Première épreuve.
L’ambiance était bon enfant. Les gens discutaient, passaient de groupe en groupe. Il est vrai que pour un non initié il était impossible de deviner qui était qui. Même pire, quelqu’un d’étranger à cette soirée serait arrivé inopinément, n’aurait pu deviner la nature des relations qui réunissait tous ces gens. Comme l’avait souligné « BHV » aucun signe distinctif n’était apparent.
Après les verres, quelques plateaux de denrées plus solides sont passés dans la salle aux mains des larbins peu vêtus, seuls anachronismes à cette soirée. L’ambiance s’échauffait. L’alcool et la nourriture contribuaient à faire monter la température. Maintenant on pouvait voir quelques mains s’égarer qui, sur une braguette, qui sur une croupe rebondie. Mais toujours discrètement.
Puis le Maître et la Maîtresse des lieux s’avancèrent en haut des marches surplombant le grand salon.
– Mes chers amis, maintenant que vous voilà restaurés, je vous propose de passer dans l’autre pièce. Qui m’aime me suive selon l’expression consacrée.
Margot regarda « BHV » d’un œil interrogateur et s’informa de cette fameuse « autre pièce ». Il lui dit qu’elle allait le savoir tout de suite mais qu’elle ne serait probablement pas dépaysée.
De fait, Margot et son mentor suivaient le mouvement. Une bonne vingtaine de couples se dirigeaient donc vers une extrémité du salon, en direction d’un escalier assez large qui conduisait vers un sous-sol qui avalait petit à petit la petite foule des invités.
Comme prévu, Margot ne fut pas dépaysée. La pièce ressemblait étrangement à celle de « BHV ». Celle de la cave, pas l’atelier du haut où elle avait commencé à poser. Mais là par contre, elle faisait bien trois fois celle du château. En fait, elle devait faire la superficie du salon juste au dessus. Des piliers en arches soutenaient un plafond tout en pierre. Malgré tout il y régnait une douce chaleur. Et comme chez « BHV », des engins de toutes sortes trônaient un peu partout. Des anneaux métalliques fixés aux murs, des potences, des chaines, enfin de quoi s’amuser. Il y avait aussi des canapés, des sofas, des lits ronds ou rectangulaires. Des chaises aussi, mais sembla-t-il à Margot, un peu bizarre. Les couples se dispersaient au hasard. S’installaient ça et là. Certains corps se dénudaient, pas toujours intégralement d’ailleurs. Puis c’est la Maîtresse de maison qui cette fois-ci prit la parole.
– Mes biens chers amis, je vois que certains ont déjà pris leurs aises, mais si nous sommes réunis ce week-end, je vous le rappelle, c’est pour fêter une petite nouvelle parmi nous. Je vous demande donc de lui faire le meilleur accueil. Vous connaissez tous notre grand ami et Maître à tous. Je veux parler bien entendu de « BHV ». C’est donc avec lui que vous verrez les détails mais je vous demande de rendre inoubliable cette première soirée pour sa protégée. Je vous présente donc « Perle».
Tout le monde se mit à applaudir le couple qui accaparait l’intérêt. Margot se rapprocha de son Maître comme pour se mettre à l’abri. Elle ne s’attendait tout de même pas à ça. Elle qui pensait être noyée dans la foule se retrouva exposée et regardée par tous les participants. Elle commença même à se demander ce qui allait lui arriver. Est-ce que tous allaient venir les saluer. Complimenter « BHV » pour le choix, la beauté et la classe de sa nouvelle protégée. Ou bien tous les mâles allaient-ils la baiser, l’enculer ? C’est que quand même, ils sont bien nombreux. Bon d’accord j’aime ça se dit-elle, mais là, ça fait beaucoup !
« BHV » lui prit la main et l’entraina vers le centre de la pièce. Une espèce de petite estrade, environ deux mètres carrés, semblait les attendre. Instinctivement la foule des autres convives fit le cercle tout autour. « BHV » fit monter Margot sur l’estrade en la tenant par la main. Il lui demanda de tourner sur elle-même. Puis lui fit signe de faire tomber la frêle robe qui lui cachait à peine le corps tant elle était transparente. Elle continua à tourner encore un instant alors qu’on discutait en bas, autour de « BHV ». Il lui fit signe de redescendre, ce qu’elle fit. Il la reprit par la main et, nue, l’entraina vers un autre bout de la pièce.
Il y avait un banc. Un banc tout simple. Pas en bois brut quand même. Il y avait un habillage en cuir rembourré qui devait le rendre plus confortable. On la pria de s’y allonger. Le banc était suffisamment large pour qu’elle y tienne sans risquer de basculer d’un côté ou de l’autre. Deux soumis déjà nu lui prirent chacun une cheville et les montèrent jusqu’à amener ses jambes de part et d’autre de sa tête, exposant ainsi sans pudeur toute son anatomie. « BHV » lui demanda de tenir ses jambes et on lui attacha chaque main à chaque cheville avec un rouleau de papier adhésif. Impossible pour Margot ainsi ficelée de pouvoir se relever et même de faire le moindre geste.
Elle fut ensuite tirée vers le bout du banc, rendant ses parties génitales plus accessibles. Une soumise fut invitée à lui bouffer la chatte et deux autres devaient s’occuper de ses nibards. Margot avait beau être un peu dans l’inconnu, la situation la fit quand même mouiller abondamment. Les soumise devaient bien s’y prendre car elle gémissait de plus en plus. La soumise qui lui bouffait le clito commença à lui enfiler ses doigts dans la chatte. La stimulation la dilata rapidement et c’est la main entière qui disparut dans le vagin trempé. Après quelques vas et viens, un jet de cyprine gicla sur le visage de la soumise qui fit son possible pour tout lécher. Margot avait les yeux fermés et tournait la tête de gauche à droite, elle jouissait.
Puis, de sa main pleine du jus de Margot, la soumise commença à faire le même traitement à son trou du cul. Elle lui branla la rondelle avec son index. Le majeur rejoignit l’autre et elle s’appliqua à faire des mouvements circulaires, rendant le muscle plus souple. Un troisième doigt accompagna les deux premiers. Elle força l’anus en faisant des rotations avec son poignet alors que le petit doigt et le pouce entraient à leur tour. De son autre main elle stimula encore le clito de Margot alors que son trou du cul avalait le bras jusqu’au dessus du poignet. Margot eut un violent orgasme dans un cri rauque alors que sa chatte crachait un nouveau jet de cyprine qui arrosait copieusement la soumise.
« Elle est prête » Déclara « BHV »
Les trois filles se relevèrent et deux soumis, la bite en avant les remplacèrent. L’un d’eux présenta sa queue à l’entrée du vagin et l’enfonça d’un coup jusqu’au couilles. La chatte mouillait tellement que l’intromission de ce beau calibre ne présenta aucune difficulté. Il se mit aussitôt à faire des vas et viens en cognant à chaque fois son pubis sur celui de Margot. L’autre à peu près en même temps avait investi la bouche. Il lui tenait la tête et s’en servait comme d’une chatte. Margot avait des hauts le cœur à chaque fois que la bite s’enfonçait dans sa gorge. Des larmes perlaient au bord de ses yeux. On voyait bien qu’elle avait du mal à respirer mais le rythme ne changeait pas pour autant.
Néanmoins, au bout d’un instant, les deux mâles échangèrent leur place. Margot n’eut qu’un bref répit et se retrouva bien vite avec une nouvelle queue dans la bouche. Une queue enduite de sa mouille à laquelle elle avait d’ailleurs fini par s’habituer. Celle-ci était plus grosse mais ou moins longue ou il ne s’enfonçait pas autant. Là au moins elle arrivait à mieux respirer et elle pouvait s’appliquer à le sucer comme il faut. Quant à l’autre, il lui avait légèrement soulevé les fesses et lui avait enfilé son braquemard dans le trou du cul. D’abord un aller et retour dans la chatte histoire de lubrifier l’engin, et hop, dans la rondelle. Rondelle au demeurant encore dilatée de tout à l’heure. Certes elle s’était bien refermée un peu tout de même mais il n’avait eu aucune difficulté à forcer le passage et maintenant sa queue tendue pistonnait à fond en tapant ses couilles sur les fesses de Margot.
Tout d’un coup celui qui était dans sa bouche se retira et se branla rapidement au dessus de Margot. Dans un râle venu du fond de sa gorge, il cracha son venin. Au fur et à mesure des jets qui atteignaient leur but, une mare de sperme se formait entre les nichons de Margot et coulait vers son cou. Puis l’autre se retira aussi de son cul et éjacula aussitôt sur le ventre. Margot, attachée, ne pouvait réagir comme elle l’aurait voulu. Elle avait pris goût à se barbouiller du foutre de ses baiseurs mais là, ses mains n’étaient pas disponibles.
D’ailleurs elle n’eut pas à réfléchir très longtemps. Deux soumis l’empoignaient et la soulevaient. Dans leurs mains, Margot avait l’air d’une plume. Sur le banc, à la place qu’elle occupait quelques secondes auparavant, un autre soumis est venu s’allonger, la queue dressée comme un mat. Margot fut redescendue alors que le soumis dirigeait sa bite de façon à ce qu’elle s’insinue dans le rectum ouvert et accueillant. Le gourdin était de belle taille et Margot fit un peu la grimace jusqu’à ce qu’elle soit carrément assise, la bite au fond de son cul. Les deux soumis allongèrent ensuite Margot sur le torse de son enculeur et l’un d’eux, se posta entre les jambes des deux corps allongés et pénétra la chatte ainsi offerte. Le dernier occupa le seul trou encore disponible et les trois queues imprimèrent leur rythme de concert. L’enculeur tenait Margot par le haut des fesses afin de la soulever légèrement et pouvoir ainsi avoir le bassin plus libre pour la pénétrer. Le baiseur quant à lui, se tenait penché en avant, les mains appuyées sur le bord du banc et pistonnait la moule baveuse en alternance avec celle qu’il sentait à travers la mince paroi séparant les deux orifices. Quand l’un sortait, l’autre s’enfonçait à fond et ainsi de suite. Le troisième avait lui aussi saisi la tête de Margot et lui imposait son rythme. Sa queue était plutôt large et elle avait bien du mal à trouver sa respiration. Le cercle autour d’eux c’était un peu resserré. Quelques mains curieuses s’aventuraient sur les tétons dressés et arrogants. Dans la bouche de Margot, le rythme se fit plus soutenu. Le soumis avait la bouche ouverte, le cou tendu dont on pouvait voir les veines grossir et battre plus rapidement aussi. Dans un dernier assaut, il se figea, ressortit sa bite et déchargea son foutre sur le visage d’une Margot essoufflée, haletante mais qui pouvait enfin respirer tout son saoul. C’est le visage plein de sperme qu’elle trouva l’orgasme qui la fit crier son plaisir. Les deux autres soumis, dessous et sur elle, avaient joui en même temps dans ses entrailles. Chacun était secoué de soubresauts à chaque spasme qui laissait passer une giclée de foutre gluant. Margot qui était loin de penser à ça, à se moment précis, avait été informée que tous les soumis et soumises étaient à jour de contrôle HIV et donc, n’avait rien à craindre de quiconque.
Une fois encore, Margot fut saisie et soulevée puis reposée sur le banc après que son enculeur se fut retiré. On l’installa le plus confortablement possible vu sa situation et sur un claquement de doigts, quatre ou cinq soumises et soumis se ruèrent sur elle afin de la lécher sur tout le corps. Tous ses orifices furent visités. Chaque parcelle de peau profita des langues mâles et femelles. Toute trace de spermes disparut en un instant. Mais ces caresses eurent pour effet de réveiller le démon dans le ventre de margot et elle eut un violent orgasme alors qu’un jet de cyprine arrosait celle qui était entre ses cuisses. Cette dernière, une fois le flot tari, dû recommencer son léchage ce que semble-t-il, elle fit avec délectation. Avec ce traitement, Margot qui n’avait encore jamais goûté aux femmes se dit qu’il faudrait qu’elle tente l’expérience. Celle-ci en tous cas lui plaisait beaucoup.
Elle fut ensuite détachée et elle put, doucement, récupérer l’usage de ses membres passablement ankylosés. « BHV » la prit aussitôt dans ses bras.
– Perle, ma princesse, tu as été formidable. Tu es belle quand on te baise. Tu es belle quand on t’encule. Tu es belle lorsque tu jouis. Je suis fier de toi. Tu m’as fait honneur ce soir et maintenant, ici, tous savent que j’ai encore la meilleure soumise. Viens, je t’emmène à la douche.
Margot resta un long moment sous le jet bienfaisant. Bien que très souple, quelques douleurs persistaient compte tenu de la position qu’on lui avait fait prendre. Ce n’était pas une position inconnue pour elle mais jamais si longtemps. Sa chatte et sa rondelle étaient encore un peu sensibles mais tout ça l’avait plutôt mise en appétit et une fois ragaillardie elle se dit qu’elle remettrait bien le couvert. Les mains enduites de gel douche elle se massa les lèvres vaginales et son petit trou du cul malmené il y a peu ainsi que sa poitrine dont les tétons durcissaient déjà.
« BHV » la récupéra à la sortie des sanitaires et l’entraîna de nouveau vers le centre de la pièce où la petite foule était toujours amassée. On y voyait deux soumis pénétrer une soumise debout entre eux deux. La soumise avait les poignets reliés à une chaine qui pendait du plafond. Le soumis qui était devant était plutôt petit et alors qu’il la baisait son nez se perdait entre deux énormes nibards. En même temps, armée de cravaches, leurs deux maîtresses s’appliquaient à leurs zébrer les fesses en les encourageant à bien fourrer cette petite chienne.
« BHV » Reprit Margot par la main et l’emmena un tout petit peu plus loin. Il lui fit remarquer un carcan comme celui qu’elle avait déjà testé au château. Avait-elle compris ou pensait-elle que c’était juste pour voir, toujours est-il qu’elle se positionna et son Maître referma sur son cou et ses mains la partie supérieure de l’engin.
– Perle, j’ai fait ton éloge de bonne suceuse auprès de mes amis, alors ne me déçois pas.
A suivre….
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