En rentrant à la maison après l’épisode de la plage avec Katia, Alain est déjà à et me propose d’aller le soir au casino de Coutainville. Pour l’occasion, je m’habille sexy. Au casino, après quelques coupe de champagne, je suis un peu pompette. Quand je suis dans cet état, je deviens très chaude. Je me frotte à Alain en lui demandant :
« J’veux te sucer mon chéri ! »
Il n’en faut pas plus pour qu’Alain m’entraîne dans les toilettes. On ferme la porte d’un chiotte à la va vite et je lui l’agresse presque en lui dévorant la queue. Rapidement, il me retourne et me culbute avec la même vigueur que lorsque je le suçais. Au moment de jouir, il sort de mon vagin et je le pompe pour avaler son jus avec gourmandise. Notre baise n’a pas durée deux minutes mais c’était d’une intensité incroyable.
A notre retour dans la salle du casino, pas mal d’hommes se retournent sur moi. C’est vrai que ma robe courte dévoile mes jambes très haut et mon décolleté offre une vue imprenable sur mes seins. Mais de là à avoir des regards aussi insistants. Je me demande si certains ne nous ont pas maté dans les toilettes. J’ai chaud et j’ai besoin de prendre un peu l’air. Je dit à mon homme :
« Je te laisse un peu. Je vais prendre l’air. Je suis un peu saoule. »
Pendant qu’Alain continue à jouer au casino, je traverse la rue et vais sur la plage. Voyant qu’il n’y a personne, je décide de me mettre nue et de piquer une tête dans la mer.
En ressortant de l’eau, je vois plusieurs mecs qui me matent. L’un d’eux dit :
« Putain ! Mais c’est la salope qui se gouinait sur la plage cette après-midi ! »
Je reste un instant figée.
Les lascars font rapidement un cercle autour de moi et l’un d’eux me lance :
« T’es bien gaulée ma salope ! Je me demande si tu suces aussi bien que tu léches les timbres ? »
Un autre m’ordonne :
« Oui tu vas nous montrer comment tu suces salope ! »
Ils sortent leurs engins et se masturbent devant moi de façon provocante. Alors, je ne peux résister et tout en branlant les queues à tour de rôle, je me met à les sucer goulûment. Eux aussi ont un coup dans le nez et le moins endurant d’entre eux ne peut se retenir plus longtemps et crie:
« Oooohhhh nooonn ! Merde je joui déjà ! Aaaahhhhh… !! »
Je reçois sa décharge au fond de la gorge et par réflexe, j’avale tout. Les autres me mettent à quatre patte et là commence une tournante sur la plage dont je suis la vedette. Ils me remplissent par tout les trous et s’échangent la place pour tester tout mes orifices. En gémissant, je suis au comble du bonheur de me prendre juste pour moi toutes ces bites. Puis tout s’enchaîne. Je prends des giclées dans la bouche, le con, le cul, le corps. Ma figure est couverte des glaires masculins. Il éjaculent en gueulant et en me traitant de tout les noms. Je déglutis comme je peux. Je m’en étouffe parfois. Mon orgasme à mon tour explose.
Celui qui est dans ma chatte ne peut plus se retenir et avec une poussée profonde il joui en hurlant:
« Aaaaaahhhhhhh…t’es une grosse salope !!! Tiens en v’là encore du foutre putain! »
Il éjacule une telle quantité de sperme que, malgré la grosseur de sa bite qui écartèle mon vagin, ça déborde et ça coule sur mes cuisses. Il se retire de mon fourreau et un trop plein de sperme s’échappe de mon conduit intime.
« Huuummm !!! J’ai mon compte de sperme. Merci. »
Une foi vidés, ils repartent comme des fantômes. Alain s’inquiétant de mon absence, sort du casino et me découvre, hébétée, couverte de sperme, les cuisses encore écartées, la chatte dégoulinant de foutre. Je regarde mon homme qui me sourit. Pas la peine de lui expliquer ce qui vient de m’arriver. Alain, sans mot dire s’approche de moi la bite à la main et plonge sa queue dans ma bouche accueillante, en me disant :
« Je vois que tu ne t’es pas ennuyée. Ah, les salauds! Qu’est- ce qu’ils ont du te mettre ma Chérie ! »
Il explose rapidement dans ma bouche et j’avale avec le plus grand plaisir le foutre conjugal. Je suis couverte de sécrétions masculines blanchâtre et odorante. Heureuse et comblée, je regarde amoureusement Alain en lui disant :
« Ho mon chéri, tu ne peux pas savoir comme j’ai pris mon pied ! »
Je suis si épuisée que mes jambe ne peuvent me soutenir. Alain m’aide à me baigner pour pouvoir remettre ma robe et rentrer chez nous.
En me ramenant à la voiture, il me glisse à l’oreille :
« Whaou! Michèle ! Putain de soirée ! J’ai épousé une véritable salope, qui aime la bite et le sperme à en avoir une indigestion. Quand je vais raconter notre soirée à Christian, il va vouloir venir avec nous pour vérifier ça ! »
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