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Sexe machine et selle à cheval entre amis

Sexe machine et selle à cheval entre amis



Récit romancé d’un de mes rêves

J’avais mon atelier d’art dans lequel j’élaborais mes œuvres. Un jour je décidais de passer à autre chose de plus personnel.
Je partis dans le haras voisin afin d’acheter une vieille selle à cheval, puis direction un magasin de bricolage pour plus de matériel (planches, arceaux en fer, vis, moteurs à tension variable, potentiomètre, fils électriques, interrupteurs, tube en fer, guides ect…..)
Petit détour au sex-shop afin de prendre possession d’un dizaine de godemichés de tailles différentes.
De retour à l’atelier je me met au travail, je récupère le vieux vélo qui traîne afin d’en utiliser les pignons plateaux câbles et manettes de changement de vitesses.
je pose au sol une grande planche en bois qui me servira de base, je fixe le moteur avec les arceaux en fer (les pignons de vitesses sont fixés sur l’axe), plus loin je monte le dispositif rotatif (avec le grand plateau sur le quel sera vissé un boulon maille rotatif).
Je met la chaîne, impeccable.
Avec d’autres arceaux métalliques je monte une petite structure( autour et au dessus du dispositif rotatif) qui accueille les tubes en fer qui sont fixés sur le boulon rotatif. Le mouvement rotatif du moteur est ainsi transformé en mouvement vertical.
J’installe le deuxième moteur et avec le même système de montage on se retrouve avec deux tubes en fer qui montent et descendent.
Avec les planches et les armatures en fer qui me restent je construis un support pour la selle qui en plus cachera les moteurs.
Sur le dessus du support il y a deux trous juste au dessus des tubes en acier.
Je recouvre la structure avec une fourrure synthétique.
Délicatement j’évide le milieu de la selle, un peu de couture et la voilà toute lisse et confortable.
Je l’installe sur le support et la fixe afin qu’elle ne glisse pas, je met un stimulateur clitoridien juste devant le trou de la selle.
Je m’occupe des godemichés, je perce un long trou dans chacun, dans le sens de la longueur, j’y fais passer un tuyau en plastique qui le traverse de part en part. Chaque tuyau fait une 60aine de centimètres et sera fixé à des seringues remplies de lubrifiant ou d’une liquide chaud.
Il y aura donc deux seringues d’installées de chaque côté du boitier de contrôle.
Deux godemichés installés sur les tube en fer.
Si on appuies sur un piston d’une seringue, le contenu s’évacuera par le gland du godemiché.
J’ajoute des sangles qui plaqueront les cuisses les mollet et les chevilles au support.
Une fois assis et sanglé, on est bien calé, on ne peut plus bouger le bas du corps.
Je finalise le montage électrique et installe un boitier de contrôle on peut désormais choisir la vitesse des vas-et viens.

Bref, on a un cheval de bois sur lequel est disposé une selle. La personne qui s’y assoit à les jambes sanglées et ne peux plus se relever, elle ne peut pas tomber non plus ce qui est sécurisant.
On peut choisir soit une pénétration vaginale, soit anale soit les deux, on peut varier la vitesse de pénétration, le stimulateur clitoridien peut être activer ou non. si la personne en ressent le besoin elle peut pousser le piston d’une seringue afin de lubrifier un peu plus, ce qui diminue l’effet de chauffe, et si elle le désire elle peut injecter l’intégralité du contenu afin de simuler une éjaculation.

À peine avais-je terminé ce jouet érotique que tu entrais dans mon local, intriguée tu me demandais si s’était une nouvelle œuvre.
« non ma chérie, j’ai eu envie de faire un jouet pour nous »
je te montre le fonctionnement des boutons, les différents types de godemichés que l’on peut utiliser et comment on règle la profondeur.
 » hummm, intéressant, et elle fonctionne? »
« oui regarde »
j’actionne l’interrupteur, met en position anale, puis tourne le potentiomètre, le godemiché fait de lents vas-et-viens, je tourne un peu plus le bouton, la vitesse augmente.
Tu t’approches du boîtier de contrôle et essaies les différents boutons, tu as l’air de t’amuser.
 » c’est quoi les grosses seringues qui s’enfoncent dans le bois? »
« appuie doucement sur le piston et tu verras »
doucement tu appuies et un gel rose sort par l’extrémité du godemiché.
« c’est marrant mais c’est quoi? »
« j’ai mélangé du gel lubrifiant avec du colorant alimentaire, »
« donc si j’appuie sur le piston, je fais éjaculer du lubrifiant, curieux mais marrant. Mais dis moi tu l’as essayée? »
« non pas encore, je cherchais une testeuse »
« je te vois venir, mais honneur au bricoleur » et lentement et sensuellement tu me déshabilles.
On s’embrasse, je fais tomber tes vêtements. Tu récupères du bout de tes doigts le gel que tu as fait sortir tout à l’heure, et pendant notre embrassade je sens des doigts passer entre mes fesses.
Puis tu me donnes une bonne fessée, un CLAC retentis.
« En selle cow-boy » tu m’installes, me sangles et met doucement en marche la machine, je bouge doucement mon bassin, afin que … hoooo je le sens entrer.
Tu t’assois face à moi, me regardes, m’embrasses et joues avec les boutons, lentement mais sûrement.
tu te relèves et commences à te caresser devant moi, je tends les bras mais, impossible tu es trop loin. Tu te rapproches, passes ta main sur ma poitrine et allume le stimulateur clitoridien.
Je sens mes bourses vibrer.
Incessant vas-et-viens qui sans relâche prend possession de moi.
Tu t’installes derrière moi, je sens ta poitrine contre mon dos, tu embrasse mon cou pendant que tes mains viennent caresser mon sexe. Pendant que ta main droite empoigne mon membre et va de haut en bas, la paume de la gauche(glissante par le gel) masse mon gland.
Trop c’est trop, entre les vibrations ce godemiché tes mains je sens que je commence à perdre pieds, mes fesses se resserrent…je pousse un peu sur le piston et le godemiché glisse aisément en moi.
Tu m’as vu appuyer, tu tends ton bras et appuies d’un coup sur l’intégralité du piston, je sens le gel me remplir, les vas-et-viens se font glissant.
Je ne peux plus contrôler mon corps, je n’arrive pas à bouger avec les entraves qui bloquent mes jambes, tes mains s’activent, ta bouche se colle à mon cou, et dans un râle profond j’explose aux travers des milliers de petites décharges électriques qui parcourent mon corps.
Tu te relèves et me fais face, le godemiché continue à me labourer l’arrière train, mon corps est partagé entre repos et excitation. Tu passes tes mains couvertes de ma semence sur tes seins, sensualité luisante de tes formes magnifiées par mon extase…je te veux.
Tu viens t’asseoir contre moi. Poitrine contre poitrine , des cuisses sur les miennes tu me prends dans tes bras et m’embrasses.
Ma main cherche interrupteur, j’éteins la machine, tu te relèves et défais mes sangles.
Je me redresses, les jambes flageolantes.
« Apparemment ça à l’air efficace »
« oh oui », je dévisse les godemiché afin de pouvoir les laver plus tard, j’en remet deux autres avec des seringues nouvelles et pleines.
« À toi maintenant ma chérie »
« non non (en souriant) j’ai eu la preuve que ça fonctionnait »
Je prend ta main et te guide, je met du gel dans le creux de mes mains et masse doucement ton entrejambe et ton fessier.
Tu prends place, je sangle tes jambes et t’embrasse.
Je rallume la machine et enclenche le vas et viens vaginale, il se fait très lentement.
Je m’installe dans ton dos, me colle à toi et fais glisser mes mains sur ta poitrine et ton ventre qui deviennent luisant.
J’effleure ta peau du bout de mes doigts tandis que je couvre de petits baisers tes épaules et ton cou.
De ta main droite tu tourne le bouton qui accélère le rythme, tu es aller un peu trop loin apparemment car tu sembles surprise, je prend tes mains et les plaque sur tes seins. Tu ne peux changer la vitesse, tu sens ce membre vigoureux écarter tes lèvres, entrer profondément en toi pour se retirer presque entièrement avant de revenir en toi.
Nos mains massent délicieusement cette poitrine qui m’excite tant, je me sens retrouver un second souffle mais patience.
Je tend de nouveau un bras et active le deuxième godemiché, lentement. Il est moins gros et entre en toi avec douceur, il va et viens sans fatigue et avec la régularité d’une montre suisse.
Pendant que tes mains jouent, je fais descendre ma main droite entre tes jambes et mes doigts cherchent et trouvent ton clitoris, ils le titillent, le caressent, le massent….
je fais remonter ma main gauche sur ton seins gauche et lui vole la place, Je joue avec la rondeur de cette douce colline, le pourtour est divin à parcourir, et ce téton si attirant que je l’att****, le fais tourner, l’étire, le pince et le caresse de ma paume….
Rapidement tu te mets à te cambrer, Je fais accélérer un peu le mouvement arrière tout en appuyant légèrement sur les deux pistons, ça à l’air de glisser plus facilement, mais ces deux insatiables gourmands n’ont pas l’air de perdre en vigueur.
J’écarte doucement tes lèvre afin que le stimulateur clitoridien soit bien placé, puis je l’active. La vibration agit immédiatement sur ton corps, c’est comme si tu étais prise érotiquement de toute pars .
Mes mains prennent fermement ta poitrine, je la masse je la veux je te veux, et je te le dis à l’oreille
« mon amour , je te veux, entièrement maintenant » et mes mains passent sur ton ventre ton bas ventre elles remontent puis se séparent pour être partout à la fois, j’ai l’impression que tu ne sais plus où donner de la tête, ta respiration se fait forte, tu appuies sur les deux pistons d’un coup sec et francs, mains appuyées jusqu’au bout.
À ton tour, tu te sens remplie, les godemichés glissent plus facilement mais toujours inlassablement et profondément, sur tes cuisses le gel s’épanche ….
Dans un cri puissant et long la petite mort prend possession de toi.
Je ralentie la machine puis l’arrête complètement au bout d’une minute, je te libère et t’aide à te lever.
Tu es flageolante, je rigole « il n’y a pas que moi qui ai du mal »
On se prend dans les bras et on s’allonge sur le sol, on n’en revient pas, c’est extraordinaire mais pas à faire tous les jours. Dix minutes après on était l’un sur l’autre dans une unions simple douce mais fusionnelle et incroyablement agréable.

Quelques semaines plus tard, ton amie Maëlle vient nous rendre visite à la maison pour une semaine.
Les jours passent et sont fort agréables, promenades, discussions variées, rires beaucoup de rires .
le quatrième soir je suis absent, j’ai un rdv pour le travail. Vous passez donc votre soirée en tête à tête.
Maëlle de révèle que cela fait longtemps qu’elle n’a plus d’orgasme et qu’elle craint de ne plus jamais en avoir, c’est comme si quelque chose s’était cassé en elle et qu’elle ne savait pas quoi.
Tu essayes de la rassurer, et lui dis que rien n’est définitif et que le plaisir reviendra.
Elle n’y croit plus et est désespéré.
Tu dévies le sujet afin de ne pas la rendre plus mal à l’aise.
Je rentre vers onze heure et vous trouve dans le salon en train de rigoler.
J’ai ramené des petits gâteaux que je vous apporte sur un plateau.
« Vous avez l’air de bien vous amuser toutes les deux »
« Mouiiii »
On mange tranquillement tout en discutant, Maëlle disparaît aux toilettes.
Tu en profites pour me raconter son problème.
Effectivement c’est le genre de soucis qui plombe une vie.
« Je ne sais pas ce que l’on pourrait faire ma chérie, un sexologue pourrait peut-être »
« non, je pensais que peut-être qu’elle pourrait essayer ….enfin tu comprends »
« c’est délicat, comment tu te voix lui proposer ça? »
« je sais pas , on pourrait lui faire visiter ton atelier, elle la verrait et elle poserait certainement des questions »
« mouai, on peut toujours essayer, dans le pire des cas elle me prendra pour un allumer (rire).
Maëlle nous rejoins, immédiatement tu lui proposes la visite de l’atelier
« à cette heure, ça ne va pas être trop sombre? »
« non il y a de la lumière tu sais « 
Je passe devant, suivis de prêt par vous deux.
Je lui montre mon travail et lui explique comme je m’organise pour passer de l’idée à la conception. Elle regarde le travail en cours, semble y trouver un certains intérêt puis se fixe sur des sujets achevés.
Je sors une bouteille et trois verre et on trinque.
Maëlle me demande ce qu’il y a sous la couverture, je lui dis que c’est un travail intime que je cache.
« et…..ce serait possible de le voir? »
toi: si tu veux mais il ne faudra pas jouer les farouches
Maëlle: tu me connais quand même
je retire la couverture
Maëlle regarde, observe et reste perplexe « c’est conceptuelle ? elle a un nom? »
un nom, je n’y avais pas pensé, je réfléchis et ne trouve pas de réponse tu t’en aperçois et dis « la chevauchée fougueuse:hymne à l’orgasme retrouvé »
Maëlle ne sait plus que dire, elle s’approche touche des boutons ça vibre et un godemiché fait son apparition
Maëlle en rigolant: on dirait la boite à coucou des guignols de l’info.
On rigole tous les trois puis tu lui propose de l’essayer.
L’alcool? l’ambiance? le sujet? on ne sait pas ce qui lui a fait dire oui mais on a été fort surpris. Tu lui expliquas donc le fonctionnement, elle se mit dans un coin et enleva sa culotte et de mis discrètement du gel.
Maëlle: vous croyez que????
nous : si tu n’essayes pas tu ne sauras pas
Elle relève sa robe jusqu’au cheville et s’installe, on lui met les sangles.
Elle démarre la machine et le stimulateur, elle joue sur les réglages jusqu’à trouver le rythme qui lui convient, Elle nous demande de lui tenir les mains, on en prend chacun une, elle n’a pas l’air rassuré , si ça peut lui faire lâcher prise pourquoi pas.
On se regarde, un peu gêné, puis on comprend qu’elle commence à venir, elle nous lâche les mains, accélère le rythme appuie sur les deux pistons puis reprend nos mains.
Tout à coup, elle nous les serre très fort, longtemps puis elle se met à grogner .
Elle nous libère les mains, ralentis la machine , puis l’éteins.
On la libère, elle se redresse…sans flageoler
on se regarde tout étonné.
Maëlle: j’en veux une pour noël.
On éclate de rire, et on retourne dans le salon.
Le reste de son séjour ressembla au début, mais elle était plus détendu, quand elle repartit on lui a fait un cadeau, une deuxième machine pour elle.

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