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La dette

La dette



Gérard m’avait prévenue : « Je ne suis pas un homme ‘bien’ et mes clients ne sont pas forcément des gens ‘biens’. » Ils faisaient des choses à la limite de la légalité mais ils n’étaient pas méchants. J’étais rassurée et je savais que Gérard ne me mettrait jamais en danger. J’avais confiance en lui. Mais Gérard semblait de plus en plus inquiet au sujet de son travail pour ces gens. Cela aurait dû me mettre la puce à l’oreille quand il me proposa de prendre un peu le large « le temps que ça s’arrange ». Mais je n’ai pas voulu le faire car je voulais être auprès de lui dans ce moment difficile.

« Bonsoir chéri. Je suis rentrée ! Ai-je lancé en rentrant ce jeudi soir.
– Je… je suis dans le salon…
– Et tu… Bonsoir Monsieur.
– Bonsoir Madame.
– Chérie, je te présente Monsieur… tenta Gérard
– Appelez-moi Charles, coupa l’homme.
– Charles est un client.
– Assez mécontent d’ailleurs mais on peut s’arranger. Quand on a une femme comme la votre, Gérard, c’est qu’on a de la ressource.
– Charles, si on passait dans mon bureau, proposa Gérard.
– Comme vous voudrez, répondit-il. »

Les deux hommes entrèrent dans le bureau de Gérard me laissant une drôle d’impression. Quelques minutes plus tard, quand ils sortirent de là, Gérard avait les yeux baissés et Charles arborait un sourire inquiétant. Il se dirigea vers la porte et me salua d’un « A très vite » avant de quitter la maison. Inquiète, je me tournais vers Gérard qui n’osa ni me parler ni me regarder et s’enferma de nouveau dans son bureau. Lorsqu’il fut le moment de manger, Gérard semblait toujours aussi perturbé. Il osa enfin ouvrir la bouche.

« J’ai fait perdre pas mal d’argent à Charles…
– Pas mal ? C’est-à-dire ?
– Assez pour que…
– Pour que quoi ?
– Pour qu’il réclame réparation…
– Il n’a qu’à se retourner contre ton boulot. Ils doivent avoir une assurance pour ça… et des avocats…
– Ils ne s’occupent pas de ce type de client… Je suis tout seul pour le coup.
– Tu m’as moi… »

A cette phrase, Gérard se mit à pleurer. J’avais visiblement touché un point sensible… douloureux…

« Il m’a proposé un marché.
– Lequel ?
– Que tu rembourses une partie de ma dette…
– On peut voir. Ça dépend de la somme. Il veut que je rembourse combien ?
– Ce n’est pas ton argent qu’il veut… »

Soudainement, j’ai compris ce que Gérard voulait dire. Je ne savais pas comment réagir ni même si je devais le faire. J’étais perdue, déboussolée, inquiète, meurtrie, trahie, sale… Je refusais tout net cette indécente proposition. Gérard prit son téléphone et l’annonça à Charles. Par la suite, le téléphone de Gérard sonna à plusieurs reprises. C’était des clients de Gérard qui le lâchaient… Charles était en train d’enterrer professionnellement cet homme dont j’étais tombée si amoureuse. Je commençais à me sentir coupable.

Après de longues heures de réflexion et une nuit blanche, je me décidais à parler à Gérard et il m’expliqua. Si j’acceptais de laisser Charles faire de moi ce qu’il voulait, la dette de mon homme envers lui diminuerait chaque jour d’une belle somme. De son côté, Gérard devait mettre les bouchées doubles pour rembourser financièrement Charles. Je serais délivrée de cette contrainte lorsque la somme serait remboursée par Gérard et moi. La mort dans l’âme, je finis par accepter. Gérard appela Charles pour lui faire part de mon accord. Comme par enchantement, les clients de la veille rappelèrent Gérard pour revenir sur leur choix. Puis Charles rappela Gérard pour lui dire qu’il passerait me prendre ce soir et choisira mes vêtements pour mon séjour chez lui. L’esprit ailleurs, je suis partie au travail.

Le soir, à mon arrivée, Charles était déjà là. Dans ma chambre, il sélectionnait soigneusement mes vêtements et sous-vêtements. Il parti ensuite chercher mes chaussures et rassemble une partie de mon maquillage. Il chargea Ernest, son chauffeur, un grand noir assez musculeux de tout mettre dans le coffre avant de m’inviter à m’assoir à l’arrière du véhicule avec lui. Le trajet vers chez lui me sembla durer une éternité. A notre arrivée, il m’amena dans une chambre. Là, des affaires d’homme étaient déjà en place.

« C’est la chambre d’Ernest. Vous la partagerez… Enfin, quand je te laisserais dormir ici, lança Charles en ricanant légèrement.
– Mais, je ne devrais quand même pas…
– Ce que vous ferez de vos nuits ne regarde que vous. Change-toi, me dit-il en sortant une robe et une paire de chaussures de ma valise.
– Et Ernest…
– Tu veux sortir de la pièce, Ernest ?
– Non, Monsieur, je préfère rester.
– Il reste… Change-toi ! »

Sous le regard des deux hommes, j’ai fait tomber mes chaussettes, mon pantalon et mon chemisier. En sous-vêtements, j’ai attrapé ma robe. Mais Charles m’arrêta car mes « sous-vêtements étaient inutiles ici. » Tentant de me cacher, j’ai fait tomber mes sous-vêtements devant les deux hommes qui m’observaient avec attention. J’enfilais la robe et les chaussures. Nue sous ma robe, je me sentais au plus mal. Charles m’invita à le suivre dans le salon où je découvris avec stupeur une femme.

« Salut !
– Salut ma poupée. Je ramène une friandise de chez Gérard.
– Ah. Elle est là pour s’occuper de toi ? De nous ?
– Elle fera comme j’ai envie… Et là, j’ai envie d’une petite pipe…
– Allez, au travail… euh… machin.
– Appelle-la… Ô… »

Charles s’installa sur le canapé et sortit son sexe. Les larmes aux yeux, je me suis approchée de lui et me suis agenouillée. Je pensais à mon homme et au fait que je faisais ça pour lui, pour son avenir, pour notre avenir… J’ouvris la bouche et enfournais son sexe encore peu dur. Les mouvements de mes lèvres sur sa verge et de ma langue autour de son gland semblèrent lui plaire car son membre devint de plus en plus rigide. Autour de nous, j’attendais la femme discuter avec Charles de sa journée comme si de rien n’était. Je tentais de faire venir vite Charles mais il m’arrêta voulant visiblement profiter de ma résignation. Au bout d’un moment, il appuya sur l’arrière de mon crane pour enfoncer sa verge au plus profond de ma bouche. Je l’ai alors senti parcouru de spasmes et il se vida dans le préservatif. Je dus ensuite lui retirer le préservatif et lui nettoyer le sexe avant de le ranger dans son pantalon.

J’ai passé le reste de la soirée à les servir, lui et la femme, qui était son épouse, comme une bonniche subissant les moqueries, allusions grivoises et mains baladeuses de Charles. Quand le moment du coucher vint, il m’envoya dans la chambre mais je n’ai pas trouvé de nuisette ou pyjama pour la nuit. Sachant la réponse que j’allais obtenir, je suis allée voir Charles pour lui signaler cet oubli.

« Parce que tu crois vraiment que c’est nécessaire.
– En dormant avec Ernest, il me semble que…
– Il ne te semble rien. Tu n’as pas le droit de penser. Tu dors nue, c’est tout.
– Et si…
– Ernest sait où est sa place. Va te coucher ! »

En retournant dans la chambre, je vis Ernest dans le lit. Il m’indiqua la place à côté de lui. Sachant que je n’avais pas d’autre choix. Je me suis dénudée en me cachant le plus possible. Cela sembla amuser Ernest. Je me suis ensuite mise sous les draps le plus loin possible de lui. Malgré mon inquiétude, je finis par m’endormir.

Au réveil, je remarquai avec bonheur qu’Ernest ne m’avait pas touchée. Il se leva avant moi et me dévoila son corps nu et sa verge tendue.

« Tu me fais de l’effet, ma petite… Si Charles m’en donne le droit, je serais ravi de te baiser.
– Je ne pense pas que ça fait partie du marché entre Gérard et lui… Dommage pour toi…
– Ne crie pas victoire trop vite, ma petite. »

On frappa alors à la porte.

« Ô, tu es attendue auprès de Charles, me dit son épouse au travers de la porte.
– Très bien. Je dois mettre quoi ?
– Mais tu es vraiment idiote. Tes chaussures pour ne pas te salir les pieds… »

Je me levai, mit mes chaussures et sortit de la chambre pour me rendre dans la chambre de Charles. D’un claquement de doigts, il m’indiqua son lit. « Levrette! ». Il ne me dit rien de plus. J’ai pris la position à quatre pattes sur le lit. Il monta derrière moi et j’ai senti ses doigts investir mon sexe. Puis il présenta sa verge. Il s’y enfonça d’un coup. Il commença à me besogner avec vigueur. Ses mains tâtaient sans douceur mes fesses. Puis il commença à me fesser, d’abord doucement comme pour m’échauffer puis avec plus de force. Ses mains firent chauffer mes fesses. Au bout d’un moment qui me sembla une éternité, il m’agrippa les hanches et se planta au fond de moi. Son soupir rauque et ses spasmes me firent comprendre qu’il venait de jouir. Il se retira et quitta la pièce non sans une dernière bonne claque sur ma croupe offerte. En me tournant, je me vis dans le miroir de la chambre. En chaussures et les fesses rougies, je me découvris indécente. Cette vision me fit monter les larmes et je m’écroulais en pleurs sur le lit.

La femme de Charles vint me chercher pour m’annoncer que j’avais rendez-vous avec son esthéticienne le matin même. J’y fus conduite par Ernest. Le salon semblait bien propre et très professionnel. Ernest alla voir l’une des femmes et lui tendit une lettre. Elle l’ouvrit, me regarda et sourit à Ernest. Elle vint me chercher et m’invita à entrer dans une salle à l’arrière du salon. Là, elle me demanda de retirer ma robe. Assez timide, je retirai ma robe découvrant ma nudité imposée aux yeux de cette inconnue.

« Jolie lingerie, me dit-elle l’air rieur. Sur la table.
– Vous allez faire quoi ?
– Tu es là pour tes jambes, tes aisselles et ton sexe.
– Tu vas tout raser ?
– Tu n’as pas à me tutoyer ! »

Abasourdie, je me suis installée sur la table. La femme commença à faire ce quelle avait à faire. Elle retira une bonne partie de ma pilosité puis elle me passa de la crème, en profitant au passage pour me caresser. Quelques longues minutes plus tard, elle m’annonça avoir fini. Je voulais me relever mais elle me l’interdit. Elle me tendit la lettre qu’Ernest lui avait donnée à notre arrivée. Je pus y lire que Charles demandait à la jeune femme de me « nettoyer » puis de me faire un « examen sensoriel profond ».

La jeune femme me demanda alors de m’allonger de nouveau sur la table puis elle vint s’installer sur un tabouret entre mes cuisses ouvertes. Elle enfila un gant en latex. Elle cracha sur ses doigts et elle commença à les faire glisser le long de mon sexe. La nouvelle sensibilité de mon sexe me troubla et celui-ci s’humidifia. J’ai ensuite senti un de ses doigts investir mon sexe… puis un second… puis un troisième qui força un peu l’entrée… Elle commença à faire aller et venir ses doigts dans mon sexe. Puis j’ai senti une pression contre mon anus. La jeune femme fit des cercles sur mon anus jusqu’à le détendre puis elle entra son doigt en moi. Les pénétrations digitales combinées de mon sexe et de mon anus commencèrent à me faire ressentir un vrai plaisir. Quelques minutes plus tard, je ne pus retenir un orgasme qui me submergea. A mon retour sur notre planète, je me suis aperçue qu’Ernest était là. La jeune femme me donna ma robe puis me mit dans les bras d’Ernest qui m’amena vers l’étape suivante.

Nous sommes arrivés lui et moi dans un sex-shop. Ernest donna une lettre à l’homme qui était au comptoir. Je compris qu’une nouvelle épreuve m’attendait. Ernest m’envoya dans les cabines d’essayage. L’homme arriva avec un grand nombre de sacs.

« Charles a choisi tout ça, lança Ernest.
– Tu dois essayer ma jolie, renchérit l’homme
– Je n’ai pas vraiment le choix donc… »

A cette phrase, Ernest et l’homme se mirent à ricaner puis Ernest me balança une culotte en disant que je devais essayer proprement. J’ai retiré ma rose et ai enfilé la culotte. Les essayages commencèrent. Alors que j’avais tiré le rideau pour passer les premiers vêtements, Ernest le retira ouvrant la cabine à la vue de tous. Malgré ça, je me suis résolue à commencer les essayages. Des vêtements tous plus courts et échancrés les uns que les autres succédaient aux sous-vêtements à peine couvrant. J’enfilais chacune des pièces et Ernest jugeait de celles que je devais garder et de celles qui devaient repartir en rayon. Durant tout cet essayage, des clients passaient au niveau de la cabine, ne manquant pas de se rincer l’œil comme Ernest et le gérant de l’échoppe.

Quand les essayages finirent, je pensais que le plus dur était derrière moi mais l’homme me tendit la lettre. Ce que j’y lu me retourna l’estomac. Il entra dans la cabine, tira le rideau et baissa son pantalon. J’avais lu ce que j’avais à faire. Malgré mon dégout, j’ai pensé à Gérard, je me suis agenouillée et j’ai ouvert ma bouche. L’homme me tendit un préservatif que je lui ai mis et je l’ai pris en bouche. Je ne voulais pas que ça dure alors j’ai fait de mon mieux pour lui donner du plaisir. J’ai bien senti que ce que je lui faisais lui plaisir. D’ailleurs, il finit par jouir bruyamment, remplissant le préservatif dans ma bouche. Sans que j’aie eu le temps d’enfiler ma robe, il quitta la cabine. Nous nous sommes retrouvés à la caisse avec les sacs d’achats. Ernest paya la totalité des achats. Au moment de partir, l’homme finit de m’humilier.

« Ernest, c’est une bonne suceuse que tu m’as amené…
– Je sais. Charles a l’air d’en être content.
– Il a essayé son cul ?
– Pas encore… »

Cette conversation, échangée assez fort pour qu’un bon nombre de clients entendent, finit de me tirer des larmes. J’arrivais dans la voiture en pleurs réalisant que je venais de faire une fellation à un parfait inconnu dans un sex-shop bondé. En rentrant, je me suis enfermée dans la chambre jusqu’au soir. Le repas me fut servi dans la chambre et Charles vint me dire que je pouvais me coucher. Cette délicate attention me fit oublier quelques instants la forme de prostitution dont j’étais la victime. Je m’allongeais nue dans le lit et m’endormis en quelques instants. Je ne fus réveillée que par Ernest qui venait se coucher mais je me rendormis aussitôt.

Au réveil, je fus étonné que mon corps ait gardé son intégrité. Charles me convoqua dans son bureau. Comme la veille, je n’ai pris le temps que d’enfiler mes chaussures. A mon arrivée, il me demanda de m’assoir face à lui. Il m’expliqua qu’il se rendait compte d’y être allé trop fort et s’en excusait. Il me proposa d’aller m’habiller « avec sous-vêtements » et promit un peu de calme pour la matinée. Effectivement, jusqu’au repas de midi, pas la moindre demande. Je fus invitée à la table de Charles et sa femme. Mais toute bonne chose a une fin et cette période de calme aussi.

« Ô, pendant que je prépare les desserts, enlève ta culotte et met-la dans ta bouche, ordonna Sofia, la femme de Charles.
– Allez… Fais ce qu’elle te dit, renchérit Charles devant mon immobilité liée à ma surprise. »

Encore sous le choc de cette soudaine demande, j’ai fait glisser ma culotte le long de mes jambes. La pliant soigneusement, je l’ai mise dans ma bouche. Le goût et l’odeur de mon sexe mais aussi de mon anus me prirent subitement et violemment. Sofia amena deux crème dessert qu’ils dégustèrent devant moi. Puis Charles se leva pour préparer les cafés. Ils les prirent en me regardant un sourire aux lèvres. Je sentais ma culotte de plus en plus mouillée de ma salive dans ma bouche et, pour ne pas m’étouffer, je devais régulièrement avaler ma salive dans laquelle ma culotte avait trempé.

Lorsqu’ils eurent fini, Sofia me demanda de coucher mon torse sur la table. Elle passa derrière moi et releva ma jupe. Elle commença à caresser mes fesses avant de claquer celles-ci document. Petit à petit, elle me frappa de plus en plus fort. A la fin, la douleur était très intense. C’est à ce moment que je me suis aperçue que Charles l’avait rejointe et qu’ils me fessaient à deux, alternativement.

« Elle est prête, lança Sofia en faisant glisser un doigt entre mes cuisses
– Je me retiens depuis ce matin. Elle va prendre. »

A ses mots, je senti Charles enfoncer son sexe en moi. Il commença à aller et venir en moi. J’ai alors senti un doigt puis un second s’introduire dans mon anus. Je compris qu’il s’agissait des doigts de Sofia. Elle força mon petit trou puis commença à tirer sur mon anus pour l’ouvrir. Cette dilatation me fit très mal. J’en oubliai même Charles qui continuait à me baiser. Puis je senti Charles sortir de moi et pointer son sexe dur à l’entrée de mon anus. Sans même me dire quoi que ce soit, il s’enfonça entre mes fesses. Il m’encula avec vigueur sous les encouragements de sa femme. De ses deux mains, elle écartait mes femmes pour qu’il puisse me prendre plus profondément. J’avais mal mais je ne pouvais crier à cause de ma culotte toujours dans ma bouche. Heureusement, Charles finit par jouir. Il se mit au fond de mon anus et se vida dans un râle rauque, presque a****l.

Me relevant, Sofia m’ordonna de remettre ma culotte. Ce petit bout d’étoffe était couvert de ma salive mais je n’eus d’autre choix que d’obéir. Alors que je pensais pouvoir m’assoir, je vis Sofia écarter les cuisses dévoilant son sexe poilu.

« A moi maintenant. Viens prendre ton dessert, petite salope… »

Je n’avais jamais touché une femme. J’étais perdue mais je me sentais contrainte d’obéir pour Gérard, pour mon homme, pour cet amour qui emplissait ma vie, pour lui et lui seul… Je m’avançais vers Sofia et m’agenouillais entre ses cuisses. J’avançais ma bouche petit à petit et fus saisie par l’odeur forte de son sexe déjà dégoulinant. Je commençais à lécher ce sexe avec le plus d’application possible. Derrière moi, Charles avait soulevé ma jupe souhaitant surement observer les dégâts causés à mon anus. Sofia m’attrapa le visage et l’appuya contre elle, frottant au passage son sexe de haut en bas contre ma figure. Elle finit par jouir abondamment contre mes lèvres puis me repoussa sans douceur.

« Va te laver, tu es dégueulasse… »

Comme un robot, je me dirigeais vers la salle de bain où me rejoignit Charles.

« Cet après-midi, tu mettras l’une des tenues achetées hier. Et tu nous serviras, Sofia et moi. On est exigeant mais on saura te récompenser… Enfin si tu juges que te faire baiser est une récompense. »

Il finit cette phrase en rigolant.

Dans la chambre, je retrouvais Ernest qui, en caleçon lisait un livre au titre évocateur sur le lit, Je me suis déshabillée, habituée à sa présence lors de mes déshabillages. J’ai attrapé ce qui avait été préparé pour moi : un string en dentelle, une paire de bas voile et un soutien-gorge laissant apparaître mes tétons. Là-dessus, j’ai dû ajouter une robe si courte que mes bas ne l’atteignaient pas et avec un décolleté si plongeant que mes seins étaient à peine cachés. Cette robe était dans une matière à peine opaque. Bref, j’étais habillée mais presque nue.

Durant tout l’après-midi, je dus obéir aux ordres de Sofia et Charles. Je dus aussi subir les grivoiseries et les attouchements du couple. Sofia était tout aussi vicieuse que son mari et ses doigts inquisiteurs entrèrent à de nombreuses reprises entre mes cuisses ou mes fesses. Vers la fin de l’après-midi, Charles fit venir Ernest dans le salon.

« On va faire un petit jeu, proposa Charles.
– Avec plaisir Monsieur…
– Tu vas tirer une carte. Si c’est une figure, tu ramènes Ô chez elle. Sinon, tu la baises avant.
– Vous êtes trop bon, Monsieur. C’est que tu m’excites depuis vendredi, ma jolie… »

Ernest prit le paquet de carte et tira une carte…

« Dans la voiture… Ce n’est que partie remise… »

Je me retrouvais à l’arrière de cette voiture qui m’avait amenée me faire subir les pires humiliations. La prochaine sera d’affronter le regard de Gérard, l’homme de ma vie, qui sait que j’ai dû me déshonorer pour notre avenir. Voudra-t-il tout savoir ? Préfèrera-t-il ne rien entendre ?… Des larmes montèrent à mes yeux et je m’effondrais… encore…

———-

En arrivant à la maison, Ernest me tendit un petit sac. A l’intérieur, j’y retrouvais mon pantalon, mon chemisier et mes sous-vêtements troqués l’avant-veille pour une tenue moins chaste.

« Change-toi… Ton Gérard n’a pas à profiter des cadeaux de Monsieur Charles… »

Habituée maintenant au regard d’Ernest, je me suis mise à nue sur la banquette arrière de la voiture. Puis j’ai enfilé mes vêtements. Je me sentais bien mieux dans cette tenue « normale » plutôt que dans la tenue de prostituée offerte par Charles. Pour autant, je ne me sentais pas moins sale d’avoir accepté ce marché et les caprices de cet homme à qui l’amour de ma vie devait de l’argent. Une fois changée, je suis sortie de la voiture. « A vendredi! » me lança Ernest avant de quitter les lieux. Seule, j’avançais vers la porte d’entrée espérant de toute mon âme la douceur de Gérard.

« Ah, te voilà ma chérie !
– Oui…
– Pas trop dur ?
– Tu veux savoir ?
– Je ne sais pas… »

A cet instant, je me jurais de donner à Gérard plus que ce que les autres m’avaient pris ce week-end. Je voulais me faire pardonner mon abandon mais sans qu’il ne sache ce que j’avais fait. C’est alors qu’il me serra dans ses bras et m’embrassa à pleine bouche. L’aurait-il fait s’il avait sur que ma bouche avait donné du plaisir à d’autres sexes ce week-end ? Je ne pourrais le savoir mais cette idée commençait à me hanter.

Je poussais Gérard jusqu’au canapé et l’y assis. Je me suis agenouillée devant lui et ai commencé à ouvrir sa braguette. Charles m’avait contrainte à sucer sa verge et celle d’un inconnu. J’allais me donner corps et âme dans celle que je m’apprêtais à faire à Gérard. Son magnifique sexe tendu s’offrait à moi, avide de caresses. Je commençais par le lécher tendrement sur toute sa longueur, caressant ses testicules de ma langue amoureuse. Puis mes lèvres commencèrent à l’embrasser, partant de ses boules poilues jusqu’à son gland. Je pris son gland en bouche pour le suçoter tout en y faisant tournoyer ma langue. Mes mains branlaient ce sexe avec douceur. Petit à petit, je fis descendre mes lèvres le long de sa verge tout en léchant ce qui entrait dans ma bouche. Les soupirs de Gérard me laissaient penser qu’il aimait, comme d’habitude, cette caresse. Je ne lui accordais que peu mais il la réclamait souvent. Là, il n’eut pas besoin de me demander. Je lui offrais de bonne grâce.

Lorsqu’il fut entièrement dans ma bouche je commençais à monter et descendre le long de sa verge. Cette fellation, je la voulais douce mais puissante. J’allais et venait le long de son sexe avec vigueur. Il gémissait de plus en plus fort. Je me décidais à tenter une nouveauté. Prenant mon courage à deux mains, j’enfonçais sa verge au plus profond de ma bouche. Son gland finit par atteindre le fond de ma gorge provoquant une sensation désagréable mais je voulais le contenter au mieux. J’accentuais la pénétration de son sexe dans ma bouche et tentais de sortir ma langue pour lécher ses boules. Cette tentative fut infructueuse mais, au regard que me lançait Gérard, mon abandon lui plaisait. Je fis alors aller et venir son gland dans ma bouche afin qu’il frappe à chaque fois au fond de ma gorge. Gérard exprimait bruyamment son plaisir. Puis il me dit qu’il allait jouir. Enserrant fermement sa verge dans ma bouche et l’enfonçant au plus profond de ma gorge, je lui fis comprendre que je voulais lui offrir un cadeau jusque là refusé. Il se déversa dans ma bouche m’emplissant la gorge de son sperme abondant. J’avalais tout sa semence avec avidité puis nettoyais son sexe des dernières traces de son plaisir. Quand mes lèvres ou ma bouche touchait son gland, il était pris d’un spasme. J’étais heureuse de l’avoir rendu heureux…

« Je t’aime, me dit Gérard, le regard encore perdu dans le plaisir que je venais de lui donner
– Moi aussi… De plus en plus fort…
– Tu as faim ?
– Oui, mais c’est moi qui m’occupe de tout… et de toi…
– Non. Tu as dû avoir un week-end difficile.
– Justement, je veux m’occuper de toi pour en rendre la fin heureuse. Laisse-moi te montrer à quel point je suis tienne.
– Comme tu voudras… Je t’aime… »

J’aillais chercher un paire de chaussures à talon haut puis me rendis dans la chambre. Là, je me dénudais entièrement. J’enfilais une de mes nuisettes courtes et la paire de chaussures puis retournais dans le salon où Gérard m’accueillis avec un sourire immense.

« Tu es très…
– Sexy ?
– Oui…
– Ça te déplait ?
– Oh non…
– Tu as le droit de toucher si tu veux… »

Charles et Sofia m’avaient mise dans une tenue des plus vulgaires et m’avaient tripotée autant qu’ils le pouvaient. Mon homme aurait droit au même traitement toute la semaine. La seule différence, c’est qu’avec lui, j’avais envie d’être touchée, caressée et même masturbée à tout moment. Et Gérard ne s’en priva pas. Pour le repas, je pris le temps de rester auprès de lui après l’avoir servi pour qu’il puisse me tripoter. Puis, toute la soirée, il me caressa le sexe, les seins et surtout les fesses. Son doigt glissa même à quelques reprises le long de la raie de mes fesses. Le soir venu, au moment d’aller au lit, j’ai rejoins mon amour qui était déjà au lit. Debout devant lui, j’ai retiré ma nuisette et me suis allongée à ses côtés entièrement nue. Il se blottit contre moi mais épuisée par le week-end, je me suis endormie en très peu de temps.

« Bonjour ma belle. »

La douce voix de Gérard venait de me réveiller. Sa douce main était sur mon sein et descendit doucement vers mon sexe.

« J’aime beaucoup la nouvelle coupe de ton sexe.
– Je n’ai pas arrêté de penser à toi en le faisant.
– Tu n’as pas besoin de me mentir…
– C’est vrai. C’est Charles qui me l’a fait tailler comme ça… »

Gérard m’embrassa en me caressant puis me dit que nous devions nous lever. Une fois le petit déjeuner avalé et préparée, je me suis rendue au travail. Toute la journée, je n’eus à l’esprit que ce que j’allais offrir à l’amour de ma vie. Aussi, quand je suis rentrée, je suis partie tout de suite dans la chambre. J’ai revêtu un string, une nuisette et la paire de chaussures mise la veille.

Quelques minutes plus tard, j’entendis la voiture de Gérard et me mis en position, à quatre pattes sur le canapé. Lorsqu’il entra dans le salon, il s’approcha de moi et je sentis sa main sur mes fesses.

« Bonsoir chérie… et bon soir joli cul.
– Bonsoir mon amour.
– Qu’est-ce qui me vaut l’honneur ?
– C’est moi qui serais honorée de te sentir en moi…
– Mais tu es déjà prête, me dit-il en passant sa main sous mon string. »

Il descendit alors mon string à mi-cuisses puis j’ai entendu la boucle de sa ceinture et sa braguette. Quelques instants plus tard, il montait avec moi sur le canapé. Son gland glissa le long de ma fente pour s’humidifier. Puis, malgré ma position qui rendait plus étroite l’entrée de mon sexe, il entra en moi. Il commença à aller et venir doucement entre mes lèvres gonflées de désir.

« Tu ne m’as pas vraiment répondu. Qu’est-ce qui me vaut l’honneur ? Tu n’as pas trop l’habitude de te comporter comme ça…
– Parce que je t’aime et je veux être à toi autant que tu me désires.
– Il ne doit pas y avoir que ça…
– Peut-être est-ce parce que je suis une vilaine fille coquine
– Vilaine ?
– Les filles vilaines, ça mérite une punition… »

En disant cette phrase, je me mis une petite claque sur les fesses, espérant qu’il saisisse le message. Il sembla comprendre parce qu’il se permit de me claquer lui aussi. Ses mains douces flattèrent ma croupe avec avidité puis elles s’abattirent de nouveau violemment sur celle-ci. Tout en continuant à me prendre, il me claquait les fesses de plus en plus fort. Ses coups de butoir s’intensifiaient eux-aussi. Il semblait prendre beaucoup de plaisir à cette pénétration accompagnée des fessées. Tout à coup, un orgasme puissant me secoua. Gérard continua son traitement ne me laissant pas de repos. Après quelques secondes de pénétration supplémentaire, il finit par sortir de mon sexe pour jouir bruyamment en arrosant mes fesses de son sperme. Il remonta alors mon string et remit en place ma nuisette, la collant contre mes fesses avec son sperme frais.

« On mange quoi ce soir ?
– Je ne sais pas…
– Tu pourrais commencer par un petit apéritif. »

Il prononça cette phrase en présenta devant ma bouche son sexe couvert de mon plaisir et avec des traces du sien. Tendrement, je le nettoyais sa verge. Puis je servis mon homme durent toute la soirée. Comme la veille, je dormis nue avec mon homme qui apprécia le contact de ma peau directement contre la sienne.

Le lendemain, après une longue journée de travail, je rentrais à la maison pour préparer ma surprise à mon homme. Durant la journée, je m’étais rendue dans un magasin de lingerie et avait acheté un porte-jarretelles et une paire de bas. En rentrant, j’avais enfilé cet achat avec une ensemble de lingerie culotte et soutien-gorge sous un peignoir léger.

Quand Gérard rentra, quelques trop longues heures plus tard, son regard en me voyant me glaça le sang.

« C’est quoi cette tenue ?
– C’est pour toi mon amour…
– Ça ne va pas mieux… On dirait une pute !
– Tu préfères que je me change ?
– Non, tu veux passer pour une pute, reste comme ça… »

Abasourdie par sa réaction alors qu’il était la raison pour laquelle je m’étais mise dans cette situation, je décidais de faire face et de le servir comme j’avais fait jusque là. Il accepta ma servitude à son égard mais ne me toucha pas. Il s’éloigna même de moi quand nous sommes partis au lit.

Le lendemain fut une journée difficile car je n’osais plus rien faire et il ne me toucha pas. J’étais juste partagée entre l’envie de lui et mon besoin de le servir au mieux, de le rendre heureux.

Lorsque le jeudi soir arriva, je me rendis compte que c’était la dernière soirée que je passais en sa compagnie étant donné qu’Ernest viendrai me chercher le lendemain soir. Penaude, je demandais à mon homme lorsqu’il rentra du travail, ce qu’il voulait que je fasse pour lui.

« Ta tenue de mardi soir…
– Oui…
– Celle de… enfin, tu vois…
– Oui…
– Tu veux bien la remettre ?
– Je croyais qu’elle ne te plaisait pas.
– Non, c’est juste que je n’ai pas compris pourquoi tu faisais ça. T’habiller de la sorte.
– C’était pour toi, parce que je voulais que tu me désires… Je vais me changer, pour toi… »

Heureuse, j’allais me changer enfilant les mêmes vêtements que mardi soir. Ainsi, en porte-jarretelles, bas, culotte et soutien-gorge, je me présentais de nouveau à lui. En me voyant arriver, il dégrafa sa ceinture et sa braguette et sortit son sexe.

« Suce-moi… Tu fais ça si bien… »

Fière de l’avoir ainsi contenté en début de semaine, je tombais à genoux devant lui. Tout doucement, amoureusement, je commençais à choyer sa verge qui ne tarda pas à se tendre. Je suçotais et léchait le doux sexe de cet homme que j’aimais tant. Je voulais lui laisser le plus doux des souvenirs, qu’il pense à ma bouche en ayant une érection à chaque fois. Quand il fut assez choyé, je me décidais à employer les grands moyens pour le faire jouir. Comme je l’avais fait dimanche soir en rentrant, j’enfonçais la verge de mon homme de plus en plus loin dans ma bouche. Il frappa au fond de ma gorge. D’une main ferme, il me bloqua dans cette position qui m’étouffa presque. Il ne me relâcha que pour que je reprenne mon souffle puis m’enfonça de nouveau son sexe au fond de ma gorge. Ensuite, il me laissa jouer avec sa verge. Je léchais son sexe puis le sucer document avant de l’enfoncer au fond de ma bouche. J’alternais ces différents traitements afin de maintenir Gérard dans un immense état d’excitation sans le faire jouir. Je voulais qu’il joue avec ma bouche le plus longtemps possible. Mais comme toute bonne chose a une fin, il ne put se retenir indéfiniment. Alors qu’il maintenait son sexe bien au fond de ma bouche, il fut pris d’un orgasme. Il inonda ma bouche de son sperme chaud accentuant ma sensation d’étouffement. J’avalais tout son plaisir avec délectation. Le sperme de mon homme était comme la récompense de mes efforts pour lui donner du plaisir. Quand il fut bien propre, je le laissais sortir de ma bouche…

« Tu as fait le repas j’espère… Ce n’est pas le tout de m’avaler mais ça ne nourrit assez ni l’un ni l’autre… » dit-il avec un sourire coquin.

Je filais à la cuisine pour lui préparer son repas. Il ne manqua pas de me rejoindre dans la cuisine pour me tripoter pendant la préparation. Il fit de même pendant le repas, au moment où je le servais mais aussi après pendant que nous regardions sagement la télé avant d’aller au lit. Ses doigts entrèrent même à plusieurs reprises dans mon sexe comme pour en tester l’humidité. Et c’est par une cinglante tape sur les fesses qu’il m’invita à aller au lit avec lui. J’aurais bien aimé qu’il me prenne mais il s’endormit très vite.

Je me suis réveillée en sursaut durant la nuit réalisant qu’il n’avait pas eu droit à mes fesses durant la semaine. Il me fut impossible de m’endormir, scrutant son réveil pour lui offrir cette sodomie avant de devoir le quitter pour retrouver ce pervers de Charles, sa vicieuse femme et toute la bande de cochons qui gravitait autour d’eux. Aussi, quand il se réveilla, je me mis de telle sorte qu’il se blottisse dans mon dos.

Lorsqu’il se mit à bander, je sentis sa main caresser mon sexe. Il avait envie, tant mieux, il n’allait pas être déçu. Il comprit vite mon accord et commença à présenter son sexe à l’entrée du mien. J’attrapais alors son sexe et le fit glisser vers l’entrée de mon anus.

« Par là mon chéri…
– Tu veux que je…
– Oui, je veux que tu m’encules.
– Mais il faut que je te prépare, non ?
– Normalement oui mais pousse fort, tu rentreras. »

Un peu étonné, il attrapa son sexe à pleine main pour le guider vers mon petit trou. Il poussa très fort et son gland finit par faire céder mon anus. Une vive douleur me prit. J’eus l’impression d’être déchirée. Je tentais de retenir au mieux mes cris mais je n’en fus pas capable. Des larmes trahirent aussi ma douleur.

« Tu veux que j’arrête ?
– Non, surtout pas… » pleurais-je.

Gérard, perturbé par cette situation, commença tout de même doucement à s’enfoncer en moi de toute sa longueur. J’avais mal mais je luttais pour le laisser faire. Quand il fut totalement en moi, il resta figé quelques instants. Ce repos fut salvateur car la douleur s’atténua petit à petit. Celle-ci reprit un peu quand il se mit à bouger en moi doucement. Il allait et venait dans mon anus avec tendresse, s’inquiétant de mon état. Même si la douleur était toujours présente, j’acceptais mieux son sexe en moi.

« Tu peux y aller plus fort… Je t’aime… »

Gérard ne se fit pas prier et intensifia ses coups de butoir. Je sentais sa verge me ramoner l’anus et je commençais à prendre plaisir à cette sodomie non préparée. De toute sa longueur, il s’enfonçait entre mes fesses puis en ressortait, ne laissant en moi que son gland. Mes gémissements se mirent à trahir mon plaisir. Il m’accompagna dans celui-ci en gémissant et haletant lui aussi. Jamais sa verge ne m’avait parue plus épaisse et plus longue. J’avais l’impression d’une énorme tige entre mes fesses. Elle me procurait autant de douleur que de plaisir. Toujours avide de ma vue, Gérard réclame une levrette pour bien voir sa « bite dans le cul de la femme de sa vie ». Obéissante et heureuse d’être vue comme telle, je pris position.

Il dut sortir de moi pendant le changement de position. J’eus un peu peur de son retour en moi. Il positionna son gland chaud et poussa fort pour le faire entrer. Il ne fut pas long à faire céder mon petit trou et réinvestit mon anus très vite. Il reprit ses coup de butoir mais avec plus de force et de puissance. Il commença à me claquer les fesses tout en me pénétrant. Aussi, je sentais qu’il ne serait pas long à venir. J’attendais avec impatience la sensation de son sperme au fond de mon cul. D’ailleurs cette sensation arriva très vite. M’agrippant par les hanches, il s’enfonça bien au fond de moi et, dans un râle presque a****l, il déversa son plaisir au fond de mon cul. J’eus l’impression qu’il allait me remplir tellement son orgasme était long. Lorsqu’il sortit de moi, j’eus l’impression d’un grand vide.

Me tournant vers le réveil, je compris qu’il était temps de se lever pour une nouvelle journée de travail avant la venue d’Ernest. J’allais sous la douche. Gérard m’y rejoins pour voir son sperme couler le long de mes cuisses. Une fois lavée et le repas avalé, je m’apprêtais à partir au travail. Gérard me prit dans ses bras et m’embrassa tendrement.

« A dimanche soir…
– Je rentre ce soir quand même ?
– Non, Ernest viendra te chercher au travail…
– Comment tu le sais ?
– Charles me l’a dit hier quand il est passé au bureau.
– Et vous avez parlé de quoi ?
– Du week-end dernier et un peu du prochain.
– Alors tu sais ce qu’il m’a fait faire ?
– Oui, dans les détails…
– Tu m’en veux ? Balbutiais-je
– Non, pas vraiment. Je suis ravi que tu acceptes ça pour moi et que tu me permettes d’avoir ce qu’il t’a forcée à lui donner… »

Il m’embrassa de nouveau et partit au travail, partagée entre la honte de savoir mon homme au courant et la fierté de lui donner tout mon corps et toute mon âme.

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