Ma femme avait l’habitude de se faire masser. Cela la détendait me disait-elle. Cela se passait dans la journée, pendant que j’étais au travail. Je ne savais pas du tout à quoi pouvait ressembler sa masseuse. Je fantasmais pas mal en l’imaginant mignonne, disponible pour tout, sexy en un mot. Aussi quand elle m’a dit que ça me ferait du bien également si je me faisais masser, j’ai accepté tout de suite et rendez-vous fut pris pour moi pour le samedi après-midi suivant, jour où je ne travaillais pas.
Le jour dit arriva et j’étais excité comme un jeune collégien qui va voir une paire de nichons ou un magazine porno pour la première fois ! Ma femme me présente « sa » masseuse, Ginette et elle voit sur mon visage une certaine déception. Il faut dire que Ginette n’est pas particulièrement la personne que j’imaginais. Elle a une bonne cinquantaine, elle est grande de taille et proportionnée en conséquence, un peu massive. Elle a une paire de seins qui me font penser qu’elle doit avoir une profondeur de bonnets E ou F, bref ce n’est pas la personne sexy à laquelle je pensais. Cela dit, on s’installe dans chambre d’amis et Ginette commence à me masser.
Et là, je découvre la qualité de ses mains. Elles sont douces et fermes et elle masse merveilleusement bien. Elle démarre par les bras et la poitrine et me demande de me tourner pour s’occuper de mes jambes et de mes fesses. Elles s’attaque aussi à mon bassin et mon aine ce qui déclenche chez moi une érection qui s’épanouit quand elle me demande de me retourner à nouveau. Pas moyen de la cacher et je suis gêné de bander devant Ginette. Elle fait mine de ne pas voir et continue son massage en passant très près de mes couilles et de ma rondelle. Je bande un max !!!
Elle décide de passer au massage de mes pieds et pour que ce soit plus pratique pour elle, elle me cale le pied sur son ventre mais, je le note, très près de sa chatte. Mon orteil s’agite et j’arrive à le caler sur son clito que je devine très gros. Hélas, l’heure de massage est terminé et on se quitte en nous donnant rendez-vous la semaine suivante. Je suis sur ma fin, je me rhabille et pour me soulager, je vais me branler dans les chiottes. Ma femme me demande comment je trouve la masseuse et elle me dit : « Je t’ai senti un peu déçu en la voyant, alors si tu veux arrêter, ça ne sera pas grave ». Je réponds en maugréant : « Non, dis lui de revenir samedi prochain ».
Le samedi suivant, ma femme me dit qu’elle profitera que je me fais masser pour aller voir une amie. « Ça ne te dérange pas de rester seul avec Ginette ? » me demande-t-elle. Je lui réponds : « Non », simplement. J’ouvre la porte de notre appartement à Ginette et nous allons nous installer dans notre chambre cette fois, sur notre grand lit. Elle me dit, en s’étonnant de ne pas voir ma femme : « Madame n’est pas là ? ». « Non, elle est allée chez une amie, nous sommes seuls », je lui réponds avec un sourire entendu auquel elle reste de marbre.
La séance de massage commence et on en arrive au massage de mes pieds. Elle pratique comme la dernière fois et positionne mon pied sur sa chatte. Comme la dernière fois, je commence à agiter mon orteil sur son clito à travers le tissus de sa robe et de sa culotte. Elle se laisse aller et se débrouille pour que mon orteil lui masse la chatte de haut en bas. Je bande et comme je suis sur le ventre, ma bite est comprimée par le matelas qui heureusement est assez moelleux. Je n’en plus et je me tourne vers elle, la bite qui pointe vers le plafond et qui déforme mon caleçon.
Je lui dis : « Ginette, je crois que vous utilisez mon gros orteil pour vous branler le clito ». Elle rougit, baisse les yeux. En fait, elle est surprise par mon langage, moi qui suis plutôt coincé de prime abord. Elle me répond: « Oh non ! Monsieur, je n’oserais jamais ». Moi, avec un sourire : « On va vérifier ! ». Et déjà, je lui ai soulevé la robe et ma main est sur sa culotte qui est effectivement trempée. Un de mes doigts s’insinue sous le tissus et se plante dans sa connasse qui est remplie de mouille. Je remonte sur son clito : il est entièrement décalotté et sort de son capuchon. Il est énorme, de la longueur d’une bonne phalange. Ginette est confondue !!!
Je la bascule sur le lit où elle s’affale, ses grosses cuisses en l’air. Je lui enlève rapidement sa culotte et sa chatte apparaît dans toute sa grandeur. Elle est sans poils et ses grandes lèvres sortent largement de sa vulve. Sa chatte est entr’ouverte naturellement et du liquide s’en échappe. Je ne résiste pas d’y mettre ma langue pendant que ma bite sort de mon caleçon tellement je bande. Mes lèvres vont sur son clito que j’aspire carrément et emplit une bonne partie de ma bouche. Ginette commence à gémir de plaisir. Elle a ouvert les boutons de son corsage, un de ses seins est déjà sorti de son soutien-gorge et elle le malaxe avec force, en se pinçant les tétons.
Tout en me branlant, j’introduis un doigt dans le con de Ginette. Il se sent tellement à l’aise dedans que j’y introduis un deuxième, puis un troisième. Je les fais coulisser dans sa chatte ouverte pendant qu’avec mon pouce je branle son clito. Je comprends alors que sa connasse est tellement large que je vais pouvoir y introduire la main et la fister. Je présente alors ma main les cinq doigts joints à l’entrée de sa chatte et je l’interroge du regard pour lui demander si je peux l’introduire. D’un singe de tête, elle me fait oui mais ajoute : « Allez y doucement ». Je lui réponds : « Bien sûr » et je pousse ma main dans son con.
Sa chatte est tellement remplie de mouille que je n’ai aucun mal pour me retrouver sans son antre, ma main étant plutôt fine. Je lui masse son point G, je sens les contractions des parois de son vagin et elle est aux anges. Elle ne gémit plus, elle crie carrément son plaisir. Je me branle d’une main et de l’entendre crier en jouissant, je manque de me finir tellement c’est bon. Et c’est le moment où j’entends s’ouvrir la porte de notre appartement, c’est ma femme qui revient. Trop tard !!! Pas moyen de nous remettre, Ginette et moi comme si de rien n’était, la tuile, quoi !!!
Ma femme ne tarde pas à se retrouver dans notre chambre. J’ai toujours ma main dans la chatte de Ginette qui ne s’est rendue compte de rien. Elle est toute surprise de voir ma femme et ne sait pas comment se cacher. Bizarrement, ma femme ne se met pas à hurler et avec un demi sourire elle dit : « Ah ! Je vous y prends mes cochons !!! ». Avec précaution, j’ai retiré ma main du con de Ginette et je me tourne vers ma femme, la bite en l’air parfaitement bandée, le gland luisant, prêt à lâcher mon foutre. Je lui fais face et je lui murmure à l’oreille : « Viens nous rejoindre, on va s’amuser ». Je suis étonné de l’entendre me répondre : « D’accord ! ». Elle commence se met à poil et viens nous rejoindre dans le lit.
Pour la remercier en quelque sorte, je profite de ma bite bien bandée pour la lui mettre dans le con. Sa chatte est remplie de mouille et au moment d’y planter ma bite, je remarque quelques filets de liquide blanchâtre. Je lui dis : « Ça n’est possible, tu ne viens pas de baiser !!! ». Elle me répond avec un sourire penaud : « Et pourtant, oui ! ». Du coup, je comprends mieux son ouverture d’esprit en nous voyant Ginette et moi. Après ce petit dialogue, je redouble d’ardeur pour bourrer le con de ma femme tout en lui massant son clito, beaucoup moins gros que celui de Ginette mais tout aussi rouge étant donné son exercice de baise qu’elle vient de pratiquer.
Ginette ayant compris la situation et que nous sommes partis dans une mini partouze, s’est approchée de moi et elle me masse les fesses ses mains s’égarant vers ma rondelle, ma bite et mes couilles. Je sens qu’elle accentue son massage sur mon trou du cul et soudain elle y fait pénétrer délicatement son index qu’elle insinue profondément me massant du coup la prostate. Je manque encore de lâcher mon foutre mais je me retiens et je me retire de la chatte de ma femme. En même temps que je dis à Ginette de s’étendre sur le dos, ses gros seins à l’air, je vois que ma femme sort son gode du tiroir de la table de nuit et qu’elle se démonte la chatte à grand coup de fausse bite.
Je me place alors sur Ginette à hauteur de ses nichons et place ma bite, enduite de la mouille de ma femme et du sperme de son amant, entre ses deux mamelles. Elle les tient serrées l’une contre l’autre et moi je baise ses deux seins somme si c’était deux belles fesses, petites mais bien fermes. Ça glisse merveilleusement bien et la chaleur des seins de Ginette ne tarde pas à me faire répandre mon jus de couilles épais et abondant. Ma femme a arrêté de se branler quand elle a vu mon foutre jaillir entre les seins blancs de la masseuse. Elle s’en empare en l’étalant sur les seins de Ginette qu’elle malaxe du même coup en y prenant plaisir visiblement.
Ginette est en retard pour son rendez-vous suivant, elle s’habille rapidement et s’en va. Je reste avec ma femme et pour parfaire sa jouissance je me place entre ses cuisses pour lui lécher la chatte et lui bouffer son clito. Elle ne tarde pas à jouir en enserrant ma tête entre ses cuisses.
Notre week-end a bien commencé.
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