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Pirates et captives – 6 – Salé-le-Vieux

Pirates et captives – 6 – Salé-le-Vieux



Johnny, le mousse, vient me chercher. Il m’entraîne sur le pont du bateau et me dit: « Regarde! »
« Ooooh!! On voit la côte!! »
Wilson et Foxy nous rejoignent.
Johnny m’explique: « C’est la République de Salé. Territoire où se retrouvent des pirates, des corsaires, des fugitifs, des putains, des trafiquants… »
Wilson est de bonne humeur. Sans doute à l’idée de débarquer, car il me donne quelques détails: « C’est un ensemble de trois villes, Salé-le-Vieux, Salé-le-Neuf et la Kasbah. C’est un état qui nous appartient. »
« Aux pirates, Maître? »
Il hoche la tête… « Oui. »
On pénètre dans une baie qui est en fait l’embouchure du fleuve Bouregreg.
La République porte deux noms, République de Salé ou République de Bouregreg.
J’aperçois des remparts et à m’intérieur les toits de grands bâtiments et des maisons blanches tout autour.
On remonte le cours d’eau et on jette l’ancre assez loin de la berge.
Le capitaine discute avec Wilson et deux autres hommes, puis ils montent dans une première embarcation venue de la côte… Foxy est avec eux.
Je demande à Johnny: « On ira aussi, Maître? »
« Ça m’étonnerait… »
Bah! Tant pis…
En l’absence de Wilson et de Foxy, c’est Johnny le Maître… Enfin, le mien.
On va dans un coin pour se bécoter. Après, je dois lécher son sexe… normal.
Ensuite ceux de ses copains. Oui, il est assez partageur comme garçon!
Heureusement, ils ont réussi à piquer un pichet de rhum. J’en reçois aussi. C’est très fort, mais ça fait du bien. J’oublie un peu la situation dans laquelle on m’a fait tomber.
Le soir, on est allongés sur le pont, un peu bourrés! Un homme crie: « Quelqu’un sait où est la Princesse?? »
Johnny ne dit rien, mais un autre type répond: « Ouais, ici! »
L’homme a une lanterne. Il vient vers nous et dit: « Le capitaine te réclame. »
Moi???
Merde, j’étais bien!! Johnny et moi, on échange un dernier baiser…
On me fait monter dans une barque et on va vers la petite ville.
Retrouver le plancher des… dromadaires, ça fait du bien!
On se dirige vers une grande taverne dont la façade est éclairée par des torches. Je distingue le nom « Jolly Roger ». En dessous, quelqu’un a peint un crâne et deux tibias croisés, souvent représentés sur le d****au des pirates.
L’intérieur est éclairé par de nombreux et grands chandeliers.
À une table, il y a le Capitaine, Wilson et d’autres hommes bien habillés.
Ils jouent aux cartes et il y a pas mal de pièces de monnaie sur la table.
Des filles font le service. Elles sont vêtues d’une simple tunique très courte, comme on en a eu sur le bateau. Moi, je suis nue… à part la bande de tissu rose autour de la taille, symbole de ma… pureté. Toute relative, vu ce qu’on m’a obligée à faire!
Les chandeliers, les bougies, ainsi que les belles robes de certaines filles proviennent sûrement de pillages.
Les gens me regardent comme une bête curieuse! Le bruit a sans doute couru qu’une Princesse pucelle allait arriver.
Foxy vient me chercher en me prenant par la main.
Je lui dis tout bas: « Qu’est-ce qu’on va me faire? J’ai peur, Maîtresse. »
Elle rigole: « Ça ne m’étonne pas! »
Elle me fait tourner sur moi-même devant les hommes attablés. Elle dit: « Faut l’imaginer lavée et arrangée… »
Attablée avec les hommes, une jolie Arabe en djellaba transparente me demande: « Tu es vraiment pucelle? »
« …Euh… oui, Maîtresse. »
« Ton cul aussi? »
« Oui, Maîtresse. »
Le capitaine lui dit: « Qu’est-ce que tu en penses? »
La fille me fait signe de venir près d’elle. Elle me caresse les fesses: « Elle a un beau cul, pour une Blanche. Se faire servir par une Princesse, ça devrait attirer du monde. »
Le capitaine lui dit: « Je vais aller chercher les trois jolies Françaises que le capitaine Boyd a capturées: une mère et ses deux filles. C’est la femme et les enfants d’un gros propriétaire de plantations aux Antilles. Elles faisaient route vers la France, quand, elles ont croisé la route de Boyd!! Ce sont des comtesses ou un machin du même genre! »
La jolie Arabe a les yeux qui brillent en disant: « La princesse, plus une noble et ses filles, on va faire des affaires en or, Maître! »
Il sourit: « Si ça marche bien, je te donne ta liberté et on s’associe, Souad. »
« Merci, Maître »
Ne plus être esclave… un rêve pour nous toutes, ici. Hélas, ce rêve est presque inaccessible…

Pour moi, être esclave sur un bateau ou dans une taverne, ça ne change pas grand-chose. Toujours des sexes à sucer et le fouet si on n’obéit pas ou même sans raison!
Souad lui demande: « Il faut qu’elle reste pucelle, Maître? »
« Oui… mais si tu as très bonne proposition, tu peux vendre son pucelage. Ça ne changera pas de beaucoup son prix à Alger… Sinon, tu peux utiliser sa bouche et son cul! »
Non mais, il est fou, lui!! Ça doit faire très mal… et puis il parle de moi comme si j’étais un objet… Ouais, bon, une esclave ou un objet, c’est pas très différent!
Le Capitaine se lève pour partir, les hommes qui sont attablés avec lui font pareil.
Il embrasse la fille en lui disant: « Je compte sur toi, Souad? »
Elle lui dit: « Je ne vous décevrai pas, Maître! »
Foxy me fait un petit signe de la main… c’est tout!

Le capitaine parti, des clients viennent m’examiner…
Il y en a un qui demande: « On peut toucher, Souad? »
« Bien sûr, mais pas de doigt dans la chatte! »
Des hommes viennent… me toucher! Un peu comme on tâte les fruits sur un marché pour voir s’ils sont mûrs. On tâte mes fesses, comme si c’était des melons et mes seins comme si c’était des… euh… citrons.
Quant à mon abricot, personne n’y met un doigt! J’ai toujours cette ceinture rose.
Un homme met trois pièces d’argent sur notre table. Ça doit faire une belle somme, d’après la tête que fait Souad.
Il lui dit: « Je veux qu’elle me suce! »
« J’ai une servante qui suce très bien, pour moins que ça… La Princesse ne l’a jamais fait, vous risquez d’être déçu. »
Ah si, je n’ai fait que ça sur le bateau!
Il me demande: « Tu n’as jamais sucé un homme? »
Je deviens toute rouge et je lui dis: « Non, Maître. »
Je rougis à cause de mon mensonge, mais ça peut passer pour de la pudeur!
Il ajoute deux pièces.
Souad les prend en disant: « D’accord. »
Elle me désigne l’entrejambes de l’homme: « Tu vas le sucer et s’il n’est pas satisfait, on te fera passer une très mauvaise nuit!! »
Je m’agenouille entre les cuisses de cet homme et dégage maladroitement le sexe de ses chausses. Pppfff, il sent fort… Je le mets devant ma bouche, puis je fais de grands yeux de biche apeurée: « Comment je dois faire, Maître? »
Ça lui plaît. Il m’explique: « Tire doucement sur la peau…. puis tu le lèches bien soigneusement… Puis tu prends le bout dans ta bouche, en faisant attention à tes dents. » Oui, je sais, les hommes on très peur des dents!
« Et tu fais des allers-retours, de tes lèvres jusqu’au fond de ta gorge. Quand je jouirai, un liquide chaud va envahir ta bouche, tu devras tout avaler sans me mordre la bite. Tu as compris?? »
« Oui, Maître. »
Je m’applique… en faisant semblant que c’est la première fois. L’odeur, le goût me dégoûte toujours autant! Je le regarde en levant les yeux, pendant que ma langue lèche son gros machin.
Il pousse des gémissements et dit des trucs: « Aaah oui, suce bien, petite salope.!! »
« Mmmmmhhhh… » Puis des grognements! Il n’est vraiment pas discret, sans doute pour que tout le monde sache bien ce que je lui fais!
Ma fausse inexpérience doit l’exciter, car il geint de plus en plus fort.
Après quelques minutes, je sens le sexe se gonfler dans ma bouche… Il gueule: « AAAAH OUI BORDEL DE PUTAIN DE SALOPE!!! AAAAAHHHH!!! »
J’avale tout. Pouark!! C’est abondant, chaud, visqueux!!
Je garde son membre en bouche, genre c’est la première fois et je ne sais pas ce que je dois en faire…
Il finit par retirer lui-même son sexe qui devenait tout mou…
Je prends sa main: « J’espère que c’était bien, Maître, pour une première fois. »
Il me caresse la tête. Je ronronne: on ne me punira pas.
« Tu lèches comme une vraie putain! »
Euh… c’est un compliment, ça??
Je dis merci: « Maître. »

Les derniers clients récupèrent les armes qu’ils ont dû déposer en arrivant. Deux hommes assurent la sécurité: un Noir et un Arabe, costauds et bien armés, eux.
Souad dit au Noir: « Fait coucher la Princesse avec les autres… »
Il me fait signe de le suivre. Les trois servantes nous accompagnent.
On va dans un bâtiment qui se trouve à l’extérieur. Il fait très sombre.
Le garde dit à une servante: « Explique-lui… »
Un clair de lune filtre par des ouvertures dans le toit.
Il y a l’air d’y avoir pas mal de filles couchées par terre.
La servante me dit: « Tu bois, tu prends une paillasse et tu dors… »
Elle me montre un coin où il y a des cruches d’eau. Je vais vite boire.
Il y a aussi un seau qui empuantit l’atmosphère…
Je me couche, épuisée, et je m’endors.

Le lendemain, comme il fait clair dans la pièce, je vois des rangées de filles de chaque côté de ce local.
Le garde arrive: « Debout!! »
Toutes les filles se lèvent précipitamment. Elles sont bien une vingtaine. Il faut dire qu’il a un fouet en main et envoie une cinglée à celle qui ne va pas assez vite à son goût… Il y a des bousculades, des gémissements, des cris…
Certaines filles sont attachées au mur par une chaîne fixée à leur collier de fer.
Le garde me prévient: « C’est ce qui arrive à celles qui essayent de s’enfuir.  »
Normal!!
Ils les détachent et conduisent tout le monde à l’avant de la taverne.
Là, les gens qui ont besoin de main-d’œuvre viennent faire leur choix.
Les trois servantes et moi, on suit le garde dans le couloir qui mène à la taverne…
Il me montre une porte: « Attends ici. »
Quand enfin la porte s’ouvre, je suis devant le garde arabe nu et impressionnant.
Il me dit: « Va chercher du thé… »
« Oui, Maître. »
Je vais vite dans la taverne où j’explique à une servante: « Je dois apporter du thé. »
Elle a un plateau tout préparé pour la Maîtresse, thé, pâtisseries…
Je retourne vers la chambre. La porte est entr’ouverte. Je toque doucement et j’entre.
Souad est couchée en travers d’un grand lit.
Je dépose le plateau et me mets à genoux. Autant essayer d’amadouer la patronne!
Elle est nue. Son abondante chevelure brune est en broussaille. Son corps est tout en courbe, les seins en poires, les fesses rondes. Son pubis est épilé et comme ses cuisses sont écartées, je vois la fente rose et humide de son sexe…
Elle est très attirante!
Elle bâille et s’étire… ses aisselles, épilées aussi, sont luisantes de sueur.
Je dis: « Bonjour, Maîtresse. »
Elle me regarde: « Ah oui la Princesse… T’as pas l’air d’une Princesse comme ça, à genoux… »
Elle se lève et va s’accroupir sur un seau en bois…
« Couche-toi sur le dos » m’ordonne-t-elle.
Décidément!!
Je m’allonge par terre. Elle pisse mais pas comme cette grosse vache de Murphy. Elle, c’est le bruit que fait une cascade d’eau fraîche dans les rochers. Bon, elle pisse mais comme… une Reine du désert ou une nymphe des bois.
Après avoir fini, elle vient s’accroupir sur mon visage.
Je lèche quelques gouttes de pipi… au goût… euh…

*** La Princesse est-elle en train de virer de bord?
Bon, je ne sais pas qui tu es… mais c’est possible! Elle me plaît beaucoup!!
Et puis, elle sent tellement meilleur que les hommes…

Quand c’est fait, elle dit: « Suce-moi! »
Elle « pousse » et j’ai dans la bouche ce que son amant a laissé en elle ce matin. Nettement moins agréable!
Une servante toque à la porte et entre… Souad est toujours assise sur mon visage.
« Bonjour Maîtresse… »
Elle lui dit: « Regarde Lila, je suis assise sur le visage d’une Princesse! »
La servante rit… complaisamment, puis dit: « C’est vous la Princesse, Maîtresse! »
Quelle lèche-cul, celle-là… Enfin non, ça, c’est moi!
Souad se lève…
D’accord, lécher un cul, c’est un peu humiliant. Celui de Murphy, c’était horrible… Mais… Souad est belle et elle sent bon.

À suivre.

J’ai fait un petit site, où je parle de mes livres, si vous y allez, vous serez les bienvenus…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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