Une semaine s’est écoulée depuis mon retour à la maison et notre séance au sex shop.
Une semaine difficile tant moralement que physiquement.
Je fais tout ce que je peux pour me faire pardonner, le ménage, le repassage, la vaisselle…
Florence, quand elle ne m’ignore pas, me traite comme un chien..
J’accepte cette situation, je l’aime, je veux la reconquérir.
Samedi matin , j’ai eu droit à ma douche avec enlèvement de la cage pour me laver la queue.
Ça m’a fait un bien fou d’avoir la bite à l’air, propre.
Florence a exigé que je me rase entièrement le corps. Pour celà elle m’a donné un vieux rasoir aux lames usées. Je me suis arraché la peau par endroits.
Elle en a rit et m’a badigeonné avec de l’alcool à 90 pour » éviter les infections ». Bien sur j’ai hurlé, ce qui m’a valu une paire de baffes qui m’a ramené à ma condition.
Le lit de camp est inconfortable au possible, je passe des nuits difficiles surtout quand je suis pris d’érections et que mon sexe est à l’étroit dans sa prison.
Tous les soirs , je rentre du boulot aussitôt que possible retrouver ma princesse qui m’attend installée sur le canapé parce qu’elle termine son job avant moi.
Je dois lui faire un massage des pieds pendant qu’elle lit le journal.
J’aime ça.
Samedi après midi , j’ai terminé la vaisselle, Maîtresse m’a ordonné de me déshabiller et de me mettre à 4 pattes devant elle.
Elle m’a donné quelques coups de cravaches qui ont fait rougir mon cul.
Quand je lii ai demandé pourquoi j’avais été puni, si j’avais fait quelque chose de mal, elle m’a juste répondu qu’elle avait eu envie de me fouetter, sans raison et que si je voyais quelque chose à redire à ça, la porte était ouverte.
J’ai baissé la tête et je me suis tu.
Ensuite , elle m’a mis autour du cou un énorme collier de cuir noir, a attaché la laisse au radiateur, m’a menotté les mains derrière le dos et est sortie.
3 heures après, elle est revenue, les bras chargés de paquets et, sans un mot pour moi elle a filé dans la chambre.
Elle est ressortie portant un manteau , les jambes gainées de noir, des escarpins neufs assortis, aux pieds.
Elle s’est plantée devant moi et a doucement déboutonné son pardessus.
Elle l’ a enfin ouvert , apparaissant à mes yeux exorbités en bas très fins, attachés à un porte jarretelle en dentelle, sans string ni culotte et sans soutien gorge.
— Je sors, ne m’attend pas pour dîner ! S’est elle contentée de me dire en éclatant de rire
Les larmes me sont montés aux yeux pendant que la porte claquait derrière elle.
Quand elle est rentrée, très tard ce soir là, la fatigue, l’émotion m’avait fait m’endormir d’un sommeil agité.
Elle m’a réveillé en m’enlevant les menottes.
— tu es un bon toutou qui a bien été sage. Tu dois avoir envie de faire tes besoins… Ta Maîtresse va te sortir..
Et elle a pris la laisse en m’ordonnant de la suivre, à 4 pattes, dans le jardin…
En vis à vis de notre maison, nous avons un grand immeuble dont les fenêtres ont une vue imprenable chez nous.
J’ai eu peur que quelqu’un nous voit.
Quand je le lui ai dit , elle m’a répondu qu’elle s’en foutait.
Elle m’a donc amené au pied d’un arbre et j’ai du me soulager en levant la patte arrière.
J’avais tellement envie d’uriner que c’est parti tout seul.
De retour dans le salon, elle a sorti de son sac deux préservatifs usagés , pleins d’un substance blanche, qu’elle a promené devant mes yeux, en me narguant.
— Tu vois ça mon cher mari soumis cocu. Ta tendre épouse a passé la soirée avec un homme charmant et viril… Maintenant tu files au garage et je ne veux plus t’entendre jusqu’à demain.
Je n’ai plus de doutes à avoir, c’est sur, je suis cocu.!
Oui, je sais, je l’ai bien cherché mais quand même, je n’aurai pas pu envisager que Florence se comporte comme ça.
Seul, transi sous mes couvertures rêches, je pleure en silence sur mon infortune et je finis par trouver le sommeil vaincu par tant d’émotions.
Le lendemain dimanche, je me suis levé de bonne heure et, après ma douche, je me suis occupé du petit déjeuner que j’ai servi, au lit à ma Maîtresse.
Je l’ai regardée enlever sa chemise de nuit, anxieux de trouver sur son corps des traces de ses frasques de la veille.
La beauté de son corps nu a fini de me donner la trique me renvoyant à mon statut de mari trompé et soumis.
Je n’ai rien remarqué de suspect sur ses courbes de déesse..
Peu après, elle m’a annoncé que Denise, la patronne du sex shop, viendrai prendre le café vers 14 heures.elle a sorti d’un tiroir un petit tablier de soubrette noir et blanc.
— Tu porteras ça et que ça pour la recevoir et nous servir.
Quand la sonnette a retenti, elle m’a fait signe d’aller ouvrir.
Rouge de honte, la tête basse, je me suis empressé d’aller l’accueillir.
— Bonjour , joli tablier de bonniche
— Bonjour Madame
Elle me tend un paquet et rentre retrouver Florence qui se lève pour l’embrasser.
Pendant que les deux amies papotent, je sers le café et reprend ma place devant elles, à 4 pattes, mon dos leur servant de repose pieds.
— Donc tu ne t’es pas servie de tous les jouets que ton larbin a acheté la semaine dernière ?
— Non, je t’attendais pour me montrer.
— On va commencer par le nettoyer avec ce que j’ai amené. Tu l’appelles comment ton soumis.
— je n’y ai pas encore pensé. Lopetta, ça me plairait bien.
— Oui , pas mal. Tu permets que je lui donne des consignes ?
— vas y ma chérie, fais comme s’il était à toi.
— Lopetta, tu vas enlever ce tablier et tu nous attends dans la douche.
Je me retrouve donc dans la salle de bain et vois arriver avec anxiété les dominatrices.
Elles arrivent, Denise tenant dans la main une espèce de bouillotte de laquelle sort un tuyau.
— Mets toi à 4 pattes, le cul tourné vers nous. Je vais te faire un lavement.
Le récipient est rempli d’eau tiède et je sens quelque chose pénétrer dans mon cul.
Tout à coup , le liquide rempli mes boyaux. Si la sensation n’est pas désagréable au premier abord, la gêne arrive vite quand mon ventre est distendu.
La canule est retirée.
— Serre les fesses lopetta, je ne veux pas qu’une goutte sorte.
Je fais les efforts nécessaires jusqu’à ce qu’on m’autorise à me vider.
Je pousse et un jet sali sort de mon anus.
Elles recommencent jusqu’à ce que le liquide expulsé soit aussi clair qu’à l’entrée.
— Essuies toi et rejoins nous au salon.
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