Fourrant Rosita chez elle le vendredi, elle aimait le sexe rude lui défonçant la chatte par en arrière tout en agrippant ses deux mains au niveau du bassin. Elle avait marié un homme moue ainsi que ses deux jeunes fils élevés dans la même mouture d’a peu près mon âge. Ma queue entrait et sortait tel un marteau pilon dans sa fente chaude et mouillée. Venant me chevaucher, elle s’en donnait à coeur joie exprimant quelques Aaaaaaaahhhh Aaaaaaaaaahhhh Ouiiiiiiii dans le feu de l’action. Avant de se retrouver au pieu, Rosita m’avait accueillie avec une bouteille de champagne assez dispendieuse conversant pendant une heure à peu près. Elle portait une belle robe de couleur verte pâle et jaune lui donnant un look plutôt sexy. Me disant qu’elle se sentait toute chaude, voulait absolument avoir ma queue en bouche avant de monter à la chambre pour ouvrir les hostilités. Baissant mon pantalon puis mon sous vêtement, y allant tout en douceur me suçant la verge comme un popsicle délicieux au banane. 20 minutes de vas et viens sur ma hampe tout en délicatesse, son odeur faisant frétiller mes narines de plaisir, elle commençait alors à se masturber de sa main gauche. L’éjaculation étant prévue pour le haut et non le bas, arrêta la succion pour monter vers l’étage supérieur. Naturellement qu’elle voulait se faire manger la chatte au début, enlevant sa petite culotte blanche tout en m’appliquant à lui goûter l’abricot avec gourmandise tout en lui passant deux doigts. Enlevant sa robe, pour ensuite venir l’embrasser tout en lui massant la vulve de ma main droite de rotation précise soutenue.
Toujours en me chevauchant, elle cita mon nom à quelques reprises tout en déposant le haut de son corps sur mon torse. Elle avait beaucoup d’énergie, décidant de changer de position pour venir la prendre sur un mur avec fougue. Prenant ses belles fesses rondes en main, elle gémissait dans le creux de mon oreille des mots doux tout en respirant à l’unisson avec mon souffle. Je l’ai fini dans la position du bâteau ivre ses deux jambes bien écartées avec un peu plus de calme, sentant de la fatigue envers cette femme qui en voulait beaucoup. Elle aimait clairement faire l’amour, déversant mon liquide chaud sur son abdomen en saccade, voyant son visage l’air comblé et ravi.
Prenant une pause tout en fumant une cigarette, elle commençait déjà à me branler de sa main gauche pour me redonner de la vigueur. Le mégot écrasé, déposant sa vulve poilue sur ma verge y allant de la position du lotus de façon très lente. Son corps était maintenant devenu aussi chaud comme de la lave en fusion. Elle me parlait en même temps qu’elle s’appliquait à faire les vas et viens en appuyant sa poitrine sur mon visage tout en allongeant ses bras sur mes épaules. Rosita et une peintre avec beaucoup de talent, elle aimait aussi retaper de vieux meubles pour leurs redonner une deuxième vie. Elle voulait maintenant se faire prendre par la deuxième porte acquiesçant à sa faveur. Elle ne l’avait pas fait depuis longtemps, me demandant de ne pas y aller trop fort au début pour bien dilater son orifice. Après 10 minutes de vas et viens me demandant d’y aller avec plus de vigueur, elle commençait à jouir ma queue entrant sortant. Se masturbant en même temps pendant que je faisais la pénétration, voulait que j’y aille maintenant pleine vitesse pour ainsi venir dans ses entrailles. Sa pastille était quand même assez étroite me donnant de grande sensation l’entendant gémir et jouir en même temps. Sa chatte mouillait pas à peu près laissant couler un flot de cyprine sur la couverture du lit. Venant finalement dans son cul mon corps venant s’affaisser sur son dos. Une femme extraordinaire au lit en plus d’être hyper chaude et d’avoir un corps assez ferme pour son âge. Ses seins étaient très agréables au touchés ainsi que ses belles fesses rondes puis-je ajouter.
Discutant, la sentant toujours d’attaque pour recommencer une nouvelle fois les hostilités. Je l’ai fourré une deuxième fois sur un de ses bureaux 15 minutes plus tard, pour ensuite venir la finir en missionnaire dans son lit. Lui défonçant littéralement la chatte ses deux jambes biens écartées, elle me suppliait de ne pas arrêter. Elle ressentait une certaine douleur, mais prenait son pieds comme jamais lui extirpant de même un merveilleux orgasme en fin de session. Ses deux jambes enserraient mon bassin puis ses deux mains agrippaient mon dos avec ardeur. Me retirant pour ensuite venir sur son ventre une nouvelle fois.
Ne pouvant dormir chez elle, me disant au revoir et à demain. Je reviens alors au local 269 pour reprendre mes poses de nus devant public. Une deuxième séance en duo, cette fois-ci avec une jeune femme de couleur noir plutôt sexy avec de belle proportion sensuelle mesurant à peu près 5 pieds 4 et ayant une belle poitrine ferme et douce. Son pubis était taillé de près et ses cuisses et son physique en général respirait une jeune femme de nature sportive. Elle avait les cheveux longs frisés et les yeux noirs avec un air souriant et sympathique. Une belle collaboration dans l’ensemble.
Prenant une première pose tous les deux debout, Lucille me regardait dans les yeux avec une main à mon cou et l’autre située à ma hanche gauche, appuyant aussi sa jambe droite sur ma cuisse gauche. Ma main gauche agrippait en douceur sa jambe droite puis mon autre main était appuyée sur sa hanche gauche. Les 12 dames ainsi que Rosita observaient le spectacle avec attention tout en peignant, l’odeur de chatte émoustillée refaisant surface dans le lieu de création. Elle leurs avaient parlées de nos ébats d’hier, voyant toutes les femmes presque ébahies le regard quasi pervers me regardant. Plusieurs portait des vêtements légers sans soutien gorge, leurs mamelons pointant en ma direction avec fiertés.
La deuxième pose était celle du lotus exprimant un certains contraste de noir et de blanc. Je prenais toujours le temps de m’excuser pour mes érections involontaires et presque obligatoire envers Lucille. Une jeune femme douce et gentille avec le regard complaisant et joyeux. Elle sentait divinement bon, sa chatte mouillant sur mon abdomen comme un petit ruisseau se déversant avec régularité.
Une troisième pose en action cette fois-ci. Moi debout droit devant, Lucille s’appliquant à me faire une fellation douce et attentionnée devant un public attentif et discret. Sentant la chaleur du milieu augmenter de 10 000 degrés, je tentais de toute mes forces de ne pas éjaculer tout en essayant de garder une pose convenable mon visage exprimant des émotions. Certaines dames ne peignaient plus figées par le spectacle devant, d’autre essayaient mais n’y arrivaient pas avec de grande conclusion.
Rosita me demanda alors pour le final de venir pénétrer Lucille en levrette sur le tapis comme nous l’avions fais le soir passé. M’exécutant, je fourre maintenant Lucille avec beaucoup de vigueur dans sa belle petite chatte rose déjà toute lubrifiée. Elle était chaude comme de la braise, la pénétrant avec fougue pendant à peu près 10 minutes. Maintenant son dos appuyé sur le mur puis tu la termines me dit Rosita. La grimpant sur un mur ses deux jambes entourant mes hanches avec forces la soutenant par ses fesses plutôt fermes. Nos deux corps suant fusionnant l’entendant jouir et gémir lui extirpant un bel orgasme en fin de session. Sa chatte dégoulinante de mouille coulant entre ses cuisses puis sur le sol moi me retirant pour venir sur le plancher. Appréciant l’ouverture d’esprit de la jeune demoiselle, je n’aurais jamais cru participer à ce genre d’activité dans ma vie. Le groupe applaudissant par la suite la fin des ébats, visiblement choyées d’être présente d’un tel environnement.
Les 12 dames ne peignant plus, mouillant fort probablement toutes et chacune leurs petites culottes en abondances. J’aimerais biens voir le résultat de tous leurs portraits dans les jours prochains. Un cours particulier avec des méthodes de créations plutôt particulière puis-je ajouter. Certaines femmes mon déjà fait des avances voulant me gratifier d’une de mes visite chez elle avec des conditions plus que convenables. Espérons qu’elles n’ébruitent pas trop l’affaire car ma réputation pourrait en souffrir, ou non à bien y penser.
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