La première fois que ma femme, timide, a accepté que nous allions sur une plage naturiste, elle a exigé que ce soit dans la partie « officielle », prétendant que nous serions plus tranquilles.
Son soutien gorge est parti assez rapidement mais pour la culotte, ce fut … plus long.
Elle s’est passé de l’huile à bronzer sur le corps et je crois quand même qu’elle a éprouvé du plaisir à croiser le regard de certains hommes qui s’attardait sur elle. J’ai même vu la pointe de ses seins un peu plus raide que de coutume !
Puis elle s’est couché sur le ventre et s’est assoupie au soleil. Ses pieds étaient très proches l’un de l’autre, ses fesses bien serrées.
Assis sur ma serviette, à la hauteur de ses jambes, je me suis amusé à att****r un de ses pieds, en le caressant (ce qu’elle adore) et l’ai levé vers moi, pliant un peu sa jambe. Je l’ai reposé dans le sable mais pas tout à fait au même endroit, ce qui a un peu écarté ses jambes. Oh, un peu seulement !
C’est alors que j’ai croisé le regard d’un homme, lui aussi couché, sur le ventre, dans le sable , à 4 ou 5 mètres de nous mais … bien dans notre axe. J’ai eu l’impression qu’il me regardait d’un air approbateur, en hochant la tête.
J’étais un peu … excité et ai décidé d’en avoir le cœur net : j’ai repris le pied, l’ai tiré vers moi franchement, entrebâillant ainsi les fesses de ma femme. Elle a grogné mais n’a pas résisté. Lui, s’est carrément assis sur sa serviette, en gagnant au moins 1 mètre ou deux.
J’ai reposé le pied encore plus loin et là, ses jambes commençaient vraiment à être ouvertes. En me penchant un peu, j’ai commencé à entr’apercevoir un peu de rose blanchâtre à l’intérieur de ses lèvres. J’ai vu alors que je n’étais pas le seul à me pencher.
Il se passait la langue sur les lèvres et me regardait maintenant vraiment avec un air quémandeur, voire suppliant. J’ai vu que son sexe avait gonflé et d’une main, il le flattait. Puis, le lâchant, il m’a fait un geste avec ses deux mains, me demandant de lui écarter les fesses.
J’ai fait mine de caresser les fesses de ma femme et avec deux doigts, lui ait franchement écarté les lèvres : sa petite chatte s’est ouverte, bien rose, bien profonde. Elle a soupiré, comme quand nous sommes seuls. Peut-être avait elle oublié où nous étions.
Elle a frémi , légèrement soulevé son bassin, offrant son sexe ouvert, maintenant béant à ma vue … et à celle de mon complice.
J’y ai mis mon indes et ai commencé à la masturber doucement tout en glissant sur son clitoris qui venait de doubler de volume. Je ne quittais pas notre voyeur des yeux : il présentait maintenant une érection impressionnante et se caressait lentement la verge de haut en bas. J’en faisait autant.
Elle était maintenant franchement offerte et l’on voyait distinctement son sexe humide et son anus étoilé. J’y ai introduit un index chahuteur .
Tout à coup, je me suis aperçu qu’elle regardait derrière elle sous son bras : elle n’en perdait pas une miette. Lui aussi s’en est aperçu.
Il a joui abondamment dans le sable et j’avoue que j’en ai fait autant tout en la caressant toujours jusqu’à ce qu’elle se cripe sur ma main avec v******e.
Ce jour là, nous avons découvert l’exhibe, première étape … d’un long chemin !!!
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