COBAYE POUR MA SOEUR ET SES COPINES
CHAPITRE 10
Le soir même, alors que j’étais occupé à réviser pour un contrôle de mathématiques, Morgane débarqua dans ma chambre.
— Viens, petit frère. Nous avons fini.
Je suivis ma soeur jusque dans sa chambre. Là, Élodie et Thu Jin me montrèrent une pancarte qu’elles avaient peinte en rose et sur laquelle elles avaient écrit quelques mots en lettres rouges et majuscules.
« AUJOURD’HUI, POUR VOUS, MESDEMOISELLES, FEMEN PARTY AVEC UN LYCÉEN BIEN MONTÉ. CUNNILINGUS ET ANUSLINGUS PRATIQUÉS. POSSIBILITÉ DE SODOMIE AU GODE-CEINTURE ET DE BAISE AVEC MOI.
Uro et s**to prohibées.»
— Alors, elle te plaît notre pancarte ?
— Euh… Oui. Elle me laisse encore pas mal de liberté. Avec un peu de chance… Au fait, comment ça se passe cette « Femen Party » ?
— Nous avons bien aimé coucher avec tous ces garçons dans les toilettes du lycée. C’est pourquoi nous avons pensé te faire subir la même chose dans celles de la fac. Nous te regarderons depuis la salle d’étude de l’université grâce au logiciel de vidéo-surveillance. Bien évidemment, nous interviendrons si jamais l’une de tes « clientes » enfreint les règles. Ça te va comme ça ?
— Oui, bien sûr.
— Parfait. Maintenant, va au lit. Tu as besoin de repos pour demain.
J’allai donc me coucher. Le lendemain, je fus réveillé par la main de ma soeur qui me masturbait.
— C’est l’heure de te lever, esclave, me dit-elle en souriant.
Je me levai de mauvaise grâce et allai prendre mon petit-déjeuner. Après avoir mangé et fait ma toilette, je revêtis un vieux T-shirt et un short puis, une fois prêt, je me dirigeai en compagnie de ma soeur vers l’université, celle-ci m’ayant assuré que Thu Jin et Élodie nous attendaient sur place.
À notre arrivée, les filles se firent la bise et remontèrent vers la salle d’étude après avoir accroché la pancarte tandis que j’entrais dans les toilettes. Je choisis ensuite une cabine et m’y déshabillai dans l’attente de mes futures « tortionnaires ».
Après un quart d’heure d’attente, une fille entra dans la cabine que j’occupais. Il s’agissait d’une jolie jeune femme blonde de grande taille et à forte poitrine.
L’étudiante retira ses talons et ses chaussettes puis s’assit sur la cuvette des toilettes.
— Lèche-moi les pieds.
Je pris l’un de ses pieds dans mes mains et le portai à ma bouche. Après avoir léché la plante des pieds de ma maîtresse du moment, je suçai un à un ses orteils.
— Hum… Tu es un bon esclave. Passons aux choses sérieuses.
La jeune femme fit tomber son pantalon au sol puis se débarrassa de sa petite culotte. L’étudiante se saisit de mon crâne et plaqua mon visage sur son sexe.
— Lèche-moi la chatte, petit soumis.
J’obéis à l’injonction. Ma langue parcourut le sexe de la jeune femme de haut en bas puis titilla son clitoris jusqu’à la jouissance de sa propriétaire.
— Excellent, esclave. Tu te débrouilles bien. Maintenant, niveau trois.
La jeune femme se releva et m’ordonna de m’allonger au sol. J’obtempérai et l’étudiante s’assit sur mon visage.
— Lèche-moi le cul, petite merde.
J’obéis une nouvelle fois à l’injonction et m’appliquai à lécher l’anus de ma maîtresse. Après quelques instants, la jeune femme se releva et m’intima l’ordre d’en faire autant.
— Bon, petit chien. Tu m’as bien servie. J’ai donc décidé de te donner une récompense.
Sur ces mots, l’étudiante retira son pull et son soutien-gorge puis s’agenouilla devant moi. La jeune femme empoigna mon sexe et le mit en bouche. Le contact de sa langue sur ma hampe était agréable et sa technique était irréprochable mais, cependant, cela était loin de valoir les fellations de Morgane.
Ma fellatrice recracha mon phallus.
— Bon, mon mignon, montre-moi ce que tu vaux.
L’étudiante s’appuya contre la cloison de la cabine. Surpris par la tournure que prenait mon « rendez-vous », je n’esquissai pas le moindre geste.
— Qu’est-ce que tu attends ? Une invitation ? Viens me prendre avec ta grosse queue !
Je m’approchai de ma maîtresse du moment et agrippai celle-ci par les hanches.
— Euh… Par où, Maîtresse ?
— Mais par où tu veux, bordel ! En fait, tu sais quoi ? Pour ta question stupide, je t’oblige à me prendre par les deux trous ! Et je t’interdis de jouir avant de m’avoir bien pilonnée ! Vas-y, maintenant !
Je pris mon sexe dans une main et le dirigeai vers celui de ma partenaire. Je m’enfonçai lentement en elle afin de lui faire savourer la pénétration puis je commençai à la pilonner par de puissants va-et-vient. Ma maîtresse ronronna de plaisir. Encouragé par ces ronronnements, je poursuivis mes allées et venues dans l’intimité de ma partenaire avant d’en sortir et de rentrer dans son fondement.
Comme dans son vagin, je m’enfonçai d’abord lentement en elle pour lui permettre d’apprécier l’instant d’immersion de mon phallus avant de la pilonner de toutes mes forces. Ma maîtresse poussa quelques petits cris de satisfaction en m’adressant quelques compliments salaces.
Les éloges de ma partenaire et l’excitation qui en découlait en moi finirent par vaincre ma résistance.
— Maîtresse ! Je vais jouir !
— Alors, bouge de mon cul !
J’obéis à l’injonction et ma partenaire s’agenouilla devant moi en me présentant ses seins.
— Allez, jouis sur mes seins, mon toutou.
Je me masturbai quelques secondes durant sous les encouragements de la jeune femme avant d’éjaculer sur sa poitrine dans un râle de plaisir.
Sans mot dire, l’étudiante se rhabilla et me donna une carte de visite sur laquelle étaient inscrits son nom et son numéro de téléphone.
ERIKA
**********
— Tu es un bon amant. Si tu veux me revoir, n’hésite pas à appeler.
La jeune femme sortit des toilettes.
Durant la journée, je reçus encore la visite d’une dizaine de filles toutes plus perverses les unes que les autres. Deux me prirent par derrière avec le gode-ceinture en me donnant des fessées appuyées. Trois me firent subir le même traitement que celui qu’Erika m’avait prodigué auparavant et cinq ont sollicité mes talents de baiseur. Ces cinq dernières finirent toutes par me donner leur carte de visite.
À la fin de la journée, Morgane et ses amies me rejoignirent dans les toilettes.
— Alors, il t’a plu, notre fantasme ? Nous, on a bien joui en te regardant.
— Oui, j’ai bien aimé. Je comprends mieux ce que vous avez ressenti dans les toilettes du lycée. Après aujourd’hui, je me demande ce que vous allez me demander.
— Nous y avons pensé mais il vaut mieux que nous arrêtions avec ces expériences car elles ne sont bénéfiques ni pour nous ni pour toi. C’est pourquoi nous nous contenterons de coucher ensemble une fois de temps en temps avant de nous arrêter. Ça vaut mieux ainsi, Alex. Et puis, pour te consoler, tu auras Manon et toutes les filles qui t’ont donné leur carte. Quant à nous, nous aurons Karl, Sergueï et Demba.
— Tu as raison, Morgane. Ça vaut mieux.
Morgane et moi rentrâmes chez nous. Depuis ce jour, nous étions redevenus frère et soeur. Enfin, plus ou moins…
Épilogue : Morgane et ses amies se mirent en couple avec Karl, Sergueï et Demba. De mon côté, je vis un amour parfait avec Manon non sans me permettre un écart de temps en temps avec Morgane, Élodie, Thu Jin, Erika ou l’une des filles que j’avais rencontrées à la fac et ce, à la connaissance de celle qui deviendra ma femme et la mère de mes trois garçons et de mes deux filles.
FIN
Note de l’auteur : cette histoire comporte deux fins. J’aimerais savoir quelle fin vous avez le plus apprécié et pourquoi. Merci d’avance pour vos retours.
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