Je suis étudiant à depuis 4 ans maintenant et c’est la première année que je kotte car mes parents me soulent. C’est un tout nouveau bâtiment dont la construction est terminée depuis à peine quelques semaines. Tout est neuf, et le loyer n’est pas très élevé car les propriétaires ont achetés des meubles style Ikea, ce qui rend le lieu très cosy. Nous sommes 8, ça paraît beaucoup comme ça mais l’endroit est très spacieux et tout le monde n’est pas là au même moment. Nous sommes six mecs et deux filles. C’est pas top mais c’est déjà ça.
L’une d’elle, Sharane, est, ne nous le cachons pas, un thon. Elle ne prend pas soin d’elle, enfin elle n’est pas du tout attirante. Pourtant elle chope des mecs chaque fois qu’elle sort. Je le sais car ma chambre est à côté de la sienne, donc je l’entends se faire défoncer comme une chiennasse quand elle ramène un mec. Elle crie dans tous les sens, et des trucs bien salaces qui m’auraient déjà fait gicler après trois coups de rein dans sa chatte. Ça m’est déjà arrivé d’être réveillé en pleine nuit et de me mettre à me branler, juste en écoutant ce qu’elle disait.
Ma deuxième colloc, Océane, n’est pas beaucoup plus jolie. Mais son corps est incroyable. Et elle prend soin d’elle, ça change déjà la donne. Elle est hyper bien proportionnée, ses vêtements embrassent parfaitement les courbes de son corps. Allons droit au but, ses jeans embrassent parfaitement les courbes de son gros cul et de ses hanches. Pourtant elle est jeune, 19 ans, mais putain quel cul.
Ça me rappelle Clémence, une nana que je baisais en première année d’unif. J’adorais la prendre debout, elle était nue et je lui disais de garder juste une paire de talon. Elle avait de longues jambes. Je lui attrapais ses bras et les bloquais dans son dos, je la penchais un peu en avant et je lui défonçais la chatte. « Hein ? T’aimes ma grosse bite ou pas ? Putain sens comment mes couilles tapent contre ta chatte ma belle ! Ooooh ! » elle me répondait « oui, j’aime ta…ta bite ! Aah ! Aaah ! Jouie en moi ! Jouie en moi ! Aaah ! » putain c’est vraiment les paroles magiques pour me faire éjaculer comme un porc dans sa chatte.
Bref, revenons à Océane et son gros cul. Elle a une paire de lunettes et met de temps en temps des talons. Je l’imaginais en rôle de secrétaire entrain de me pomper et moi entrain de finir sur ses lunettes, en prenant évidemment bien soin qu’il y ait aussi du sperme sur son visage pâle. C’est une nana qui n’aime pas trop les mecs de sa culture (elle est Française), elle les trouve pas très sexy et pas assez direct. Elle préfère les blacks. En tout cas quand on cause avec Sharane, elle lui montre des blacks sur Instagram. Ce qui m’arrange évidemment. J’ai oublié de vous préciser : je suis black, sportif et musclé. Et ma bite l’est aussi, pourtant il n’y a pas d’exercices de musculation pour cette partie du corps.
On cuisine souvent dans notre kot, on n’aime pas manger surgelé comme tous les étudiants. Oceane, en plus d’avoir un putain de cul, sait cuisiner. Elle prend le temps de découper les oignons, d’assaisonner ma viande…pardon…sa viande, enfin celle qu’elle va manger…enfin…merde vous m’avez compris hahaha.
Un midi, je reviens de mon stage pour manger au kot. Ça faisait quelques jours que j’avais cassé avec une fille je baisais et je m’étais pas branlé depuis un moment. J’avais la bite en feu, je bandais pour un rien et il fallait que j’attenue cette tension de chatte. Oceane cuisinait tranquille. Elle avait juste un top blanc et une robe collée au corps, entrouverte sur le côté droit donc on voyait une bonne partie de sa jambe droite. Quand je rentrais elle se mettait à rire, elle savait qu’avec moi l’atmosphère était toujours détendu.
« Yo ! » , lui dis-je, « salut”, me dit-elle en souriant.
J’aimais être distant avec elle pour qu’elle lance la conversation en première. Elle avait l’air concentrée et elle remettait régulièrement ses cheveux en place, elle sentait que j’observais sa chute de rein et son cul, surtout quand elle se penchait pour prendre des trucs dans le frigo. Je me pinçais la bite en regardant mon téléphone comme si de rien n’était. Il n’y avait personne au kot à part elle et moi et je pouvais pas repartir à mon stage les couilles aussi pleines, la bite sous haute tension.
Elle était très concentrée, j’ai donc décidé de mettre de la musique et aller vers le plan de travail pour voir ce qu’elle mijotait. Franchement elle m’excitait parce-que je sentais cette tension en elle aussi, qu’elle cachait avec brillo j’avoue. Je me suis approché derrière elle en faisant du bruit pour ne pas qu’elle soit surprise, et je lui ai demandé ce qu’elle faisait de bon. Je bandais et j’avais un jean assez solide pour retenir mon érection. J’ai passé ma tête par dessus son épaule:
-tu fais quoi ? »
-Des brochettes avec des pommes de terre rissolées, m’a-t-elle répondu en souriant. Elle savait que je kiffais sa nourriture.
« Mmh » ai-je fais. J’ai approché ma bite de son cul car je savais que mon jean retenait les 20 centimètres, j’ai passé mon bras autours de ses hanches et ma joue gauche s’est approchée de la sienne.
-« Attends, regarde si tu coupes comme ça c’est plus pratique. c’est mon père qui m’a appris ». J’ai ensuite pris ses poignets puis ses mains pour lui montrer la mouvement mais aussi prendre la température de son corps.
Ça ne la dérangeait pas que mon corps soit aussi proche du sien. Je pense qu’elle ressentait de l’excitation et aussi un apaisement car j’étais pas trop brusque. Puis elle avait un grand sourire, ça voulait tout dire.
-« Qu’est ce qu’y a? »
-« Rien », me répond-t-elle toujours en souriant. « ton corps est super chaud…”
J’en pouvais plus, c’était ce midi ou jamais. Je l’ai laissé finir de mettre tout ses ingrédients sur le feu. J’ai été dans ma chambre car il fallait que je me branle, si je la baisais sans me branler j’éjaculerais dans sa petite chatte serrée en moins de deux. J’ai mis du lubrifiant sur ma bite et je me suis tapé une branlette express. J’étais sur mon lit les jambes bien écartées pour que mes couilles pendent bien. J’ai craché la purée dans un mouchoir.
J’ai ensuite remis du lubrifiant sur ma bite, en espérant que ça ne sèche pas avant que je la pénètre. J’ai renfilé mon jean sans mon slip et suis retourné dans le commu. Elle était sur son téléphone, devant le plan de travail.
-Alors, t’as retenu? Comment est-ce qu’on coupe des oignons? Montre moi
Elle s’est tournée vers le plan de travail en rigolant et m’a montré ce que je lui avais appris.
-Hahaha, voilà c’est comme ça non ? Monsieur le cuistot
-Cuistot, c’est un grand mot, disons que le minimum c’est de savoir découper correctement des ingrédients 😉 lui dis-je en la fixant d’un air taquin comme pour la viser.
-Hahaha bon bon ! Remontre-moi alors, comme tantôt. Mets-toi bien contre moi. Montre moi ce que tu sais faire
Je savais pas trop comment interpréter ce qu’elle venait de dire mais le lubrifiant que j’avais mis sur ma bite était entrain de sécher et il fallait franchement que je la baise. Je me suis exécuté.
Je lui ai remontré le mouvement en lui prenant les mains, puis je l’ai enlacée. Je l’ai bien serrée contre moi, assez fort pour qu’elle sente à quelle point j’avais envie de la défoncer et pour qu’elle sente ma bite contre son cul. J’ai commencé à lui faire de petits mouvements de va et vient pour qu’elle comprenne que je partirais pas sans l’avoir pénétrée. Tout ça sans un mot. Ça m’excitait encore plus qu’on se comprenne sans parler. J’ai directement commencé à lui lécher le cou, elle avait la tête penchée sur le côté pour que je lèche bien partout, ça l’excitait.
-oooh…ça fait aussi partie de ton cours de cuisine de m’exciter ? me dit-elle en gémissant
-j’aime aller au plus profond de mes élèves, lui répondis-je d’un ton ferme, les dents serrées d’excitation.
Mes mains parcouraient son ventre en même temps, la sienne prenait ma tête comme pour me dire « bouffe moi ».
-Putain Océane j’ai envie de toi, j’ai vraiment envie de te baiser. Je sais que t’as envie que je te prenne, j’te connais »
-Pas dans le commu »
J’avais franchement pas le temps de traverser ce long couloir avant de glisser ma batte de base ball dans sa fente qui devait être déjà très très mouillée. Je l’ai donc embrassée pour qu’elle se taise et faire comme si j’avais rien entendu. Je lui ai pris les bras et les ai mis dans son dos pour qu’elle touche ma bite et comprenne qu’elle allait me sucer et se faire péter la chatte ici et pas ailleurs. J’ai soulevé son top pour glisser ma main dans sa culotte puis dans sa chatte. Elle a levé la tête d’excitation, « ooh » a-t-elle soupiré. Quand j’ai rentré le premier doigt pour prendre mes marques, elle mouillait comme si elle avait attendu ce moment toute sa vie. J’ai ensuite rentré un deuxième doigt et l’ai doigtée doucement puis très rapidement.
-Oooh….oooooh… » soupirait-elle, doucement comme pour ne pas que quelqu’un nous entende, mais avec beaucoup d’excitation. Elle serrait ma bite en même temps. J’ai, avec mon autre main, sorti ce sexe qui voulait juste être aspiré par une bouche puis par une chatte.
-Putain ta bite est dure, toi t’as vraiment envie de me baiser, me dit-elle. Elle a commencé à me branler pendant que je la doigtais. Elle suivait le même rythme que moi
.
-Putain quelle bite. Putain elle est bien chaude…ooh…oohh..
Elle disait ça tellement bas et tellement lentement (autrement dit la manière qui m’excite le plus) que j’ai accéléré le va et vient dans sa chatte avec mes doigts. Elle a serré ma bite, elle avait les yeux fermés et la bouche grande ouverte. Elle bougeait sa chatte dans tous les sens comme si elle était sur une bite.
-Vas-y viens en moi, j’en peux plus. Baise moi comme t’as toujours voulu me baiser.
J’ai poussé sa tête en avant et ses mains se sont posées sur le plan de travail. J’avais une vue sur son cul à travers sa robe. Franchement j’ai rarement vu une nana de son âge aussi bien foutu. Un gros cul et un dos fin, une harmonie parfaite. Elle remuait son cul avec impatiente, putain de merde. J’ai rabattu le côté de sa robe de l’autre côté presqu’en la déchirant.
-putain Océane t’as un de ses culs. Je vais vraiment te baiser et tu vas t’en rappeler.
J’ai également rabattu son string, j’ai mis la ficelle sur le côté. La mouille combinée au lubrifiant pas complètement sec, ma bite est rentrée en elle comme si sa chatte l’avalait. C’est comme si sa chatte avait attendu ce moment depuis toujours.
J’ai ouvert grand la bouche sans dire un mot, putain c’était bon. Sa chatte était chaude et douce, c’était une sensation incroyable. J’ai commencé à y aller doucement, il n’a pas fallu longtemps pour que j’accélère. Ses deux fesses sont parfaites et elle rebondissaient à mesure que je lui envoyais des coups de bite, j’ai commencé à lui mettre quelques claques sur le cul avec la main bien ouverte pour bien prendre toute la chaire et pour que son cul pâle rougisse. Je pense que j’étais le deuxième ou le troisième gars qui la baisait, parce-sa chatte prenait tout à fait la taille de ma bite mais en même temps était plus serrée que cette dernière ce qui fait que je devais me canaliser car cette chatte presque prude et pure allait me faire éjaculer très vite.
J’ai quand même accéléré les coups de rein pour que ma bite aille bien au fond de sa chatte et qu’elle prenne son pied.
-aaah ! putain ! haaaa ! putain tu vas me faire jouir !
Pour moi ce genre de parole ne veut rien dire, je dois la baiser jusqu’à ce qu’elle n’en puisse vraiment plus. J’ai attrapé ses cheveux pour le faire revenir en arrière. J’ai fait une queue de cheval avec sa tignasse brune et j’ai rapproché ma tête de la sienne. J’ai quand nos corps sont proches, j’ai commencé à l’embrassé dans le cou puis je lui ai roulé des pelles en lui donnant des plus gros coups de rein. Tout ce qu’elle pouvait faire c’était fermer sa gueule puisque j’avais ma langue dans sa bouche. Mais ça ne l’empechait pas de gémir comme une petite pute sans expérience qui se fait défoncer par un black expérimenté et endurant.
-hein petite chienne, hein..tiens, tiens, tiens ! putain de merde quel cul, t’as un de ces culs bébé, t’es vraiment une petite chienne et j’suis à deux doigts d’éjaculer sur ton cul….oooh
Elle comprenait qu’elle n’avait rien à dire à ça car c’est moi qui décidait. J’ai ensuite sorti ma bite de sa chatte. Elle brillait avec toute la mouille qu’il y avait dessus. Je bandais comme un port, c’était vraiment du béton armé. J’ai un peu penché ma tête en arrière pour que ma bite soit bien remonté et je lui ai dit de me branler
-j’ai envie de te sucer, laisse moi te sucer… putain quelle bite
-tu veux me sucer ? Regarde l’effet que tu me fais, vas y branle moi…ooooh… t’as vu l’effet que ton cul me fait ? Regarde ! J’pourrais te baiser toute la journée ma belle
Elle a alors pris les devants, ce qui m’a surpris car c’était moi qui menait la dance. Elle s’est précipitée comme si elle était affamée et comme si on unique but était de me montrer à quel point pouvait être une bonne suceuse de bite, à quel point elle pouvait me donner du plaisir.
Elle a pris a pris ma bite a deux mains et l’a directement englouti. Elle fermait parfois les yeux comme pour se concentrer et prendre son pied en même temps. Elle sortait sa langue, faisait le tour de ma bite, la rebouffait. C’était tellement bon que j’avais des spams. J’ai remonté sa tête en prenant son menton et je l’ai embrassé de manière fougueuse, avec ma langue qui faisait le tour de sa bouche pour la remercié. Je l’ai ensuite prise par la nuque, l’ai regardé droit dans les yeux. C’était presqu’une passion amoureuse qu’il y avait entre elle et moi à ce moment. Je l’ai ensuite embrassé et elle a continué à me sucer. Elle a commencé à accélérer comme pour me faire éjaculer dans sa bouche, ce que j’ai stoppé car je voulais encore aller dans sa chatte.
Je l’ai mise sur la table qui était juste derrière nous, sur laquelle on mange d’habitude. J’ai bien écarté ses jambes, je lui ai un peu léché la chatte. C’est vraiment une chatte parfaite et les lèvres sont serrées comme si elle n’avait jamais mangé de coups de queue.
J’avais ma bite en main et je l’ai remise dans sa chatte en la regardant. L’expression de son visage était incroyable, comme un drogué en manque qui prend sa dose d’héroine. Je voyais tout son corps, j’avais remonté son top pour moi son ventre et ses petits seins qui bougeaient à chaque coup de rein.
-ooh ! putain ! baise moi ! plus fort ! encore ! j’suis ta p’tite chienne ! oooh prends moi avec passion !
Putain j’en pouvais plus. Cette position m’excite car j’ai sa chatte en premier plan et en remontant la tête, mes yeux parcourent tout son corps. J’ai arrêté un instant pour l’embrasser avec tendresse et lui témoigner de l’affection. Je lui ai fait quelques baisers sans la langue en lui carressant les cheveux en partant du front
– t’es incroyable, putain j’aime baiser avec toi. T’es vraiment sexy, t’as vu l’effet que tu fais à ma bite ?
-vas y t’arrête pas, continue. A chacun de tes coups de rein je jouie, continue à me baiser, et ne t’arrête pas. Baise moi pour toujours
Là c’en était trop, j’ai accéléré. De la transpiration tombait de mon front sur son ventre. Ses jambes ont commencé à trembler, elle n’arrivait même plus à parler correctement tellement le plaisir était intense. Elle avait des spams et elle bougeait sa chatte dans tous les sens sans vraiment controler ses mouvements. Elle a ensuite courbé son corps vers le haut et se caressait tout le corps. Le plaisir était généralisé et elle ne savait plus où se toucher tellement l’orgasme c’était répandu dans chaque cellule de son corps.
Là j’ai compris que je pouvais éjaculer
-putain j’vais cracher, j’en peux tu me fais trop bander Océane, t’es incroyable lui ai-je dis
-jouis en moi, j’veux pas que tu quittes mon corps. j’veux que ta bite reste en moi. Jouis en moi !
J’ai craché au moins litre d’une épaisse purée dans son vagin. Cette purée ressortait car je continuais à donner des coups pour que son plaisir ne s’arrête jamais et le mien non plus. J’ai ensuite arrêté car j’en pouvais plus. J’avais jamais ressenti une telle sensation lors d’une éjaculation, j’avais même la tête qui tournait. J’ai ensuite sorti ma bite plein de sperme et elle a continué à me branler pour être sûr qu’elle m’ait bien vidé les couilles.
Elle a pris un peu de mon foutre et a léché sa main en me regardant dans les yeux pour goûter et continuer à m’exciter. Je l’ai ensuite embrassé tendrement sans la langue, on a eu quelques gestes de tendresse comme si cette partie de baise avec révélé quelque chose d’autre qu’on se cachait.
Je l’ai relevée et on s’est rhabillé. J’ai ensuite continué à l’embrasser en touchant son cul, puis je lui ai fait des bisous dans le cou.
-merci, m’a t elle dit en souriant.
J’ai pas répondu et je lui ai fait un dernier bisou de tendresse avant de goûter l’une de ses brochettes et repartir à mon stage. J’avais le vendre seulement à moitié plein mais les couilles totalement vide.
En retournant à mon stage, j’ai pensé à ce qui s’est passé, ces gestes de tendresse. Est-ce qu’une baise aussi torride peut révéler ou déclencher une passion amoureuse et les deux partenaires ?
On n’a pas trop eu le temps de reparler de tout ça avant qu’elle parte en vacances, mais à son retour on verra ce qu’il en est.
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