Comme maintenant j’en ai pris l’habitude, et sans me poser de question, je me prépare pour rejoindre mon Maître pour d’autres aventures. Quelle transformation depuis quelques semaines. Je suis devenue malgrés moi une salope soumise à l’inssu de mon mari. Enfin c’est ce que crois. Je n’apprendrais que plus tard qu’il en est le complice voyeur.
J’ai rendez-vous dans le restaurant où j’avais été utilisée comme serveuse l’autre Samedi. En traversant la salle, je ne peux m’empêcher de penser à ce que j’ enduré ici-même, la dernière fois.
Je frappe à la porte du bureau d’Ali et j’entre. Il ne me regarde pas mais je sais ce qu’il attend de moi et je me met nue sans qu’il ai besoin de le demander. Je mets mon collier de chienne, y accroche la laisse et la tend à mon Maître.
« Alors, petite pute. Tu es fière de toi ? » Me dit-il en prenant la laisse.
Je ne comprend pas la remarque et il continue :
« Tu n’as pas été bonne, samedi soir. Les clients se sont plaints et il a fallu te rappeler à l’ordre. N’oublie pas que ton corps m’appartient. Quand je donne un ordre, tu dois l’exécuter servilement, comme l’esclave que tu es. Quand je te donne à mes clients pour qu’ils te touchent, tu dois leur laisser te tirer les nichons et entrer leurs doigts dans ta chatte et ton cul ! Tu doiste laisser faire ! Ils ont tout les droits sur ton corps de pute. Compris ? »
Devant ses réprimandes, je ravale ma salive et lui répond :
« Oui, Maître. »
« N’as tu pas mérité une punition ? »
Je réponds penaude :
« Heu oui certainement Maître si vous pensez que c’est nécessaire. »
« Pose tes mains sur le fauteuil et écartes les cuisses ! Vingt coups pour tes désobéissances ! Et n’oublie pas de compter ! »
À ces mots, je me met en position en tremblant. Il décroche un long fouet en me disant :
« Je vais t’apprendre l’obéissance moi ! Tu vas le sentir passer, salope ! »
Le premier coup claque. La lanière cingle mes deux fesses et finit sa course au ras de ma vulve.
« Haaaa….1 »
Puis les coups se suivent et marquent sévèrement mon cul. Le quinziéme coup me surprend car il ne s’abat pas sur mes fesses mais au milieu du dos et frappe jusqu’au téton. Dans un souffle, la gorge serrée par la douleur, j’emet :
« Haan ! Quinze ! »
Enfin le vingtième coup annonce la fin de ma punition que j’ai supporté courageusement.
Au milieu de ma honte, de mon humiliation et de ma douleur, apparaît un sentiment de fierté d’avoir réussi à subir cette douleur.
« Maintenant, tu vas me remercier,chienne. Mets-toi à quatre pattes et viens me sucer la bite ! »
J’obéis immédiatement et commence à embrasser son gland décalotté et ensuite me met à le sucer avec une expérience assumée.
« C’est bon, tu suces bien salope ! Alain entre ! »
Je sursaute en entendant le prénom de mon homme. Je ne peux le voir dans la position où je suis. Mais cette fois-ci, je ne peux plus dissimuler à mon mari ma position de chienne docile aux ordres de ce black. Que va-t-il penser de moi ? Je suis à quatre pattes entrain de sucer une grosse bite de black,, les fesses offerte et les seins pendants. Quelle image obséne vais-je donner à Alain.!
J’entends le zip d’un pantalon s’ouvrir. Je continue de sucer Ali. Mon mari ne dit rien et je suis consciente d’offrir mes fesses, sachant que, dans un instant, son sexe va certainement me pourfendre. Ses mains se posent sur mon cul. Puis la grosse machine de mon homme frotte mes lèvres et s’enfonce d’un seul coup au fond de mon vagin. Cette pénétration brutale m’étonne de mon homme. Mes seins ballotent sous ses coups de boutoirs. Ses testicules claquent sur mes fesses.
Les deux hommes commencent à me pilonner. Je sens la bite de mon homme frapper le fond de ma chatte pendant que celle d’Ali lime ma bouche. Alain me demande enfin :
« Alors ma petite putain ! Tu les aimes nos queue ? »J’ai honte mais oui j’aime être prise comme ça. Mais je ne peux que grogner mon assentiment.
La queue d’Alain quitte sa chatte et se présente devant ma bouche, pendant que de son côté Ali remplace la queue d’Alain dans mon vagin. Je lèche l’engin marital qui porte les traces de ma liqueur féminine. Toute mes réticences et ma pudeur ont disparu. Je sais à ce moment que je suis faite pour être rempli par des mâles et leurs servir d’objet sexuel. Plusieurs fois, les verges échangent leurs positions. Tout à coup, Alain se raidit et déverse son sperme au fond de ma gorge. En bonne épouse docile, j’avale tout.
Je suis stupéfaite quand j’entend Alain dire au black :
« Ali ! encule là ! »
« Non chéri ! Il est trop gros ! »
« T’a gueule ! Tu joue la pute depuis combien de temps salope ? Alors maintenant c’est moi qui décide de ce que je faire de toi ! »
Je ne dis plus rien. Il a raison , je ne suis qu’une pute. Et je l’ai fais dans son dos. Aloirs, en serrant les dents, j’attends la douloureuse pénétration. Le gland d’Ali quitte mon vagin et se présente sur ma rosette. Ali me tient fermement par les hanches et tente de pénétrer la putain que je suis devenue. Inconsciemment, je sers mon anusd et mon œillet refuse cette intromission.
« Impossible, Alain. Cette pute a le cul plus serré qu’une porte fermée à double tour ! »
« Pousse fort ! Tu vas l’élargir ! »
Ali pousse plus fort et le barrage cède. Je hurle sous cette énorme pénétration. J’ai l’impression d’être ouverte comme un fruit mure.Toujours à quatre pattes, le gros mandrin noir s’enfonce dans mes entrailles jusqu’à arrivé en buté sur mes fesses. Il reste un instant immobile dans mon fondement puis commence un baisage en régle faisant balancer mes seins en tout sens.
Rapidement le black se vide dans mon cul et Alain me dit :
« N’oublie pas de nettoyer sa bite, consciencieusement ! »
Il me présente un engin souillé de nos sécrétions devant la bouche et comme le veut mon homme je nettoie cette cette grosse tige ramolissante.
Je reste à quatre pattes attendant la suite des événemrnts.
« Bon, Alain, je vais chercher le client maintenant qu’elle est rodée. »
Je sens le sperme d’Ali couler le long de mes cuisses. J’ai un goût de sperme dans la bouche. Les brulures du fouet sur mes fesses et mes seins sont douloureux. En la présence de mon mari, je sais que je vais franchir encore un palier de .
Elle sait qu’elle va encore franchir un palier dans ma déchéance Je reste toute nue, jambes écartées rendant mon sexe bien visible, mains derrière la nuque, étirant mes seins vers l’avant. Je ne porte que mon collier dont la laisse pend entre mes seins. Je me rend compte que sous la houlette de mon mari, je deviens une femelle docile, prête à obéir à tous les ordres de mon Maître.
Ajouter un commentaire