en cage 03
J’ai pas tenu en place les deux jours avant de partir, je préparais mon sac, enlevant puis remettant des affaires, puis les enlevant de nouveau. Il est passé me chercher à pied le vendredi soir et après les dernières recommandations de ma mère, on est allé jusqu’à la gare. Benjamin avait tout prévu et on était à l’heure pour le train. Ses parents lui laissait vraiment pas mal de liberté et il avait de l’argent. On s’est installé dans un wagon-lit en première avec deux couchettes et un petit lavabo dans une petite salle d’eau.
— Mets-toi à l’aise, le contrôleur ne passe pas de suite.
Il avait pas tiré le rideau et j’étais gêné mais pour lui j’étais prêt à tout et je me suis déshabillé, à moitié assis pour pas quand même être vu du quai. J’ai levé les cuisses pour virer mon jean, j’avais mis un tanga comme il aimait, ça me faisait de longues cuisses jusqu’à la ceinture et il m’a dit de l’enlever aussi. Ça me faisait drôle d’être nu comme ça dans un wagon. Il m’a caressé les fesses, le sexe, m’a embrassé. J’étais comme une chienne en chaleur!
— Allonge-toi sur le ventre sur la couchette! Relève le bassin, montre bien ta fente de mec!
Il passait les doigts entre mes fesses, me faisait lécher ses doigts et les repassait sur ma rondelle. Il me rendait fou d’envie de bite. Son, puis ses deux doigts allaient et venaient dans mon trou bien salivé. Je me retenais de pas crier de plaisir, je mordais l’oreiller. Il y a eu une secousse et le train a commencé à rouler. Il m’a fait relever la tête. Je voyais des gens sur le quai qui me suivaient des yeux sans savoir que Benjamin me doigtait le cul. Puis ça a été la banlieue et la campagne assez vite. J’ai eu un sursaut, on tapait à la porte du compartiment. Benjamin m’a mis un drap sur les fesses et a ouvert. C’était le contrôleur qui a vérifié les billets et a demandé combien de temps avant l’arrivée il devait nous réveiller. Il est sorti et Ben a verrouillé la porte. Il a viré le drap.
— On a toute la semaine mais toi tu vas commencer à t’habituer à être nu à disposition, les fesses prêtes pour un coup de bite! Donc tu dors comme ça, cuisses écartées et le bassin relevé.
Il a mis un deuxième coussin sous mon ventre et s’est foutu à poil.
— Lèche-moi la queue et les couilles, montre-toi femelle.
J’ai obéi et même quand il s’est tourné pour se faire lécher les fesses, j’ai léché.
— Comprends bien Julien qu’il n’y a rien de sale dans l’amour.
Il a souri en me matant.
—Surtout pour une petite salope comme tu vas devenir je crois. Pousse-toi un peu, tu m’offriras le trou que je veux quand je voudrais. Tu dois toujours te sentir en attente de bite.
Il s’est couché sur moi, m’a pénétré bien à fond. Donnant de bons coups de reins pour aller le plus loin qu’il pouvait dans mon cul. J’étais cramponné au fond de la couchette, gémissant de plaisir sous ses poussées. Il est resté dans mes fesses en me tournant sur le côté.
— J’ai envie de m’endormir comme ça dans ton cul! Dors si tu peux.
J’ai plus bougé, je sentais mon trou ouvert par sa queue, j’étais bien. Dans son sommeil il bandait et débandait régulièrement, j’évitais de le réveiller. Il avait besoin de repos. Une fois il est sorti de mon cul pour que je le suce mais sans jouir et s’est renfilé en moi. C’est le contrôleur, en frappant à la porte, qui nous a réveillé.
— C’est l’heure que vous aviez indiqué.
J’ai crié un « oui, ok. Merci. » Benjamin a grogné et s’est étiré.
— On a juste le temps, ce soir je t’apprendrais mais cette fois je vais pisser dans les toilettes.
Il s’est levé, bandait encore, a pissé.
— T’as mis quoi dans ton sac comme short de sport?
— J’en ai pas emmené puisque t’as dit qu’on serait à poil. J’ai juste un jogging si il fait pas chaud.
— Mets-le sans slip et range le reste dans le sac.
Le train ralentissait. On est sorti dans le couloir. Il y avait 5 autres personnes qui attendaient l’arrêt. Un mec fumait dans le couloir et il s’est pas trop écarté pour me laisser passer, j’ai senti sa main sur mon jogging en passant et il m’a souri après. Pour Benjamin il s’est plus écarté, et on est descendu sur le quai.
— Prends aussi mon sac, faut que je téléphone qu’on vienne nous chercher. Pars devant sur la place de la gare.
Il faisait chaud et on aurait pu se croire en été. 22° et il n’était que 8 heures!
— Ça va il est au café. Le voila.
Un mec de 22 à 25 ans est sorti du café d’en face, en bermuda, baskets et débardeur large, grand sourire.
— Salut Ben! Ça fait une paye que je t’ai pas vu. T’es tout seul?
— Tu rigoles! Voila Julien et Julien, voila Eric le plus proche voisin qui va nous emmener à la maison.
Je lui ai serré la main, il l’a gardée un moment en souriant à Benjamin.
— C’est lui ta crevette?
Benjamin s’est marré.
— Oui! T’as l’œil pour les repérer.
J’ai piqué un fard.
— Bon on traîne pas, je vous lâche au bout du chemin. Julien t’as qu’à monter derrière. Y a pas de ceinture, ma tire est vieille, mets-toi au milieu que je te voie en roulant.
Il roulait vite vers l’arrière pays et on a vite été dans une vallée isolée. Il s’est arrêté à coté d’un pont.
— Terminus les mecs, le chemin part à coté de l’eau. Julien tu peux te foutre à poil maintenant et laisser tes fringues dans ton sac, tu trouveras tout ce qu’il te faut là-bas.
J’étais descendu et j’ai vu au regard de Ben qu’Eric plaisantait pas. Lui même a commencé à se foutre à poil, plus beau encore au soleil que chez lui dans sa piaule. Je me suis déshabillé sous les yeux d’Eric qui ne perdait rien à bien me détailler.
— Il sera pas mal quand tu l’auras épilé. J’aime bien sa petite queue fine bandée et recouverte de sa peau. Ça va être un régal!
J’ai sursauté, tentant de comprendre, mais bon j’étais nu, dans un coin isolé et je pouvais pas crier ou aller chez les flics!
— Ben t’as un peu grandit et ta queue s’est développée comme tes couilles! Montre moi ton petit cul que j’adore.
Ben a rigolé et s’est penché en écartant les fesses.
— Toi c’est ta bite qui m’a manquée! Mais je suppose que je la verrais de prés dans peu de temps. Aller Julien. Vient par là.
Il m’a chopé par le poignet et m’a entraîné dans le chemin, on a entendu la tire d’Eric repartir. Quelle sensation d’être nu dehors comme ça. Avancer la queue à l’air et sentir l’air sur et entre les fesses nues!
— Tu l’avais pas dit pour Eric? Je croyais qu’on serait seuls!
— Et alors je ne dis jamais tout, sinon tu serais sûrement pas venu!
— Soit pas si sûr! Je t’ai dit que j’avais envie de tout découvrir avec toi.
— Ça pour découvrir, tu vas découvrir! Déjà entendu parler de soumission?
— Parlé et vu sur le net, oui. Y a des trucs bandants, d’autres moins.
En parlant on avait avancé et on est arrivé par derrière une maison isolée avec un balcon devant donnant sur toute la vallée. Au loin on voyait même la mer.
— T’imagines? Si quelqu’un mate par là, on nous voit à poil mais faudrait un télescope! Je vois qu’Eric a préparé les chaises longues! Allonges toi, je vais passer à l’épilation de ton ventre. Reste là et je reviens.
Il est revenu avec un rasoir à piles et un tube de crème. Il a commencé par passer le rasoir d’entre mes cuisses jusqu’à au dessus de ma queue, la manipulant pour passer la tondeuse du rasoir puis il a mis de la crème là où j’avais eu des poils.
— Bouge pas pendant 10 minutes même si ça brûle un peu.
J’avais la vue sous les yeux et j’ai pas vu le temps passer. Il était parti dans la maison. Il est revenu avec une éponge humide qu’il a passée sur la crème, laissant mon ventre lisse comme celui d’un bébé.
— Tends-moi ton cou!
J’avais pas vu mais il avait à la main un collier de clebs en cuir noir clouté qu’il m’a passé au cou et attaché au bout par un cadenas. Il a attaché une chaîne qui traînait par terre au collier. Je l’ai suivie des yeux, elle était reliée au mur par un anneau.
— Mets tes mains dans le dos!
Il les a réunies par les poignets avec des menottes en cuir et un cadenas.
— Bien! Tu commences a comprendre le mot soumission?
J’ai souri , ma queue était raide et j’avais le ventre qui me brûlait un peu.
— Je vais me préparer et on sera prêt quand ils vont arriver. Tu peux bouger et te lever mais pas aller très loin avec la chaîne.
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