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Escapade sexuelle imprévue avec une jeune f

Escapade sexuelle imprévue avec une jeune f



Cette histoire n’est pas toute jeune…

J’étais jeune adulte et nous nous rejoignions souvent avec des amis en ville, en un lieu précis. Les uns arrivaient, les autres partaient, nous étions une joyeuse bande de jeunes hommes et jeunes filles, certains casés, mais majoritairement célibataires.

Ce soir là, je sortais d’un mariage d’un vague cousin à moi, ou je m’ennuyais ferme. Heureusement, ça n’était pas très loin du lieu de rencontre avec mes potes, et en voiture, j’allais faire un tour régulièrement vers eux.
Lors d’un de mes passages, je me retrouve « malencontreusement » seul avec Lydia, que son mec avait royalement planté là pour aller faire le con on ne sait ou. Elle était avec lui depuis des années, c’était même son premier mec, mais chacun de nous pensait très fort qu’il était homo. Beau garçon, il avait ainsi pu soulever la plus belle nana du coin, mais on pensait très fort qu’un jour il ferait son coming out…

Quoi qu’il en soit me voici avec Lydia. Petite, ni mince ni grosse, de grands yeux bleux et de longs cheveux frisés chatains, elle avait surtout une bouche à faire bander un ours en peluche. Son cul s’était à peine arrondi ces derniers temps, mais elle avait surtout une paire de nibards monstrueux, du genre duquel on ne peut pas décoller le regard si vos yeux tombent dessus.

Bref : c’est l’été, je sors de mon mariage pourri et je tombe avec elle… Son ami s’est tiré depuis un certain temps, elle s’ennuie et moi je tiens la chandelle 20 mn avec elle. Mon absence à la réunion familiale allant se faire remarquer, je lui propose de venir avec moi… il y a de la musique, à boire et puis quoi, c’est à côté. A ma grande surprise, elle accepte.

Nous voici embarqués et en 5 mn on arrive à destination. On boit un verre et ô miracle, c’est le moment des slows. Je l’invite, qui n’en aurait pas fait autant. Mais je sais bien que mes chances sont « moindres » voire nulle : elle est fixée avec un beau type, genre brun ténébreux (mais efféminé), et elle est amoureuse depuis années. Losqu’on parle de cul dans la bande, elle est la première à défendre les belles valeurs de l’amour et de la fidélité. Dont acte !

Bref, on danse. Et à ma grande surprise elle me dit : « je suis assez satisfaite d’être dans tes bras », avec un grand sourire. J’ai beau n’être pas très sûr de moi à cette période : ça s’appelle une déclaration. J’ai du balbutié quelque chose comme « moi aussi », et nous terminons la danse.
Nous cessons et le frère de mon cousin qui se marie, qui a le même âge que moi nous rejoins : « Salut, c’est qui ? Ta copine ? » demande t’il en visant Lydia.
Je dis « non, non, une bonne amie, tu vois ». Et lui de répondre « alors qu’est ce qu’elle fait là ? ». Ohlala, monsieur trie les invités on dirait, même avec une grosse paire de seins, il faut montrer son carton d’invitation.

Je réponds alors « mais non, c’est ma copine, regarde » et je me lance pour lui rouler une grosse pelle… et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle se laisse bien faire. J’étais galvanisé par sa déclaration lâchée quelques minutes avant, et c’était le moment ou jamais pour tenter le passage en force.
Mon cousin me sourit et continue son petit tour. En attendant, Lydia vient s’asseoir sur mes genoux… la soirée prends une tout autre tournure !

On se bécote un peu et je lui propose rapidement « un petit tour en voiture ». J’ai bien compris qu’elle n’est pas venue pour rien, et que la belle Lydia, maquée depuis toujours, a décidé de se faire charger le cul pour de bon.

Pleine campagne atteinte en 10 mn on se chauffe dans la voiture. J’ai rapidement raison de son petit haut (nous sommes en été) et ses deux grosses miches jaillissent soudain. C’est énorme, vraiment. Petit bémol, ça lui tombe sur les genoux, mais ça ne me gêne pas du tout personnellement (au contraire) et je choppe évidemment un barreau immédiat.
Je lui suce les tétons et elle s’attaque à ma braguette. L’heure des confidences arrive. Son mec la baise peu et est ma foi mal membré… La taille ne compte pas dit on ? Mon expérience m’a appris que si. En tous cas, son mec la joue petite bite et en plus elle s’en sert mal… Ses 20 approchent et je pense qu’après des années de « petits bisous », ses pulsions lui donnent de grosses envies de savoir ce que c’est que de se faire embrocher vraiment et coup de bol, ça tombe sur moi.

Elle me branle gentimment avec la main, mais déconvenue, elle ne veut pas sucer : « on est pas des animaux ». Je rêve ou quoi ? Je n’insiste pas, mais on y reviendra plus tard peut être.
Je m’occupe de son minou et si la petite salope ne veut pas pomper, elle n’a visiblement rien contre le fait de se faire manger le cul. Je lui lèche son gentil minou qui en effet n’a pas dû être beaucoup abîmé. Je ne parle pas de son petit anus mignon, pas vierge, de son propre aveu, mais pour le moins encore au stade « occasion récente ».

Je lèche et je doigte, et la miss commence à décoller. Elle se tortille sur le fauteuil passager et je lui propose de passer à l’extérieur. Plein été, nuit tombée et chaleur du diable sans voisin pour se rincer l’oeil.
La voici le cul sur le capot et ses deux seins lourds qui balottent contre moi. D’un commun accord nous passons à l’acte et sans capote (le sida pointait seulement le bout de son nez), je lui fourre la chatte sans ménagement.
Son minet la baise du bout des lèvres et je sais qu’elle est venue vers moi parce qu’elle a besoin d’autre chose : je vais lui en donner.

Je lime son petit minou comme un bon diable et Lydia me fait un plan encore inconnu : elle me laboure le dos avec ses griffes, une vraie panthère ? Pourquoi pas ! Je lui baise donc la moule, alternant grands coups de queue et rythme lent, et elle coule carrément sur le capot.
J’ai bien noté qu’elle m’avait avoué que son Jules lui avait déjà mis dans le cul, et le passage étant déjà fait, je vais lui mettre mon calibre dans l’anus, histoire d’élargir le passage.
Lubrification faite (à son plus grand plaisir), j’enfourne mon tube dans son petit trou du cul, et je lui ramollis le boyau durant de longue minute. Elle continue de me labourer le dos en me balançant des saloperies :
« Baise moi le cul comme un chienne, encule moi bien profond ». Cette petite est décidement pleine de ressources et si c’est être traitée comme une putasse qu’elle est venue chercher, elle est bien tombée…

Je rétorque donc à ces insultes et à ses griffures en lui tirant les cheveux pendant que je lui éclates le fion. « Tu veux de la pine sale chienne, tiens salope, fais toi bien fourrer »… Je ne saurais pas me rappeler des termes exacts, mais l’idée était celle là, pour son plus grand bonheur.

Sentant que mes couilles vont exploser, j’ai l’impression qu’elle a déjà joui et son rythme se ralenti… Elle est moins insultante et se secoue moins le derrière : si je veux lui repeindre la façade avec mon foutre, c’est maintenant ou jamais.
Elle est venue se faire baiser et prendre correctement, elle devrait donc se plier à mes derniers ordres sans trop de résistance.
Je retire ma bite de son trou du cul dilaté et par chance, pas de merde sur ma queue. Je lui dis « à genoux ma salope tu vas prendre ma crème ».
Et celle qui ne voulait pas sucer 20 mn avant se colle direct au boulot et choppe ma queue en gorge, alors que je lui faisait le fond de l’anus 10 secondes avant, allez comprendre !

Elle m’astique comme une damnée et je gicle comme jamais sur son beau visage de petite chienne. Je lui repeint le museau et elle a l’air d’en profiter pleinement. Le foutre coule et s’échappe sur ses gros nibards d’enfer : c’est le paradis. Elle me nettoie le matériel correctement, j’ai peine à y croire…

On se rhabille et on discute. Elle est toujours avec son Jules mais c’est la fin, et elle a même « un nouvel ami » mais avec qui « c’est en train de se faire ». Je traduis : il ne l’a encore pas baisée.
Je suis donc une « escapade » qui lui faisait envie depuis un petit moment. Je n’aurais jamais pensé être dans ses petits papiers, au contraire, comme quoi !

On se quitte et je pense machinalement que je pourrais revenir au cul avec elle, dans une complicité partagée, pour le bonheur des deux. Erreur : je la renvoie le lendemain avec la bande de potes.
Nous sommes tous autour de la piscine d’un ami et je profite d’un instant ou nous nous retrouvons les deux pour lui toucher le cul. Je me fais sortir avec pertes et fracas. Pour elle c’était « un excellent moment » mais l’histoire devient sérieuse avec son « nouvel ami » et elle ne souhaite pas reconduire.

La haine.

Mais cette expérience m’a servi pour une autre copine, peu de temps après. Peut être le sujet d’un prochain récit…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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