Je décide de me faire plaisir, je vais chez Ardene me procurer des bas acryliques mauves, ensuite direction Village des Valeurs. Je me promene dans les allées, je ne sens meme pas les regards des femmes et de toute facon je m’en fous royalement. Les jupes, je fouille, oh la, une jupe écossaise, style écoliere, je la prends, je trouve un chemisier rouge, je prends aussi. Je me dirige vers les souliers en esperant pas grand-chose, car je porte du 12. Mais je suis chanceux, une belle paire de souliers noirs fermés a talons, je les essaye, parfait. Je me rends a la caisse pour régler, merci, bonne journée. Un coup la, je décide de faire la Catherine jusqu’a Moreau, remonte jusqu’a Ontario, pour voir les putes. Une belle sur un coin de rue, la lumiere est rouge, elle s’approche de ma voiture, je baisse la vitre
– allo mon beau, tu me fais faire un bout de chemin ?
– ok
Elle monte, elle prend le paquet et le met sur ses genoux, elle voit bien que c’est du linge pour femme
– marié ?
– non pourquoi ?
– le linge ?
– ah, c’est pour moi, j’adore m’habiller en femme et je pense passeer pas mal du coté homo
– alors pourquoi se promener ici ?
– je ne sais pas
– débarque-moi ici et merci
Je retourne chez moi, je commence par une creme épilatoire pour mes jambes et mon haut du corps, me rase la queue. Je prends une douche complete, complete. Sous la douche je m’insere mon godemiché, que c’est bon, je me baise avec force comme cela pendant de longues minutes. Je me masse la prostate au point ou je finis par éjaculer dans ma main, que je leche, j’aime manger ma creme. Je me rince, je m’essuie, m’enroule dans la serviette, vais a la cuisine pour me préparer un bon café cognac. En attendant, je vais a la porte patio pour regarder ce qui se passe dehors. Je reviens a la cuisine et avec ma tasse je me rends a ma chambre, je m’assieds sur le lit et en profite pour me caresser les jambes, j’adore la douceur de ma peau, je bande tellement je sens bien. Je me caresse les seins, me pincent légerement les mamelons. Je me choisis un string bleu, un bralette bleu. Je mets les bas, le chemisier et la jupe, je termine avec les souliers. Je me leve et me regarde dans le miroir, je me place de maniere a ne voir que mon corps et je vois un corps d’une belle femme, avec mon ventre on dirait, enceinte, sous ma jupe je vois une bosse se dessiner. Je ramene la tasse a la cuisine en marchant tant bien que mal avec mes talons. J’arrive par revenir au salon, ca cogne a la porte, je fige, ne sait quoi faire. Je regarde par le trou de la porte, c’est le p’tit voisin du dessus, j’hésite, j’ouvre, les yeux qu’il fait en me voyant
– allo, ca va ? que je lui demande
Lui, me regarde de la tete aux pieds, la bouche grande ouverte, il fait demi-tour et remonte chez lui, je referme la porte en me demandant si j’ai bien fait. Je sais que je ne fais de mal a personne en m’habillant en femme, mais d’avoir ouvert la porte a un jeune, la. Je m’attends a voir arriver la mere en m’apostrophant d’injures, rien, une demie-heure, puis une heure, rien, je sais bien que sa mere est la, mais rien. Je suis assis a regarder mes messages et des vidéos de transsexuelles. J’entends des pas dans le couloir, je me leve pour voir dehors c’est qui, c’est la mere qui part. Quelques minutes plus tard a nouveau ca cogne. j’ouvre et c’est le jeune qui revient. Avant de continuer, parlons de lui. Un grand boutonneux, maigrichons, qu’on sent tres timide
– oui, allo
– excusez-moi
– oui
– je n’arrete pas de penser a tout a l’heure
– et ?
– heu
– quoi ?
– je vous trouve tres beau, heu belle, heu, je ne sais plus quoi
– merci, et ?
– je pensais peut etre que je pourrais vous toucher ?
– tu as quel age ?
– 20 ans
Coincé, vraiment coincé le jeune, je le regarde droit dans les yeux. Je vois bien qu’il a peur, peur de ma réaction, il tremble, je vois des larmes sur ses joues.
– rentre
Il s’offre un petit sourire en coin.
– Viens t’assoir sur le sofa
Je m’assieds tout pret de lui, les jambes bien serrées, les mains sur mes cuisses
– alors, jeune homme, ensuite
Il me regarde encore avec des larmes, il me fait fondre ce jeune. Je le prends dans mes bras, lui fait un calin en lui caressant les cheveux
– si je ne me trompe, toi et les filles, c’est le néant, non ?
– oui
– masturbation ?
– quoi ?
– quoi quoi ?, tu ne te masturbe jamais
– ma mere m’a dit que j’allais devenir sourd
Oh bordel, je ne pensais jamais entendre cela, aujourd’hui en 2016, quelle conne cette bonne femme. Il me dit que sa mere ne veut pas d’internet. Je lui prends une main et la dépose sur ma cuisse, il fige
– relaxe, je ne te mangerais pas, pas tout de suite, bouge ta main un peu, ferme les yeux et laisses-toi aller
Maladroitement, il déplace sa main sur ma cuisse, il me fait quand meme frissonner
– vient avec moi
Je me leve, le prends par la main et l’amene a ma chambre et commence a le déshabiller, il me bloque
– laisse-moi faire je dois te faire connaitre ceraines choses de la vie, je ne peux te laisse comme cela, aie confiance en moi, c’est toi qui sois venu a moi, alors
Je lui enleve le t-shirt, le jeans, les bas. Je regarde le boxer et je vois, bien que timide, boutonneux, ce jeune cache quelque chose d’immense, je baisse le boxer. Oh mon Dieu, cette queue, cette bite, ce manche, ce pieux, je souris
– tu as une tres belle queue, tu le sais
– je ne sais pas
– moi je te le confirme
Une bite d’au moins 9-10 pouces, pas trop épaisse et circoncise, comme j’aime.
– couches-toi
Sur le lit, je me mets a quatre pattes pour commencer a caresser son corps, mes doigts, ma bouche, ma langue, je me promene partout. Je n’en peux plus, je me rends a cette bite de reve. Mes doigts entourent cette colonne de chair qui saura faire mon bonheur. Ma bouche se colle a son gland que j’embrasse avec affection, le gobe, j’essaie de la prendre mais ne peux. Je commence a le sucer, je la sens bien devenir dure, je bande
– madame, j’ai envie de pipi
Je comprends bien qu’il va éjaculer, je suce encore plus fort, oh la vache, la quantité de foutre qui coule dans ma bouche, j’avale encore et encore toute cette creme chaude. Je le suce encore, il a des spasmes, il tremble de tout son corps, et il se met a pleurer a chaudes larmes
– je pense que ce n’est pas bien d’avoir fait cela
– ne croit plus ta mere petit, oui c’est bien et je n’ai pas fini de t’apprendre toutes ces choses
– je dois partir avant qu’elle ne revienne
– tu pourras revenir quand tu veux et affirmes-toi devant ta mere
Il se rhabille nerveusement et disparait. J’espere qu’il me reviendra, je veux sentir sa queue dans mon cul
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