S., ma petite amie est chez moi pour le week-end. Nous ne nous voyons pas très souvent, la vie professionnelle respective de chacun ne nous permettant pas de vivre ensemble ou de se voir très régulièrement : elle à Paris, moi près de la pointe bretonne. Pour autant, nous avons décidé tacitement tous les deux d’éviter ce sujet et de vivre pleinement ces rares moments passés à deux.
Aujourd’hui, pour lui faire plaisir, et parce que je veux lui donner les moyens d’assouvir la passion pour la photo, je lui ai offert un appareil photo dernière génération. S. Fut ravie de ce cadeau. Elle rêvait depuis longtemps d’avoir entre ses mains un appareil reflex. Bien que je ne gagne pas des mille et des cents, j’ai un peu cassé ma tirelire pour lui faire ce cadeau. J’aime la voir contente, j’aime lui faire plaisir et il faut dire qu’elle a un sacré talent quand elle tient un appareil photo. Moi qui me déteste en photo, elle a réussi à me faire apprécier ma propre image quand elle me tire le portrait.
Ni une, ni deux, nous prenons la voiture pour aller tester son nouveau joujou en bord de mer. Trois heures de balade plus tard et déjà des centaines de clichés en boîte, nous rentrons chez moi. Nous sommes samedi, il est 12 h. Pendant que je lui prépare un bon petit plat comme j’aime lui faire quand elle vient chez moi, elle est sur son ordinateur à étudier ses clichés et se rendre compte de la qualité qu’offre ce nouvel appareil. De ma cuisine, je l’entends s’enthousiasmer :
— Quelle qualité, j’en reviens pas !
Un petit sourire de satisfaction s’inscrit alors sur mon visage.
Quand je lui sers le repas, elle installe son appareil près d’elle et se met même à prendre en photo le gratin de légumes que je lui ai préparé en photo.
— La macro est magnifique ! Les détails sont incroyables, c’est fou !
Elle ne s’arrête plus !!
Après ce bon repas et quelques clichés supplémentaires, nous voilà à digérer tranquillement avachis sur le canapé. Pendant que je regarde une émission politique à la TV, elle est allongée sur moi, la tête posée sur mes cuisses, à étudier les moindres détails des menus de l’appareil photo. J’ai l’impression de voir un enfant devant un cadeau à Noël ! Mais ça me plaît de la voir comme ça.
L’émission soporifique à la TV ajoutée à la balade matinale et à la digestion m’emporte dans une sieste soudaine et je m’endors tranquillement. Ce sont les sons de son appareil photo qui me réveillent. S. Est en train de me photographier dormir !
— Pas quand je dors ! lui dis-je.
Elle rigole, fière de ce réveil.
— Mais tu es beau quand tu dors, autant que j’immortalise cela en photos ! me répond-elle.
Là, elle vient m’embrasser, tendrement.
— Je ne t’ai même pas vraiment remercié pour ce cadeau… J’étais tellement contente que j’en ai oublié de te dire merci. Tu es un amour.
Sa bouche vient se coller à la mienne, ses lèvres s’entrouvrent pour laisser sa langue aller à la rencontre de la mienne. J’aime quand elle m’embrasse, sa façon de passer sa langue sur la mienne, son souffle qui s’accélère, sa main qui vient caresser mon cou… Je réponds bien évidemment de très bonne grâce à ce baiser et je m’amuse, comme à chaque fois, à accompagner ce baiser d’une caresse sur son visage, dans ses cheveux, sur ses bras.
Lorsqu’elle retire ses lèvres des miennes, elle me regarde de ses yeux si bleus et profonds. À chaque fois, j’ai cette petite pointe au cœur qui me fait dire que je suis heureux avec elle.
— Tu sais comment me faire plaisir. Aussi, j’ai envie de te remercier pour ce cadeau…
Et elle accompagne cette phrase d’une caresse de mon entrejambe. « Si elle me prend par les sentiments… ! »
Depuis que nous sommes ensemble, S. et moi sommes en pleine osmose sexuelle. Dès le début chacun de nous a su trouver en l’autre un partenaire idéal pour le sexe. Jamais je n’avais connu de partenaire qui m’offre autant de plaisir qu’elle. Nous nous sommes trouvés tout de suite sur ce plan-là. Les mêmes goûts, la même façon de concevoir le sexe dans un couple, la même envie de partager souvent ces moments coquins.
S. est une partenaire qui aime le sexe. Dès notre première nuit ensemble, elle m’a offert une nuit magique : alors que l’on pouvait s’attendre à une première fois plutôt sage, elle m’a guidé vers son corps de manière très libérée. Quand je l’ai vu nue pour la première fois, j’ai vu là une femme qui assume son corps et qui sait le mettre en valeur. S. a de très jolis seins, elle fait un bon 90C, des seins comme je les aime. Ses quelques rondeurs près de son ventre et de ses hanches sont une invitation à la caresse. Et son sexe était totalement imberbe, ce que je n’avais encore jamais eu droit. Aucune de mes copines d’avant n’avait voulu se raser entièrement le sexe, trouvant cela vulgaire. Pourtant, moi j’ai toujours voulu avoir affaire à un sexe dépourvu de poils. Je trouve cela terriblement excitant et tellement plus agréable pour les cunnilingus. Adepte de cela, je me suis régalé avec S. Ainsi, dès notre première nuit, face à ce si joli minou, je n’ai pas résisté et je l’ai léché et sucé pendant de longues minutes. Son excitation dégoulinait de ma bouche tant le plaisir était au rendez-vous.
Mais S. savait rendre la pareille : dès cette nuit-là, j’ai eu le droit à une fellation torride. Elle ne faisait pas semblant et me pompait de façon très énergique et bruyante. Voilà la première femme que je croise qui aime autant la pipe. Elle me l’a avoué, c’est une pratique qu’elle adore car elle aime avoir le sexe de son amant en bouche. Ce qui n’est pas pour me déplaire bien évidemment…
Ainsi, au fil de nos nuits ensemble, nous nous sommes découverts : préliminaires magiques, positions en tous genres (en amazone, en levrette, en cuillère…), des jeux et situations sexuelles multiples (sous la douche, caresses dans la voiture, dans l’ascenseur…), bref, j’étais comblé et elle aussi.
Ce samedi donc, elle m’invitait à une partie de jambes en l’air en guise de remerciement pour l’appareil photo. Si je n’avais pas fait ce cadeau dans ce but, loin de moi l’idée de rater une telle occasion ! Vivant au dernier étage de mon immeuble, je n’ai aucun vis-à-vis avec d’éventuels voisins, aussi, il nous est fréquent de faire l’amour dans le salon, même en plein jour, volets ouverts. Là, S. a commencé à me caresser le sexe au travers de mon jean, tout en continuant à m’embrasser. J’étais assis sur le canapé alors qu’elle semblait glisser de ce même canapé pour se retrouver à genoux devant moi.
Avec son regard tout en malice qui venait se fondre dans mes yeux, elle s’est mise à déboutonner mon jean, et, embarquant du même coup mon caleçon, les fit descendre jusqu’à mes chevilles. L’excitation de la situation montait en moi et mon sexe commençait à durcir lentement. Mais alors que je m’attendais à une fellation aussitôt le pantalon baissé, S. attrapa son appareil photo et se mit à prendre mon sexe en photo !
— Qu’est-ce que tu fais ?! lui demandai-je, un peu étonné.
— Je fais de l’art ! ai-je eu droit en guise de réponse.
De sa main gauche, elle vient à la rencontre de mon sexe pour commencer une douce branlette. Mais sa main droite est fixée sur son appareil et le déclenche régulièrement. Nous voilà lancés dans une séance photos pour le moins inhabituelle !
Je durcis rapidement, et S. Semble fière de ce jeu, à voir son sourire pendant qu’elle me branlait tout en prenant mon sexe en photo. Elle approcha ses lèvres de mon sexe pour le prendre en bouche. J’adore sa façon de me sucer, elle aime cela et ça se ressent. Du coup de langue sur mes testicules à la prise en bouche quasi totale de mon sexe, S. Est une experte en fellation.
Pendant qu’elle me suce, j’ai alors l’idée de rentrer dans son jeu et je lui subtilise l’appareil photo. Je le colle sur le visage pour immortaliser cette pipe et je déclenche la prise de photo.
— Eh ! Mais tu fais quoi ?!
S. est surprise de me voir la prendre en photo pendant qu’elle me prodigue une fellation.
— Je fais de l’art, je lui réponds avec un sourire plein de malice.
À cela, elle me répond par un sourire et reprend mon sexe en bouche.
— OK, on va jouer à ça, j’aime bien l’idée, finit-elle par me dire.
Je m’enhardis alors et je prends les photos sous tous les angles. Les photos s’empilent dans la carte mémoire de l’appareil et S., en bon modèle qu’elle est, donne son maximum pour rendre ses photos aussi coquines que possible. Mais je sens déjà l’excitation monter alors je l’invite à se relever. Je lui demande de se déshabiller. S. retire alors ses vêtements un à un pendant que je continue à mitrailler avec l’appareil.
Alors qu’elle est nue, je joue à Karl Lagerfeld et je lui donne les différentes poses que je souhaite. Ainsi, totalement nue, S. vient prendre ses seins avec ses mains, joue avec, puis vient sucer ses doigts pendant que je la prends en photo de face. Je lui demande de se cambrer pendant que j’immortalise le moment en cliché. J’ose ensuite enhardir les poses et je lui demande de s’allonger sur le canapé, d’écarter les jambes, de venir jouer avec son sexe, d’écarter ses lèvres intimes, de jouer avec son clitoris, de se masturber.
S. est très coquine et c’est avec plaisir qu’elle répond à mes attentes. Elle semble être totalement excitée par le jeu et n’offre aucune résistance. C’est un plaisir immense que j’ai de me rendre compte que ma copine est une vraie coquine et qu’aucun tabou ne vient perturber ce moment. Je m’amuse alors à prendre son sexe en gros plan, ses tétons qui pointent sont imprimés numériquement dans l’appareil alors qu’ils commencent à poindre d’excitation.
Mais S. veut reprendre les choses en main, au sens propre comme au sens figuré. Elle récupère l’appareil photo d’une main, mon sexe de l’autre. Elle me branle énergiquement pour redonner à mon membre toute sa vigueur. Elle s’amuse à se caresser les seins avec mon sexe tendu et tout cela en photo. Mais je veux lui offrir de nouveaux plans : je viens à la rencontre de son sexe chaud et déjà bien humide pour lui offrir un cunni comme elle aime et comme j’aime lui donner. Je joue avec ses lèvres tout humides, je les lape, j’enfonce le bout de ma langue dans son vagin, simulant la pénétration. J’entends au-dessus de moi le « clic » de l’appareil photo, S. ne rate pas l’occasion de prendre cela en photo ! Puis je viens jouer avec son clitoris qui s’est gonflé de désir. Je le titille, je le suce en l’aspirant. Son plaisir s’intensifie et je le sens couler sur ma langue. Son goût est divin et je bois ce nectar avec grand plaisir. Tout son sexe passe sous mes coups de langue. De l’entendre gémir m’invite à continuer, alors j’invite mes doigts à aider ma langue et je les insère dans sa chatte pour venir la masturber pendant que son clitoris est happé par mes lèvres. Le bruit humide qui sort de sa chatte est un doux son si sexuel, j’apprécie le moment. Mais je sens ma bite tressauter d’excitation.
Je me relève et je viens alors positionner mon sexe à l’entrée de sa grotte humide, prête à me recevoir. Elle intensifie les clichés alors que je la pénètre lentement. Elle est tout humide et sa chatte est chaude telle une vraie fontaine à désir. Je commence à accélérer les allers et venues en elle. Comme toujours, S. ne se prive pas de me faire partager son excitation par ses gémissements et ses mots. « Oui, c’est bon, continue. Viens mon chéri. » J’adore quand elle me parle quand on fait l’amour, ça rajoute à l’intensité de nos ébats. Mais tout en se faisant prendre, S. n’oublie pas de prendre les photos. Pour agrémenter cette nouvelle session photo, elle m’invite à changer de position. Elle se met ainsi à quatre pattes sur le tapis. Voilà le moment pour la levrette ! Alors que le rythme s’intensifie, je remarque que S. a posé l’appareil pour profiter un maximum de la position. Je lui demande alors de me le passer. Et voilà que pendant que je la prends en levrette, je deviens en même temps le photographe de tout cela.
— Comme ça, je verrai comment tu vis ces moments-là ! me dit-elle, tout espiègle qu’elle est.
Puis, c’est à mon tour de m’allonger par terre pour qu’elle vienne sur moi. Elle reprend également l’appareil. Je suis excité comme rarement, mon sexe est dur et tendu. Elle s’amuse à faire coulisser mon sexe dans sa chatte très lentement. Ainsi, mon gland sent chaque recoin de sa chatte quand elle glisse sur moi. Je viens lécher ses seins, jouer avec, alors qu’ils se balancent au rythme de nos ébats.
Je suis proche de la jouissance et je le lui dis.
— Je vais jouir S.
— Alors jouis dans ma bouche et prends tout cela en photo.
Cette femme est décidément une vraie folle de sexe, à mon grand plaisir. Me voilà donc en train de me masturber, le sexe face à son visage. Je n’oublie pas de prendre des photos malgré l’excitation qui est à son paroxysme pour moi. Elle, elle s’amuse à me lécher du bout de la langue, les yeux pleins de désir, un sourire coquin aux lèvres. De voir en photo ce visage prêt à recevoir ma jouissance, mon sexe collé à ses lèvres est magnifique. Pour la première fois, je suis l’auteur et l’acteur de photo pornos ! Enfin, je viens et je lâche mon sperme qui se déverse dans sa bouche en de longues giclées. Tout en jouissant, je prends les photos, souvenirs de cette mémorable partie de baise avec ma chérie.
De son côté, elle avale avec plaisir et délice mon sperme et vient nettoyer mon sexe de sa jouissance. Quelle amante ! Je viens me rallonger sur le canapé, totalement vidé après cette séance de sexe / photos. Je me mets alors à regarder nos exploits en photos. C’est que les clichés sont nombreux ! C’est très excitant de se découvrir soi-même dans de telles situations, de voir son sexe happé par la bouche de sa chérie, de voir la beauté de son corps immortalisée par quelques clichés, de voir un tel désir inscrit sur le visage de S. avec tant de précision sur une simple photo.
Le simple visionnage des photos m’offre déjà un retour d’excitation dans mon bas-ventre. S. s’en rend compte et alors qu’elle était venue s’allonger sur mon corps nu, elle commence à me branler de nouveau pour me donner de la vigueur. Je quitte alors des yeux l’appareil photo pour la regarder. Là, d’un regard tout en désir, et alors qu’elle se met à me sucer de nouveau, elle me regarde et me dit :
— Maintenant, j’ai envie de tester le mode vidéo de cet appareil… Tu es d’accord ?? ^^
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