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Rien ne sera jamais plus comme avant…Partie 2

Rien ne sera jamais plus comme avant…Partie 2



Partie 2 de l’histoire… Suite…

Ce premier regard anodin, était amical, sans arrière pensée.
Je t’ai souri, et tu m’as souri en retour, un sourire de courtoisie, poli et discret.

La voix éraillée du conducteur signale un arrêt en gare de 10 minute supplémentaires, et allez…ça recommence!
Emilie soupire, blasée, en me regardant, comme pour chercher un acquiescement…

J’ose entamer la conversation :
– Je crois qu’il y a un écureuil écrasé sur la voie, la dépanneuse ne va pas tarder pour l’enlever je suppose!

Ton sourire s’élargit, ton sourire lumineux me transperce.
Et tu me réponds:
– Un assassinat d’un a****l errant, on peux leur faire un procès pour maltraitance!
– Heu non je ne m’y risquerais pasi, je travaille moi même dans un abattoir.

Stupeur et retenue, ton regard m’interroge mêlant légère crainte et surprise sur cette sortie.
– Non, je plaisante, je suis photographe, travailler dans les abattoirs est un simple passe temps durant mon temps libre…
Tu pouffes de rire, je ris légèrement avec toi.

La vieille dame assise à coté de moi lève les yeux pour voir qui est cet homme étrange qui sort de telles inepties et replonge dans sa lecture d’un ouvrage mondialement connu de Paolo Coelho.

Je m’adresse à elle cette fois,
-Pardon madame, vous n’avez rien à craindre, je n’assassine que les animaux.
Elle esquisse un sourire à son tour et me répond nonchalamment
-Heureusement, mais je vais vous tenir à l’œil quand même…

Emilie sourit et me regarde, elle a envie de poursuivre la conversation, je le vois, je le sens.
Mais je garde le silence, je ne désire pas la brusquer, non surement pas, du moins, pas encore…

Le train redémarre au bout d’un certain temps.
C’est elle qui a envie de rire maintenant, elle a envie que son voyage, pour une fois sorte de sa monotonie quotidienne.
-« Vous allez pouvoir rejoindre vos abattoirs », me lance t’elle en souriant.
-« Non ce matin je n’y vais pas, ils tuent des vaches, et voyez vous, je respecte trop les vaches depuis l’age de 12 ans pour leur faire du mal, mon premier Big Mac a été une révélation, je ne tue que les chevaux!

Emilie rigole, et je rigole avec elle…
-Non plus sérieusement, ce matin j’assiste à une conférence littéraire pour écouter un auteur nous parler de son dernier livre, une femme disparaît subitement dans un train et l’on ne retrouve que son livre dans un wagon…intitulé « l’alchimiste ».
La dame qui me sert de voisine durant ce trajet relève le regard en souriant
-Méfiez vous je vais appeler la police…mon mari est gendarme et m’attend sur le quai…

L’ambiance est détendue, amicale…

Il me reste 10 minutes pour ancrer notre relation, prendre rendez vous avec Emilie avec qu’elle ne s’éloigne. La retrouver de nouveau, un autre matin, connaitre ses horaires, dans quel wagon je pourrais la retrouver….

Je plante un regard bienveillant dans les yeux bleus d’Emilie.
-Je suis maladroit, je vous détaille mes passions pour les abattoirs et je ne me suis pas présenté.
« Je m’appelle Tango, mais vous pouvez m’appeler Tango… »
« Emilie, mais vous pouvez m’appeler Madame DELACOURT », me lance t’elle d’un ton amusé.

« Madame DELACOURT, je suis ravi d’avoir fait votre connaissance grâce à ce défunt écureuil! »
« Moi de même c’est la première fois que je rencontre un psychopathe a****l dans un train, et ce n’est pas si terrifiant après tout… »
« Parce que vous ne m’avez pas vu en train d’exercer mon passe temps favori… »
« Je suis sur que vous faites ça avec élégance, et voyez vous, j’adore le steak de cheval…gardez-m’en un bout la prochaine fois que vous irez aux abattoirs! »
« Avec grand plaisir… »

Je pianote sur mon téléphone durant les quelques minutes restantes du trajet, Emilie regarde par la fenêtre, détendue.
Une voix surgit pour briser cette rencontre.

« Mesdames et messieurs nous entrons en gare de Lyon Part Dieu, Lyon Part dieu, 10 minutes d’arrêt. »

Je descends à l’arrêt suivant, zut, Emilie se lève, et me sourit.
« Au revoir monsieur le boucher! »*
« Au revoir Madame DELACOURT je m’occupe de votre steak, et comme tout psychopathe, j’ai mes habitudes immuables, je n’importune les gens que dans le wagon 6 de ce train-ci…

La vieille dame a coté de moi se lève aussi,
« Au revoir messieurs dames, le train reste un endroit parfait pour lier connaissance je vois.. ».Murmure t’elle ironique et amusée…

Emilie s’éloigne, son petit cul se fraye un chemin parmi les passagers et je donnerai cher pour le voir se balancer sur mon sexe à cet instant.

Alors rêveur, je me murmure intérieurement :
 » Emilie DELACOURT, jolie femme mariée, mutine et sexy, fine et intelligente…
votre bouche sera mienne, bientôt, je l’espère, en tout cas, mon désir est ancré…J’ai une pensée secrète pour son mari que je ne connais pas. Avoir une si jolie petite épouse est une chance, mais c’est aussi un épreuve…

Je pianote sur mon téléphone à la recherche d’une boucherie Chevaline à proximité de mon domicile…
Il faut que j’achète un steak de cheval, demain Emilie me retrouvera dans le même wagon, je le sais, je l’ai vu à sa façon de marcher quand elle m’a quitté!

Je sais que cela va prendre un peu de temps, mais viendra le temps ou tu seras sur moi, ton corps en sueur, ton sexe brûlant seront ma possession, tes petits seins seront dans mes mains, serrés jusqu’à la limite du plaisir et de la douleur, tu enlèveras ton alliance, cela deviendra une habitude pour toi, comme un passage rituel entre la femme que tu es et celle que tu deviendras avec moi!
Je dois te séduire, avant pour que tu m’acceptes, pour obtenir ton consentement, il me le faut…Je veux que tu désires au plus profond de toi!

To be continued

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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