Chapitre 2 : Le maître
Hier, j’ai découvert que Charlotte, la fille dont je suis amoureux depuis maintenant un an, est-ce qu’elle appelle une « soumise ». Cette petite étudiante brune au teint pâle et aux longs cheveux noirs est loin d’être aussi innocente et prude que je le croyais. Elle m’a avoué qu’elle recherchait un « maitre », un homme capable de la dominer et de l’utiliser comme un objet pour sa propre satisfaction. J’ai été choqué lorsque je l’ai appris, mais contrairement à ce qu’elle avait craint, cela ne m’a pas fait peur ni ne m’a fait fuir. Je l’aime et je la veux ; et c’est pour le lui prouver que je l’ai invitée chez moi ce soir, à vingt heures. Non pas pour discuter ou pour une soirée romantique, mais pour la baiser bestialement et la faire mienne à coup de queue.
Un an, un an que je fantasme sur elle, que je me branle en pensant à elle. Ça me rend malade de savoir que pendant tout ce temps, des inconnus ont pu profiter de son corps dans cette boite à partouse. Qu’ils ont pu connaitre ce bonheur et pas moi. Cette bande de salauds ne savent même pas la valeur de ce qu’ils ont souillé. Cette fille est tout simplement géniale.
C’est la journée la plus longue de ma vie. Je ne sais pas si elle viendra. Je ne lui ai pas donné l’occasion de me fournir une véritable réponse à mon invitation et je me suis comporté comme le dernier des connards. Je ne suis pas comme ça en général. Je suis du genre gentil et attentionné. Pas du genre à balancer à une fille « amène-toi ce soir pour que je te baise comme une salope ». Je suis pourtant très excité rien qu’à l’idée. Je n’ai pas arrêté de m’imaginer les choses perverses que je lui ferais. J’ai eu dû mal à me retenir de me branler toute la journée. Je n’en peux plus. Je n’ai jamais été aussi en manque.
Vingt heure dix. Elle est en retard, ou alors elle ne viendra pas. J’ai peur. Si elle ne se pointe pas, cela voudra dire qu’elle ne veut définitivement pas de moi. Je ne pense pas que je pourrais le supporter. Vingt heure vingt. Je stresse, je tourne en rond dans mon petit studio d’étudiant. Cela se présente mal. J’ai fini de lui trouver des excuses et commence à envisager le pire. Il faut bien que je me rende à l’évidence : c’est fichu, elle ne viendra pas, je me suis fait des films pour rien. Vingt heures vingt-trois. La sonnette retentit. Mon cœur bat la chamade. Est-ce elle ? Si c’est quelqu’un d’autre, je serais capable de lui défoncer la gueule tellement je serais écœuré. Je n’ose pas répondre à l’interphone, j’appuie sur le bouton pour ouvrir la porte du bâtiment. Une minute plus tard, on toque à ma porte. Je pose ma main sur la poignée, prenant une grande respiration. Si c’est elle, je vais devoir assurer. Sinon… peu importe qui c’est, qu’il se casse, je vais avoir besoin d’être seul.
J’ouvre. Mes yeux s’illuminent de bonheur. C’est elle ! C’est ma Charlotte ! Elle est venue ! Je n’arrive pas à y croire. Au fond, j’étais persuadé qu’elle ne viendra pas, je n’avais pas franchement beaucoup d’espoir. Après qu’elle m’ait repoussé deux fois, je lui ai « ordonné » de venir chez moi pour que je puisse la sauter comme un a****l. C’était difficile de croire que cette démarche fonctionnerait. Et pourtant, elle est là, devant moi. Elle sait ce qui l’attend. Mieux, elle est venue pour ça, c’est ce qu’il l’a convaincue. Je vais vraiment devoir assurer maintenant. Je me concentre pour me mettre dans mon rôle.
— Tu es en retard, lui fais-je sur un ton de reproche.
— Je suis désolée, je…
— Je ne veux pas savoir, lui fais-je sèchement en lui coupant la parole. Entre.
Je referme derrière elle. Charlotte… elle est si belle. Certes, elle n’a pas de poitrine et ne s’habille pas vraiment de façon sexy, mais même comme ça, moi, elle me fait bander au premier regard. Elle a l’air si timide, si innocente. Je suis une des rares personnes à savoir qui se cache réellement derrière cette apparence, j’ai hâte de voir son côté pervers refaire surface.
— Vingt minutes de retard, c’est inacceptable ! Tu sais combien je me suis inquiété ?! Je vais devoir te punir !
— Je suis sincèrement désolée, me fait-elle gênée. Je suis prête à accepter mon châtiment pour me faire pardonner, quel qu’il soit.
Elle ne déconnait pas. Je la sens vraiment soumise. Elle est vraiment venue pour ça. J’espère être à la hauteur, c’est ma première fois.
— Viens, lui fais-je d’un ton autoritaire.
Je m’assieds sur une chaise et lui dis :
— Tu mérites la fessée. Viens ! Vilaine !
Elle s’approche sans un mot et, comme une enfant se sachant coupable, se met en position. Elle se penche perpendiculairement à moi, le torse sur mes jambes et les fesses relevées. Je savoure cet instant, elle est à ma merci. Lentement, je lui caresse les cuisses. Je glisse une de mes mains sous sa jupe et l’écarte délicatement. Je n’en reviens pas : elle ne porte rien en dessous. Elle est venue la fouffe à l’air. Quelle cochonne ! Je lui malaxe sa chair tendre de son délicieux petit cul, puis je me rappelle pourquoi elle s’est retrouvée comme ça. Je lui donne une bonne claque pour la punir. Elle frémit dans mes bras. C’est incroyable, elle a aimé ça. Je lui en donne une seconde, même réaction. Je commence à me prendre au jeu.
— Quand je te demande à venir à une certaine heure, tu viens à l’heure. Je vais t’enseigner la ponctualité moi !
— Je suis désolée, se morfond-t-elle.
Je continue à lui gifler les fesses comme une gamine mal élevée. Elle en soupire de plaisir. Je suis véritablement en train découvrir ma Charlotte sous un nouveau jour, j’ai envie d’en voir plus. Distrait, je me mets à lui caresser son joli petit trou de cul. Je l’ai vu se faire défoncer par plusieurs mâles hier, j’ai hâte d’en profiter moi-aussi. Je lui enfonce un doigt pour tester sa réaction. Elle réagit positivement. Je ne rêve pas, l’anal est vraiment son truc. Comment ses ex ont été assez cons pour la laisser partir ? J’y enfonce un deuxième et joue avec son anus. Je suis comme un bébé découvrant un nouveau jouet ; elle me laisse la découvrir à mon aise. Je passe ma main sur sa chatte rasée. Mon dieu, ses lèvres sont gonflées d’excitation, je n’avais jamais vu ça. En la pénétrant de mon index, je remarque qu’elle mouille également très fort. C’est moi qui lui fais cet effet-là ? Bon sang, elle m’excite à mort.
Je titille ses deux orifices chacun à leur tour, parfois même en même temps. Je trouve ça amusant, mais au bout d’un moment, j’ai envie de passer aux choses sérieuses :
— Mets-toi à genoux devant moi, lui fais-je d’un ton autoritaire.
Elle m’obéit docilement. Je me relève et défait mon pantalon. J’en sors mon sexe déjà dressé d’impatience.
— Tu vas me sucer, jusqu’à ce que j’en jouisse ou que j’en ai assez. C’est clair ?
— Oui.
Je la gifle. Pas assez fort pour lui faire mal, mais assez pour la surprendre.
— Oui qui ?
Elle me fixe sans comprendre. Je vois qu’elle a besoin d’un peu d’aide :
— On dit « oui maitre » quand on est bien élevée. Alors, tu as compris ?
— Oui, maitre.
— Allez, suce.
Elle att**** ma bite d’une main et me prends en bouche sans tarder. Mon dieu, ça y est. C’est vraiment en train d’arriver. Je me fais sucer par la fille de mes rêves. C’est trop bon. C’est qu’elle ne fait pas semblant en plus, elle me pompe comme une vraie chienne. Elle doit aimer ça autant que moi, sinon plus. Elle se caresse la chatte tendant que ses lèvres coulissent le long de ma verge. Elle bave beaucoup pour me lubrifier. Combien de bites elle a déjà engloutie comme ça ? Je préfère ne pas savoir. Ce soir, elle n’est rien qu’à moi.
— Ouvre grand, je vais te baiser la bouche.
Elle s’exécute sans poser de questions. Je l’att**** par les cheveux et fais du va-et-vient comme si j’étais dans son vagin. Je me fige quelques instants au fond de sa gorge, puis je sors ma queue pour la laisser respirer. J’y suis allé un peu fort, elle a besoin de reprendre de bonne bouffée d’air, elle ne me demande pourtant pas d’arrêter quand j’y retourne une seconde fois. Au bout de la troisième, je la laisse faire à son rythme. Mon dieu, cette fille a vraiment une bouche faite pour la pipe. C’est une vraie déesse.
— Oooh, Charlotte, c’est vraiment trop bon. Continue, ma salope.
Elle gémit à travers ma bite en guise de réponse. Elle me fait du bien ainsi durant de longues minutes, elle bave tellement que des filets lui en tombe sur le menton. Elle sort ma queue de son gosier de temps en temps pour me lécher de tout le long et me montrer le travail de sa langue. Elle va jusqu’à jouer avec mes boules pendant qu’elle me branle. C’est le paradis, le septième ciel. On n’a jamais aussi bien pris soin de ma bite. Je la regarde d’en haut. Charlotte… Cela me fait des frissons de voir cette fille que je côtoie depuis un an et que je croyais prude avec ma queue dans la bouche. Je veux voir plus de son côté pervers, je veux la souiller.
— Lève-toi, et déshabille-toi, lui fais-je.
Elle se redresse et commence à enlever ses vêtements. D’abord, le bas, qui relève sa petite chatte glabre. Ensuite, le haut. Elle retire son pull, puis défait sa chemise à bouton. Elle ne porte pas de soutien-gorge en dessous. Ses délicieux tétons se dévoilent à mes yeux, minuscules avec de toutes petites aréoles. Elle n’a presque pas de seins, pas de quoi tenir dans la main. Elle est atrocement mince. Avec son visage d’ange, on dirait presque une gamine. Elle est belle, elle m’excite. Maintenant qu’elle est nue, je la veux plus que jamais.
— Mets-toi à quatre pattes sur le lit.
Vivant dans une chambre d’étudiant, il n’y a qu’une pièce. Deux si on compte la salle de bain avec les toilettes. Le lit n’est qu’à quelques mètres de là où nous sommes. En bonne soumise, elle s’installe comme je le lui ai demandé, se retenant par les avant-bras pour ne pas tomber en avant. Elle me donne une vue splendide sur son cul aux fesses bien rebondies. Je vais me régaler.
Je prends mon temps pour la rendre impatiente. Je me déshabille lentement, je vais chercher quelque chose dans un tiroir, puis que grimpe sur le matelas derrière elle. Elle ne se retourne pas, elle ne dit rien. Elle reste dans sa position à attendre que je veuille bien lui accorder de l’attention. Je savoure l’instant. Ma Charlotte, totalement offerte, prête à faire tout ce que je lui dis.
Je lui écarte les fesses et utilise le lubrifiant que je viens d’aller chercher. Je l’ai acheté ce matin uniquement pour cette occasion. Je n’ai jamais beaucoup pratiqué l’anal auparavant. J’en ai toujours rêvé, mais je n’ai eu qu’une seule ex qui a accepté d’essayer, et elle n’était pas super fan. Avec ce que j’ai vu hier, je sais que Charlotte est accro, alors je vais me gêner. Putain, je bande comme un âne. Je la prépare, elle gémit quand je la pénètre avec mes doigts. Elle brûle d’anticipation. Une fois que j’en ai terminé, je pointe mon dard vers ton petit trou, et m’y enfonce délicatement.
— Aaaah, oui, gémis-je.
Elle pousse avec moi un soupire de plaisir.
Je me loge bien au fond, j’attends de m’habituer un peu à la sensation, puis je démarre mon va-et-vient. Je ne suis pas doux, mais je ne suis pas brutal non plus. Mon rythme est net et régulier. Je lui dilate l’anus pour qu’elle se fasse à ma présence. Je fais monter notre plaisir à tous les deux. J’ai eu une soudaine envie de gicler quand je réalise ce que je suis en train de faire : je suis en train d’enculer Charlotte pour de vrai. L’a****l qui est en moi en avait toujours rêvé, mais je n’avais jamais cru que cela pourrait devenir une réalité. Je suis l’homme le plus heureux du monde. Je regarde ma bite disparaitre dans son fion, c’est magnifique. Je ne suis pas un monstre, mais je suis d’une bonne taille, et vu comment elle est petite, j’ai l’impression de creuser un cratère. Je me retire quelques secondes pour contempler son trou béant, puis je retourne en elle en la prenant plus fort.
Je perds les pédales, je deviens dingue. Je ne suis plus moi-même. Je la sodomise sauvagement tant elle m’excite comme un taré. Je ne suis pas un amant qui fait l’amour, je suis une bête qui a besoin de satisfaire ses besoins primaux et qui a besoin d’elle pour y arriver. Je me sers d’elle comme un jouet, mon trou à bite. Je n’avais jamais été un dominant avant, mais en la voyant se laisser faire passivement, je me laisse facilement prendre au jeu. Elle veut qu’on l’utilise, alors je l’utilise. Ça m’excite à mort, même si je me sens un peu coupable : je n’ai pas l’habitude d’agir comme un salaud comme ça. Est-ce qu’elle prend son pied au moins ? C’est important pour moi. Ce jeu n’est amusant que si on en profite ensemble. Je doute, me sentant mal, je lui demande pour me rassurer :
— Tu aimes, salope ? C’est ça que tu voulais, hein ?
— Oh, oui, maître, j’adore ! Pitié, baisez-moi.
Je frémis. Elle m’a appelé « maître » spontanément. Ai-je déjà mérité ce titre, ou suis-je en période d’essai ? Il y a un tas de choses qui me passent par la tête, je ne peux pas garder tout ça pour moi :
— Putain, Charlotte, je te veux. Je veux te posséder avec ma bite, te conquérir. Je veux que tu m’appartiennes, que tu sois MA Charlotte rien qu’à moi. Je t’utiliserais tous les jours, je te baiserais par tous les trous, je me viderais les couilles sur et en toi.
— Maiiiiiitre, crie-t-elle, comme pour réaffirmer mon statut.
Je lui donne une bonne gifle sur les fesses en continuant de la ravager.
— Je sauterais tout le temps comme la chienne que tu es et je te ferais jouir. Je prendrais soin de toi. Tu seras l’esclave la plus heureuse du monde, nourrie à l’amour et au sperme.
— Ouiii, maiiitre, haaaaa !
Je n’en reviens pas. Elle jouit, elle jouit pour de vrai. C’est la première fois que je vois une fille jouir par le cul. Mes mots semblent l’avoir achevée. Elle est incroyable. Je ne m’arrête pas. Je n’arrive pas à m’arrêter. Je continue de la bourrer pendant qu’elle est perdue dans son plaisir. Elle ne cesse de crier son orgasme qui n’en finit pas. Elle est entrée dans un état second, comme hier lorsqu’elle était entourée de bites.
— Encore ! Encore ! geint-elle.
Je lui donne une nouvelle fessée et lui défonce l’anus. Je n’avais jamais baisé un cul comme ça. Je suis en train de devenir accro, surtout sachant que c’est le sien. Elle avait raison, c’est tellement bon de se laisser aller à ses instincts bestiaux. Je suis un autre homme. J’ai besoin de la dominer tant qu’elle a besoin d’être soumise.
Je la tire par les cheveux pour l’empaler sur mon chibre. Elle commence à gueuler un peu trop fort à mon gout, elle va finir par alerter tous mes voisins. Je la redresse contre mon torse et met ma main devant sa bouche pour atténuer ses sons.
— Tu vas la fermer, oui ? lui fais-je.
Mais cela n’a aucun effet, elle continue de beugler à travers mes doigts. Le mal est déjà fait de toute façon. Je crois que tout le monde doit être au courant que je suis en train de défoncer une grosse chienne dans mon studio. En fait, cela ne me dérange pas tant que ça, que du contraire, tant qu’on ne m’interrompt pas quand je m’amuse avec mon jouet.
Maintenant que j’ai son corps chaud tout contre moi, je ne résiste pas à l’envie de lui embrasser le cou et de la caresser. Mes mains touchent ses seins pour la première fois. Je lui pince ses magnifiques petits tétons. Je descends plus bas et enfonce deux doigts dans sa chatte. Putain, mais elle mouille vraiment comme une dingue, c’est une véritable fuite d’eau là-dessous, faut appeler un plombier. Son propre jus coule le long de ses cuisses. Je ne pensais pas qu’un vagin pouvait autant dégouliner alors qu’elle est prise par le cul. Je le lui fouille pendant que je stimule son bouton d’or avec mon pouce. Elle jouit à nouveau en criant comme une folle. Je n’en crois pas mes yeux. Je pensais que ces histoires de filles pouvant enchainer les orgasmes presque simultanément étaient une légende. Je veux en voir plus, beaucoup plus.
Je lui donne mes doigts à sucer pour la faire taire. Elle me goute avidement.
— Allez, bois ton jus et ferme-là, sale chienne.
Je la serre tout contre moi en lui donnant de puissant coup de reins. Je veux qu’elle sente combien je la veux. Elle, et elle seule. Je veux qu’elle sache combien elle m’excite.
— Hmm, Charlotte, je t’aime ma petite salope.
— Ooh, maître, faites de moi votre pute.
Je la jette voilement contre le lit et lui donne une fessée. Je la prends par les hanches et me remet à la limer comme une brute. Elle a le torse écrasé contre le matelas.
— Ooh, ma petite pute, comme c’est bon de te défoncer le cul.
— Oooh oui, maître. Pitié, défoncez-le, je vous en prie. Il est à vous ! Encore !
Elle me rend vraiment dingue !
Je sors de son conduit et la retourne. Je veux la voir de face. Instinctivement, elle relève les jambes sur ses épaules et cale ses bras en dessous de ses genoux pour me présenter ses orifices comme une esclave docile. Elle n’a vraiment aucune pudeur ni limite. Je suis fier que ce soit moi qui l’ai mise dans cet état et que c’est pour moi qu’elle soit aussi soumise. Elle qui ne voulait pas de moi car j’étais « trop gentil ». Putain, rien que d’y penser, je vais lui montrer, moi !
Sa chatte baveuse et anormalement gonflée me supplie de la prendre, mais c’est son cul que je veux ce soir. Je m’y insère à nouveau et la bourre comme un a****l. Je veux que demain, tous nos amis comprennent ce qu’elle a fait ce soir en la voyant boiter. Et lorsque je l’embrasserais devant tout le monde, qu’ils comprennent que c’est moi qui l’ai enculée comme une chienne.
— Oh maiiiiitre ! Oui ! Oui ! Encore ! Encore ! crie-t-elle. Baisez-moi ! Baisez-moi ! Pitié ! Ne vous arrêtez pas, je vous en suppliiiiiiiiiiiiiie !
Mais ce n’est pas vrai, elle jouit encore. Cette fille est une machine à jouir.
— Oh ça oui, je vais te baiser, salope. Je suis loin d’en avoir fini avec toi. Je vais tellement t’user que tu ne saurais plus où tu es.
— Oh oui ! Oui !
— Quand j’en aurais terminé, tu ne seras plus qu’une vieille loque incapable de bouger toute maculée de sperme !
— Oh oui ! Je suis votre décharge à foutre, maitre !
Bordel, mais ce n’est pas possible de demander de se faire sauter à un tel niveau. C’est comme si elle avait un grain. Je commence à comprendre ce qu’elle voulait dire quand elle racontait qu’elle avait fait peur à certain de ses ex. Elle est complètement malade, mais je l’aime comme ça. Ma Charlotte. Je comprends qu’elle ait du mal à trouver des hommes pour la satisfaire : tout le monde n’est pas capable de se lâcher comme ça sexuellement. Moi-même, je ne pensais pas pouvoir, mais elle me rend tellement dingue, c’est la première fois que je ressens ça pour quelqu’un.
— Tu es mon trou à bite, maintenant. Tu m’appartiens ! Compris ?!
— Oui
— Oui qui ! fais-je en la giflant.
— Oui maître.
— Tu es à moi, rien qu’à moi. Personne d’autre n’aura le droit de te toucher sans mon autorisation. Tu es ma chose, mon jouet, ma poupée gonflable, mon vide couille perso.
— Oui maître. Où vous voulez, quand vous voulez, par n’importe quel trou. Utilisez-moi !
Sa pose est vraiment trop bande. Les jambes retenues à l’air comme ça, pour s’offrir comme un objet. Je l’att**** par les cuisses et les presses contre son torse pour que son cul se relève encore un peu. Je l’encule jusqu’au raz des couilles. On entend le claquement à chacun de mes allers-retours. Je la fourre brutalement sans me soucier d’elle. De toute façon, je sais qu’elle n’arrête pas de jouir, alors je n’ai pas à m’en faire. Je suis son maitre qui prend ce qu’il veut.
Au bout d’un moment, je lui écarte les jambes. Elle lâche sa propre prise. Je me penche vers elle pour l’embrasser. Elle me rend un chaud baiser avec la langue ; passionné, affamé. Ma bouche a faim de ses seins. Ils sont peut-être minuscules, mais ils m’excitent. Je lui suce les tétons puis les lui mordille. Je les tire avec mes dents. Elle gémit bruyamment. Quand je commence à m’en lasser, je m’allonge sur le lit et lui ordonne :
— Viens, viens me chevaucher de dos. Empale-toi sur ma queue.
— Par quel trou ?
— À ton avis, pauvre conne ?!
Elle se met en place dos à moi et descend lentement en me faisant entrer dans son cul.
— Allez, remue, sale pute, fais-je lui donnant une fessée. Montre-moi combien tu veux ma bite.
— Je la veux, maître.
— Alors montre-moi !
Elle bondit sur ma bite comme une chienne en manque. Je grogne de bonheur. Elle est en transe, elle me veut dans son cul. Je ne pensais pas qu’une femme puisse autant aimer avoir un gros chibre dans l’anus. Elle a peut-être vraiment un grain, mais mon dieu, bordel, surtout, qu’elle ne se soigne pas !
Je passe une main sur sa chatte et lui caresse les lèvres gonflées. Je la laisse languir un instant avant de m’attaquer à son clitoris.
— Oh oui ! Oui ! Oui ! Oui ! crie-t-elle.
— Tu aimes, salope ?
— Ouiiiiiiii !
Plus je continue, plus ses mouvements deviennent erratiques, désordonnés. Sa cadence ralentit.
— Hey, ne t’arrête, c’est clair ?! Je ne t’ai pas dit d’y aller moins vite !
— Aaaaaaaah !
— Qu’est ce qui t’arrive ? Tu vas jouir, encore ?
— Ouiiiiiiiii !
— Tu es sûre que tu l’as bien mérité ?!
— Pitié, maître, ouiiii ! Laissez-moi jouir, je l’ai bien mérité, j’ai été très sage !
— Je n’en suis pas convaincu. Tu veux qu’on parle de ton retard ?
— Pitié ! Je ferais tout ce que vous voudrez !
— Vraiment tout ?
— Ouiii !
— Alors d’accord, tu peux jouir.
— Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Et là revoilà emporter par un nouvel orgasme. Elle en a eu combien depuis le début ? Je n’en reviens pas. Je ne sais plus depuis combien de temps on baise, j’ai perdu la notion du temps, mais cela devient vraiment difficile de me retenir. J’ai bien envie de la rejoindre. J’essaie de jouer les mâles super endurant, mais bordel, j’ai trop besoin de me soulager. J’ai un trop plein de sperme qui ne demande qu’à sortir.
Elle n’en peut plus, je le sens. Elle est complètement sonnée, elle n’arrive plus à remuer du bassin. Si elle croit que je vais la laisser récupérer, elle se trompe. Je pose mes mains sur ses hanches et lui donne moi-même des coups de bite. Elle crie de nouveau alors qu’elle venait à peine de s’arrêter. Mes voisins doivent en avoir marre de l’entendre, je suis étonné que personne ne soit pas déjà venu toquer à ma porte. À moins qu’elle fasse tellement de bruit que je n’ai rien entendu. C’est ça, ou ils se branlent en imaginant être à ma place. En tout cas, je crois que je suis en train de me forger une nouvelle réputation dans mon bâtiment.
Je lui ramone l’anus de toutes mes forces. Elle beugle comme une chienne qu’on égorge à me suppliant de continuer. Je m’essouffle tant il m’est difficile de soutenir le rythme. J’ai juste trop faim de son cul.
— Aaaaaaaaaaah !
— Prends, ma pute ! Prends ! Espèce de salope ! T’aime ça, hein ?
— Ouiiiiiii !
J’ai l’impression qu’elle n’a pas cessé de jouir depuis tout à l’heure. C’est vraiment possible un orgasme aussi long ? J’arrête mes coups de queue que quand je ne trouve plus l’énergie de continuer. Elle a enfin un moment de répits et commence à s’apaiser. Elle s’écroule sur moi. Son souffle est court, ses yeux sont à moitié clos. On dirait qu’elle va s’évanouir. Elle a peut-être eu son compte, mais pas moi. J’ai besoin de me finir. Je ne lui laisse pas le temps de récupérer que lui ordonne :
— Descends du lit et mets-toi à genoux.
Elle s’exécute mais trop lentement à mon gout, je l’aide pour aller plus vite. Je me branle furieusement devant son visage. Elle sait ce qui va arriver, mais je lui explique quand-même :
— Je vais te souiller et marquer mon territoire sur ta petite gueule, salope !
— Oh oui, maître, couvrez-moi de votre foutre !
Elle le dit comme si elle le pensait vraiment. Je m’astique comme un malade pour m’achever. Ça m’a rendu fou de voir tous ces mecs se décharger sur elle hier. Ils m’ont rendu jaloux, je voulais les rejoindre. Je veux prendre ma revanche. Je veux la salir. Détruite l’image de la petite Charlotte gentille de tous les jours pour la remplacer par celle de la grosse pute dégoulinante de ma semence.
— Oh oui, je vais te couvrir si fort que les autres males qui oseront t’approcher sauront que tu m’appartiens en sentant mon odeur, lui fais-je.
Elle vient me lécher le gland sans se servir de ses mains. Elle descend même jusqu’à mes couilles pour les titiller.
— Je veux votre sperme, maitre, dit-elle le nez dans mes boules. Pitié. Giclez pour moi !
Ce sont plus que de simples phrases dites pour m’exciter. Elle semble vraiment assoiffée de sperme. Elle se comporte comme une petite chienne qui attend impatiemment qu’on la nourrisse. Elle se tortille dans tous les sens, elle ouvre la bouche en sortant la langue, elle gémit comme un a****l. Je n’en peux plus de la voir comme ça. Je craque, je sens ma sève monter.
— Oooh, ça y est, ça vient !
— Oui ! Oui !
— Allez, petite pute, prépare-toi à recevoir ta récompense !
— À moi ! À moi !
Je sens que je vais jouir comme un tremblement de terre. J’ai l’impression qu’il y a trop de sperme qui veut sortir en même temps pour un si petit conduit. Mon cœur s’arrête une seconde, puis j’explose enfin. Je lui envoie une énorme giclée de foutre en plein sur la figure. Elle la reçoit en souriant, la gueule grande ouverte, comme une gamine qui viendrait de recevoir son cadeau d’anniversaire. J’expulse d’autres jets tout aussi copieux. Je l’arrose de sperme collant. Elle en a partout sur le visage. Sur le front, sur le nez, les joues, et même dans les cheveux. Je me vide les couilles comme je ne me suis jamais vidé. Je n’ai jamais baisé ni éjaculé aussi fort. J’ai la sensation de découvrir l’orgasme pour la première fois de ma vie. Je me soulage sur elle l’équivalent d’un an de frustration sexuelle. Toutes les fois où je me suis branlé en pensant la sauter. La réalité a dépassé mon imagination. Je décharge tout ce que j’ai sur sa gueule d’ange comme le dernier des enculés jusqu’à ce que je sois à sec. Elle n’a pas fermé les yeux une seconde comme si elle ne voulait ne rien rater du spectacle. Je suis complètement sonné, vanné. Je ne sais plus où je suis, ni que j’ai fait. Je retrouve la mémoire en la regardant maculé de ma semence. Elle coule de partout. Des filets glissent sur ses seins jusque sur son ventre.
— Oh, maître, me dit-elle d’un air satisfaite.
Plus qu’une déclaration, sa phrase sonne comme une promesse. La promesse d’être ma chienne. Je suis moi-même content de ma prestation. C’était incroyable. J’ai fait des choses dont je ne me croyais pas capable, et je ne regrette rien. Quelque chose me dit que ce n’était que le début.
— J’ai été bonne, maître ? demande-t-elle.
— Parfaite, Charlotte. Parfaite.
Elle semble heureuse de ma réponse.
— Je peux aller prendre une douche maintenant ?
— Pas question. Tu ne te rhabilles même pas. Tu restes comme ça, à poil. Et dès que l’envie me reprend, je te ressaute, c’est clair ?
— Oui maître.
La soirée n’est pas encore terminée.
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