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Ma femme baisée par des ouvriers

Ma femme baisée par des ouvriers



Je suis une femme marocaine de 28 ans, BCBG, issue d’un milieu bourgeois et religieux où le sexe reste tabou. Grande, brune, plutôt bien faite, je fréquente des gens d’un milieu huppé avec Karim mon mari. Nous sommes mariés depuis 10 ans. Seul homme de ma vie, mon époux est un avocat respecté, mais qui veut tout gérer sans donner vraiment de piment à notre couple. Impulsif et parfois fougueux, mais jamais au lit à cause de son petit zizi et de ses éjaculations précoces !

Un soir, après une sortie dans un restaurant chic de la capitale, une dispute éclata entre nous, concernant le peu de cas qu’il faisait de ma personne. Il me dit que si une chose me manquait, je pouvais la trouver dans la rue, comme une vulgaire putain. Il arrêta la voiture et me fit descendre. Dans ma tenue, je lui dis ma peur mais il ouvrit la portière et me fit descendre. Je n’avais ni argent ni moyen de rentrer chez nous.

Je me trouvais donc seule, en robe rouge fendue avec mes talons, mon sac à main et des sous vêtements plutôt sexy. Je commençais à marcher avec la peur au ventre. Je tremblais de partout et je pleurais doucement. Karim était déjà loin. Quelle ordure !

En passant devant un bâtiment (foyer d’ouvriers), un homme m’interpella pour me demander ce que je faisais sur ce trottoir. Je n’osais pas lui répondre. Il me prit le bras en me disant que je serais violée dans les 5mn. Il me proposa de m’accompagner afin de me protéger. En le regardant, je vis un bel homme de 30 ans, fort et protecteur.
Il me fit des compliments et j’en fus ravie. Son contact me troublait. Il mit sa main sur mon épaule et je sentis comme un fluide qui me fit frissonner.

Directement, il me dit : « Tu as envie de sexe mais tu ne le sais pas encore et tu vas devenir une bonne femelle pour moi ». J’en restais bouche bée. Il me prit par la main pour m’entraîner vers ce foyer. Je me laissais faire de peur d’être violentée, et je traversais le foyer sous le regard de tous ces ouvriers au regard lubrique.
Il me fit entrer dans sa chambre, me regarda un moment, et je vis que la porte était ouverte, mais je n’osais toujours rien dire. La peur. L’excitation aussi.

Je reconnais que mon vagin était en feu. Il était gonflé et humide. Il me demanda d’enlever ma robe doucement afin qu’il profite du spectacle, ainsi que ses amis aussi. Je m’exécutais sans pudeur, dévoilant mon string rouge et mes bas noirs.

-Tu es une belle femme bourgeoise et tu vas recevoir de la queue comme jamais. De la bonne queue marocaine et africaine, bien grosse !

Je devenais de plus en plus excitée et je me mis à genoux pour ouvrir son pantalon. Et là, je vis la plus grosse queue de ma vie, rien à voir avec le clitoris de mon mari ! Longue, grosse, circoncise, un gland énorme. Ma main ne faisait pas le tour de ce zob. Je le pris en bouche avec beaucoup de difficulté, mais je l’engloutis néanmoins. Je suçais un homme rencontré dix minutes avant, dans la rue, moi la petite bourgeoise docile ! Et je mouillais comme une salope qui trompait son mari pour la première fois. Quel plaisir ! Je le suçais de plus en plus vite et il prit mes cheveux en criant et je sentis son jus qui coulait dans ma gorge. Je fus obligée de tout boire, tant il me tenait la tête. Son sperme était amer, il me brûlait la gorge. Il me relâcha et rit en me voyant ainsi. Il ouvrit plus grand la porte et je vis une dizaine d’ouvriers qui avaient assisté à toute la scène. J’étais mortifiée mais excitée !

-Maintenant, tu vas devoir leur donner aussi du plaisir. Tu vas tous les sucer et ensuite, quand tu auras tout avalé, tu vas leur demander de te baiser par tous les trous.

Alors, un par un, je dus les prendre dans ma bouche, les faire jouir et avaler leur jus en les regardant. Je me demandais ce que faisait mon connard de mari pendant que je suçais des queues grosses et gonflées, en me faisant fouiller la chatte à pleine main.

Mon premier amant, Mouloud, enleva mon string, me fit mettre à genoux et commença à frotter son sexe sur le mien. Sa queue énorme entra d’un coup et me coupa le souffle. Je continuais à sucer ses copains pendant que je me faisais défoncer comme une chienne. Je jouissais sans douleur, avalais du sperme chaud, ma gorge était en feu, ma chatte aussi. Je sentais ses couilles sur mes fesses et je hurlais mon plaisir. Je me fis ainsi défoncer pendant 3 heures par tous ces hommes. Je refusais la sodomie car leurs queues étaient vraiment trop grosses.

Mouloud me dit gentiment : pas de problème, mais la prochaine fois, nous te défoncerons le cul car tu es notre chienne soumise !
Ils me donnèrent de quoi payer le taxi pour rentrer chez moi.

J’étais encore sous le choc. Heureuse et rassasiée. Mais je me demandais si je n’avais pas fais la bêtise de ma vie… Mis si mon mari ne m’avait pas laissée comme une merde sur le trottoir, jamais rien ne serait arrivé.
En rentrant vers 5 heures du matin, Karim attendait dans le salon, en peignoir.
-D’ou viens-tu ma chérie ?

Je me contentais de rentrer dans la salle de bain pour me doucher. Il me suivit et vit les traces de ma nuit. Calmement, je lui ai raconté ce que j’avais vécu.

Il m’écouta et il ouvrit son peignoir pour me montrer l’effet de mon récit. Son zizi ridicule bandait et il me demanda de le sucer aussi. Je lui ai demandé de se branler et de goûter à son sperme pour voir s’il aimait. Et sans attendre, c’est ce qu’il fit. Il prit son sperme dans sa main et le mit dans sa bouche. Il fit une moue dégoûtée. Je lui ai dit que j’avais sucé une bonne dizaine de queues, que j’avais tout avalé en les regardant dans les yeux et que j’avais aimé cela.

Il voulut me faire l’amour mais je refusai.

Le lendemain, un samedi, il voulut encore me prendre, mais je lui dis que j’avais rendez vous avec Mouloud et que son gros zob me manquait. Je voulais l’humilier. Je lui demandais de me conduire au foyer et de m’attendre dans la voiture pendant que je me ferais défoncer comme une bonne putain. Il me demanda s’il pouvait venir, très excité par la situation.
-Pas de problème, mais tu ne me toucheras pas ! Lui dis-je.

En rentrant dans le foyer, de nouveaux visages inconnus firent leur apparition. Ils me connaissaient tous de par la nuit dont ils avaient entendu parlé.

Accompagnée de mon mari, tout petit depuis cette nuit, je me rendais dans la chambre de Mouloud. Il ouvrit la porte, nu avec son zob toujours aussi impressionnant. Il fut surpris de me voir accompagnée : C’est qui ce mec ? Je lui répondis : C’est mon connard de mari.
Et Mouloud éclata de rire. Il me demanda ce qui me ferait plaisir. Je lui dis que je voulais me faire défoncer par trois en même temps. Il appela en renfort deux collègues dont je me souvenais de leurs dimensions…

Je me retrouvais vite nue, en talons aiguilles, cambrée pour les exciter encore plus. Je demandais à mon cocu de regarder sans rien dire. Il s’assit dans un coin.

Je commençais donc par les sucer avec application, en les regardant et en regardant mon cocu qui n’en croyait pas ses yeux. Je sentis la giclée de Mouloud dans ma gorge et je montrais à mon mari le sperme chaud dans ma bouche. J’avalais tout en le regardant. Je voyais son excitation. Je suçais de nouveau les autres hommes et je reçus encore deux autres giclées. Mais au lieu d’avaler, je me sui levée et je vins vers Karim pour l’embrasser. Il ne voulait pas. Alors Mouloud l’a forcé à ouvrir sa bouche et fut obligé de boire le sperme de mes amants. Il n’a rien dit. Mais je sais qu’il a aimé cette humiliation. Il bandait !

Je me fis défoncer encore toute la nuit, ils me prirent à tour de rôle, et je leur demandais de me sodomiser pour la première fois. Ce fut tellement doux que j’en redemandais. J’ai joui comme jamais. Je testai même la double pénétration, pendant que je suçais Mouloud.

Mon mari lopette regardait en se branlant.

Pour rire, je demandais à Mouloud s’il s’était déjà fait sucer par un homme. Il me répondit que non, mais que si je voulais, mon cocu pourrait le faire. Je trouvais l’idée excitante.
Alors, il appela mon époux et lui demanda de venir. Karim se leva pour s’agenouiller devant les trois hommes. Il les suça à fond en me regardant, ce que je trouvais très excitant, et il dut avaler encore une fois tout le sperme de ces hommes. Je mouillais comme une folle, et je leur demandais de venir me baiser encore une fois. Ils étaient fatigués, alors ce furent 9 autres hommes qui vinrent dans la chambre. Je me retrouvais défoncée à coté de mon mari qui suçait aussi à tour de queue.

Maintenant, nous revenons chaque week-end dans ce foyer, et nous sommes devenus, mon mari pédé et moi, leurs petites putes. Karim se fait aussi défoncer le cul par ces queues énormes, et je crois qu’il aime sa nouvelle nature de pute. De mon coté, je suis enfin comblée, même si je me demande si je ne devrais pas venir aussi avec une amie, coincée comme je l’étais…

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