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Photocopie surprise

Photocopie surprise



Je suis une accro du sexe. En disant cela, je crois que j’ai tout dit à mon sujet. Et folle de sexe c’est encore gentil pour ce qui me concerne. J’aime être soumise, forcée et comme mes formes attire facilement les mâle, je n’ai pas de mal à finaliser mes nombreux fantasmes. Vue m’a libido excessive, je suis victime souvent de railleries et des plaisanteries de mauvais goût. Mais ça ne me gêne pas bien au contraire. Je vous passe les «Deux qui la tiennent, trois qui la baise…..Michèle pompeuse de nœuds…..Y a qu’l’train qu’est pas passé d’ssus….etc…. »
En soirée ou à n’importe qu’elle occasion, il y a toujours un petit vicelard pour me mettre la main au cul ou orienter la conversation sur le sexe et me brancher cul. Ca plane rarement très haut et ça me fait mouiller. Me connaissant, les mecs ne se prive pas pour se défouler verbalement voir parfois aller plus loin. Les bruits sur mes mœurs ne courent pas ils galopent. I C’est vrai que je n’ai pas de tabou et que je m’abandonne ou dans les bras de vieux messieurs, ou dans ceux de femmes ou d’hommes dominateurs. Ils savent que je suis accessible en toutes circonstances et que tout mes orifices sont disponible à qui veut bien s’en occuper.
L’autre jour, j’ai remplacé ponctuellement la secrétaire de mon mari.
Je suis dans le local photocopie avec Greg qui patiente derrière moi que Ben ait terminé ses photocopies. En temps normal, ils auraient donné leurs photocopies à faire à la secrétaire mais là, ils profitaient de ma présence dans ce local exiguë et je sentais Greg qui me matait le cul sans se gêner. Pendant que les photocopies se font, ils engagent la conversation. De fil en aiguille, comme de bien entendu, la conversation dé**** sur le sexe. Ils me saoulent avec leurs allusions salaces et malgré tout je sens des fourmillements dans le bas de mon ventre. Greg me dit :
« Ton mari nous raconte pleins de trucs sur toi. Paraît-il que tu es une pompeuse hors pair ? »
Ben reprend :
« Oui et que tu es un garage à bite qui gueule comme un chienne quand de queue te défoncent ! »
Ces confidences saugrenue me font rougir et je peste contre mon mari à cet instant. Des images coquines me traversent l’esprit. Les deux hommes se collent un peu plus à moi au point que je sens une bosse entre mes fesses et que mes seins touche la poitrine de Greg.
Évidemment, la situation de promiscuité avec ces deux mâle ne peut avoir qu’une issue. La situation devient critique quand leurs mains commence à parcourir mes seins et mes fesses. Comme je ne me défends pas, ils continuent leurs investigations. Non seulement, je ne me défend pas, mais je je mets à mouiller et à gémir sous les caresses des collègues de mon mari. Mes mains ne restent pas inactivent et je palpe les bosses qui déforment leurs pantalon. En un rien de temps les deux petits monstres sortent de leurs cocons et je les masturbe allégrement. Greg et Ben sont aux anges de pouvoir disposer d’une telle salope que moi. Ce curieux manège dé**** rapidement. Greg verrouille la porte du local et pour le principe, d’un air d’oie blanche, qui je sais font craquer les mecs, je leurs dit :
« Mais… que faites-vous ? Vous n’allez pas me violer quand même ? Pensez à mon mari ? »
Là, ils me coincent contre la photocopieuse, Greg cherchant à me rouler une pelle. Je résiste pour la forme, n’ayant qu’une envie, les sucer et me faire mettre sur la machine. Pendant que Ben me fouille la chatte, Greg force ma bouche et je lui rends son baiser, nos deux langues jouant un ballet endiablé. Ses mains manipulent mes nichons brûlants. Bientôt, je me retrouve à poil entre ces deux mâle en ruts. Ils ne me laissent aucun répit. Leurs mains sont partout à la fois, leurs bouche me sucent le clito et mes aréoles durcis par l’excitation. Je veux leurs bites. Je veux les sucer et qu’ils me prennent. D’initiative, je me met à genoux et commence à les pomper à tour de rôle.
Ils raillent en disant :
« Alain ne nous avaiy pas menti ! »
« T’a raison elle pompe comme une grosse salope ! »
Ils me soulèvent, m’assoient sur la photocopieuse et Greg d’une langue agile, investit ma chatte trempée et titille habilement mon petit bouton d’amour. Je me rejette complètement en arrière en poussant des petits couinement de bête pendant que je masturbe Ben qui me maltraite divinement bien mes gros nibards. Je m’abandonne totalement à leurs désirs. M’agrippant les fesses, Greg pose son gland turgescent à l’entrée de mon vestibule chaud et accueillant et d’une poussé brutale, il s’enfonce jusqu’à la garde dans mon vagin. Profitant de mon abandon total, Ben grimpe sur la photocopieuse pour m’offrir sa queue. Je ne me fait pas prier pour la sucer avec gourmandise. Des spasmes de plaisir parcourent mon corps tandis qu’ils me pilonnent en profondeur. Mais Ben ne veut pas se contenter de ma bouche et dit à Greg :
« Parait-il qu’elle est accueillante du cul aussi ! J’vais l’essayer. »
Il sort de ma bouche, les deux hommes me manipule pour me mettre dans la bonne position pour le accueillir et me voilà en un rien de temps embrochée par ces deux belles bites. Je ne peux m’empêcher de crier lors de cette monstrueuse pénétration au risque d’ameuter toute l’entreprise. Ils n’ont pas besoin de demander, ils se servent de moi pour mon grand plaisir. Leurs dards me labourent copieusement le cul et le vagin et je n’arrête pas de gémir et couiner de plaisir à chaque foi qu’il sont au fond de moi.
« Putain qu’il est bon son cul ! »
Trop excités, les deux hommes ne vont pas tarder à jouir. Au dernier moment, près à exploser, ils sortent de mes foureaux et m’asperge le visage de leurs jus.
« Wahhooo quel pied ! Alain devrait l’embaucher plus souvent ! »
L’orgasme qui me submerge à cet instant, me met dans un état second. Je suis une vraie chiffe molle, anéantie par cette partie de baise surprise.
 Ils quittent le local me laissant dans cet état. Tout à coup, la porte s’ouvre et Alain me découvre nue, avachie au sol et couverte de sperme.
D’un air courroucé, il me dit :
« C’est pas comme ça que le travail va avancer. Les ragots sur toi vont aller bon train salope ! »
Il ferme la porte et sort sa verge en me disant :
« Puisque tu es dans de bonnes dispositions, suce-moi ! Après j’te défoncerai l’cul ! »
Toujours avec passion et toujours avec cette jouissance bestiale qui me ravit. Je le suce et il me défonce ensuite le cul. En moins de cinq minute, il se déverse dans mon intestin. En ressortant, il mze donne une grande claque au cul et me dit :
« Ouste au taf maintenant ! »
Et il ressort de la pièce me laissant me rhabiller seul et encore toute chose de ce qui vient de se passer.

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