J’étais dans la salle d’attente de mon médecin traitant lorsqu’elle entra. C’était une magnifique blonde enceinte d’au moins sept mois. Je cru reconnaître une camarade d’enfance. Il y avait un patient encore avant moi et j’allais prés d’elle afin de discuter.
Effectivement, on avait été dans la même école et dans la même classe. On s’était perdu de vue après le bac. J’étais très heureuse de la revoir et cela sembla réciproque. Elle me proposa de venir boire un thé chez afin de discuter de ce qui c’était passé depuis.
Je l’attendis après ma consultation. Elle était venu pour un contrôle de routine. Comme je l’avais dis, elle était dans son septième mois.
On arriva dans une belle maison, décoré avec beaucoup de goût. Il y avait beaucoup de photos d’elle, de sa famille, mais je ne vis aucune photo d’homme.
On discuta longuement devant une tasse de thé. Elle avait rien réussi sa vie et c’était mariée avec un beau partie. Elle venait de le quitter parce que trop arriviste à son goût et très volage aussi.
-Tu veux voir la chambre de mon bébé? » me proposa t’elle.
-Bien sûre! »
On monta à l’étage et près de sa chambre je découvris une très belle chambre ensoleillé plein de cadre enfantin. Elle me montra les vêtements. Toutes femmes craquent devant se type de vêtement. Elle avait installé un lit pour rester près de son enfant au début car elle comptait allaiter son enfant. Vu sa poitrine, l’enfant ne mourrait pas de faim.
Soudain, elle se prit le ventre et gémit de douleur. Elle s’assit sur le lit.
-Ca y’est! Il vient de se réveiller et me donne des coups de pied. Excuse moi, mais il faut que je le calme. »
Elle s’adossa à la tête du lit, retira son tee-shirt, exhibant son soutien-gorge en coton et se mit à masser son ventre.
-Il est déchaîné aujourd’hui. » dit elle en me regardant. « Viens près de moi si tu veux le sentir. »
Je m’assis près d’elle et posais mes deux mains sur son gros ventre blanc. Je sentis les coups de pied qu’il lui assenait. C’est bien la première fois que je sentais cela.
-Oh oui je le sens! » lui dis je joyeuse.
-Tu dois avoir un certain magnétisme. Depuis que tu as posé tes mains, mon bébé c’est un peu calmé. Caresse mon ventre pour voir? »
Je m’exécutais et effectivement l’enfant se calma.
-Hummm, c’est très agréable. Il le ressent aussi. Avec son père, c’était pire. J’avais très mal et j’ai fini par lui refuser de me toucher. »
-Il paraît que faire l’amour est très bon pour le fœtus? »
-Oui, mais ce n’était pas le cas avec l’autre. Depuis que je l’ai quitté, je dois me satisfaire toute seule. Quelques douces caresses et une bonne masturbation arrange les choses, mais je pense que l’aide d’une tierce personne est plus recommandé en règle générale. » me dit elle avec un petit sourire en coin. « Surtout que quand on est enceinte, on est plus réceptive sentimentalement. »
Je m’arrêtais de caresser son ventre.
-Ne t’arrêtes pas! Continue si cela ne te dérange pas? »
Je la regardais et finis par reprendre ma caresse.
-Hummm! Tu es vraiment très douce. »
Elle ferma les yeux afin de goûter à ma caresse. Sa poitrine montait et descendait au rythme de sa respiration, une somptueuse poitrine. Je sursautais lorsqu’elle me parla.
-Tu veux les voir. C’est impressionnant ce qu’ils ont pris en taille. » Dit elle en dégrafant son soutien-gorge.
Deux seins imposant apparurent. Instinctivement je fis une moue d’envie.
-Ils sont beau hein. J’ai déjà de nombreuse monté de lait que je suis obligé de tirer avec la trayeuse. Ce n’est pas très agréable. Tu peux les toucher, mais fait doucement. »
Gardant une mai sur son ventre, je touchais sa poitrine. Elle tressaillit lorsque ma main se posa dessus. Je me mis à les caresser.
-Ho, qu’est ce que tu es douce. »
Sous mes doigts, je sentais la chaleur qui montait en elle. Un peu de lait apparut sur son sein gauche. Elle gémit.
-Ho non, je ne veux pas de la trayeuse. »dit elle. Elle me regarda. « Veux tu me sucer comme le ferait un bébé? »
Je ne savais quoi lui répondre.
-Allez viens, cela me ferait très plaisir. »
-Bon, d’accord! »
-Peux tu retirer ton chemisier et ton soutien-gorge? J’ai peur que cela me face mal. »
Elle ajouta des coussins dans son dos, retira sa jupe et s’installa confortablement pendant que je retirais mon haut. Je retirais également ma jupe ne conservant que mon string afin d’être plus à l’aise. J’étais déjà un peu émoustillée.
Je vis ses yeux briller lorsqu’elle me regarda à moitié nue. Elle me tendit les bras.
-Viens boire le bon lait que t’offre ta maman mon bébé. »
Je m’asseyais entre ses cuisses, mon entre jambe contre l’une d’elle se collant dans ses bras, j’approchais ma bouche de son sein.
-Vas y doucement. Les tétons me font horriblement souffrir ces derniers temps. »
Je déposais de doux baisés sur son sein, ce qui la fit trembler. J’ouvris la bouche et essayant de ne pas trop la toucher de mes dents, je posais mes lèvres dessus et me mis à la sucer. Son lait commença à couler dans ma bouche. Le goût était particulier mais cela était très agréable.
-Vas y mon bébé. Boit de tout ton saoul. »
Et je me mis à boire avec avidité son lait, la faisant gémir de plaisir. Une main se posa sur l’un de mes seins et elle me caressa à son tour, me faisant fondre sur sa cuisse. Elle m’embrassait le front.
-Je vois que tu aimes mon amour. Moi aussi. »
Je pris une bonne goulet de lait, recrachais son sein et allais à sa bouche. J’y déposais le lait que je venais de lui prendre. Sa langue fureta dans toute ma bouche afin de recueillir la moindre goutte. On échangea un fougueux baisé. La main quitta mon sein endolori et glissa sous le tissus de mon slip à la recherche de mon intimité. Deux doigts glissèrent sur ma fente humide. Elle glissa entre mes lèvres et plongea deux doigts dans mon vagin. Elle commença à me masturber alors que nos bouches ne se quittaient plus.
Mon corps se mit à onduler sous les assauts du plaisir. Je faisais attention pour ne pas lui faire de mal. Je continuais à caresser son sein qui ne tarissait pas. Je retournais le téter et ce fut elle qui lâcha un râle de plaisir. Son corps ne restait pas inactif. On jouit toutes les deux en cœur, moi le visage barbouillé de son lait. Elle me nettoya à grand coup de langue.
-Ho ce que c’était bon. Maman est contente de son enfant. »
Mon corps ondulait encore sous l’assaut de ses doigts. Elle me fit jouir à nouveau.
Je restais prostré contre elle afin de reprendre mes esprits.
-Mère, je vous trouve très coquine. » lui dis je.
On éclata de rire. Je caressais de nouveau son ventre. Lentement, je descendis vers sa culotte et glissais ma main dessous. Je passais sur une minuscule toison et atteignit la chaleur moite de sa vulve. Je la caressais à mon tour. Elle gémissait de plaisir.
Je finis par me dégager de ses bras et lui retirais sa culotte.
-Allonges toi, tu seras plus à l’aise. » lui dis je.
Elle s’exécuta pendant que je m’installais entre ses cuisses. Je humais à plein nez sa douce odeur intime. Je me mis à caresser de deux doigts ses lèvres juteuses, les ouvrants délicatement tel un pistil de fleur. La chair était humide à souhait. Son bassin ondulait sous ma douce caresse. Je commençais à glisser ma langue sur sa chair liquéfiée. Je buvais sa douce liqueur. Tout en la doigtant, je dégageais le clitoris. Je le suçais tel un pénis minuscule. Aucun son ne sortait de sa bouche à part les râles de son plaisir. J’employais tout mon art afin de l’amener à un puissant orgasme. J’arrivais à mes fins et la belle hurla de bonheur me barbouillant de ses liqueurs intimes.
Je retournais contre elle et lui offrit ses liqueurs dans ma bouche. Le baisé fut tout aussi fougueux que le premier.
On mangea quelque chose de léger et on retourna faire l’amour dans sa chambre. Elle avait beaucoup de temps à ratt****r. Lorsque l’on finit par reprendre contact avec la réalité , il était deux heures du matin. Notre bataille avait durée plus de huit heures.
-Pourras tu revenir demain? Je ne veux plus utiliser la trayeuse. Tu es nettement plus agréable. »
-Bien entendu maman! » lui dis je en souriant.
-Je veux que mon bébé vienne me téter tous les jours jusqu’à la naissance de sa sœur ou de son frère. »
-Je le veux mère. Tu resteras quand même ma maman après la naissance? »
Elle me regarda profondément et me donnant un doux baisé :
-Bien sûr mon amour. »
Le baiser fut plus doux que les précédents. On s’endormit l’une contre l’autre.
J’avais trouvé aussi mon remède ce soir là. J’étais allée chez le docteur pour des problèmes d’insomnie. Je dormais profondément entre les bras de ma mère adoptive.
Son bébé lui fit moins mal depuis mon arrivée. Je m’installais avec elle quelque temps.
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