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Les déménageurs

Les déménageurs



Après un footing aussi rempli, Mes orifices et surtout mon cul doivent prendre un peu de repos. Après une bonne douche, direction la chambre et dodo.
Alain me sollicite pour une dernière petite pipe, mais là, franchement, je peux plus. Je m’écroule sur le lit et m’endors comme une masse. Le lendemain je me réveille alors qu’il est déjà midi. Je sors de la chambre au radar. Mon trou du cul est encore sensible de la veille. Je me dirige vers la cuisine pour me sustenter et, alors que je me baisse pour prendre mon bol, Alain me prend les hanches et me pénètre en me disant :
« J’ai envie de toi ! »
« Dans cette position que j’affectione, je suis clouée sur son dard comme un papillon.
Je me rebelle sans conviction :
« T’es con ! J’suis pas réveillée ! »
« Mais justement ! Un petit coup vite fait sur le gaz, ça devrait te mettre en forme pour la journée ! »
Je rouspète un peu mais le laisse faire. C’est vrai que j’aime bien ça, être prise comme ça par surprise et dans des situations insolites. Il me ramone bien et je commence à gémir. Au moment où il va jouir, je me retourne et le prends dans ma bouche. Ca me servira de petit déjeuné me dis-je. Alain dans un grognement salvateur explose dans ma bouche et j’avale tout.
Sur un ton faussement agacé, je lui lance :
« Au lieux de me prendre au levé du lit, si allais faire les courses ? »
Alain me sourit et me dit :
« Bien sûr ma petite pompe à bite ! »
Je le regarde sans bronché d’un air interrogateur. Aussitôt il me dit :
« Ok, je file ! »
En revenant des courses, Alain remarque un camion de déménagement stationné devant chez nous. Quand il entre, je suis assise sur le canapé entrain de me faire peloter par les déménageurs.

« Qu’es ce qui se passe ici ? » Demande-t-il.
« Se sont les déménageurs chéri ! Ils voulaient un renseignement ! »
Les mecs se démontent pas et celui qui farfouille dans ma culotte lui dit :
« Elle est bien aimable votre dame ! En plus elle mouille comme une grosse salope ! »
Alain qui reste serin devant cette situation lui répond :
« Oui ça je sais que c’est une salope et qu’elle mouille beaucoup à la moindre sollicitation ! Mais ça répond pas à ma question ! »
Celui qui est debout et sort sa queue répond :
« Comme elle est aimable, on veut la remercier ! »
Un large sourire illumine mon visage quand je vois l’engin que je vais m’apprêter à sucer. Je ronronne comme une chatte et bouge doucement mon bassin sous les caresses des autres.
Alain enchaîne :
« Ne vous gênez surtout pas pour moi ! Décidément chérie, plus ça va et plus tu t’enfile des queues au kilomètre ! Je reviens ! Je vais chercher le caméscope ! »-
Le plus âgé des déménageurs dit à Alain :
« Excusez-nous on ne savait pas comment remercier votre dame ! »
« Oui ! Je vois ! Ben maintenant que vous l’avez bien excité, il faut la finir et la baiser ! »
Aussitôt je lui réponds :
« Ho ouiiii !!!! Baisez-moi !!! Faites-moi jouir ! »
De moi-même, je me met à quatre pattes et me cambre, prête à recevoir leur hommage. Le chef se positionne. Au contact de son engin dans le vestibule de mon vagin je pousse un feulement de plaisir. En me tenant les hanches, il pousse et s’enfonce en entier dans mon con juteux.

Alain connaissant mes goût lui dit :
« Mets-lui un doigt dans le cul pendant que tu l’enfile ! Elle aime ça. »
Le type s’exécute et m’enfonce son majeur dans l’anus. J’ouvre grand la bouche et un autre en profite pour l’occuper avec son dard. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je me tortille comme une anguille en gémissant.
Alain reprend :
« Aller Messieurs ! Profitez de ma belle pute ! Elle n’attend que vos bites ! C’est une vrai nympho ! »
Le bites qui se succèdent m’amène au bord de l’orgasme. au bord de l’orgasme.
On me pince les tétines, on masse mon clito, les queue entrent et sorte à la chaîne. Je hurle de plaisir. Un black pousse son chef pour prendre sa place et il prend la place dans mon cul encore trop sensible de la veille. Je grimace mais comme une tornade je me fait emporter par ce délire de tournante improvisée. Alain lance à la volé :
« On dirait vraiment une jument, il lui manque plus qu’un plug en forme de queue pour cette salope ressemble à un a****l.  Ho j’ai une idée ! J’ai des poireaux dans la cuisine ! Ca va lui faire une belle queue ! »
A son retour, c’est mon mari qui à le privilège 
« Voilà ta queue ma belle jument ! » Me dit-il.
Je sursaute de surprise et lui lance :
« Aïe ! Putain t’es con, ça fait mal ! »
Le black éclate de rire, suivi des autres. Alain me demande :
« Marche à quatre pattes dans le salon qu’on admire ta queue ! »
L’humiliation est à son comble. Mais l’excitation aussi. Alors je me mets à arpenter la pièce à quatre pattes en tortillant du cul et en hennissant ou en aboyant comme une femelle.

Le black veut s’amuser. Il me saisit par les hanches et me plante son pieu dans la chatte. Il lui claque les fesses d’une main et de l’autre tient ma queue improvisée. A quatre pattes dans le salon, je me laisse saillir en hennissant et en aboyant. Quelques encouragements commencent à fuser :
« Baise la bien cette pute ! Ramone-lui la chatte ! Claque-lui les fesses ! Enfonce-lui jusqu’au fond ! Fais-la hurler ! »
Le black ainsi encouragé, commence à accélérer la cadence. Il m’envoie de grands coups de bite en ahanant. Un autre saisit le poireau et l’enfonce un peu plus loin dans mon cul. Là c’est trop et je me met à hurler. Mes seins vacillent sous les coups du black qui se met à grogner comme une bête en me lâchant tout son produit de mâle dans ma petite chatte. Quand il se retire, ma chatte reste grande ouverte et un liquide blanchâtre s’en échappe.
Une fois qu’ils sont partis, Alain me fourre en levrette en me disant :
« Je ne peux pas te laisser toute seule un instant ! »
Sur ces mots il me jouit sur le dos satisfait de moi.

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