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Soumis en mission 6

Soumis en mission 6



J’ouvris donc la porte de mon studio, anxieux. Ouf apparemment tout était en ordre. Je me dirigeais dans la douche et me regardait dans la glace : la marque de la chaine sur mon cou était encore bien rouge, ainsi que sur mon poignets. Je passai de l’eau froide sur mon sexe pour le soulager. J’essayais d’enlever ce cadenas avec du savon : rien. Ma bite avait gonflé autour de la boucle du cadenas !
Je n’avais pas le choix, je devais aller à ce boulot…Mme XX me tenait par les couilles.
J’ouvrais mon placard après avoir jeté cette culotte et ce chemisier à la poubelle pour passer un caleçon. La salope ! plus de caleçon mais une pile de culotte montante satinées jaunes, roses, mauves et transparentes à dentelles !
Bon je mis une de ces culottes. Je commençais à bander dans ce nylon et ces dentelles..
Je cherchai un tee shirt, disparus ! A la place 3 débardeurs roses satinés à pinces au niveau de la poitrine !
Je les jetai à la poubelle de colère et passai un sweet shirt directement sur mon torse, ainsi qu’un bas de jogging bien large pour cacher mon sexe en cage.
Je partis pour rejoindre l’entreprise avec ma voiture selon les instructions que m’avait données Mme XX.
Une fois là bas je m’arrangeai pour prendre mon blouson dans les mains et le placer devant mon sexe, en prenant soin que cette culotte voyante ne dépasse pas de mon sweet…
Bref, j’en menais pas large devant la secrétaire qui m’expliquait ce que je devais nettoyer et me montrait l’aspirateur et le balai pour laver.
Je me concentrai sur le nettoyage des bureaux sans trop me pencher, en pensant à ma culotte qui dépassait de mon jogging. Mon sexe me faisait toujours mal et mes couilles étaient écrasées, mais je tenais bon en regardant l’heure.
Le personnel commençait à partir, la journée était finie pour ces femmes en tailleurs, qui me croisaient avec un sourire poli en me souhaitant une bonne soirée.
Je baissai les yeux en pensant qu’il y a à peine 24 H je leur aurai souri et les aurai maté en regardant leur petits culs se dandiner.
Aujourd’hui j’avais chaud à m’agiter dans mon sweet, ma culotte commençait à me coller à la peau de sueur. Elle moulait mon cul et rentrait dans la raie de mon cul et rien que cela me faisait bander (mou). Quelle déchéance !
J’arrivais enfin au bureau qu’on m’avait dit de nettoyer en dernier, celui de la ‘chef’.
J’ouvrai la porte pensant faire vite puisqu’il n’y aurait plus personne à cette heure.
Mais une femme de la soixantaine était encore à son bureau.
‘Oh excusez moi, je venais pour nettoyer’
‘Faites faites je vous laisse faire cher monsieur’
Elle sortit. Blonde, cheveux mi long, physique banal bien potelée dans son tailleur et ses bottes gris. La patronne coincée quoi !
Allez au boulot, je branche l’aspi, remonte mon jogging qui descendait sur ma culotte satinée et maintenant trempée de sueur.
La blonde revint bientôt avec des dossiers sous les bras, qu’elle posa sur le bureau.
Elle me regarda et me dit ‘C’est donc vous qui replacez Suzanne ?’
‘Heu oui je ne sais pas, j’arrive aujourd’hui’
‘Aujourd’hui, quel privilège pour moi !’
Je ne comprenais pas.
Elle me signe de poser l’aspirateur dans un coin et de fermer la porte restée ouverte. Je commençais à me sentir tremblant.
‘Allez ne perdons pas de temps, j’ai encore du travail, mettez vous à l’aise. Suzanne posait ses affaires là’ Elle montrait une armoire métallique et s’assit sur son fauteuil à roulette qu’elle fit reculer pour l’écarter de son bureau.
‘Allez hop hop hop en place!’ Elle me montrait le dessous de son bureau comme à un chiwawa.
Je commençais à comprendre et j’étais rouge de honte.
‘On ne va pas y passer la nuit : allez! pantalon, sweet, chaussures !J’espère que vous êtes plus doué avec la langue !!’
J’allais à l’armoire : un cintre. sur l’étagère des sextoys et plugs de toutes les tailles !
Sa façon de me traiter me sidérait. Et le plus étonnant ça me faisait bander ! Traité comme un sous homme!
‘Bon ma grande ! Tu veux que j’appelle Mme XX !
Tout à coup, je me réveillai : ‘Non non madame, je j’arrive !’
J’enlevai donc mon sweet et mon jogging et me retrouvait en culotte jaune à dentelle qui me remontait jusqu’à la taille, une bosse obscène entre les jambes devant cette femme qui me regardait comme un objet.
Pire encore : sa remarque. ‘Oh joli choix, elle te va à ravir ma cochonne !
D’un geste autoritaire elle m’indiqua son bureau je me précipitai et me mis à 4 pattes. Aussitôt elle fit rouler sa chaise et vint me coincer. Elle écartait déjà les jambes et remontait sa jupe jusqu’à mi cuisse, elle avança son sexe au bord du fauteuil et ne bougea plus.
Devant mon manque d’enthousiasme, je reçu un grand coup de bottes dans le ventre.
Je commençais à lui caresser les cuisses, excité.
Nouveau coup de bottes ‘Non ne poses pas les mains sur moi, ta jolie langue de chaudasse seulement!’
Je m’exécutai donc et lui léchait, les cuisses, les bottes, la chatte à travers sa culotte, puis je lui otais avec les mains en prenant soin de ne pas la toucher directement.
Je la léchais et léchais. Elle ne s’occupait que de ses dossiers.
Au bout de ce qui me semblait des heures, elle me pris par les cheveux derrière la tête et me fourra mon nez dans sa chatte ruisselante, s’en servant comme d’un sextoy !
Puis je devais recommencer à lui lécher les cuisses à nouveau…
Je restai coincé là 2 heures à bander comme un âne, la queue au supplice, le sexe qui bavait d’excitation, la culotte ruisselante aux ordres de Madame, un chiwawa aux bottes de sa maitresse !

A SUIVRE SI VOUS AIMEZ !

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