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Entretien d’embauche

Entretien d’embauche



Il était 15h et je me présentais à l’accueil de cette entreprise pour laquelle je postulais. Je fûs accueuillis par une charmante créature brune, en tailleur blanc et dont le bronzage faisait exploser à ma vue son corps qui ne manquait de rien. Des seins qui semblaient très ferme et donc je pouvais aisément deviner les auréoles sous la blancheur du haut, des anches qui me donna envie de m’y agripper comme à la paroi d’un col au dessus du vide, et un cul qui lorsqu’elle me dit de la suivre réveilla mes sens les plus bestiales. Je la suivis donc jusqu’à une salle, meublée d’une table et de 3 chaises, m’invitant à m’assoir pendant qu’elle s’assaya sur celle en face de moi. Elle m’expliqua alors que la responsable que je devais voir allait avoir du retard et qu’elle devait me faire patienter jusqu’à son arrivée, ce qui me fit sourrire de manière perverse en me disant que je patienterais encore mieux si je m’occupais de son corps. Je pense qu’elle s’en rendit compte ou alors qu’elle lu dans mes pensées comme dans un livre ouvert car elle se leva et fit semblant de froter sa jupe comme si elle venait de se renverser quelque chose dessus tout en se penchant de quelques degrés en avant, ce qui me fit plonger mon regard dans son décolleté. Je voyais donc le haut de ses seins et ca me donnait envie de les extraires du soutif dans lequel ils étaient enfermés, prisonnier malgré eux. Mon regard était bloqué sur eux et je ne me rendis même pas compte qu’elle me fixait du regard tout en souriant, un sourire de cochonne qui voulait tout dire. Elle s’approcha alors de moi et posa une main sur mon entre jambe, tout en faisant le tour de la chaise où j’étais assis en disant « je me demande bien comment je vais bien pouvoir vous faire patienter monsieur! » et me pris la bouche et fourra sa langue en elle tout en caressant mon sex qui commençait à gonfler sous mon pantalon. Nos langues se mélangeaient au bruit de nos baves qui s’échangaient et mes mains commençaient à longer son corps jusqu’à s’arrêter au niveau de ses fesses que je serra bien fermement, tellement son cul était un cul à faire bander même un oenuque. Elle remuait de façon sensuel ce qui me chauffa encore plus et je la plaqua contre la table et remonta d’un coup sec sa jupe pour laisser apparaître sa chatte qui n’était pas vêtue et tout prête pour ma bouche. Je passa alors ma langue sur ses lèvres, puis les écarta pour faire apparaître son clito et le lécher assidument tout en lui mettant une fessée sur sa fesse droite, ce qui fit rebondir ma main. Sa chatte devenait humide petit à petit, je passa 2 de mes doigts autour avant de les rentrer à l’intérieur afin de lui faire de petits va et vient, et récolter encore plus de son nectar qui était un vrai régal. Je léchais chaque millimètre de sa chatte et me délectait de chaque petites gouttes de cyprine. Mon sex gonflait de plus en plus et ne demandait qu’à sortir de sa cachette et pénétrer en elle. Je l’assis sur la table, sortis ma queue, le tapa sur ses lèvres, avant de le rentrer d’un coup sec dans sa chatte. Elle émit un petit gémissement et me pris ma bouche et me mordilla la langue en me disant « baises moi »… Il n’en fallut pas plus pour que je la prenne par la gorge, et lui baise sa chatte de manière plus brutal au point de la faire gémir qu’elle essayait d’étouffer. De ma main libre, je libéra ses seins un peu de manière sauvage et lui mordilla les tétons qui pointaient déjà depuis un petit moment. Je déplaça ma main de sa gorge à sa bouche, en la plaquant à la table pour étouffer ses cries qui devenaient de plus en plus fort au rythme de mes coups de queue. « Fermes ta gueule! On va se faire remarquer! ». Elle me repoussa alors d’une force que je ne lui aurais pas donné, de sorte que je me retrouva déséquilibré sur la chaise et vint s’empaler sur mon chibre en se caressant le clito et en plaquant sa main libre sur ma bouche en me disant « vous oubliez que c’est vous qui passez l’entretien! ». Je lui mordis le doigt ce qui décupla les mouvement de son bassin sur ma queue, elle avait décidé de se baiser correctement la salope. Je sentais que si elle continuait comme ça à bien rebondir sur mon sex j’allais exploser en elle avant d’avoir pu reprendre les choses en main et je n’aime pas ne pas avoir le dernier mot, donc je plaça mes 2 mains autour de ses anches et au moment où elle avait ma queue au plus profond d’elle je la bloqua net en la regardant droit dans les yeux et en lui mettant une gifle. « Et là vous faites quoi maintenant? » Je sentais le sang et les battements d’excitations de mon cœur. Je la souleva, et là fit rebondir de nouveau en choisissant le rythme à laquelle ses fesses rebondissaient sur mes couilles. Le claquement était tellement fort et bruyant que nous n’entendîmes même pas que la responsable qui était en charge de mon entretien avait frappé et était entrée dans la pièce. La responsable était une femme d’une quarantaine d’année, châtain, pas mal du tout aussi mais semblait moins salope que celle que j’avais au bout de ma queue. « Je ne vous dérange pas trop? Je vous avais dis de tenir compagnie à Monsieur en m’attendant mais je ne savais pas que vous alliez commencer sans moi! » Elle s’approcha de nous et pris la bouche de sa secrétaire tout en me regardant et en me disant « eh bien monsieur faites nous part donc de vos compétences maintenant que je suis là ». Je repoussa la secrétaire sur la table, les jambes écartées, pris par les cheveux sa boss et lui fourra de force sa bouche sur sa chatte afin qu’elle lèche sa chatte mouillées qui maintenant avait le goût aussi de mon sex. Et la cambra de manière à pouvoir lui relever sa robe, lui écarter son petit shorty, et lui fourrer mon pouce dans le cul. Puis ce fut au tour de ma bouche de passer autour de son petit trou, de cracher dessus et sans la prévenir de lui enfiler ma queue afin de la sodomiser. Son crie fut étouffer par sa secrétaire qui lui plaqua la tête sur sa chatte, sa langue tournait autour de son clito pendant que je lui ramonait le cul. Je me retira alors de son cul, passa ma langue dans ce trou tout ouvert, recracha à l’intérieur puis y enfourna mon pouce et mon index pendant que ma queue entrait dans sa chatte. Je vis que sa secrétaire avait de plus en plus de mal à se retenir, elle jouissait de plus en plus fort et ce qui devait arriver arriva, sa chatte explosa au visage de sa boss, qui elle même, je sentis sur ma queue mouilla de plus en plus au point de la noyer. Je ressortis ma queue alors trempée et la fourra dans la bouche de la recruteuse « va falloir maintenant justifier votre orgasme madame ». Elle prit ma queue en pleine bouche, je sentais sa langue passer le long de ma tige, et quand elle la recrachait elle crachait sur mon gland avant de passer sa langue et de tout lécher comme une chienne. Sa secrétaire la rejoignit et me caressa les couilles pendant que de son autre main elle plaquait sa boss en gorge profonde. La secrétaire relâcha l’étreinte de sa boss et se mit sous moi pour me lécher les couilles pendant que sa boss me branlait de plus en plus rapidement, passant de temps à autre sa langue sur mon gland et au moment où elle me sentit venir elle pris ma queue en bouche et j’explosai en elle tout le foutre qui était dans mes couilles en train de se faire bouffer. Elle pris tout en bouche, pris sa secrétaire que je bloque contre mes jambes, lui ouvrit la bouche et bava tout mon sperme sur sa langue. Elle avala. Puis elles relevèrent, se réajustant et me dirent « nous vous rappelleront d’ici la fin de la journée, mais vous avez toutes les compétences pour le poste, à très bientôt ». Et elles me laissèrent là au milieu de la pièce, sur la chaise, la queue encore raide de cet entretien…

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