Je me trouvais chez ma belle-sœur, celle qui a une grande maison dans la grande couronne de la banlieue parisienne, vous vous souvenez. J’étais dans ma chambre en train de bouquiner, la maison s’était vidée de ses occupant après le déjeuner, ma belle-sœur, partie avec ma femme pour du shopping, la nièce partie en ballade et seule restait la femme de ménage, Sonia, une tunisienne d’une quarantaine d’années qui sans doute me croyait également sorti.
L’après-midi se passait tranquillement lorsque soudain, dans la chambre voisine de celle où j’étais, j’entends des gémissements de baise provenant de toute évidence d’une télévision. En fait c’est un couple qui baise et le mec s’enfile une nana qui exprime son plaisir. Bizarre, il n’y a que Sonia dans la maison et je ne vois comment un gars, qui parle anglais de plus serait entré et serait en train de baiser. Je me lève sans bruit et me dirige vers la chambre voisine qui est en fait la lingerie où Sonia repasse, chambre qui est dotée d’une petite télévision, cela me revient en tête. Je comprends mieux la situation, la petite Sonia, elle est en effet pas très grande de taille mais elle a une belle paire de seins qui sont trop souvent dissimulés sous un tablier qui lui monte jusqu’au menton, et un beau petit cul, pas trop épanoui pour son âge, regarde simplement un film de cul, normal quoi !
Je jette un coup d’œil dans la lingerie et je vois Sonia assise sur le canapé, son jean descendu au milieu des cuisses, son slip également à mi-cuisses, la chatte à l’air et trois doigts dedans. En même temps qu’elle regarde le film où la femme se fait monter, elle se branle et visiblement, à voir la mouille qui dégouline de son con ça lui donne envie. Je prends mon téléphone portable et discrètement, je prends quelques photos. De la voir se branler, me donne envie de faire la même chose et je sors ma bite qui se sent à l’étroit dans mon pantalon et je démarre quelques va et vient. On se branle ainsi l’un et l’autre et sans la troubler, je pénètre dans la chambre, la bite en main.
Elle est surprise, elle serre la cuisses pour cacher sa chatte mais sa main reste coincée dedans. Le film continue. Elle bafouille : « Mais je vous croyais sorti ! ». Avec un sourire, je lui fais : « Mais non, je suis là et ce que je vois me donne envie de vous baiser. ». Son regard se déplace vers ma bite et elle pense que je vais la lui planter dans sa chatte sans tarder. Elle implore : « Non, pas ça, je vais vous expliquer ». Et elle m’explique en effet ; Son mari a vingt ans de plus qu’elle, il ne la touche plus que très rarement et elle, elle a pris l’habitude de prendre son pied quand la maison est vide. Elle s’achète ses DVD de cul et elle les met pour s’exciter et se branler. Entre temps, je me suis rapproché d’elle et je me suis assis à côté d’elle. Une de mes mains est dans sa chatte et je lui manipule en même temps son clito qui est décalotté et qui n’attendait que mes caresses et une autre de mains est sur ses seins que je pétris à travers son tee-shirt. Elle n’a rien dit quand je me suis approché d’elle et que je me suis emparé de son corps.
Je lui dis : « Mais il va falloir que tu me fasses jouir, Sonia ». Elle me répond : « Oui, tout ce que vous voudrez mais vous ne rentrez pas dans moi ». Je lui dis : « D’accord, mais on va inventer ! ». Sur ce, je m’agenouille entre ses cuisses après que je lui ai enlevé son pantalon et je commence à la sucer. Je commence par avaler une bonne quantité de sa mouille pour faire place nette. Elle a tellement joui que c’est une mouille épaisse, gluante, blanchâtre que je déglutis. Il y a tellement de temps que personne ne lui fait cette caresse qu’elle n’est pas longue a avoir un orgasme terrible : elle serre les cuisses, elle m’enserre la tête, j’ai le nez sur sa fente et je manque de m’étouffer. Elle revient rapidement à elle et dans un sourire, elle me dit : « Merci ! Ça fait longtemps que je n’ai pas joui comme ça ! ». Je m’en étais rendu compte ! On aurait dit que c’était la première fois qu’on lui suçait la chatte !
On s’installe alors en 69, je m’allonge en dessous, elle vient sur moi, sa chatte à portée de ma bouche. Elle me prend la bite dans la sienne et là, je vois que c’est une pro de la pipe. Elle suce en aspirant, elle la rentre au fond de sa gorge, elle crache dessus pour la lubrifier et en même temps elle la branle. Moi, j’ai mis plusieurs doigts dans sa chatte et je vois qu’elle peut en prendre encore plus. Je lui excite la rondelle et elle mouille aussi du cul, ce qui dégage une odeur que je trouve délicieuse. Je pousse mon avantage avec ma main où les cinq doigts joints se sont frayés un passage sans difficulté. Elle apprécie visiblement pas les gémissements qu’elle fait quand elle prend ma bite en main pour la branler. Soudain, après avoir fait un mouvement en avant un peu plus fort que les autres, mon poignet est avalé par sa connasse et ma main se retrouve entièrement dans son con. Tout doucement, je commence alors à bouger les doigts dedans et à tourner ma main. Ce ne sont plus des gémissements qui sortent de sa bouche mais des cris de plaisir.
On en est là de nos ébats, moi la main dans sa chatte, la bite en l’air bandée au maximum et elle en train de hurler son plaisir quand, une jeune fille, à peine la vingtaine, le portrait de sa mère Sonia entre dans la chambre en poussant un cri. Normal qu’elle soit étonnée. On s’arrête dans nos élans Sonia et moi et on s’assoit, penauds, sur le divan. La mouille dégouline de la chatte de Sonia quand j’ai retiré ma main et ma bite n’a plus l’air aussi alerte. Lila, la fille de Sonia demande une explication. Sa mère la lui donne, un peu la même que celle qu’elle m’a donnée. Et là, surprise, Lila, commence à se déshabiller et en un rien de temps, elle est carrément nue. Elle a de seins de rêve, une toison de poils bruns qui viennent à peine de repousser et elle dit : « Je vais en profiter aussi ».
Sonia n’en revient pas, comment sa fille va se faire baiser devant elle. Elle proteste un peu pour la forme mais Lila lui dit avec un sourire : « Après ce que je viens de voir, tu ne vas pas me faire la leçon » et elle vient nous rejoindre sur le divan. Je regarde Sonia et je lui laisse comprendre que je vais « devoir » m’occuper de sa fille pour éviter tout scandale et en plus il va falloir faire vite avant que la maison se remplisse de ses occupants à nouveau.
De fait, c’est Lila qui commence à s’occuper de moi en prenant ma bite en main et en démarrant un va et vient de sa petite main. Il n’en fallait pas plus pour que je recommence à bander. Jalila s’est mise à califourchon sur ma cuisse et je sens qu’elle presse sa chatte contre ma cuisse pour s’exciter le bouton pendant qu’elle me branle. Sonia, nous laisse le divan et va s’asseoir dans un fauteuil pour mieux nous regarder. Sa main est entre ses cuisses et elle se branle gentiment.
La manœuvre de Lila contre ma cuisse a fait ses effets et son petit con commence à déverser une sacrée quantité de mouille. Je me dis que je vais devoir lui faire également une toilette. Je l’installe sur le divan et je me mets entre ses cuisses. Elle comprend immédiatement ce que je veux lui faire et elle les écarte largement. Je m’empare de sa chatte, en fait pas si petite que ça, avec des lèvres déjà bien ourlées et une odeur de vrai femme. Ma langue se déploie dans sa chatte tout en léchouillant son clito qui lui aussi est entièrement décalotté, signe qu’elle a déjà des habitudes masturbatoires bien établies. Sa mouille est plus acide que celle de sa maman, plus liquide et d’un goût exquis. Sonia qui a vu que ma bite était libre, se place à mes pieds et enfourne ma bite dans sa bouche.
Lila est aussi excitable du con que sa mère et elle ne tarde pas à m’enserrer la tête entre ses cuisses au comble de la jouissance. Et c’est quand elle se reprend qu’elle me dit dans un râle : « Je veux ta bite dans mon con ». Sonia est atterrée, comment sa fille n’est plus vierge. Voyant l’interrogation qui pointe dans les yeux de sa mère, Lila lui dit : « Ça fait bien longtemps que je baise et d’ailleurs, je prends la pilule ». Voilà qui est dit ! Je me redresse et j’approche ma bite de la chatte de Lila. J’ya vais doucement pour ne pas lui faire mal. C’est elle qui me dit : « Plus fort, tu peux y aller, défonce moi ».
Sur cette si agréable injonction, je ne me le fais pas répéter deux fois, je la pénètre à fond. Sa mouille abondante me facilite la tâche de baiser sa chatte qui reste étroite. Au fur et à mesure que je la ramone, elle se dilate. Son bassin vient au devant de ma bite et son cul bouge en cadence avec mes mouvements. Je la retourne, elle se place en levrette sur le canapé et je la chevauche sur sa croupe. De mes mains, je lui malaxe les seins qui bougent sous le rythme de mes coups de boutoir sur son cul. C’est alors que je sens une main sur mes couilles et qui fait des ronds autour de ma rondelle. C’est Sonia qui s’est rapprochée de nous pour voir sa fille se faire défoncer par une bite et qui en profite pour y mettre la main. Je me retourne un peu et je la vois effectivement derrière moi, les jambes écartées, une main qui fourre sa chatte et une main sur ma bite. Elle a entouré ma bite de sa main, comme pour me la branler. En faisant ça, elle est en contact avec le con de sa fille qui dégouline de mouille, mes cuisses en sont inondées.
Je ne résiste pas très longtemps à ce régime d’autant plus que je sens la connasse de Lila qui commence à se contracter, signe qu’elle ne va pas tarder à jouir. Je donne deux derniers coups de reins et je me répands dans sa chatte. J’ai l’impression que je n’en finis pas de juter, je lui la dose. Dans sa jouissance, Lila s’est collée encore plus à mon bassin au début et elle s’est effondrée sur le divan dans un deuxième temps, anéantie. Je m’affale à mon tour sur elle en la serrant dans mes bras pendant que ma bite se retire de son con. Un flot de liquide blanchâtre s’écoule de sa chatte et se répand sur le drap qui recouvre le divan. Je me relève, Lila aussi. On se regarde, on se sourit en signe d’une bonne baise partagée. Sonia nous regarde, elle aussi a eu sa part de jouissance et son honneur est sauf, ma bite ne l’a pas pénétrée. Qu’importe si elle a vu sa fille se faire mettre et jouir pratiquement sous ses doigts. On se rhabille rapidement, le temps nous est compté.
Sonia reprend son repassage, sa fille est sagement à côté d’elle, le drap du divan a été changé. Je retourne dans ma chambre. J’ai à peine repris le bouquin que je lisais dans les mains qu’on entend ma belle-sœur et ma femme revenir de leur shopping…
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