Plusieurs heures passent… Nous debriefons avec Émilie :
– Tu as visiblement apprécié ce rendez-vous vous non…?
– merci mon amour, c’était fou, je suis surprise que tu n’ais pas essayé de baiser Florence, ni même demandé… Je crois que vu mon état je t’aurai dis oui sans broncher..
– c’était le deal non ?
– C’est vrai…
– j’étais tellement focus à t’imaginer devant ta mère en même temps…
– j’ai honte David…
– honte de quoi ?
– j’ai joui plusieurs fois parce que j’imaginais que c’était maman qui me baisait avec le concombre…
– Pas de tabou.. Impossible en vrai c’est certain mais si ça t’as fait décoller… Assume !
– Tu as raison…
– Tu veux essayer quelque chose de plus concret ?
– C’est à dire?
– Baiser devant ta mère ?
– hein ? Mais t’es taré !
– Attends.. Ta mère prend des somnifères ou je ne sais quoi non ?
– et…?
– a chaque fois elle dit qu’elle tombe comme une crepe si elle va pas directement au lit… Une fois endormie profondément, je peux te baiser profondément… Je veux voir si ça t’excite en réel, à défaut qu’elle le voit de ses yeux, je veux qu’elle soit à côté…
– c’est tordu… On verra sur le moment mais si ça te fait plaisir…
– et on verra si ça t’excite en vrai ? Au pire on arrête
Quelques jours plus tard Florence m’écrit :
– Que fais tu cher gendre?
– Pas grand chose, je trie mes emails, passionnant !
– Tu veux que je passe te vider ? Je suis pas loin.
– je ne peux pas, pas le temps… Désolé..
– allez, en dix minutes c’est fait… Promis.
– et Philippe !?
– il est parti ce matin, il revient début de semaine prochaine.
– appelles Thomas ?
– Je peux ?
– a titre exceptionnel. Mais dans ton sous sol, on vient passer le week-end chez vous ?
– OK super…
– autre chose… Émilie a l’air de kiffer baiser en imaginant que tu es la. Si possible endort toi avec tes somnifères, je m’occupe du reste ?
– je suis presque dans le c*** avec ce médicament… Fais ce qu’il te plaît… Tu me racontes le lendemain alors !
– évidemment belle maman… A ce soir !
Je vous passe les détails, nous organisons l’arrivée chez Florence, le repas se passe, on debriefe de nos semaines, Émilie part prendre un bain avant de se faire un film dans le salon. J’en profite pour échanger avec Florence.
– Belle maman, as tu des nouvelles de Thomas ?
– Ah tu veux la?
– la ou demain enfin ce week-end quoi… Tu voulais vider des couilles non ?
J’entends qu’emilie coupe l’eau, entre dans son bain, la salle de bain au rez-de-chaussée est collée à la cuisine. J’ouvre mon pantalon et sors ma queue, Florence est toujours assise à table.
– on a quelques minutes non ?
Florence ne pose pas de questions, elle vient immédiatement se mettre à genoux et lecher mes couilles.
– Putain, je me lasserai jamais de la langue de ma belle mère sur mes couilles.
Je me branle en même temps, Florence s’applique à venir lecher jusqu’à la naissance de mes fesses. Cette situation m’excite tellement… Elle prend enfin ma queue en bouche et commence à me sucer très hard directement, la prend en gorge immédiatement.
– Tu veux me faire jouir directement !?
– on a pas beaucoup de temps tu as dit !
– encore 10 minutes maximum je dirai.
Florence allume la tv dans la cuisine, monte un peu plus le son que de raison. Elle baisse son pantalon et se met à genoux en levrette sur le carrelage.
– Defonce moi tout de suite. Perds pas de temps, vide des couilles.
Je bande tellement dur. Nul besoin de m’assurer qu’elle mouille, sa chatte est luisante, je la pénetre sans précaution. Accroupi derrière elle, je donne tout, tout de suite. J’att**** un torchon qui traîne accroché à une porte de placard.
– mets ça dans ta bouche, je veux pas t’entendre.
Florence gemit, étouffée par ce torchon sans lequel elle hurle… Je la tiens par les hanches, je meurs d’envie de l’enculer mais je n’ai pas le temps.
– Je vais te remplir la chatte belle maman…
Je sens son vagin qui se contracte au moment au je gicle en elle, ma queue est expulsée avant d’avoir fini de me vider. Je finis de me vider sur son cul. Florence tente de mettre sa main sur sa chatte en tremblant. Il est trop tard, elle giclé a son tour sur le carrelage. Hurle dans le torchon, heureusement qu’il est la…
Encore une situation d’urgence, on entend Émilie qui coupe la musique et le verrou de la salle de bain qui s’ouvre, Florence se relève d’un coup, remonte son jean, ses cuisses ruissellantes laissent immédiatement des traces mouillées sur le pantalon. Elle regarde son carrelage, un flaque de cyprine, de pisse est visible.
Je sens qu’elle est dépassée, elle s’enfuit dans le salon. Elle pense que c’est fini. Heureusement j’ai de la répartie. Émilie revient en peignoir dans la cuisine.
– attention Émilie, le chien a pissé sur le carrelage.
– Putain encore ! Il est chiant ce chien !
Du salon Florence intervient.
– ne touche à rien Émilie je vais nettoyer !
– Non maman laisse je m’en occupe t’inquiète pas.
– On gère belle maman pas de souci…
– bon bah… Je vais me doucher alors…!?
– allez y !
Quelle situation étrange… Voir sa copine nettoyer la giclée de sa mère. Si elle regardait mon pantalon elle verrai que je bande encore… Tout cela s’est passé si vite…
– Émilie, je file à la douche après ta mère et on lance le film ?
– OK !
Après la mère, je compte bien baiser la fille…
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