Voici une histoire qui m’est arrivée il y a quelques jours, début juillet…
Je me rends chez une amie, une très bonne amie 😉
Au préalable, elle m’a appelé pour me demander de regarder son installation internet, car elle fonctionnait mal, et donc, me voici chez elle… Elle me fait rentrer, m’accueille et me propose une bière bien fraîche, c’est la canicule dehors et ces quelques kilomètres en voiture m’ont donné chaud.Je l’accepte avec plaisir et nous entamons la discussion, je lui demande des nouvelles, d’elle même et de son futur mari dont je vais être le témoin. Comme toujours lorsqu’elle reste à la maison, elle ne porte qu’un très léger peignoir.
Puis je me mets au travail et commence à examiner son installation, tout en continuant de discuter…
C’est alors qu’elle me dit : « Il fait décidément trop chaud, je me sens mal je vais aller prendre une douche si cela ne te fais rien. Fais ce que tu as à faire, et fais comme toujours, comme chez toi! ». Je lui réponds: « Ne t’en fais pas pour moi, je n’en aurai pas pour longtemps ».
En effet, le temps qu’elle ait pris sa douche, j’avais terminé et me servais une autre bière. Elle me rejoint dans la cuisine, nue et humide dans son peignoir et me prend la main gauche, la pose sur son sein droit en me disant: « Tu sais très bien qu’on en a tous les deux envie depuis longtemps, ne te fais pas prier! », je lui réponds que c’est mal, que je suis le témoin de son futur mari et que je ne veux pas faire ça à un de mes amis…
Elle s’empare alors de mon autre main et la glisse entre ses jambes en me disant: « Tais toi, tu vois bien que je mouille et que j’ai envie de toi! ». Par égard envers mon ami, j’essaie par toutes les manières de repousser ses avances, mais j’ai l’impression que mon sexe va faire craquer tous les boutons de mon jean, et elle s’en aperçoit très vite, alors elle m’embrasse sauvagement et tout en faisant attention de ne pas briser le filet de salive qui nous relie, elle me dit: « Ne crains rien, nous ne lui dirons rien. », puis se mets à genoux et englouti mon sexe en pleine forme dans sa gorge… Je ne peux plus résister et me laisse faire avec délectation…
Elle se relève alors et m’entraîne dans le salon, ôte son peignoir, s’allonge sur le canapé en cuir blanc, écarte ses cuisses puis à l’aide de ses doigts, écarte ses lèvres et me crie: « Vas-y, baise-moi! Baise-moi comme une salope, aujourd’hui je suis ta pute! ».
Je remarque alors qu’elle avait profité de sa douche pour se refaire « une beauté », son sexe est totalement rasé et n’attend plus que moi, je m’exécute alors sans autre forme de préliminaire et la pénètre sauvagement, en effet, ça faisait un moment que j’en avais envie, et que je bandais comme un fou à chacune de nos rencontres.
Au bout de quelques minutes, elle me repousse et m’assoit dans le canapé, puis me ravale la queue encore plus goulûment que précédemment et s’arrête en me disant, « putain ce que j’aime ta queue, fous la moi dans le cul, j’en peux plus! ».
Je la guide alors en position, à genoux sur le canapé, la tête dans le dossier, et sans y faire plus de détails, je rentre ma queue dans son anus déjà dilaté naturellement, et oui, Madame aime beaucoup la sodomie!
J’ai pris mon temps, alternant les rythmes, parfois langoureux, parfois très rapide, parfois doux, et parfois très hard et au bout de quelques minutes la jouissance commençant à monter pour nous deux, elle me crie alors: » Vas-y, jouis! Jouis dans mon cul! Jouis dans mon cul! Salaud! Remplis-moi le cul de ton foutre et care-la moi dans la bouche!! » . Je m’exécute, accélère les allez-retours, tapant de plus en plus fort dans son cul, giflant ses fesses de plus en plus fort… Nous avons joui ensemble, je sentais mon jus déborder en même temps que je ressentais les spasmes de son sphincter qui me pressaient la queue…Une fois que nos spasmes se sont calmés, je me retirais et lui enfournais le sexe dans la bouche pour qu’elle termine ce qu’elle avait si bien commencé…
Nous n’avons attendu que quelques minutes avant de remettre ça, car j’avais envie de lui gicler sur le visage et dans la bouche, ce qu’elle a particulièrement apprécié…
Quelle journée torride!
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