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Argent et famille (2)

Argent et famille (2)



Ce jeudi, dans la matinée, je reçu un appel qui me surpris un peu. Une femme m’appella, se présenta comme étant Sandrine, la nouvelle compagne de mon père. Je n’avais guère eu de nouvelle de ce dernier depuis la séparation de mes parents. C’était bien avant que je ne gagne au loto. Evidemment, il l’avait su, savait que l’on habitait dans cette grande maison à présent, mais n’avait jamais cherché à reprendre vraiment contact. Sandrine avait une voix assez chaleureuse, me dit que je manquais à mon père, qu’il aurait fallu que l’on se voit. Je lui répondis que pour l’instant, il était hors de question qu’il vienne chez moi, mais que je n’étais pas opposé à une rencontre, chez lui. Elle me répondit qu’ils vivaient ensemble depuis deux ans, et me donna leur adresse. On se fixa un rendez-vous pour le lendemain soir, en précisant que je ne resterai qu’une heure, le temps d’un aperitif. Sandrine se montra très reconnaissante et me dit que mon père en sera ravi.
J’en parlais le midi à ma mère et ma soeur, qui semblaient assez inquiètes.
– Et moi, il ne veut pas me voir, répliqua ma soeur.
– Tu sais, j’ai bien conscience que s’il veut me voir, c’est qu’il a quelque chose à me demander.
Des doigts, je fis signe qu’il souhaitait certainement me soutirer de l’argent.
– Et tu vas faire quoi ? demanda ma mère.
– Je verrai. Je veux déjà voir comment il va me demander ça.
La journée se passa tranquillement. J’espionnais un peu ma soeur depuis mon bureau, elle téléphona à son copain un long moment, pour parler de cette réapparition de notre père dans sa vie. Elle semblait assez attristée et vexée qu’il ait demandé à me voir seul.
A 18h30, je vis que ma mère se préparait à aller à la salle de bain, et je connectais mon réseau à internet. Ca me plaisait, de temps en temps, de transmettre les images en live sur la toile. J’avais pas mal d’habitués qui surveillaient mes posts. Il y eu de suite une quinzaine de connectés, qui purent voir ma mère entrer dans la salle de bain, et commencer à se dévétir. Les commentaires commencèrent quand elle retira son soutien-gorge.
« BONS SEINS »
« ELLE EST BONNE »
« C KI ? »
« JE ME BRANLE »
Je me masturbais en respirant fort dans sa culotte de la veille, et les commentaires de tous ces anonymes sur ma mère m’excitaient encore plus. Ces derniers devinrent plus crus et explicites lorsqu’elle retira sa culotte, dévoilant sa chatte brune. Elle entra dans la baignoire et prit le pommeau de la douche. Elle se savonna lentement, se fit un shampooing, et evidemment sa toilette intime.
« MMMH ELLE SE MET LE DOIGT BIEN DANS LA FENTE »
« FROTTE BIEN TA MOULE »
« ELLE SE TOUCHE BIEN »
Une fois totalement rincée, elle coupa l’eau et posa le pommeau, et sortit de la baignoire en attrappant son peignoire. Je coupais la connection à ce moment là, pour la plus grande frustration des internautes anonymes qui esperaient davantage ou qui n’avaient pas encore joui. Une trentaine de connectés avaient vu ma mère nue. Ca m’excitait de l’exposer ainsi, et de voir que tous ces hommes la désiraient.
J’avais du courrier à lire, aussi je regardais ensuite mes mails, tout en jetant un oeil régulier à ma soeur, qui faisait sa toilette à son tour. Le diner se passa tranquillement, on ne discuta plus de mon père, et on passa la soirée devant la télé, à regarder un film en famille.

Le lendemain matin, je fus reveillé par une domestique (comme je l’expliquais précedemment, originaire des Philippines, très discrète et vraiment efficace au niveau du travail), qui ouvrit les volets roulants de la grande chambre et m’apporta le plateau avec le petit déjeuner. On pouvait y trouver une tasse de café, de la mini viennoiserie, une petite assiette avec des oeufs brouillés et du bacon, et un verre de jus d’orange. Elle déposa également les deux enveloppes kraft, comme d’habitude, sur la table de mon bureau. J’avais demandé à être réveillé à 9h, et c’était l’heure exacte. Pendant ce temps, sa collègue était déjà à la cuisine, à préparer le repas de midi.
Je pris mon peti dejeuner avec plaisir, puis me leva, alla ouvrir les enveloppes. Je sortis en premier la culotte de ma mère – je me rappellais l’avoir vu l’enlever la veille dans la salle de bain, lors de la visiocam. J’en sentis l’odeur en l’approchant de mon nez. Puis, je sortis la culotte de ma soeur, et en fit autant. C’était un plaisir réel de sentir les nuances subtiles entre ces deux culottes. Les deux sentaient la chatte, de mais leur manière differente.
Je fis quelques recherches sur la nouvelle compagne de mon père. Cela fut facile à trouver. Elle avait une page facebook publique, plutot bien alimentée, que je pus trouver en regardant la liste d’amis sur la page de mon père. Cette insouciance de ne pas mettre les profils en privé. Ca me fit sourire. Sandrine avait donc 43 ans, et elle était salariée dans une grande surface. Elle était assez séduisante, brune, les cheveux longs avec une frange qui lui couvrait presque tout le front, les yeux noirs, assez bien entretenue physiquement, elle mettait des vetements assez près du corps, qui mettaient en valeur ses hanches ainsi que sa poitrine assez généreuse. Il y avait plusieurs photos où elle était en compagnie de mon père, et d’anciens amis qui nous cotoyons avant le divorce, et que visiblement il continuait de voir (nos anciens voisins par exemple, et des amis de quand il était en fac).

Le soir venu, je pris la voiture pour me rendre à l’adresse de mon père. Il habitait un quartier assez modeste de la ville. Je me garais en bas de chez lui, et sonna à l’interphone. Une voix féminine me répondit et me dit de monter au 4e étage. Il n’y avait pas d’ascenseur alors je me mis à monter doucement par les escaliers. J’arrivais enfin au palier, et je fus accueilli par Sandrine, en robe noire, les cheveux attachés par une queue de cheval, toute souriante.
– Bonsoir, me fit-elle. On peut se faire la bise ?
Je ne répondis pas et la laissa faire, puis elle m’invita à entrer. Il sagissait d’un petit deux pièces, et je trouvais mon père, assis à table, qui m’adressa à son tour un sourire en me voyant.
– Ca me fait plaisir, me dit-il.
– Ca fait longtemps, répondis-je simplement.
Sandrine avait préparé un apperitif dinatoire. Je m’assis à table à son invitation, et pris du paté en croute et des olives, tandis qu’elle me servait un verre de champagne. On discuta un moment de banalités, Sandrine me dit son métier, que je connaissais déjà, et comment elle avait rencontré mon père. Ce dernier était un peu plus distant, parlait peu. Visiblement, Sandrine faisait son possible pour reformer les liens. C’était louable de sa part, mais au bout d’une demi-heure, on arriva au vif du sujet.
– J’ai appris que tu avais gagné une sacré somme, me dit mon père.
– Ca aide, effectivement.
– J’aurai voulu savoir si tu pouvais me preter de l’argent.
Nous y voila. Il n’est pas passé par quatre chemins. En même temps, tant mieux. J’avais vraiment le sentiment qu’ils étaient en difficultés financières.
– Te prêter ou te donner ?… De combien as tu besoin ?
– Il me faudrait 50.000 Euros. Je sais c’est une somme. Mais pour toi ce n’est rien, compte tenu des millions que tu as gagné. Je me disais que tu pourrais peut etre faire ça parce que je suis ton père, même si on n’est plus très proches. Et je ne vais pas te mentir, au plus tôt j’aurai cette somme, au plus tot je pourrais voir l’huissier qui menace de tout nous saisir.
D’un coup, le paté en croute et le champagne prenaient un gout amer.
– Et tu penses me rembourser dans combien de temps ? Tu travailles ?
– Pas actuellement.
Je pris le temps de la reflection, et Sandrine prit la main de mon père dans la sienne.
– Tu sais ce n’est pas evident pour ton père de te demander ça, mais s’il le fait, c’est que l’on en a vraiment besoin. Mon salaire ne suffit pas.
– Donne moi ta chatte et c’est d’accord.
Sandrine resta blème et sans réaction, se demandant si elle avait bien compris ma réponse. Mon père tapa du poing sur la table et grommela :
– Qu’est ce que tu as dit ??!
– Je lui laisse une minute pour me donner sa chatte. Et je te fais un chèque. Par contre dans une minute ce sera trop tard et je m’en irai.
Sandrine et mon père se regardèrent, stupéfaits. Mon père ne m’avait jamais vu sous ce profile, et il tombait de haut. Et Sandrine était à la fois choquée et abassourdie.
– Non mais c’est juste impossible… fit Sandrine.
– 30 secondes.
– C’est pour ton père ! Il m’avait dit tellement de bien de toi !
– 15 secondes.
Sandrine se leva, et retroussa sa robe pour me montrer une fine culotte en dentelles noire. Elle la baissa séchement, dévoilant une chatte poilue mais malgré tout entretenue au maillot. Je me levais, lui tira la robe par le haut, puis lui dégrafa rapidement le soutien gorge. Tout cela s’était passé rapidement, presque sans reflechir. Je fis s’assoir Sandrine sur la table où nous mangions, lui écarta les cuisses, dévoilant sa fente déjà bien utilisée, légèrement entrouverte. Je descendis mon pantalon, et, toujours debout, m’installa entre les cuisses de la femme. Je lui glissais mon sexe gonflé sur la vulve, et la pénétra. Ma queue glissa au fond d’elle, et je commençais à aller et venir.
Mon père se leva en contestant.
– Assis toi et regarde. Regarde moi baiser ta femme papa.
Puis, à l’attention de Sandrine, je continuais :
– Dis moi que ma queue est meilleure que celle de mon père.
Sandrine n’osait pas. Elle avait du mal à réaliser ce qu’ils étaient en train de faire. Sa chatte faisait un bruit mouillé, à chaque fois que j’allais et venais en elle. Pendant vingt minutes, je lui défonçais la chatte, alternant le rythme, mais en finissant, je la martelais vraiment avec vigueur. Je me laissais jouir à l’interieur de sa chatte, la remplissant copieusement de foutre.
Je me retirai après quelques secondes, reprenant mes esprits. Sandrine était en nage, et regardait mon père d’un air désolé. Je glissais mes doigts dans sa chatte, l’un après l’autre, ils entrèrent assez facilement, jusqu’à présenter le pouce, et commencer à faire entrer la main. J’allais et venais doucement pour faire entrer le poing, tandis que mon sperme coulait le long de sa fente. En forçant un peu, ma main entra, et je commençais à l’agiter fort à l’interieur. Mon sperme et de la mouille coulaient sans discontinuer, tandis que Sandrine gémissait de plus en plus fort. Je sortis ma main d’un coup, me laissant le spectacle d’une chatte ouverte de façon béante.
J’essuyais ma main gluante sur la robe noire, et remonta mon pantalon. Je fis glisser la culotte de Sandrine dans ma poche, en souvenir, et alla prendre mon chequier dans ma veste. Je fis un chèque d’un montant de 25.000 euros à mon père.
– C’est juste la moitié, fit-il, en regardant Sandrine se relever et s’éloigner vers la salle de bain.
– Ah oui c’est vrai… Elle a qu’à passer à la maison demain pour prendre le reste.
– Ce n’est pas ce qui était convenu.
– Tu te sens en position pour parlementer ? Je l’attends demain. Et dis lui de se tailler les poils de la chatte assez courts, j’aime mieux.
Je me levais, salua mon père, puis alla à la salle de bain, ouvrant la porte que Sandrine avait fermé.
– Comme on s’est fait la bise quand je suis arrivé, je te la fais aussi en partant.
Sandrine, qui était en train de se rincer sur un bidet, se leva un peu pour me faire la bise. Je regardais encore une fois son corps, plutot séduisant, et me retira.

A suivre.

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