Histoires de sexe en français Histoires de sexe hétéro

Une histoire de motivation

Une histoire de motivation



Voici Un souvenir de mes années de fac absolument I-NOU-BLI-ABLE !
Bon, je prends mon temps pour vous planter le décor avant les détails croustillants, mais soyez patients, ca vaut le coup.

Quand j’étais en licence, malgré ma bourse, j’avais du mal à joindre les deux bouts et j’en ai parlé à une amie de la cité U, Daphné.

Elle était dans le même cas, et m’a proposé un plan (non, ce n’est pas ce que vous croyez !) :

Elle s’était trouvé (par un pote d’un pote de ses parents etc.) une place pour faire des doublages pour une petite maison d’édition de film d’exploitation (= Des gros nanars ! Héros Mythologiques bodybuildés, monstres en carton-pâte comme dans les années 70, sauf qu’il dataient des années 90-2000 … Bref la crème.)

C’étaient des films de haute volée donc peu de rôles féminins (#femmeobjet) mais beaucoup de rôles masculins :
Daphné suffisait pour un film complet généralement.
Bon, elle devait essayer de changer de timbre ou d’accent pour ne pas que ça se remarque.
Et si ça se remarquait … Comme disait les ingés-son « On s’en branle ! »
(Oh Ouais …. On faisait un travail de grande qualité …)

Par contre avec le héros, le méchant, le sidekick, etc. Il fallait souvent plusieurs mecs différents pour un même film.
(Oui, moi aussi j’ai pensé « Comme dans un bukkake ». Et c’est nul. Oui, moi aussi j’ai honte.)

Du coup, c’est pour ca qu’elle a parlé de moi, et on m’a assez facilement engagé.
(Avec ma voix grave, je faisais un méchant parfait selon les mecs responsable de l’adaptation.)

On a bossé pendant quelques mois ensemble, se donnant la réplique, souvent avec d’autres « comédiens de doublage ». (enfin, à notre niveau, on était tous des gros tacherons, quoi …)

Bon, vous vous dites que c’est bien joli, mais que vous vous en tapez, et que vous aimeriez bien que j’en arrive au moment ou je baise.
Et ben un peu de patience !
Le détail c’est que, ben en fait, Daphné, Je craquais SÉVÈRE pour elle.

ca faisait plusieurs années qu’on se connaissait, on était au même étage du même bâtiment, et si vous avez vécu un peu en cité U, vous savez qu’on vit tous un peu ensemble : On fait les courses a plusieurs et c’est un qui fait la bouffe pour tous, un autre s’occupe de la vaisselle, celui qui a un PC le met a dispo des autres, …

C’était le cas pour Daphné et moi, et avec d’autres potes. Mais on était les plus vieux, on se connaissait depuis longtemps, donc nos rapports à tous les deux étaient privilégiés.
Le détail amusant et que quand on sortait, tout le monde nous prenait pour un couple alors que nous étions simplement amis.

« Mais attends, vous étiez tout le temps fourré ensemble, de craquais pour elle, alors qu’est ce que t’attendais ? » me direz vous ?

Ben, déjà, j’étais assez timide, et surtout elle avait son mec dans son bled natal (un trou dans l’Ain).
Or j’ai quelques principes.
Draguer une fille engagée, c’est la pousser à blesser une autre personne (et je ne peux m’empêcher de me demander « Et si c’était moi à sa place ? ») et en plus, comment faire confiance à une partenaire qui vient de trahir son partenaire ?
(Oui, ca parait con, mais quand on y réfléchit un peu …)

En plus, j’avais peur de perdre une super pote en faisant ça.

Mais j’avoue qu’il y avait des soirs ou mon oreiller avait un petit surnom en D, surtout quand elle rentrait dans sa piaule dormir alors qu’on avait regardé un film enlacé l’un dans les bras de l’autre, ou qu’elle était rentrée de cours en me demandant de lui masser le dos, et qu’elle se retrouvait à moitié à poil sur mon lit ….
(Enfin, dans ce dernier cas, je me retrouvais surtout le soir dans mon pieu à me branler frénétiquement en l’imaginant, lors du massage, se retourner, m’embrasser, et m’arracher mes vêtements avant de me chevaucher comme une furie …)

Elle n’était pas une bombasse à talons hauts et gros nichons comme certains les aiment, mais je la trouvais craquounette :
– Petite (1.60m à peine), plutôt mince, les cheveux longs et … chatain clair ? Blonde Foncée ? (Je suis nul avec les couleurs de cheveux) avec de grands yeux verts, des jolies lèvres pleines et sombres.
Elle avait le teint pâle, ce qui fait qu’on avait souvent l’impression qu’elle avait froid. (alors que non.)

Une très jolie poitrine, d’une taille …. ben normale, ni toute petite, ni énorme.
Par contre, elle avait un de ces jolis p’tits culs ! Rhàààààà !!! quand c’est elle qui surveillait la casserole dans la cuisine commune, j’avoue que j’ai passé du temps à le reluquer à la dérobée !!!!
Deux petites pommes gainées de jeans !!!

Bref, revenons a notre job d’étudiant hors du commun.

On enregistrait souvent le soir après les cours, et parfois tard. On ne lisait parfois le texte qu’en arrivant, et cette fois là, c’était le cas.

C’est au bout de quelques lignes à peine que j’ai commencé à me poser des questions.
Je refermai le cahier, regardai le titre : « Maitresse Perverse » (Non, c’était pas ça le titre, mais une connerie dans le genre).

Je devais avoir une tronche franchement étonnée, parce qu’en levant les yeux, je tombais sur les siens et elle se mit à hennir de rire !

« On dirait que ce soir, tu vas devoir me baiser comme une bête ! » rigola-t’elle.
(A ce moment là, j’ai du me dire « Rhô putain ma grande, si tu savais … »)

Je savais que ca faisait partie d’une des collections du studio, mais je pensais un peu naïvement qu’on confiait ça à des … gens qui ne faisaient que ce genre de doublage.

(« Salut ! Je suis doubleur de film, spécialisé en film porno ! On dit que je suis le meilleur pour imiter le gros teuton qui gicle sur la gueule des prostituées Ukrainiennes … » mais quel con …)

On est entré dans notre salle d’enregistrement l’un de nos ingés son habituel, rastaman avec les yeux éclatés, un peu branleur sans doute à cause de THC (bon, ca faisait ton sur ton avec la boite d’édition …)
Il nous laissait souvent en plan avec l’enregistreur qui tourne.
(A sa décharge, Il avait plusieurs salles à gérer, et Daphné était dans une école pour bosser dans le cinoche. Oui, forcément …)

Donc très vite, il s’est barré pour aller s’occuper des autres salles (ou fumer une clope, ou un pétard, ou … Whatever) et Ma Daphné et moi, on s’est retrouvé devant un micro a débiter des âneries devant des acteurs au jeu aussi convaincants que des plantes vertes.

Le texte était TRES mauvais.

Je me souviens juste que le mec que j’incarnais était un médium, ou un hypnotiseur, une connerie dans le genre qui devait exorciser la blondasse.

dans ma tête je me souviens juste que je me suis retrouvé à dire des choses franchement coquines à Daph’, et du coup, j’avais assez chaud, j’étais rougeaud, ma voix tremblait, et j’avais peur qu’on entende mes pulsations cardiaques tellement ma tension était haute …

On a repris pas mal de fois, et ça amusait et agaçait un peu Daphné qui devait à chaque fois aller à la table faire les manips pour stopper, revenir en arrière, etc.

On a fini par se prendre une pause clope , sans que le technicien revienne, et elle m’a fait parler un peu :

– Greg, ca te perturbe autant que ça ce genre de dialogue ?
– Ben, oui !
– Oh, arrête ! Me fais pas le coup du gentil boyscout ! T’en as déjà vu des boulards ! Les deux trois divX au fond de ton étagère ne sont pas si bien planqués que ça !
(NOTE : Oh la garce ! penser à récupérer mon double de clé. Ou planquer mes films de cul ailleurs …)
– Oui, mais là c’est pas pareil, Poulette …
– Parce que c’est à moi que tu dis des dégueulasseries ?
– Ben …
(C’est là que j’ai vu son « sourire de petite canaille » qui ne donnait envie de la plaquer contre un mur en l’agrippant par les cheveux afin de l’embrasser sauvagement …)
– Greg, t’es mignon, mais tu t’es jamais dit que ca pouvait sérieusement m’exciter ce genre de langage ?
(Impression d’avoir le visage qui devient aussi rouge qu’un fer qui sort de forge …)
– OH TU VERRAIS TA TÊTE !!!
(Oui, oui, à ce moment là, elle se fichait bien de ma gueule … Bon c’était bien l’une des rares qui le pouvait sans que je le prenne mal)

On a discuté encore un peu, mais la clope finie, on y est retourné.
Toujours pas de tech. Rien d’étonnant, on passait parfois toute notre soirée de taf sans le voir, quand on devait pas aller à la porte arrière du batiment pour lui dire qu’on avait terminé les rushs.

Avant de retourner devant le micro, ma belle daphné m’a vigoureusement claqué le cul en gueulant :
« ALLEZ, PUTAIN, PETE MOI LE CUL AVEC TON GROS CHIBRE CONNARD ! » ( ou un truc dans le genre)
Hurlements de rires !

J’avoue que c’est là que j’ai commencé à me dérider un peu.

Mais pas pour long, elle a fait sauter son éternel sweat mauve pour se foutre en débardeur.
Le rouge est vite remonté au joues.

On a tout repris, bouclé la partie intro, celle qui fait la part belle au scénar. (LOL !)
Et on en était vers le milieu de la pipe de début de scène quand on a fait une seconde pause.

re-clope, café, Le tech qui passe voir si tout se passe bien (ça va) si on avance (non).
On papote un peu, et dans la discussion, je lâche pour déconner comme quoi je vais être gêné devant Nils (son mec) vu toutes les saloperies que je lui ai dites ce soir.

– Ben aucun risque que tu sois gêné, parce que tu le recroiseras pas. Elle se rallume une sèche.
(HO MERDE, LA GAFFE ….)
Gros silence …
– Je suis désolé ma chérie … Elle vient se blottir contre mon épaule, je la prend dans mes bras. (Enfin mon bras, j’avais un café, même que la promiscuité de ce moment me faisait trembler et que j’avais peur de le lacher !)
Dans ma tête c’était « putain pleure pas-pleure pas-pleure pas-pleure pas … »
Mais non, elle avait l’air plus en colère qu’autre chose.

Pour faire bref, elle m’a expliqué que ca faisait une paire de semaines, mais qu’elle avait pas envie de se prendre le chou avec cette histoire, de la mettre derrière elle.
(En gros, le mec, gros égoïste, en avait marre qu’elle soit à Lyon pour faire ses études et voulait qu’elle rentre pour la voir plus souvent, quoi.)
Mais ça lui a fait du bien d’en parler, et elle m’a RE-claqué le cul quand on est retourné dans la salle, et la fatigue aidant, je lui ai laché :

– Méfies-toi, j’ai plus de raison de me montrer sage !
– Pfff ! Vas-y j’t’attends !

Ne jamais me provoquer.

Je lui ai claqué le cul en retour (Whoh putain, la gaule illico rien qu’a l’idée d’avoir eu ma main en contact avec son ptit boule pendant un dixième de seconde ….) en lui jetant un :
– Tu vas voir ce que tu vas prendre, salope ! (Hé! J’avais le droit, c’était dans le texte !)
– Hé Bé ! ça y est ! t’as sorti le manche à balai que t’avais dans l’cul !
– ouais ben méfies toi, tu sais pas ou est-ce que je vais te le foutre en retour !
(J’étais très fier de cette réplique qui l’a fait exploser de rire, moi qui n’ai pas beaucoup de répartie d’habitude.)

On a repris le taf, mais le texte commençait à être monotone.
Car …. OUI … L’essentiel du boulot est de doubler des gémissements, des râles et des « Ohwicébon ! »

(-_-)

Bon, la première partie sur le canapé (enfin, ou les acteurs sont sur le canapé) était tournée, quand Daphné à tout mis en pause.

– Greg … J’ai … pfff … Tu veux pas qu’on se motive un peu ?
Bon, ok, son visage est rouge brique, mais je vais faire semblant de pas avoir compris.
– C’est à dire ?
– Bon … (Sa voix qui tremble. Oh putain, j’ai l’impression de trembler comme une feuille, j’ai chaud et froid en même temps … Oh bordel …) On est devant un porno, rien que tous les deux, il est tard, on est excité comme des puces, on pourrait …. se désaper un peu, se caresser un peu … Juste pour se mettre dans le bain !
On serait plus convaincants. (Oui, toujours plus que tes excuses, Daphné !)

Je lui fais signe de relancer le magnéto. elle doit pousser une série de gémissements alors que le couple est en levrette sur l’écran.
Je passe mes mains autour de sa taille et commence à lui mordiller l’oreille.
ma main remonte sur ses seins, passe par son corsage pour aller pétrir son sein.
sa main gauche est DIRECT sur ma braguette, j’ai une gaule de fin du monde, et elle commence à la masser …

Putain, je suis en train de chauffer la fille de mes rêves, elle me caresse la queue par dessus mon pantalon, alors qu’on ne s’est même pas encore embrassé.

les deux acteurs se séparent, et c’est à mon tour de dire « SUCE MA QUEUE ! » et … OUI, c’est à ce moment que ma belle partenaire ne trouve rien de mieux à faire que de me prendre au mot … (O_O)

Daphné déboutonne ma braguette en se retenant de rire pour ne pas pourrir la captation, puis baisse mon caleçon, et me prend dans sa bouche …

… Je crois que je n’ai jamais doublé des gémissements aussi convaincants !

J’ai du assez rapidement l’arrêter pour ne pas exploser dans sa bouche, et elle s’est redressée, m’embrassant dans le cou, le débardeur relevé, soutif baissé, ses seins exposés collés contre mon bras, une main encore autour de mon sexe, allant et venant doucement.

Je commence à perdre complètement mes moyens …

– Mon coeur, coupe STP …
Elle va stopper les appareils.
– « Mon coeur » ? demande-t-elle d’un air narquois ?
– Rho, ta gueule …

Et je peux enfin l’embrasser pour la première fois.

On a repris l’enregistrement en mode un peu plus sage de peur que notre pote le drogué décide de revenir faire son travail, mais à un moment, je n’ai pas résisté.
Alors que l’actrice gueulait suite à ce qui semblait être soit une exploration anale extrêmement avancée, brutale et brouillonne, soit une initiation à la spéléologie au bulldozer pour l’acteur, j’ai baissé le jean de Daphné, commencé à lui pétrir les fesses laissées libres par un très joli string en dentelle, que j’ai vite écarté pour pouvoir lui lécher la minette.

Ce fut son quart d’heure de gloire à elle.

Non, ne rêvez pas, nous n’avons pas eu notre premier orgasme dans cette salle là.
Nous avons bouclé la scène ( Hé, machin, on a fini l’enregistrement !) , puis nous avons pris ma caisse, et nous sommes rentrés à la Cité U.

A 2 heures du mat’, dans les rues désertes, Daphné, chauffée à blanc, redoublait d’ingéniosité pour m’exciter.
m’embrasser dans le cou pendant que je conduisais, sortir ma queue pour la caresser, …
J’ai du lui demander de ne pas me sucer, j’avais peur de nous envoyer dans le décor.
Elle a obtempéré mais à profité que nous arrivions à un feu rouge pour retirer débardeur et soutif, afin de s’étirer langoureusement.

J’ai commencé à caresser ses seins :

– Tu as une poitrine divine, mais ce n’est pas ce que je préfère chez toi.
– Ah bon ?
– Oh oui, tu as le cul le plus parfait que j’ai vu, mon regard est souvent attiré de manière magnétique par tes fesses, j’avoue.

Le petit gloussement et le baiser qui ont suivi m’ont complètement fait perdre les pédales, au point que c’est elle qui a du me signaler que le feu était vert …

Arrivés à la piaule on s’est arrachés nos vêtements avant de se jeter sur le lit.
j’étais excité à en avoir mal aux couilles, et il n’a pas fallu que quelques minutes avant qu’on jouisse ensemble. (oui, c’est cliché, mais c’est réellement ce qui est arrivé, à ma grande surprise. Je pensais que ça n’arrivait que dans les bouquins et autres)

Il était prévu ce soir là, après le feu rouge, que je m’occupe de son cul (Daphné avait été assez clair sur ce qu’elle entendait par là : Que je la sodomise … ) mais nous étions tellement excités que nous avons du remettre ça au lendemain.

Si ça vous a plu, je vous en reparlerai un peu. 🙂

N’hésitez pas a me donner vos retours, ca sera avec plaisir.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire