J’ai été élevé dans un environnement où le sexe a toujours fait partie de la vie. Mes parents parlaient ouvertement de tous les sujets et ils m’avaient élevé avec la notion que tant que quelque chose était fait avec le consentement de deux adultes, il n’y avait rien de tabou. Très jeune j’avais donc connu les plaisir du sexe d’abord en solitaire puis vers 14 ans avec un partenaire…mon copain aimait l’anal, et il m’a initié à tous les plaisirs qu’il pouvait voir dans les films classés X.
Bref, j’avais maintenant 18 ans, j’habitais maintenant en appartement et j’étais libre comme l’air. J’avais pris un petit boulot dans un TIm Horton mais je détestais les clients revèches, les pourboires minables et travailler de nuit avec les poirots qui dégueule sur le plancher…En jasant avec une des « filles de la nuit » qui venaient parfois prendre un café entre deux clients, je me suis suprise à penser que je pourrais peut-être joindre le plaisir au travail en baisant pour du cash. Je pouvais tenter de faire le trottoir mais je connaissais assez la rue pour savoir que s’était un mauvais choix…je devais donc faire affaire avec une agence.
Pas moins d’un mois après avoir pris mon envole, je me rendais clopin clopant à une entrevue avec une agence. La dame aurait pu être ma mère, elle avait l’air d’un raisin sec et avait une voix de crécelle. Elle me posa un paquet de questions sur mes raisons de vouloir vendre mon cul, sur ce que j’aimais faire, quelles étaient mes limites…Je dois lui avoir plu par ma franchise parce qu’elle me demanda tout de go de me mettre à poil pour prendre les photos…J’avais prévu le coup et enfilé mes plus beaux sous-vêtements. Elle me posa sous tous les angles, dans des poses des plus suggestives puis m’expliqua le fonctionnement de l’agence, leur mode de protection des filles ainsi de suite…puis me donna un pager ( maintenant j’aurais un cellulaire…) et puis voilà…
Deux jours avant que mon pager ne sonne…j’étais nerveuse et je tenais à peine en place lorsque je reçu ma première rencontre. Marc, mon garde du corps attitré vint me chercher à mon appart. S’était un grand gars barraqué comme un tonneau au visage couvert d’acné mais il avait l’air d’un gros nournours…Bref, nous nous sommes tout de suite entendu. Il m’a répété une fois de plus les consignes de sécurité et de l’appeler une fois que le client m’avait appelé pour dire que tout était correcte…
Puis je me suis présentée à la chambre d’hotel qu’on m’avait donné. Je m’étais habillée de manière très simple, une robe noire moulante mais pas choquante, une canadienne noir, bas de nylon, soulier à talon. Je n’avais pas l’air d’une pute et je passai sans trop attiré l’attention du personnel du Sheraton où j’avais été appelée.
Mon coeur battait la chamade, mes jambes tenaient à peine debout mais ma chatte mouillait déjà d’excitation à l’idée de me faire mettre par un inconnu. Lorsque la porte s’ouvrit, je faillis pouffer de rire. Un asiatique d’un âge incertain ( mais certainement entre 50 et 70 ans) se tenait devant moi. Un petit sourire coquin passa rapidement sur son visage impassible puis il m’invita à entrer. Il m’offrit un verre, je lui expliquai dans un anglais rendu imparfait par ma nervosité que je devais être payée et téléphoner avant quoi que ce soit…Il acquiessa de la tête et me tendit quatre billets de cent dollars…à ce prix là, je savais que j’avais à faire la totale…J’étais un peu déçue de la tête du client mais comme j’empochais la moitié de la somme, je ne devais pas faire la difficile. J’appelai Marc, lui dit que tout était correcte puis je pris le verre qu’on me tendais. Une fois ma vodka terminée, il m’invita à passer dans la salle de bain…
Il y avait un bain sur patte et une douche téléphone. L’endroit était vraiment vaste et très beau. Délicatement, il détacha ma robe, qui glissa sur le sol, puis mes sous-vêtements. Parfois il tâtais mes fesses, parfois mes seins, puis il me poussa doucement et sans un mot vers le bain. J’étais nerveuse, allait-il me faire un coup de traître et me noyer dans la baignoire??? Je me disais que j’avais vu trop de film…mais bon…on ne sais jamais. Il fit couler un bon bain chaud, puis me fit glisser dedans. Il se dévêtit jusqu’à la taille et je pu voir à quel point il était rachitique. Impassible, il glissa sa main dans un gant de toilette et me lava de la tête au pied. Je n’avais jamais eu un traitement de faveur aussi en profondeur. Il me faisait mettre à genoux pour laver ma chatte, glissant habilement ses doigts entre mes grandes lèvres, il paraissait étudier mon anatomie avec précision, puis palpa mes seins un à un les soupesant, les pinçants du bout de l’index puis passant même un coup de langue dessus. Puis, il me fit mettre à quatre pattes pour laver mes fesses, écarter celles-ci pour mieux laver mon anus. Savonnant son index, il le glissa doucement dans mon anus dans un mouvement de va-et-vient qui me laissa échapper un gémissement. Cela le fit sourire.
Je fus invité à sortir du bain, séchèe avec une serviette puis il me poussa vers le lit et me positionna à quatre pattes. Je pouvais le voir à l’envers enlever son pantalon et son caleçon pour laisser apparaître une verge de taille moyenne mais cachée dans une touffe de poils hirsute…Pendant un moment, il ressembla à un curateur de musée observant une statue comtemporaine. Je me sentais ridicule le cul en l’air, les seins pointant vers le bas mais affreusement durs…et la chatte déjà excitée…pourtant je ne voyais pas ce qui pouvais m’exciter chez ce petit être décharné.
Il me fit plier les bras, pour tenir en équilibre sur le cou, le cul bien dans les airs puis je reçu le coup de grâce. D’un coup de langue expert, il la glissa entre mes grandes lèvres déjà chargées de jus. Il happa mon petit clitoris et je faillis le ruer tellement je fus traversée par un éclair de plaisir. Mes grands lèvres sont très profonde, et il devait s’enfoncer la moitié du visage dans ma chatte pour accéder à mon bouton de plaisir malgré tout, il s’y attaquait avec une ardeur toute juvénile. Il me tapa deux fois sur les fesses et me fit signe de me coucher sur le dos. Je repris donc position, sur le dos, les jambes bien ouverte, la chatte également bien ouverte. Je pouvais voir maintenant son sexe bien bandé. Il passa sa main sur son sexe à quelques reprises puis se remit à genou devan ma chatte, exposant maintenant avec sa main, mon clitoris qu’il caressait du bout du doigt. Mes fesses valsaient d’un côté et de l’autre, et je gémissais. Il regardait ma chatte comme un joyau, suçais mon clito, passait son doigt sur mon unique petite lèvre ( eh oui, la nature m’a faite avec une seule petite lèvre) puis il glissa un doigt puis deux dans ma chatte… Je ne savais plus comment me contenir…et j’explosai d’une longue salve juteuse dans son visage sans avoir eu le temps de l’avertir…Surpris, il me regarda avec convoitise. Jamais je n’avais vu autant de désir dans les yeux d’un homme…Il me lécha rapidement, avidement cherchant à récupérer chaque goutte du jus qui s’était échappé de ma chatte. Sa langue passait parfois sur mon anus qui se dilatait à son tour…espérant peut-être servir un peu… Puis il enfila une capote sur son sexe qui était à présent tellement tendu que j’avais peur qu’il explose. Je voyais poindre ses couilles de sa touffe de poils. J’avais envie de le prendre un peu dans ma bouche, mais il me repoussa fronçant les sourcils. Je devais me laisser faire voilà le message. Je repris docilement ma place couchée sur le dos.
Il recommença son manège avec sa langue et ses doigts une fois de plus. Cette fois, je sentais qu’il cherchait à me faire jouir dans sa bouche et je me détendis afin de lui offrir ce qu’il voulait…Puis lorsqu’il hasarda son doigt lubrifié de bave dans mon anus tout en passant sa langue dans ma chatte, j’éclatai de nouveau. Il était prêt cette fois et avala le jus gouluement. Tout heureux comme un gamin, il enleva ses doigts et se coucha sur moi, il m’arrivait à peine aux seins mais ce n’était pas vraiment un problème puisqu’il en glissa un immédiatement dans sa bouche avant de me pénétrer. Le mouvement de va-et-vient était sommes toute très ordinaire, je suis des ces femmes qui préfère de loin le doggy, je ne sens pas grand chose en missionnaire, mais bon au prix qu’il payait je m’en foutais…puis sa manière de lécher et manger mes seins valait bien la peine de ne presque rien sentir…
Il sembla sentir mon absence de sensation puisqu’il m’interrogea du regard et je tentai de lui montrer en caressant ma chatte que je ne sentais rien…Il me plaça donc à quatre pattes et je mouillai déjà à l’idée de me faire prendre ainsi. Il glissa une fois de plus sa langue dans ma chatte mouillée de plaisir puis se planta à l’intérieur. Cette fois, je sentis beaucoup mieux sa queue qui, je le sentais maintenant beaucoup mieux, possédait un gros gland. Il entrait et sortait faisant vibrer ma petite lèvre à chaque pénétration. Une fois de plus, je sentais la tension de ma chatte monter et il la sentait également. Il ralentit le mouvement, frottant maintenant son gland massue sur les abords intérieurs de ma chattes. Mon anus palpitait et cela dû attirer son regard car sa queue disparue de ma chatte pendant quelques minutes et je sentis sa langue habile et pointue tenter d’y pénétrer…puis il cracha dessus et pénétra ma chatte de sa queue et mon anus de son pouce d’un même coup…je hurlai de plaisir et une fois de plus l’innondai de mon jus. Il ressortit une fois de plus pour me faire un nettoyage avec la langue puis retourna plus bandé que jamais dans ma chatte où son rythme accéléra. Je sentis son pouce entrer une fois de plus entrer dans mon cul et je me permis de glisser deux doigts autour de mon clito pour me faire jouir…( Bien que je sois capable de jouir vaginalement de manière très mouillée…je préfère venir avec mon clito…je sens l’acte plus complet…). Je le sentais se tendre derrière moi…et à la dernière minute, il se retira, enleva sa capote parce que je sentis un long jet de sperme couler dans mon dos. Il caressa un moment ma chatte, mon anus de manière habile et délicate. Je jouie deux fois de plus, puis il essuya mon dos et me présenta la salle de bain pour que je puisse me rhabiller.
Lorsque je sortis, il avait un sourire énigmatique sur les lèvres, je venais de rendre un vieil homme heureux. Avant de m’aider à mettre mon manteau, il me tendit un billet de 100$ et me tapota les fesses. Je lui fis la bise, ce qui le fit rougir jusqu’aux oreilles et je quittai la chambre. J’avais les jambes aussi molles qu’à mon entrée mais parce que j’étais épuisée. Marc m’attendait patiemment quelques rues plus bas. Je lui remis la part de l’agence, gardant mon pourboire pour moi. Marc me demanda si j’avais aimé ma première expérience et si j’allais continuer…je lui souris et il compris immédiatement que j’avais adoré l’expérience.
Il me déposa à la maison et je retournai à mon appartement. En quittant l’auto, je m’étais demandé s’il fallait que je donne un pourboire à Marc, je savais que généralement les filles offraient une pipe au gars ou un hand job…mais bon…je me suis dis que je lui demanderais une prochaine fois. Pour le moment j’avais vraiment envie d’une bonne douche…et d’une masturbation intense….en repensant à ma dernière aventure… hummmmm
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