon éducateur et ne vois pas un vieux qui s’approche de moi les yeux fixés sur mes fesses. Il dit à Ben :
« Euhhh.. Cette jeune femelle est bien offerte. C’est un pousse au viol ! Je l’enculerais bien si vous me le permettez ! »
Ben lui répond alors :
« Si ça peut vous faire plaisir. Ca ne me dérange pas. Cette chienne aime exposer son garage à bites. Elle n’est là que pour ça et pour se faire sauter. N’est-ce pas Michèle ? »
Je hoche la tête, honteuse :
« Oui Monsieur, je suis une salope et vous avez le droit de me sodomiser. »
Je me met alors à quatre pattes et en me cambrant expose mon intimité pour être pénétrée. Le vieux s’agenouille en tenant sa vieille queue à la main et investit mon fondement en grognant. Comme une bonne femelle je creuse mes reins et demande à l’ancien :
« Mmmm. Oui…. Baisez-moi plus fort Monsieur ! Défoncez-moi bien le cul ! »
En haletant, celui-ci pousse sa queue si profondément que je gémis de plaisir. Le vieillard se retire, puis me pénètre de nouveau m’envoyant comme une onde de choc. Je me dis pendant qu’il s’active dans mon cul devant mon éducateur que je suis entrain de me faire enculer par un vieux qui pourrait être mon grand-père et en public de surcroît. Dans une dernière poussée, l’homme grogne fort
« – Unghhhhh… Ça vient bientôt… Ça va venir… » Geint l’ancien. Tout en continuant à me baiser frénétiquement.
La scène doit être magnifique car Ben reste médusé devant tant d’érotisme. Je grimace pendant que les grognements du vieux s’intensifient. Maintenant tout le monde sur la plage les regarde. Je ferme les yeux pendant qu’il continue de me pilonner jusqu’à ce que finalement il crie sa jouissance. Je sens le vieillard remplir mon intestin. Malgré son âge avancé, son éjaculation est puissante. Puis dans un dernier jet de sperme, il s’écroule sur moi.
« Quelle énergie l’ancien ! » Complimente Ben.
« Bon ! Tu a bien pris aujourd’hui pour ta première journée. Rentrons ! Il faut que tu te repose pour demain. »
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