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Câlin

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Nous étions tout les deux dans le canapé. Nous passions un petit moment ensemble, discutant de choses et d’autres.
Alors que j’étais assis, les jambes croisées, tu t’étais allongée et avais posé ta tête sur mes cuisses. En te regardant, je voyais tes yeux magnifiques. Bleus. Avec des cils ourlés de noir. Tes longs cheveux bruns tombant en cascade.
Tu étais vêtue d’une chemise aux manches partiellement retroussées et au col ouvert en un discret décolleté. Tu portais une jupe sage t’arrivant à mi-cuisse. Tu avais enlevé tes chaussures et tes jambes étaient allongées sur les coussins d’assise.
Je caressais ta tête. Du bout des doigts que je passais dans tes cheveux, épousant la forme de ta tête. Je caressais ta joue. Je jouais avec les lobes de tes oreilles. Je caressais ton front. Tu fermais les yeux. Je touchais le grain doux de ta peau. Je me penchais et embrassais ton front, tes yeux, ta bouche avec de petits baisers. Je suivais du bout des doigts les sillons de tes petites rides aux coins de tes yeux. Tu avais fermé les yeux.
Pendant que ma main droite caressait ton visage, ma main gauche était posée sur ton ventre, montant et descendant au rythme lent de ta respiration. Dans ce lent mouvement je sentais la tranquillité de l’instant. L’abandon.
Tout en continuant de caresser ton visage, je défaisais un bouton de ta chemise, au niveau du ventre, et passais ma main dans cette petite ouverture. Mes doigts entrèrent en contact avec la douce chaleur de ta peau. Je caressais ton ventre, du bout de doigts. Je jouais avec le creux de ton nombril. Le petit bijou piercing. Par cette petite ouverture j’avais accès à tout ton ventre. Je remontais et, toujours caressant ta peau, je suivais l’ondulation de tes côtes. Petit à petit j’arrivais à ta poitrine. Le premier contact était le tissu du soutien-gorge. Je devinais la légèreté du voile et les broderies. Au travers de ce voile je sentais la chaleur de tes seins.
Du doigt je suivais la courbe de la forme de la baleine. Puis de la main j’épousais la forme de ton sein que je caressais, massais.
Pour plus de pratique, je sortais la main de ta chemise et j’ouvrais les boutons. J’en écartais les pans découvrant ta poitrine. Puis je reprenais mes caresses sur ton ventre pour enfin remonter vers tes seins que ton soutien gorge couvrait. Je reprenais tes seins, l’un après l’autre. Je passais ma main dans les bonnets pour les caresser. J’écartais le tissu et faisais apparaître les tétons que je prenais entre le pouce et l’index. Je les roulais, les pinçais, les faisais durcir. Ils s’érigeaient faisant se rétracter les aréoles.
Pendant ce temps là, je continuais de caresser ton visage.
Comme je ne pouvais t’embrasser sinon avec difficulté, je me levais. Tu restais couchée sur le canapé et je glissais un coussin sous ta tête. Je m’agenouillais près de toi. Je me penchais et déposais un baiser sur tes mamelons. Je t’enlevais ta chemise et dégrafais ton soutien gorge. Tes seins jaillirent libres, lourds, magnifiques. Splendides sources nourricières. Tu te recouchais. Je me penchais vers toi. Nos bouches se joignaient, nos langues se cherchaient, se trouvaient, se mêlaient roulant ensembles. Nos lèvres se suçaient, s’aspiraient, roulaient. Un long baiser passionné.
Je passais ma langue sur tes seins, les léchant de la base vers les tétons que j’aspirais, tétais, suçais tel un enfant. Pendant ce temps, d’une main je continuais de caresser ton visage et j’avais posé l’autre sur ta jupe au niveau du mont de vénus.
Au travers du tissu mes doigts caressaient ce que je devinais être la naissance de ta fente. Doucement je massais l’endroit. Tes jambes s’ouvraient légèrement comme un appel muet faisant remonter le bas de ta jupe. Appuyant ma caresse, la rendant plus pressante, je léchais en même temps ton ventre allant et venant vers tes seins et tes tétons que je suçais.
Je me relevais, et m’agenouillais sur le canapé entre tes jambes. Je passais mes mains sur tes cuisses,les pouces vers le bas. Ma caresse était un léger massage. Je remontais tes cuisses, passais sous le tissus de la jupe. Mes doigts touchaient la bordure de ton string, passaient dessus et devinaient la légèreté du voile parsemé de petites broderies. Mes pouces se trouvaient dans ce petit endroit creux en haut des cuisses à la frontière de ton sexe. Mes mains épousaient tes formes ondoyantes.
Tes yeux étaient toujours fermés. Ton souffle reposé avait un peu accéléré. Tu semblais prendre plaisir sous mes doigts.
Je me penchais et déposais un baiser sur ton ventre. Je dégrafais ta jupe et tirais dessus. Tu soulevais les fesses. Tu levais les jambes à la verticale et je pouvais enlever ta jupette. Alors que tu abaissais tes jambes et les écartais pour les passer de chaque côtés de moi, je les retenais, les maintenant levées et écartées. Mon regard était attiré par la douce vision de ton entre jambe. Le triangle de tissu léger couvrant ton pubis et qui descendait couvrant ton sexe. Puis, sitôt avoir passé ton minou se perdait entre tes fesses. Au travers du vaporeux du tissu j’entrevoyais ta fente, le capuchon couvrant le clitoris et tes lèvres intimes. La nudité de ton sexe épilé. Mes caresses avaient sans doute commencé à te faire plaisir car je remarquais quelques gouttes qui avaient mouillé entre les ailes du papillon de tes lèvres.
Tu posais les pieds et je continuais mes caresses. Mes doigts suivaient au travers du tissus la fente de ton sexe. La douce caresse fit gonfler ton clitoris toujours dissimulé par la couverture du capuchon. Mes pouces massaient le petit creux, passaient sous le tissu et prenaient contact avec ton sexe. Avec douceur, ils écartaient les lèvres humides, pénétraient légèrement et massaient l’entrée de ta vulve.
Finalement, j’enlevais le string avec toujours cette vision divine de ton sexe. Je glissais sous tes fesses un coussin pour relever un peu ton bassin.
Je me penchais vers ton entre jambe. Je passais ma langue sur toute ton intimité, goutant le nectar ayant suinté de ta source. Je léchais, aspirais, passais ma langue dans tout les replis. Pendant que mes lèvres encerclaient le capuchon, que ma bouche aspirait, ma langue passait dessous et caressait le petit objet érectile dissimulé. Il était gonflé, doux sous la langue. J’aspirais, relâchais et recommençais dans un fellation de ton clitoris. Pendant ce temps, mes doigts poursuivaient sur ton sexe, le pénétrant. J’avais introduit deux doigts qui caressaient la paroi interne avant de ton sexe. Ils allaient et venaient. Ma bouche sur ton clitoris, mes doigts dans ton sexe, exacerbaient toute la zone. Brutalement, ton ventre se creusait, te cuisses se contractaient, tes fesses se relevaient, un souffle rauque sorti de ta bouche, tu agrippais les coussins. L’orgasme qui venait de se déclenchait se libérait d’un coup de toute la jouissance contenue entre tes cuisses grandes ouvertes.
Je pouvais de nouveau boire à ta source le doux produit de ton plaisir.
Je descendais du canapé et m’agenouillais à tes côtés. Je t’embrassais goulument. Ta langue léchait mes lèvres, et tu pouvais gouter ton suc dont elles étaient imprégnées.
Je tétais tes tétons, déposais des baisers sur ton ventre. Et je recommençais encore et encore.
Pendant ce temps, ma main revenait vers ton sexe. La paume de ma main couvrait ta fente, en contact avec ton clitoris gonflé et rosi par l’orgasme qui venait de passer. Mes doigts pénétraient ton sexe massant encore l’avant de ton vagin. Puis, ma main a plat caressant ton clitoris dans un lent mouvement de va et vient qui faisait entrer et sortir mes doigts de ton minou, je recommençais ma douce masturbation. Tes cuisses étaient grandes ouvertes, ton ventre se creusait et tes hanches relevées comme venant au devant de mon massage.
Je sentais ton souffle raccourcir, s’accélérer. Un moment je jouais à ralentir ma caresse lorsque je sentais ton plaisir venir, puis une fois la pression retombée, je recommençais.
Ayant accumulé de la réserve de plaisir, le mouvement de ma main accélérait au rythme de ton souffle. Ce qui n’était,au début, qu’un lent mouvement de va et vient se faisait plus rapide. La masturbation simultanée de ton clitoris et de ta vulve devenait de plus en plus forte, rapide, presque brutale.
Et puis, de nouveau se déclenchait un nouvel orgasme. Sans doute plus important que le précédent du fait de l’accumulation de demis-plaisirs.
Et la chose que je désirais arriva. Un chaud liquide s’échappait de ton sexe, inondant mes doigts, ton sexe. Tu venais d’éjaculer. Aussitôt je portais ma bouche à ton sexe et je buvais ta jouissance. Je léchais tes cuisses, ton sexe, ta fente, ton clitoris. Que c’est bon.
Puis je t’embrassais encore. Tu étais retombée, inerte peut être un peu inconsciente.
Ma main se reposait encore sur ton sexe pour te donner encore du plaisir. Tu resserrais les jambes, posais ta main sur la mienne et tu me demandais d’arrêter.
J’enlevais ma main, laissant la tienne posée sur ton mont de vénus comme une protection. Du bout des doigts je remontais ton ventre, passais le nombril, la courbure de tes seins, ton cou, et posais mon doigt sur tes lèvres. Sans ouvrir les yeux, tu léchais mon doigt . Un petit sourire se mis sur ton visage. Il semblait que tu étais heureuse.
Je déposais un petit baiser sur ton front, me levais et je te laissais somnolente, nue, sur le canapé. Toute à l’abandon de ton plaisir.

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