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Un fantasme devenu enfin réalité

Un fantasme devenu enfin réalité



Je ne peux pas m’empêcher de fantasmer, de temps à autres, sur des relations sexuelles avec des hommes. Cela arrive parfois que quelque chose me déclenche dans le ventre de l’excitation à l’égard des hommes.
Du coup, j’ai pris contact avec un homme sur un site de rencontre, il avait l’air sympa ; on n’a pas échangé de photos, seulement des courriels. On a discuté et il m’a invité chez lui. Il me disait qu’il me ferait connaître de nouveaux plaisirs et que je n’avais qu’à venir chez lui.

Le week-end suivant, je me suis présenté à son domicile, un appartement sous les toits, plutôt sympa. La porte était entrouverte, je frappai et j’entendis une voix me disant d’entrer et de fermer derrière moi.
Une fois entré, j’ai pu voir l’homme en question : pas plus grand que moi mais avec un ventre proéminent, sans être vraiment gros ; il devait avoir une bonne quarantaine. Il était assis sur un fauteuil à m’attendre et je me tenais debout dans l’entrée. Je me sentais tendu car tout portait à croire qu’il tentait de m’intimider, ce qui fonctionnait parfaitement. C’est lui qui brisa le silence :
– Bonjour Karim. Es-tu prêt à vivre une expérience sans précédent dans ta vie ?
– Oui.
J’étais nerveux et tremblant de peur et d’excitation
– Très bien. Afin de maximiser ton plaisir, tu dois, dès à présent, t’abandonner aux plaisirs et pulsions que tu ressentiras. Suis mes indications à la lettre et tu jouiras comme jamais !
Encore plus nerveux mais décidé à vivre à fond cette expérience, je répondis :
– OK
– Et comme je vais t’apprendre les joies du sexe, tu m’appelleras Maître !
– (bref instant, j’ai souri à cette idée, et puis après tout…) Bien Maître.
– Parfait. Commence par te déshabiller !

Surpris par cette rapide mise en bouche, je réfléchis mais finis par me soumettre à tout ce qu’il dirait. Déjà l’excitation était grande. Je me déshabillai dans un silence de mort, en tremblant et posai mes affaires.
– Approche-toi ! Approche-toi à quatre pattes !
Nu, je m’agenouillai pour m’approcher de lui à quatre pattes et me plantai à genoux à ses pieds.
– Lève-toi !
Je me levai et réalise à ma grande honte que je me tenais face à un homme, assis devant moi, avec mon pénis en érection. Mon sexe circoncis pointait tout droit vers lui.
– As-tu fait ce que je t’ai demandé avant de venir ici ?
– Oui Maître
– Laisse-moi vérifier !

Avant de venir, j’avais dû m’épiler les bourses. Avec sa main, il écarta mes jambes et me palpa les boules. J’étais rouge de honte et d’excitation d’être inspecté et palpé de la sorte par un vieux pervers.
– Voyons le reste, tourne-toi, penche-toi en avant, les jambes tendues et écarte les fesses avec tes mains !
A sa demande, j’avais pratiqué un lavement. J’étais plié, les fesses écartées et je sentis qu’il s’approchait. Il commença à me lécher puis m’introduisit son majeur dans l’anus. Affolé, j’étais tout autant pétrifié et pour finir, il me fit sucer son doigt pour m’assurer qu’il était propre. Enfin, il se leva.
– Excellent, redresse-toi ! Agenouille-toi et défais mon pantalon !
Ça allait vraiment commencer et j’étais décidé à faire ce qu’il me dirait. Je défis sa ceinture, le bouton, la braguette puis le pantalon. Son zob pointait devant mon visage, de taille plus que correcte.
– Suce-moi !

J’approchai ma tête assez lentement, partagé entre l’excitation et la peur, mais je finis par prendre son zob dans ma bouche. Ne faisant rien, il fit des mouvements de va et vient dans ma bouche et, naturellement, je me mis à le sucer comme j’avais vu dans les films. Je commençais à m’enhardir quand il s’assit. A genoux entre ses jambes, je me remis à le sucer et je pris du plaisir à lui lécher la hampe jusqu’au gland, en le regardant et en savourant cet instant, les yeux fermés. En même temps, je lui massais les testicules. Je l’entendais gémir. Je me démenais sur sa queue avec de larges mouvements quand il se leva brusquement, me tint la tête et m’éjacula dans la bouche.
Je sentais chaque giclée de sperme me frapper le palais et ça m’excitait encore plus à chaque fois. Moi à ses pieds, j’ai tété la queue pour finir et il faisait rouler son pénis sur mon visage et étalait le liquide séminal restant sur ma peau.
– Pour une première fois, tu as été très bon.
– Merci Maître.
– Tu as pris du plaisir ?
– Oui maître, vous sucer m’a procuré du plaisir, je ne l’imaginais pas.
– Et tu as avalé mon sperme ?
– Oui Maître, le plaisir de vous sucer m’a poussé à tout prendre de vous et à faire tout ce que vous alliez me demander, y compris avaler.

A ce moment-là, je ne réfléchissais plus. Je faisais ce qu’il me demandait et je prenais ce qu’il me donnait, même son sperme. Je prenais du plaisir à me comporter comme la dernière des salopes. J’étais hypnotisé par cet homme, sa queue et le plaisir qu’elle me procurait. Le simple fait de la voir et de la caresser me faisait frissonner. Comme il me l’avait ordonné, je m’abandonnais au plaisir, ne faisant que suivre mes pulsions et j’en voulais plus. Il devait lire dans mes yeux qu’il avait gagné et que je ferais tout ce qu’il voudrait.
Il m’ordonna de me lever, de me mettre à quatre pattes sur le canapé, les genoux sur le canapé et les mains sur le dossier. Il a posé sa main sur le bas de mes reins pour me faire cambrer et me faire écarter les fesses. Je savais ce qu’il allait se passer.
Je le voulais.
– Maintenant, je vais te sodomiser. Pour ta 1ère fois, tu peux choisir du lubrifiant ou sentir la pénétration à fond.

Je lui ai dit de faire comme il préférait. Je n’étais que partiellement conscient. Je voulais qu’il m’encule. Il a approché son gland de mon anus, il a poussé lentement pour le faire rentrer. Je mordais dans le canapé à cause de la douleur, lui continuait à me pénétrer doucement et ce jusqu’à ce que tout soit rentré en moi. Il s’est plaqué contre moi dans mon dos et m’a susurré des mots à la bouche :
– C’est bien, je suis fier de toi. Tu es à moi maintenant !
– Oh oui Maître !

Je ne pensais presque plus à rien quand le plaisir commença à se faire sentir. Il s’est mis à bouger, son zob frottait dans mon cul et plus il accélérait, plus je ressentais le plaisir m’irradier. Il faisait désormais de larges et rapides mouvements qui me ballottaient. Il m’a dit de m’exprimer à voix haute et de dire ce que je ressentais. Au début, je résistais mais j’ai finalement hurlé mon plaisir :
– Oh c’est bon, c’est tellement bon ! Je sens votre zob tout au fond de moi !
– Tu veux que je continue ?
– Oui, continuez à m’enculer !
– Bien petite chienne !
– Oui, je suis à vous, je suis votre chienne, je suis votre salope, je suis votre femelle !

Je perdais complètement les pédales et je hurlais de plaisir. Je me fichais qu’on puisse m’entendre ou de ce qu’on pourrait penser de moi. Plus rien ne comptait sauf ce pénis qui entrait et sortait de moi ! Je ne sais pas trop combien de temps ça a duré, mais le vieux pervers a finalement joui en moi et je sentais les saccades de sperme au
plus profond de moi. A ce moment-là, j’ai également joui sans m’être touché. Il s’est écroulé sur moi et moi sur le canapé, là où j’avais éjaculé et transpiré. Je sentais tout son poids sur moi. On est resté ainsi 10 minutes, je me sentais bien. J’avais l’impression d’avoir été une chienne que son maître avait saillie et, au bout du compte, c’était ça.

Ensuite, il m’a levé et m’a emmené à la douche où il m’a dit de le laver. J’ai pris le savon et j’ai frotté toutes les parties de son corps, telle une geisha. Je l’ai masturbé et j’en ai profité pour le sucer à nouveau.
Une fois propre, il m’a indiqué la porte. Mais avant de partir, il a saisi ma bite à travers mon pantalon et m’a dit que je reviendrai vite pour recommencer. Et je l’ai fait.

FIN.

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