Je n’ai jamais aimé faire les choses simples. Les filles que je percevais comme étant trop ouvertes me rebutaient, et je m’orientais vers les femmes qui à mon sens avaient plus à offrir que leur cul. Cat faisait parties de celles-ci. Elle aimait le fantastique, croyait à la pureté de la nature (et aux bienfait qu’il peut y avoir à se faire du bien), était branchée jeux vidéo et n’aimait pas trop le maquillage.
Elle avait découvert mon corps et ma queue dans le noir, ce qui caractériserait en quelque sorte notre relation : cachée du regard des étudiants avec lesquels nous vivions. Nous nous retrouvions pour jouer à touche-pipi puissance dix, mais elle avait jusque-là refusé la pénétration, par souhait de se préserver pour le mariage.
Je trouvais ça invraisemblable – comment est-ce possible d’être tellement lubrique et ne pas vouloir se faire pénétrer ? Mon esprit de garçon à peine homme peinait à comprendre, mais je tentai de respecter son souhait le plus possible. C’était quand même délicieux de se chercher, de me retrouver à frotter ma verge entre ses lèvres, à jouer avec le feu. Je savais, quand je voyais qu’elle portait une robe longue, qu’il n’y avait rien en dessous – et cela me faisait durcir rapidement.
Ainsi je rêvassais dans les parties communes de notre maison d’étudiants, allongé sous la couette devant la télé un dimanche après-midi. Le feuilleton soporifique faisait passer un peu le temps, et à un moment que je ne distinguais pas d’un autre, elle entra, se glissant sous la couette avec moi d’un air enjoué. Elle sautillait presque ; pensez-vous que j’ai tout de suite remarqué la robe !
Elle se fit la petite cuillère, et pressa ses fesses contre mon érection instantanée. Ma main allait reprendre son parcours habituel sous la couette, quand elle me l’attrapa, et la crispa autour de la robe, la relevant. Je sentis sa jambe soyeuse effleurer mes doigts enlacés dans les siens. Nous passions le genou, que ma queue étouffait dans mon caleçon. Elle glissa ma main par-dessus ses fesses, et me fit parcourir le doigt entre des rotondités fermes que je connaissais déjà bien – c’est en tout cas ce que je croyais. Mon doigt glissa agréablement alors que je sentit son cul lubrifié, à ma grande stupéfaction.
« J’ai trouvé un compromis » souria-t-elle, laissant ma main entre ses fesses, me frottant la queue au travers de mon pantalon désormais trop serré. Adroitement, alors qu’elle était de dos, elle déboutonna mon pantalon – et c’est alors que les choses se compliquèrent.
Ben et ses potes firent irruption dans la pièce. Nous étions allongés, elle et moi, mon sexe dru dans sa main, une couette occultant nos mouvements, avec une bande de potes énergiques autour de nous, qui se posaient pour regarder le film que nous mations. A ma grande surprise, la conversation vint facilement alors qu’elle, qui faisait mine de somnoler orienta ma queue contre son cul – et recula contre moi.
C’était tellement serré, et je me félicitais de mon jeu d’acteur alors que je sentais mon gland pénétrer assez pour qu’elle puisse lâcher ma queue. C’était sa première fois, et je sentais mes hanches se rapprocher de ses fesses rebondies. Ma queue ne rencontrait aucune résistance, et je dus me retenir de gémir. Alors que l’ambiance se décontractait autour de nous avec le film, nous tentions de rester discrets alors que je lui attrapai les hanches pour la sodomiser. Je sentais le danger autour de nous, mais j’étais tellement excité à l’idée qu’on soit découverts que j’en prenais encore plus de plaisir. De temps en temps, elle ferait mine de passer la main sous la couette pour se gratter une jambe mais en profita pour écarter ses fesses et mettre un coup un peu for sur la queue. Je la pénétrais aussi lentement que possible, mais imaginez notre soulagement quand les potes s’éclipsèrent pour autre-chose : je débarrassais la couette et d’un commun accord, elle se mit a genoux devant le canapé, enfonçant la tête dans les coussins, et je sautais derrière. Quelle ne fut pas ma surprise quand son cul, désormais habitué à ma queue, se laissa pénétrer le plus facilement du monde !
Je la défonçai sous ses encouragements lubriques. La pression, la passion étaient telles, entre la sueur, la moiteur, le confort de son cul, que je ne mis pas longtemps a la remplir de mon sperme. En transe, je continuais à pomper, profitant de la beauté de la vue, de la sensation presque trop intense de l’après-orgasme jusqu’à ce que je sois redevenu flasque. Epuisé, je me retirais, et elle restait prostrée, un sourire satisfait sur son visage.
Je me retirais, et je remarquais qu’elle se masturbait encore, une paire de doigts entre les lèvres. Elle ouvrit les yeux, et sourit.
« Encore, » gémit-elle.
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