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Mûres40/la prof de piano a la langue très douce

Mûres40/la prof de piano a la langue très douce



Jamais elle ne renoncera à une bonne queue qui l’enfile. elle reste une suceuse hors-pair, avec sa langue d’une douceur affolante. Mais à 60 ans, ma douce et fine Marlène s’abandonne enfin à son goût pour les femmes.
Elle avait embrassé des copines pendant sa jeunesse. Elle avait tripoté des nichons de putes en ma compagnie, et avait goûté avec un joli sourire les bons coups de langues des petites thaïlandaises, ou des escorts blondes que j’avais ensuite moi-même baisé.
Comme elle est elle-même toute fine, elle est excité par les grosses mamelles.
Elle fantasmait beaucoup sur Solange, la vieille bourgeoise toute petite et raffinée, avec ses seins provocants, qu’elle imaginait en train de balloter lorsque la dame, à quatre pattes, se faisait bourrer par mes soins.
Dommage que Solange gardait somme toute un esprit coincé et moraliste, même si elle goûtait mes coups de queue dans sa chambre à coucher, allongée sur le lit conjugal pendant les absences de son mari, profitant même d’une petite heure pour ses faire inséminer par ma bite.
Elle aurait pu se faire délicieusement tirer un lait imaginaire par la bouche vicieuse de Marlène, tout en sentant glisser le sabre d’un jeune homme dans le fourreau de son vagin.
Même s’il n’y a pas de sympathie particulière envers les deux dames, et même de la rivalité, je pense que Solange se serait laissé conquérir par la douceur de la langue de Marlène, si elle s’était laissé faire, les mains sur les genoux, les cuisses bien écartées, pendant que Marlène, un peu soumise, l’aurait lapée, si douce, si pute.
Mais par jalousie, elle ne m’aurait pas laissé longtemps miner Marlène, même si celle-ci lui avait procuré les meilleures jouissances en faisant virevolter sa langue sur ses grandes lèvres, sur son con de bourgeoise qui mouille comme une pute entre une invitation officielle et un vernissage. Elle m’aurait rappelé à l’ordre, pour que mon érection quitte la bonne chatte de ma rousse amie, pour revenir dans le droit chemin, c’est-à-dire le vagin profond de maman. Je ne sais pas si elle m’aurait appelé « mon fils » si je l’avais fourrée devant témoin.
Marlène a eu l’occasion de lécher quelques chattes, pas forcément jusqu’à la jouissance, au cours de parties à quatre dans des clubs échangistes, en compagnie de son mari.
elle me confiait, avant de se lancer dans ce genre d’expériences, qu’elle serait fascinée de provoquer l’extase d’une vulve qui mouille, rien qu’avec sa langue.
Avec un petit air de triomphe vaguement dégoûté, elle m’a raconté dernièrement qu’elle a passé une soirée entière avec une lesbienne. Elle l’a léchée sur son lit, elle l’a fait jouir, mais pour découvrir qu’elle ne se sent pleinement dans son élément qu’avec un homme.
Elle enseigne notamment le piano, et fantasme sur ses étudiantes.
Si elle pouvait se lâcher, elle passerait sa main dans l’échancrure du chemisier de la timide Christelle.
Les mains fines et matures de Marlène pinçant les tétons de Christelle à la longue chevelure…
J’ai déjà aperçu Christelle. Je suggère à Marlène de la prendre sur ses genoux, de l’embrasser doucement dans le cou, puis sur les lèvres, avant d’inviter sa langue à se laisser caresser par la sienne. C’est alors qu’il faudrait que sa main se glisse dans la culotte de Christelle.
Duvet de poussin de la motte de Christelle, qui se poisse d’une tendre mouille, tandis que la dame mûre abolit les barrières de l’âge et de la fonction dans une fusion des bouches et des langues.
Je bande, je m’enfonce dans le vagin de Marlène.
J’imagine bien mon amie, sa longue chevelure rousse et bouclée dans un mouvement de houle régulière entre les cuisses de Christelle rougissante, qui garde les yeux fermé, et pousse de petits soupirs de jouissance, la bouche entr’ouverte.
D’une façon ou d’une autre, la maman de Christelle apprendrait ce qui s’est passé. Après une leçon, elle viendrait en personne parler en tête-à-tête avec Marlène, non sans demander à sa fille de l’attendre dehors.
Marlène dirait à la dame que si elle est tellement choquée, c’est qu’elle ne comprend pas ce genre de tentations, et que la meilleure manière de les comprendre, c’est d’essayer ce que c’est qu’un baiser entre femme, qu’une langue toute douce et vicieuse sur la moule.
du coup, Marlène se retrouverait la bouche dans les poils de la dame.
J’aimerais voir Marlène, entre les cuisses d’une dame mûre à lunettes pas très belle, aux cheveux courts, en train de faire « slurp slurrrrp » avec sa langue de velours, et la mère de famille qui sourit, qui s’épanouit…
Pour la faire taire, elle lui proposerait même un amant…Pour rendre service, je m’enfoncerais dans le con de la dame, dont la vulve toute humide de salive aurait déjà joui d’une façon, avant que je ne vienne la faire jouir d’une autre.
Même si la dame n’est pas très belle, je ne tarderais pas à gicler dans sa chatte rébarbative, avec l’aide des bons coups de langue de Marlène sur mes couilles.
voilà de quoi nous parlons lorsque, Marlène et moi, nous copulons en gémissant, murmurant des flots d’obsénités jusqu’à ce que nos fluides se confondent, jusqu’à ce que la petite fente de la fine dame rousse soit inondée de puissants jets de sperme.

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