Je prenais un verre à la terrasse d’un café et j’étais plongé dans les comptes rendus du foot du dernier week-end quand deux filles se sont assises à la table à côté de la mienne. Elles n’avaient pas beaucoup le choix car c’était achalandé. Je les ai regarder s’installer puis je suis retourné à ma lecture.
– Ça te plaît le boulot que t’as trouvé, a demandé la rousse à la blonde ?
– C’est pas vraiment ce que j’avais espéré, lui a répondu l’autre fille !
– Ça ne te plaît pas de faire le mannequin ?
– Je t’ai menti, lui a répondu sa copine ! J’ai l’impression de faire la pute !
– Comment ça ?
Elles se sont mises à parler plus bas et j’ai dû me concentrer pour comprendre ce qu’elles se disaient.
– C’est que…
La fille s’est interrompue parce que le serveur venait pendre leur commande.
– C’est que je dois faire des trucs, a poursuivi la blonde !
– Quels trucs ?
– Je croyais que c’était juste pour discuter avec des mecs… Ils m’ont menacé de me virer si je ne fais pas ce qu’on me demande ! On me paie pour que je me mette à poil ! En plus je dois me mettre un truc dans le vagin, a ajouté la fille !
– Pourquoi, lui a demandé sa copine ?
– Pour voir mes réactions, parce que ça les excite !
– C’est horrible ! Ça paye, au moins ?
– Oui, ça paye mais c’est dégoûtant !
– C’est un site de cul ? C’est ça ? Tu vas t’habituer ! Tu veux que je vienne avec toi ?
– Pour faire la gouine ? Ça va, merci ! Il y a déjà des femmes qui me draguent ! En plus je ne dois pas leur donner de renseignements précis comme la ville où je suis ! T’es gentille et j’aime bien faire l’amour avec toi, mais le faire devant ces voyeurs !
– Ça ne me gêne pas ! On leur montrera qu’on prend du plaisir quand on se lèche !
La blonde s’est levée de sa chaise en disant à son amie qu’elle doit aller aux toilettes. Je l’ai regardée s’éloigner du coin de l’œil. J’ai eu l’impression que la brune me fixait. Il fallait que je lui parle.
– Vous avez besoin de quelque chose ? Cendrier ?
La fille m’a souri.
– Vous avez écouté ce qu’on se disait, m’a-t-elle demandé ?
Je me suis demandé si je devais être honnête. J’ai coupé la poire en deux :
– Un peu…
– C’est dégueulasse que les fétudianteses soient obligées de faire des boulots comme ça parce qu’il n’y a pas de bourses et de travail.
– D’un autre côté, les mecs qui vous regardent ont des bourses… pleines !
J’ai eu honte de lui avoir dit ça. Son amie est revenu et j’ai compris qu’elles parlaient de moi. Elle a approché sa chaise de ma table.
– Si vous voulez me voir, allez sur Chaturbaine et demandez Amira !
Elle s’est levée de sa chaise.
– Et donnez-moi des jetons pour ma performance !
Je n’étais jamais allé sur ce genre de site mais j’ai noté ce que la fille m’avait dit et une fois de retour au bureau, je me suis branché sur le lite et j’ai cherché le nom de la fille mais je n’ai rien trouvé.
– Alors, on regarde des sites de cul, m’a demandé ma chef en entrant dans le bureau sans frapper ?
J’ai fermé mon ordi.
– Tiens, c’est pour toi, a ajouté ma chef ! Tu ne trouveras jamais de filles d’ici sur ces sites ! C’est filtré ! Utilise un proxy !
J’étais un vieux de la vieille. Je tapais ce que je cherchais et ça marchait ou ça marchait pas. Un peu plus tard, j’ai demandé à un technicien de la boîte de m’expliquer cette histoire de proxy. J’ai pris des notes même si je n’avais rien compris. De retour chez moi, je suis retourné sur le site et j’ai regardé ce à quoi j’avais droit. Je n’en revenais pas. Des filles de dix-huit ans, si jolie, jamais je n’aurais imaginé que ça puisse exister. Et puis il y avait toutes ces filles avec des tatouages, à croire que leur vie en dépendait. Il y en avait qui en avait les bras couverts puis je me suis aperçu que j’avais la bite à l’air et que je me branlais.
J’allais aller me coucher quand j’ai pensé à regarder sur Internet s’il y avait une page qui expliquait l’histoire des proxy et j’ai trouvé une méthode pas à pas pour faire croire aux machines qu’on est à un autre endroit. Après ça, je me suis rebranché et j’ai cherché Amira et là, je l’ai trouvée mais elle ne travaillait pas. Me prévenir quand elle sera là. J’ai cliqué. Le soir suivant, j’avais un message disant qu’elle était en place et je suis allé la voir. Pas de doute, c’était bien la blonde du café. J’ai regardé son CV et je me suis branché avec elle. J’ai commencé par des questions anonymes. Elle répondait. Sans doute parce qu’elle n’avait pas vraiment de clients. Seuls deux clampins dont moi, discutaient avec elle.
Petit à petit, j’ai fait monter la vapeur. Au moins, j’avais l’impression que les cours d’anglais que j’avais pris me servaient à quelque chose parce que la fille avait mis qu’elle parlait anglais. Je ne voulais pas être trop rapide. Elle a fini par me prendre en ami et j’ai pu augmenter la pression de mes questions et lui parler ouvertement de sexe, mais comment savoir si ces filles disent la vérité.
Elle a fini par me dire qu’elle aime le sexe, se masturber et se faire prendre par tous ses trous. Elle a fini par me dire qu’elle aime faire un fireman. Je lui ai demandé ce que c’est et elle a traduit par blowjob. C’est vrai qu’un pompier, c’est un fireman en anglais. J’ai ajouté que si elle aime tant la sodomie, je veux l’enculer. Elle s’était localisée à Berlin et elle m’a dit que c’est pas possible que je vienne. Je lui ai répondu que c’est elle qui viendra parce que je lui paie le voyage et c’est elle qui m’a piégé parce que j’ai dû dire le nom de la ville où j’habite. Qu’allait-il se passer ?
Je lui ai demandé ce qu’on fait. Elle m’a demandé si j’ai un de ces programmes qui permet à tous de se brancher pour s’admirer le nombril, un réseau social. Je lui ai donné le numéro de mon portable. Un quart d’heure plus tard, elle a disparu de l’écran puis mon téléphone s’est mis à sonner. Sur le réseau, c’était elle qui m’écrivait et elle s’excusait de m’avoir menti parce que c’est dans son contrat. Elle a ajouté que j’ai été honnête et qu’elle veut bien me rencontrer. Puis elle m’a demandé de lui envoyer une photo. Je lui ai répondu que ce n’est pas nécessaire parce que l’avant-veille, elle était dans le bar où j’étais, avec une fille brune. Elle s’est exclamée que c’est extraordinaire. Je lui ai donné rendez-vous.
Elle avait l’air toute timide et elle a commencé par me dire qu’elle n’est pas comme elle l’a dit sur le site, qu’elle n’est pas sex-addict, qu’elle ne se fait pas prendre dans tous ses trous, qu’elle ne suce pas des bites et ainsi de suite. Je lui ai répondu que ce n’est pas grave parce que je lui apprendrais tout ça. On avait dix ans de différence mais ça n’avait plus d’importance. Je l’ai emmenée dîner dans un grand restaurant. Ça m’a coût un œil mais je me suis dit que c’est un investissement. Après, elle m’a demandé ce qu’on fait.
– Tu travailles à quelle heure ?
– Pas ce soir, mais demain de huit heures du soir jusqu’à huit heures du matin !
– Viens ! J’ai envie de toi !
Elle a rougi. Je me suis rendu compte que pas un instant, je n’avais songé à lui demander son prénom. Je lui avais pourtant donné le mien. Je l’ai emmenée chez moi. Elle m’a demandé si je vais faire tout ce qu’elle avait dit sur le site. Je lui ai promis et elle a encore rougi puis je l’ai prise en bouche et je vous jure que c’était moi qui étais à la manœuvre et pas elle puis je l’ai prise dans la chatte. Je jouais aussi avec ses jolis seins. Au bout d’une heure, je l’ai retournée et j’ai écarté ses fesses avec mes pouces et je l’ai enculée.
– Oh !
Elle s’est mise à gémir et à me réclamer de lui toucher la poitrine. Ses gémissements se sont faits de plus en plus faibles. Mon piston allait et venait dans son anus. Elle a fini par passer la main sous son ventre pour se masturber. Elle a fini par jouir et j’ai terminé mon travail dans son anus. Après, je suis resté collé à ses fesses. J’en ai profité pour lui caresser les seins.
– C’est ça que tu aimes !
– Oui, m’a répondu la fille !
– Je te promets que tu y auras droit chaque fois que tu me le demandera !
On a fini la nuit ensemble. On a encore baisé le lendemain matin puis elle est retournée chez elle. J’ai assisté à ses show même si ça m’a coûté de l’argent puis elle est revenue chez moi et cette fois elle était venue avec sa copine brune. Quand j’ai suggéré qu’on baise tous les trois, ça a jeté un froid mais sa copine a fini par accepter et je les ai baisées toutes les deux.
Je me suis rendu compte que je préférais la brune. Elle avait de vrais obus et un joli cul. En plus, elle semblait plus intelligente. Je l’ai draguée jusqu’à ce qu’elle accepte ma proposition et j’ai vécu plus d’un an avec elle. C’était un bon coup. Sauf que pour la sodomie, je pouvais repasser et je n’ai pas su pourquoi elle m’a quitté. Un jour, son téléphone n’a plus répondu. Celui de la blonde non plus. Je suis passé à autre chose.
Ajouter un commentaire