Mon mari est inventif et sait éveiller en moi de grandes émotions. Il ne laisse jamais ma sensualité s’endormir et je penses au sexe en permanence. Le plaisir que je lui donne et qu’il prend est une source de grande satisfaction et d’épanouissement.
Je suis toujours flattée de l’intérêt que porte la gente masculine sur moi. Je suis totalement ouverte à toute expérience pour diversifier mes plaisirs charnels. Ma sexualité est un feu d’artifice permanent. Je succombe aux moindres sollicitations.
Suite à l’aventure de l’autre jour avec Thierry, connaissant mon adresse, celui-ci, sous le prétexte de me montrer sa nouvelle moto, se pointe chez moi. Cette visite impromptue me surprend et m’agace car je suis encore nue chez moi et n’ai pas encore pris ma douche. C’est vrai que j’adore la moto mais se pointer sans prévenir à 08h00 le matin, je trouve ça un fort. Bref, je me jette une sortie de chambre sur le dos et lui ouvre presque à regret. Il me complimente sur ma tenue pour l’accueillir et me prend pas le bras pour m’emmener dehors admirer son nouveau bolide. Je m’insurge mollement en lui disant que je ne suis pas en tenue pour sortir mais il n’en a que faire et me voilà sur le trottoir à moitié nue à l’écouter vanter sa bécane. Sa conversation n’est centrée sur sa machine. On le sent passionné. Il insiste pour que je monte dessus. Vous imaginez, dans la tenue où je me trouve, monter sur cet engin en pleine rue ? Il insiste tellement que je m’exécute. La situation est cocasse et très érotique. Heureusement le coin est désert mais je n’ai pas l’intention de m’éterniser dehors. Mais comme de bien entendu, une certaine excitation fait place à ma gêne et à mon agacement. Je le flatte sur son achat et lui propose de rentrer avant que quelqu’un ne me voit dans cette tenue. Mais il reste planté là à me parler de sa moto. D’initiative, je l’entraîne dans la maison. Dans mon mouvement, les pans de ma sortie de nuit s’écartent largement laissant voir ma nudité. Je ne m’en préoccupe pas, pressée dde me mettre à l’abri des regards. Mais c’était sans compté sur Paul mon voisin qui avait remarqué la scène de sa cuisine.
Dans la maison, rassurée, je lui sers un café sans prendre la précaution de refermer ma lingerie.Je fais mine de boire ces paroles et repense à son sexe qui nous avait tant fait jouir avec Sofia. Il me propose d’aller essayer sa bécane. Personnellement, j’avais plus envie de monter sur sa queue que de monter sur son engin. Je monte dans ma chambre pour me changer rapidement et comme une conne j’enfile une jupe au lieu d’un pantalon. Quand je redescend, Thierry m’en fait la réflexion, mais tant pis .. On va pas faire des dizaines de kilomètres non plus.
J’enfourche la moto et ma jupe remonte jusqu’au haut de mes cuisses. Je regarde autour de moi et remarque encore mon voisin Paul qui me mate derrière le carreau de sa cuisine. Je n’ai pas le temps de rabaisser ma jupe que Thierry démarre son engin et part en trombe. Je n’ai que le temps de le prendre à bras le corps et de me serrer contre lui. Mes jambes écartées, mes fesses nues sur la moleskine de la selle, les vibrations de la moto, provoque en moi de fortes sensations. Je sens que je mouille. Je descends mes mains et m’accroche plus intimement à lui enserrant son gros manche à l’étroit dans son jeans. Thierry sait que je suis une proie et que dans ce genre de situation, il peut faire de moi ce qu’il veut. Une de ses mains lâche le guidon et s’aventure dans mon entrecuisse qu’il trouve trempée. Malgré le danger, je m’abandonne totalement à lui. Il doit sentir dans son dos mes seins fermes aux tétons qui pointent d’excitation. Tout en pilotant d’une main, il me fouille la chatte et agace mon clito. Je gémis de bonheur sous ses doigts agiles. Je défait les boutons de son jeans et extirpe son gros dard de l’écrin de tissu pour le saisir à deux mains et le branler. Je suis totalement inconsciente de faire ça en roulant, mais le désir est trop fort.
Nous croisons des voitures. Je ne sais pas si les conducteurs s’aperçoivent de notre manège et je m’en fou totalement. On rentre chez moi en précipitation et sans refermer la porte, on se déshabille rapidement et je lui suce la bite furieusement. Dans l’action, la porte d’entrée est restée ouverte et je ne vois pas Paul notre voisin qui nous regarde faire nos libations érotiques. Je m’allonge sur la table, écarte largement les jambes et l’implore de me prendre comme un sauvage. D’un coup de rein, il me pénètre jusqu’à la garde et aussitôt me bourine en s’agrippant à mes seins. C’est violent et je n’arrête pas de crier mon plaisir ; un plaisir destructeur si intense et douloureux mais tellement bon. J’ai la sensation de me faire violer dans un consentement mutuel. L’excitation nous fait respirer plus fort et plus vite. Sa verge brûlante palpite dans mon vagin distendu. En pleine saillie, je ne suis même pas surprise de voir la bite de Paul prés de ma bouche. Alors que Thierry me secoue avec ses coups de boutoirs violent, j’ouvre la bouche pour me prendre la verge du vieux Paul au fond de la gorge.
Je suis pris de spasmes et ma jouissance éclate comme une explosion dévastatrice. Les deux mâles continuent de me baiser avec rudesse alors que je suis anéantie par mon orgasme. Je suis une poupée de chiffon entre leurs mains. Paul en me baisant la bouche me pelote les seins et leurs donne des claques. Thierry décide de chager de trou. Il sort de mon vagin dégoulinant et en feu pour poser son gros gland sur mon anus. Puis il pousse fermement et fait sa place dans l’étroit conduit tout en fouillant vigoureusement ma chatte.
Je n’ai plus la notion du temps.
C’est Paul qui se lâche le premier dans ma bouche dans un grognement presque risible. J’avale tout sous jus et attend le moment où c’est Thierry qui va jouir. Cà ne tarde pas et comme à son habitude, il commence à décharger dans mon cul puis sort pour m’asperger le corps et se terminer dans ma bouche. Son sperme est toujours aussi abondant ce qui surprend Paul qui reste les yeux écarquillés devant cette performance inhabituelle.
Il me faut bien cinq minutes pour reprendre mes esprit. Je reste inerte sur la table, couverte de sperme et une coulée blanchâtre s’échappant de mon anus éclaté par un bourrage trop intensif.
Alors que je commence à reprendre mes esprit, Thierry propose à Paul de me faire un suçon sur chaque seins pour que mon mari prenne connaissance de leur passage. Ils empoignent chacun un de mes nibards et se mettent à les sucer. Au bout de cinq minutes, me voilà avec deux gros tatouage que je ne pourrais dissimuler à Alain.
La matinée commençait calmement, mais joie de la terminer en apothéose en me faisant abuser par ces deux mêles en ruts.
Thierry et Paul m’ont donné une telle jouissance que je les remercie en les pompant à nouveau. Ils rebandent rapidement et Paul prose de me prendre en doublette. Là je pose mes condition car Thierry m’a tellement explosé le cul que je n’ai pas envie que se soit lui qui m’encule. Ma demande semble les amuser et c’est Paul qui me sodomise sans aucune difficulté alors que Thierry emprunte un conduit plus élastique et naturel. La baise est intense mais moins sauvage que le premier assaut.
Soudain, ils restent au fond tout les deux et se tendent en gueulant comme des fauves qui baisent leurs femelle pour lâcher tout leurs foutre au tréfonds de mes entrailles.
Cette foi, nous sommes tous rassasiés. Nous somme encore dans un demi c*** érotique quand Alain rentre du travail. Ravi de nous voir comme ça, il me dit :
« Je vois que ta matinée a été fructueuse ma chérie. Aurai-tu encore un peu d’énergie pour me sucer ? »
Je lui souris et lui fais signe d’avancer pour faire mon devoir d’épouse. Quand il entre dans ma bouche, il remarque les deux suçons et me complimente sur l’aspect esthétique de ces marques. Pendant que je le suce, il invite mes deux autres amants à se servir l’apéro. Au bout de cinq ou six minutes, Alain me décharge au fond de la gorge et j’avale son nectar avec gourmandise ? Il m’embrasse à pleine bouche et me dit :
« Je t’adore ma chérie. Tu es la plus bonne des salopes. Allé, rejoignons nos amis pour trinquer ensemble.
C’est donc nue, les jambes flageolantes, couverte de sperme que je trinque avec mes mâles. J’ai atteint une certaine plénitude ce matin et c’est avec un plaisir particulier que je déguste cet apéro alors que le sperme de mes amants continue à me couler le long des cuisses.
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