J’ai récemment découvert le site et suite aux nombreuses propositions que j’ai reçues j’aimerais simplement vous rapporter une aventure qui m’est arrivée il y a maintenant 15 ans ce dont mon mari n’ a jamais rien su. J’avais alors 37 ans et depuis 20 ans que nous nous connaissions, jamais je ne lui avais été infidèle.
C’était en Juillet et cela s’est produit au cours d’uns soirée organisée par ma cousine.
Il y avait là toute une bande de copains avec qui elle travaillait et parmi ceux-ci se trouvait un jeune homme d’une vingtaine d’années à qui je n’étais manifestement pas indifférente. Malgré la présence de mon mari, son regard effronté ne laissait aucun doute sur ses pensées et mon corps, protégé par la fin tissue de ma robe, faisait l’objet d’un examen minutieux.
Malgré la maternité, je faisais régulièrement du sport et j’avais la chance d’être épargnée par les stigmates du temps. Mes seins plantés hauts et ma taille dessinée attiraient le regard des hommes comme ne cessait de me le faire remarquer mon mari et j’étais d’autant plus fière.
Ce soir-là, je fis sournoisement mine de l’ignorer même si parfois nos regards se croisaient et c’est contre toute attente que la suite des événements pris une toute autre tournure lorsque mon mari décida de rentrer se coucher. Il travaillait le lendemain et insista pour que je profite de la soirée… Je trouverai bien quelqu’un pour me ramener.
A peine avait-il tourné les talons que Patrick, c’était lui, m’aborda. Tout à chacun à son groupe, je me retrouvais donc à discuter avec lui.
Il était charmant et très serviable si bien qu’au rythme des punchs que nous buvions, très vite nos conversations prirent une tout autre tournure et face à une drague manifeste à laquelle il se livrait, je décidai de le vamper. Histoire de m’amuser… Il avait 23 ans.
C’est alors que nous étions dans un coin reculé de la propriété quand subitement, il m’a saisi par la taille et plongeant son regard dans le mien il m’a dit : J’ai envie de toi….
Sa bouche a cherché la mienne. Surprise, je n’ai pourtant pas résisté. Nous étions dans la pénombre, personne ne pouvait nous voir et ce jeu de séduction m’avait troublé. Il l’a compris.
Sa bouche courrait sur mon cou, sa main s’accrochait à mon sein et contre mon ventre je le sentais.
« Viens « m’a-t-il dit m’entrainant vers un abri de jardin. T’inquiètes pas, ils ne font pas attention à nous.
Je l’ai suivi…. Je ne sais pas pourquoi ? La curiosité…. L’envie ?
Avec mon mari nous vivions une période de crise. J’avais découvert que mon mari avait eu une liaison et j’avais besoin d’être rassurée. De me rassurer…
Je l’ai laissé m’embrasser, me chauffer puis j’ai répondu avec ferveur à son baiser. Il se frottait lascivement contre moi.
Il a fait glisser les bretelles de ma robe pour libérer mes seins que j’avais nu sous ma robe. Sa bouche s’en est emparés, les a tétés.
Ses mains ont glissé sur mes cuisses, relevées ma robe et lorsqu’un doigt inquisiteur a franchi la lisière de ma culotte, il m’a tout de suite pénétrée.
Un cours instant, je fus gênée car Oui, je mouillais …beaucoup. Je l’ai embrassé moi aussi, j’ai dévoré sa bouche.
En deux temps trois mouvements, il a retiré le mince rempart qu’offrait ma culotte et a plongé sa tête entre mes cuisses.
Ses mains caressaient mes seins, sa langue titillait mon clitoris, me buvait avec une dextérité surprenante. Cent mains étaient sur moi, torturant mes tétons, fouillant ma brune toison pour y découvrir mes nymphes gorgées de plaisir. Malgré mes craintes, j’étais bien. Il me faisait du bien.
Il savait y faire. Je me cramponnais à ses cheveux, je me plantais sur ses doigts. Lorsqu’il s’est relevé et a guidé ma main vers son sexe, je l’ai caressé un moment puis je l’ai dégrafé et l’ai saisi. Il était dur, chaud, épais. Il m’a embrassé, je l’ai caressé. Jamais je n’avais caressé d’autre homme que mon mari que j’avais connu vierge.
C’est bien plus tard que j’ai réalisé que j’avais dû passer pour une cougar et lorsqu’il m’a fait comprendre ce qu’il attendait de moi, je n’ai pas hésité.
Pour moi, ne se posait plus la question de son si jeune âge. C’était bien le sexe d’un homme dans toute sa virilité qui se présentait à ma bouche.
A l’image de ses épaules, elle était large, noueuse avec une tête énorme. J’en approchai mes lèvres puis je la parcourrai de ma langue humide avant d’enserrer ma bouche autour de cette chaude colonne. Je l’ai sucé de tout mon art. Pour lui plaire bien sûr mais plus encore peut-être parce que j’en avais envie. Attentive à tout mais surtout à ses paroles je me suis laissée guider. J’ai chahuté son gland de ma langue, l’ai avalé goulûment, caressé ses bourses, les ai prise en bouche, l’ai masturbé.
La crainte de nous faire surprendre ne m’avait pas quitté mais grisée par l’alcool ou le trop plein de désir qu’il avait fait naître en moi, avait annihilé ma prudence. Plus je l’entendais gémir plus je m’enhardissais.
Il a glissé au sol, m’a entraîné avec lui et lorsqu’il s’est couché sur moi, mes cuisses se sont ouvertes.
Un préservatif ? Non, il n’en avait pas mais je ne risquais rien…Il était sain…
Dans le même temps, je sentais son sexe tout contre moi. Je l’ai cru…J’avais envie de le sentir en moi. Il est resté comme ça quelques instants sans bouger puis il est entré en moi. Lentement. Puis lentement, il s’est activé.
Je me suis accrochée à ses reins. Je sentais sa queue écarter mes chairs. Me remplir. C’était bon et il l’a compris. Il s’est saisi de mes jambes pour les soulever et les écarter. Il entrait profondément en moi et chacun de ses coups de boutoirs me procurait une douce torture.
J’entendais distinctement les conversations qui se tenaient à quelques dizaines de mètres de nous. Seule cette cabane et quelques massifs de fleurs nous protégeaient des vues et l’image que j’offrais, omniprésente à mon esprit, entretenait l’état d’excitation dans lequel m’avait plongé cette situation.
Comme à regret je l’ai senti sortir de moi mais c’était pour mieux me reprendre. Calé derrière mes fesses, il m’a de nouveau investi et là, accroché à mes hanches, m’a carrément possédée. Plus présent que jamais, j’ai senti l’orgasme montait et c’est le poing serré entre mes dents que je me suis abandonnée au plaisir.
Lorsque Patrick a senti son plaisir venir il s’est vivement dégagé, et c’est sur mes fesses qu’il s’est répandu.
Nous avons repris une attitude décente, moi légèrement gênée lui plutôt fier de m’avoir fait jouir et de lui confirmer. Nous avons échangé un dernier baiser, une dernière caresse aussi pour me montrer son désir toujours latent…et discrètement, nous avons rejoint chacun de notre côté l’assemblée. Manifestement, personne n’avait rien remarqué ou, carrément, s’en moquer.
Lorsque une heure après, j’ai annoncé mon départ la fête battant toujours son plein , c’est en toute discrétion que je me suis faite raccompagnée par Patrick. A lui qui se proposait d’être mon amant, ce que j’ai refusé même si c’était bien, j’ai accordé une nouvelle pause sur le chemin du retour et c’est au creux d’un petit chemin de campagne que je me suis de nouveau offerte à lui mais avec cette fois ci, la liberté de crier le plaisir qu’il m’a donnée.
A deux ou trois reprises nous nous sommes de nouveau croisé comme si de rien mais je n’ai pas voulu le revoir. Plus tard, nous avons déménagé et jamais je n’ai parlé de cette histoire à quiconque. J’avoue qu’il m’arrive souvent de repenser à cette fameuse soirée et que par le biais des réseaux sociaux, j’ai cherché à savoir ce qu’il est devenu, sans succès et c’est tant mieux je crois..
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