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Amanda CHAPITRE 8

Amanda CHAPITRE 8



Chapitre 8: Une étrange matinée

Au bruit de l’écoulement de l’eau je m’éveille peu à peu. Pas encore totalement réveillé je m’étire dans mon lit. Je ne peux bien sûr pas l’avouer, mais je savoure la sensation de la nuisette sur ma peau. J’ai des frissons de la tête au pied en sentant cette si particulière matière contre ma peau imberbe. C’est comme une douce caresse électrisante. Mais bien vite je reprend mes esprits qui commençaient à devenir fiévreux et je quitte mon lit. Je descend jusqu’au premier étage, le traverse sur la pointe des pieds avant de descendre le second escalier pour atteindre la cuisine. En commençant à faire le petit déjeuner de Maîtresse je m’aperçois que j’ai une demi molle. Je mets ça sur le compte de l’érection matinale et reprends comme si de rien mon ouvrage. Mais dans la réalité cela me préoccupe, Irène et moi n’avons jamais abordé le sujet mais je sais qu’elle serait furieuse que je me masturbe. Et puis même, pourquoi j’aurais envie de me masturber? Je suis actuellement séquestré par une tarée. Il n’y a pas de quoi avoir une érection loin de là. Pourtant ma demie molle est bien toujours là.
Je deviens nerveux. Je n’ai jamais été particulièrement porté sur la masturbation mais ça doit bien faire une semaine que je n’ai pas pu me toucher. Et maintenant que j’ai cela en tête je n’arrive plus à penser à autre chose. Je sens même par endroits de petits tremblement d’excitation que je ne parviens pas à contrôler. C’est horrible.
Un coup d’eau froide sur le visage me ramène à la réalité. Mon sexe débande et redevient presque entièrement mou et flasque. Je soupire de soulagement. J’ai l’intuition d’avoir évité la catastrophe. Je monte avec le plateau jusque devant la chambre de Maîtresse. Au moment où je toque à la porte mon érection revient. Je me maudis intérieurement. Fort heureusement, pas de réponse. Elle doit dormir encore, parfait. Je pose le plateau repas et file dans ma chambre, je rejoins alors ma salle de bain et enclenche le jet de ma douche en réglant la température au plus froid. Non seulement c’est agréable mais en plus ça a le mérite de me ramener à la réalité tout en me faisant débander. Putain mais qu’est ce qui m’arrive aujourd’hui? Tout en saisissant le savon parfumé à la rose je cogite sur les raisons de mon état. C’est certainement dû à une frustration. Je ne peux pas avoir du désir pour elle. Ok, elle est mignonne et j’ai toujours eu un faible pour les yeux verts et les visages expressifs. Il est également vrai que j’aime beaucoup son côté sévère et en même temps très féminin. Mais merde c’est une foutue tortionnaire. Et je suis en détention, pas à un putain de rendez vous galant. Après un shampoing parfumé à la fraise je me rince à l’eau gelée. Ho putain ça fait un bien fou. Une fois sec, je renfile ma nuisette en faisant tout pour ne pas penser à ces détestables petits frissons du diable. Je redescends au premier, récupère le plateau, prends une profonde inspiration et toque.
-Tu peux entrer Amanda.
Et merde. Le simple fait d’entendre sa voix réveille à nouveau mon désir et je sens mon ventre se serrer et ma queue durcir un peu. Putain mais non, quand est ce que ça pu dé****r?
J’entre avec le plateau et le dépose devant elle. Fort heureusement elle n’est pas encore totalement éveillée et ne remarque rien. Je redoute d’ouvrir les rideaux et les volets. J’ai peur que la luminosité ne rende que plus visible mon début d’érection. Mais je sais que si je ne respecte pas notre routine elle se doutera que quelque chose ne tourne pas rond. Tandis qu’elle épluche son œuf, j’écarte donc les rideau et ouvre la fenêtre et les volets. Comme souvent, elle profite de ce moment pour effleure ma peau à travers la nuisette du bout de ses ongles.Ce geste auquel je commence pourtant à être habitué provoque une explosion dans ma tête que je parviens tant bien que mal à maîtriser. A la hâte, j’achève de fixer les volets et vais me mettre à genoux face à son lit, les mains sur la nuque, les bras tendus et le sexe dissimulé entre mes jambes.
-Tu fais toujours ta mauvaise tête? Me demande t’elle.
J’hoche la tête, comprenant qu’elle a prit ma hâte pour de l’agacement. Ce qui fait bien mon affaire vu la situation.
-Tu es plus têtue qu’une bourrique. Si je te demande de parler de toi au féminin c’est pour t’aider. Crois moi ça t’aidera à accepter plus vite ta nouvelle situation.
On en revient à cette histoire. Mais même après trois jours où je suis resté muet je reste déterminé à n’employer que le masculin pour parler de moi. Voyant mon air déterminé Maîtresse sourit.
-T’es pire qu’une gosse, mais c’est amusant de te voir faire cette tête avec ta petite nuisette.
Je rougis et baisse immédiatement le regard lorsqu’elle mentionne ce vêtement du diable. Mais mon sexe lui durcit encore. Et merde. Devinant mon trouble, un sourire obscène se dessine sur le visage de ma tortionnaire. Sans me lâcher du regard elle glisse ses jambes hors de son lit et sors totalement nue de sous sa couette. Comprenant qu’elle a deviné que quelque chose cloche je ressers encore plus mes jambes. Fais chier.
Avec un regard prédateur, elle m’approche alors et finit par se pencher sur moi en frottant sa jambe contre la nuisette. Ce qui provoque de nouveaux frissons que je tente de contenir.
-Tu as l’air étrange ce matin. Me dit elle d’une voix mielleuse. Est ce que tout va bien?
-Oui tout va bien Maîtresse.
-Tiens, tu me parles à nouveau ma douce. Fait elle remarquer, espiègle. Tu m’en vois ravie mais je me demande bien pourquoi…
Tout en parlant elle continue ses caresses qui me rendent dingue. Je ne parviens même plus à dissimuler mes frissons que l’on sent même dans ma voix.
-Maîtresse…
-Oui parles.
-J’aimerais vous demander quelque chose.
Saisissant mon visage entre ses doigts elle y plante son regard tandis que le mien tente de la fuir.
-Parles. Si tu parviens à me dire ce que tu veux je te l’accorde immédiatement.
-Je voudrais…
-Oui?
-Je voudrais aller faire votre vaisselle.
Immédiatement, profitant de sa surprise, je me relève, saisis son plateau repas et quitte sa chambre à toutes vitesses. Je pose la vaisselle dans l’évier, la range dans le lave vaisselle et nettoie à la main le plateau avec une hargne rarement vu. Puis je me pose et prends de grandes inspirations. La vache, c’est pas passé loin. Je vais devoir faire attention.

Peu de temps après j’entends ses pas dans l’escalier. Elle descend au rez de chaussé. Je l’attends dans la position qu’elle m’a inculquée, à genoux, les mains sur la nuque et les bras tendus. Elle n’est vêtue que d’une culotte noire. Elle me considère un moment avant de prendre la parole.
-Je suis contente que tu ais retrouvé ta langue ma belle. Pour aujourd’hui, ni robe ni tenue de soubrette. Tu restes en nuisette mais tu as quartier libre.
-Merci Maîtresse.
Intérieurement je boue et enrage de devoir porter cette foutue nuisette toute la journée. Néanmoins je commence à réaliser qu’il est plus souhaitable de garder tout bas ce que j’ai envie de dire tout haut en dehors des moments de paroles libres.
-Tu peux vaquer à tes occupations.
Je me relève donc et commence à me faire mon petit déjeune que je déguste sur la table de la cuisine. Pour une fois je prends le temps de savourer mon premier repas de la journée. Et le moins qu’on puisse dire c’est que je suis bien forcé d’avouer qu’elle me nourrit bien. J’aime tout particulièrement les petites pâtisseries orientales qui me rappellent mon enfance. Une fois mon estomac contenté je range la vaisselle, nettoie la table et lance le lave vaisselle. Je quitte alors la cuisine et me dirige vers ma salle de bain « privé ».
En attendant que la baignoire ne se remplisse d’eau chaude je m’empare de ma brosse à dent et entreprends de nettoyer mes canines. Une fois mes dents blanches j’étale sur l’ensemble de mon corps la crème que m’a confié Irène et qui empêche mes poils de repousser. J’ai pensé plusieurs fois à vider le contenu dans l’évier pour tromper Irène. Mais je sais déjà que je paierai chèrement cette tentative de tromperie. Trop chèrement pour que le risque vaille la peine d’être pris. Je me soumets donc pour le moment, attendant l’instant idéal pour me dérober à l’emprise de cette femme diabolique.
Une fois la crème étalée je me plonge dans la baignoire et ajoute dans l’eau une crème qui donne un aspect laiteux à mon bain et prends soin de ma peau.
Libre de tout horaire pour cette fois je me laisse aller dans l’eau chaude. C’est divin et ça fait si longtemps que je ne me suis pas octroyé un tel plaisir. Dans mon orphelinat on avait des douches collectives, jamais de baignoire. Mais de temps en temps j’allais chez Evan, un camarade sympa et tellement moins prise de tête que les autres. Et ses parents avaient une superbe baignoire qui pouvait même faire jacuzzi. C’était le pied.
C’est étrange quand même ce qui s’est passé ce matin, cet élan de désir si soudain pour cette femme si horrible. Oui elle est belle mais je sens en son fort intérieur quelque chose de si sombre. Je la hais. Je la déteste pour tout ce qu’elle me fait endurer. J’aimerais tellement la voir souffrir.
Mais hélas je la crains. Je la crains peut être plus que la mort. La mort c’est calme. Alors qu’avec elle les pires tourments physique ne sont qu’un prélude à des sévices psychologique encore pire.
Je ne dois pas me laisser amadouer par son joli visage et par cette journée de repos qu’elle m’octroie. Ni même par cette étrange bienveillance qu’elle a à mon égard parfois. Non, le syndrome de Stockholm ce n’est pas pour moi.
Emporté par mes pensées et mes réflexions je perds à nouveau la notion du temps. Mais l’eau qui commence à tiédir me ramène doucement à la réalité. Je sors alors du bain et saisit une serviette. Une fois sec je remet la nuisette mais elle me fait moins d’effet, le bain a apaisé mes désirs, pour le moment.
Je réalise soudain que même lorsque j’ai « quartier libre » c’est à moi qu’il revient de m’occuper des repas. Je descend donc à toutes jambes jusqu’à la cuisine. Par la baie vitrée je vois le soleil déjà haut. On doit approcher des midis. La journée est chaude, c’est parti pour un carpaccio. Je saisis les lamelles de viande dans le frigo et les dispose sur un plat en verre. Je rajoute par dessus la sauce et place le tout au frigo. Et l’entrée? Je fais l’inventaire du frigo et m’empare d’un saladier pour préparer une salade verte. je découpe quelque morceaux de comté et et des tomate que j’ajoute puis sors un bol pour m’occuper de la vinaigrette. Et là on arrive au moment crucial, je n’ai jamais été très doué pour ça. Et ici je n’ai pas accès à internet pour voir une recette. Je mélange donc un peu d’huile et de vinaigre balsamique avec une petite touche de moutarde à l’ancienne. J’ajoute au tout un zeste de citron et voilà.
La table à présent. Fort heureusement je l’ai déjà lavé hier soir après le repas, elle est donc propre, je dépose les set de table, ajoutes les vaisselles et enfin je place au centre a salade. Le carpaccio devrait être prêt dans quelques minutes, juste le temps de déguster a salade.
Maîtresse entre alors dans le salon, radieuse.
-Déjà? Tu es un peu en avance, il n’est pas encore midi.
Je sens une boule dans ma gorge, j’ai paniqué et agis trop vite.
-Pardon Maîtresse.
-Ne t’excuses pas. Mais c’est dommage de passer une journée de congé à faire la cuisine non?
La boule grossit.
-Oui Maîtresse.
-Enfin ça tombe plutôt bien, j’ai déjà les crocs. Ton attitude de ce matin a perturbé mon petit déjeuner et je commence à avoir faim. En plus ta salade me semble appétissante. Allez assieds toi.

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