Voilà, j’ai perdu ma secrétaire : congé de maladie du jour au lendemain et le travail est monstrueux. Comment la remplacer à pied levé… Je fais appel à une agence de placement qui m’en envoie une dès le lendemain.
A 8 h30 le lendemain, elle est déjà dans la salle d’attente. Un tailleur noir ultra-sexy, chemise blanche un peu trop ouverte, elle aurait pu attacher un autre bouton… Souliers noirs à talon haut. Une bouche charnue toute rouge comme son vernis à ongle (pas très discret). Elle semble très sûre d’elle. Bon, pourvu qu’elle soit efficace, c’est tout ce que je demande pour l’instant.
Je l’invite à entrer dans mon bureau et lui présente la situation. Je fais le tour de ses compétences; de toute évidence elle semble très efficace.
Devant moi certains dossiers que je veux lui montrer. Elle s’avance tout près de moi et se penche pour les regarder. Son parfum est envoûtant, très provocateur. En se penchant, je vois la naissance de ses seins. Là, je m’égare un peu et me dis que finalement je détacherais bien encore un ou deux boutons de cette chemise. Je me ressaisis et elle retourne s’asseoir devant moi, elle se croise les jambes; mais elle n’a pas de petites culottes, j’ai cru voir sa chatte, mais je n’en suis pas sûr, tout s’est déroulé trop vite. J’ai beaucoup de difficulté à me concentrer, je pense : mais qui est cette belle cochonne…
Elle me parle organisation du travail, mais je ne l’écoute plus. Je l’imagine alors assise sur mon bureau, la jupe remontée, les jambes complètement écartées et moi lui dévorant la chatte, le chemisier ouvert sur un soutien-gorge en dentelle blanche et ses seins, qui veulent en sortir, je vois un peu ses mamelons.
Elle me pose une question. Je semble hébété… Elle me demande si tout va bien. Je reviens alors sur terre et lui dit que oui. On reprend le travail. Il faut que je la reconduise à son bureau, mais je me rends compte que j’ai une énorme érection, qui se voit de toute évidence. Alors j’étire le temps, je dois absolument reprendre mes esprits et vite. Mais qu’est-ce qu’ils ont pensé de m’envoyer une bombe pareille; j’aurai de la difficulté à finir la semaine en toute quiétude. Le vendredi soir, je lui demande si elle peut travailler le lendemain, histoire de reprendre un peu le temps perdu. Ce qu’elle accepte.
Chez moi le lendemain matin, avec ma femme, je n’arrête pas de penser à elle. Je vais à la salle de bain et me masturbe comme un cochon en pensant à elle, je lui mettrais bien ma queue bien bandée là dans sa chatte juteuse à cette cochonne. J’éjacule. Là je décide de me rendre au bureau, juste pour voir, on ne sait jamais…
J’arrive à mon bureau et j’entend du bruit derrière la porte, des gémissements. J’entrouvre et qu’est-ce que je vois : cette cochonne assise sur le bureau en train de pomper le concierge. Elle a un T-shirt remonté au-dessus de ses seins. La jupe remontée elle aussi et la chatte qui dégoûline. Tout ce que j’ai rêvé de lui faire, le concierge s’apprête à le lui faire. Non trop, c’est trop. C’est moi qui va l’enfoncer, c’est ma queue à moi qu’elle va avoir dans la bouche. C’est ma langue qui va lui labourer le clito.
J’entre précipitamment et demande au concierge de partir immédiatement; que cela ne se fait pas, pas dans MON BUREAU tout de même. Il part sans demander son reste.
Elle, elle reste là subjugée, ne sachant pas trop quoi faire. Elle redescend sa jupe, réajuste son chandail et elle est comme une petite fille prise la main dans le sac, elle rougit énormément. Sans lui laisser le temps de se reprendre, je lui sors mon membre, énorme, il va éclater. Rien à voir avec celui du concierge; elle est saisie. Je m’approche d’elle, lui fourre ma langue dans la bouche et elle répond en m’embrassant fougueusement. De toute façon, elle est déjà tellement mouillée, ca lui coule entre les jambes,je la plaque sur le bureau, lui remonte la jupe et la dévore. Elle crie, jouis; je lui ordonne alors de se mettre toute nue, là sans attendre, je la veux et de toute façon elle doit m’obéir, je suis son patron. Elle s’exécute. Elle est toute nue et je lui demande de se mettre à quatre pattes pour me manger la queue. Ce qu’elle suce cette cochonne, jamais je n’ai été sucé de la sorte. Je la retourne sur le bureau et là je l’encule, je l’encule et met ma queue dans sa chatte, en alternance et elle aime ca, elle en redemande.
Maintenant je veux mettre mon membre entre ses seins, ce que je fais. Elle les tient bien serrés et je lui fais un mouvement de va-et-vient d’enfer. Je vais répandre ton sperme d’un moment à l’autre et je veux qu’elle l’avale. Elle engloutit ma queue et avale tout mon jus, il en coule sur le bord de sa bouche, elle le ramasse avec ses doigts, m’en donne un peu et avale le reste.
A partir de maintenant, elle devra faire des heures supplémentaires à tous les soirs, je vais la culbuter sans arrêt après le travail…
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