On était avec Katia perdues au milieu de nulle part et nos téléphones portables ne captaient rien. Nous avions un pneu de crever. Au bout d’une demi-heure à se morfondre, une voiture apparue sur la route. Avec Katia, on fit de grands signes désespérés pour qu’elle s’arrête nous aider. Il y avait deux hommes de la campagne à l’intérieur. Katia leur expliqua qu’on avait crevé et qu’en plus on était perdues. Ils descendirent pour voir notre voiture et brusquement un des deux homme saisit Katia par les cheveux et lui esséra la gorge comme pour l’étrangler.
« Tu te laisse faire sinon j’dérouille ta copine ! »
J’étais si terrorisée que je ne réagis pas lorsque l’autre compère me poussa contre un arbre. Comme il faisait chaud, j’étais très légèrement vêtue et sans soutien-gorge. Lors de cette agression, un de mes seins était sorti ma robe. L’homme m’attacha à l’arbre facilement tant j’étais bloquée par la peur. Il dit alors à Katia :
« Il faut être stupide pour trainer par ici quand on est deux jolies salopes comme vous ! On va s’amuser avec vous mais si vous bronchez les salopes on vous dérouille ! »
Il ouvrit son couteau et commença à découper les vêtements de ma copine. Elle me regarda avec un visage désolé en signe d’impuissance pour ce qu’ils étaient sur le point de lui faire. Il lui était impossible de résister. Elle se disait que s’il prenaient du plaisir, ils ne seraient pas trop brutaux et nous abandonneraient une foi leur affaire faite. Une fois nue, ils commencèrent à la caresser fermement, à malaxer ses seins, ses fesses, sa chatte. Elle se mordait fort les lèvres pour ne pas crier. L’un des agresseurs lui écarta les jambes et lui mis un doigt puis deux puis 3 entrèrent en elle. Un insupportable gémissement s’échappa de sa gorge.Tout à coup, elle sentit quelque chose de chaud et dur remplaçant les doigt et elle compris que c’était l’homme derrière elle qui la pénétrai. Cela dura un long moment. Ensuite, ils la firent mettre à genoux et l’attachèrent à une grosse branche horizontale. L’homme vint se placer devant elle, lui attrapa la tete et lui mit son sexe dans la bouche. Ils finit par se retirer, aprés avoir éjaculé dans sa bouche. Ils la laissére là nue et souillée, attachée à cette branche d’arbre. Les deux lascars vinrent vers moi.
« Ok ma salope, maintenant c’est à ton tour d’être une bonne fille sans quoi ta copine va terriblement déguster. »
Sans me détacher, ils m’arrachére violemment ma petite robe d’été et mon string.
« T’as bien vu c’qu’on a fait à ta copine ? Et bien on va voir si t’es aussi salope qu’elle ! »
Je restais muette de peur mais Katia hurla :
« Nooon ! S’il vous plaît ! laissez là.. ! Prenez-moi … Faites ce que vous voulez de moi, .. mais épargnez-là… »
Moi qui d’habitude aime pomper un mec, j’eu un mouvement de recul lorsque l’homme approcha son sexe de ma bouche. Son pote me bloqua fermement la tête en me pinçant le nez m’obligeant ainsi à ouvrir la bouche.
« Si tu ne le suce pas correctement, on va te corriger à coup de ceinturon ma salope ! J’y certain que t’es une bonne pompe à bite ! »
Les loustiques étaient endurant et notre calvaire dura au moins deux heures. Tous nos orifices y passèrent. Une fois leur affaire faite, curieusement, j’oserais presque dire qu’ils eurent la délicatesse de nous changer notre roue avant de nous détacher et nous abandonner nue sur cette route déserte couvertes de sperme. Nous rejoignâme le camping en pleine nuit et priment une douche en nous enlaçant comme pour se réconforter mutuellement d’être saine et sauve.Nous avons fait l’amour avec plus de vigueur qu’à l’habitude comme pour se décharger de toute cette adrénaline. Nous avions eu si honte que nous avons préféré oublier cette histoire.
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