Histoires de sexe de voisins Histoires de sexe en groupe Histoires de sexe hétéro

Partie 2: Julie la CPE aime la grosse bite de son

Partie 2: Julie la CPE aime la grosse bite de son



Seconde partie:

Rappel partie 1: j’ai été convoqué par ma CPE au terme d’un rendez vous qui nous a conduit dans les toilettes, ou nous avons baises violemment. Je viens d’ejaculer une enrome quantité de sperme en elle, avant de m’écrouler, épuisé.
Elle est actuellement venue sur moi me faire une douce branlette espagnole, dans l espoir que mon sexe reprenne de la vigeur.

Pour des raisons « pratiques », je vais changer le « temps du récit » et le raconter parfois au présent.

– Point de vue de Julie:

Bonjours à tous, je m’appelle Julie, j’ai 26 ans. Je suis CPE dans un lycée dans le nord de la France.
Je suis brune, coquette, j’ai une très grosse poitrine naturelle, (du 80H) qui m’as beaucoup fait complexer dans ma vie, mais que certains hommes adorent.
Je fait un peu de sport, pour garder la ligne, et avoir de belles fesses. J’ai la chance d’avoir une très bonne genetique, car elles sont fermes, grosses et bombées, avec peu d’efforts!

Concernant ma vie sentimentale, j’ai eu un premier petit ami de mes 17 à mes 23 ans, avec qui je m’entendais très bien au début, mais le temps et son sexe de 14centimetres ont fini par me lasser. Après lui J’ai eue une période de vide, 3 ou quatre aventures avec de riches quadragénaires, et un ou 2 plans culs. Quelques belles rencontres mais à part un viel italien et ses 19 centimetres, rien d’interessant.

Et aujourd’hui je suis avec boubakar, mon copain, un métisse avec 18 bons centimètres, prof d’eps dans mon lycée ,depuis un an.

Sexuellement, je me suis découverte une passion pour les penis. C’est mon fétiche, J’adore ça. Attention pas n’importe quel penis champion, non moi ce qui m’excite c’est les beaux penis bien lisses avec une belle forme, légèrement courbes, et de belles veines viriles qui les parcourent. Le tout bien longiligne avec de belles testicules et pas trop de poils, j’adore.

Visuellement, la taille compte énormément pour moi.
Je fantasme secrètement sur les hommes plus jeunes que moi. (18-22ans) Je me surprend souvent à tenter de deviner ce qu’ils ont dans le caleçon… et ce que ça deviendra quand ils en auront 25!

Mon plus grand fantasme est de me trouver un petit jeune d’au moins 18cm pour en faire mon petit poney… le guider lui apprendre à se servir de son jouet,
et le transformer en mon étalon, pour devenir sa totale chienne !
Grrr… j’en mouille rien que d’en parler.
Bien sur, je ne l’ai avouée à personne !

– Retour au lycée, Début de la Partie 2:
Quel plaisir. je me retrouve à avoir baisé Julie, ma CPE… sa chatte pleine à craquer de ma semance. Apres l’excitation de l’orgasme, comme tout les hommes, mes pulsions diminuent… je redeviens lucide. Ais je bien fait de baiser avec Julie? Quelles seront les conséquences, pour elle et pour moi? pourquoi n’ai je pas mis de capote… et ces suçons, dont j’ai couvert ses seins, comment vas elle pouvoir les cacher?

De nombreuses questions me taraudent l’esprit…

le 80H de Julie me rappelle a la réalité, en entreprenant de me masser le sexe avec une efficacité extrême… quel plaisir… quel chienne.

J’ecarte bien les jambes pour la laisser s’installer confortablement… elle me regarde avec son sourire de chienne, tout en léchant les résidus de sperme sur ma queue. Quelle salope… elle m’as complètement vidé.

Les yeux dans le vague, bercé par le plaisir de sa langue sur ma queue, je m’assoupis.

Mon rêve fut Tres érotique.
Je me reveillat en sursaut, ce qui me semblait être quelques instants plus tard, au son d’une toux grasse. C’était Julie, avec son sourire et son regard coquin, toujours au même endroit. Elle me dit:
« Enfin reveillé? T’as dormis comme un bébé, alors, tu a *slurp* fait de *slurp* beaux rêves? *slurp* » me dit elle en me suçant la bite.
Hummm… soudain je compris. Elle avais passé son temp à essayer de me sucer en gorge profonde… d’où sa toux et la quantite assez phénoménale de salive qui coulais sur et autour de mon sexe…
Elle vut que je compris la situation… je bandait de plus belle.

Elle souris. Je m’apprêtais à me redresser, pour partir sur un deuxième round, quand elle mis son doigt sur ma bouche comme pour me stopper et dit, tout en essuyant sa salive et mon sperme de mon corp, avec son soutien-gorge qui trainais juste à côté de la:
« Tout doux, mon beau…  tu a déjà très bien travaillé aujourd’hui… peut être même un peu trop… » dit elle en faisant allusion à sa chatte que j’avais totalement remplie de sperme…
« Mais tu a dormi comme un ours. Il est déjà 13h50… je reprend dans moins de 10 minutes. »
Déjà??? A ces mots je bondit, il fallait que je retourne en cours, un examen important m’attendais également.
Elle ria. « Rhabillons nous. »
On se rhabilla tant bien que mal avec nos affaires propres, par chance j’avais cours d’eps et donc du change. Elle camoufla mes suçons tant qu’elle put avec du maquillage.
Juste avant de partir, elle me dit:
« Mais je ne t’oublierai pas, mon petit poney… » en glissant sa main sous mon jean en palpant mon sexe et caressant une dernière fois mes testicules…

Je pensât « mais quelle grosse chienne… »
Et on repartit chacun de notre côté.
Je remarquât qu’elle boitait un peu… je ris intérieurement, fier de moi.

Je suis retourné en cours, comme si de rien était… a ceci près que j’ai bandé toute l’après midi en repensant à ce qui venait de se passer, et que j’ai totalement raté mon contrôle tant j’avais l’esprit ailleurs.
Mais Aucune importance.

Je me demandait si j’avais rêvé ce que je venais de vivre, si cela était bien réel, ça me semblait si soudain… et je me demandait si cela allait recommencer ou non, ainsi que comment cela allait se finir…

Le soir même une fois rentre chez moi, je pris la plus grosse douche de ma vie, pour me débarrasser de toute la salive et la mouille séchée et essuyée de manière incomplète de mon corp.
Ah, ça fait du bien de se sentir propore à nouveau…

Je pensât à Julie, qui m’avais essuyé avec son soutien gorge… enduit de mon sperme, je n’avais pas remarqué qu’ elle l’avais remis sans se poser de questions…
Quelle cochonne…
Une nouvelle érection fit son apparition. Mais je l’ignora, me demandant simplement si elle en avait fait exprès.

Un repas, un petit tour sur YouTube, et Je m’endormis comme une pierre.

Le lendemain matin, repensant à la veille, qui me semblait tellement irréaliste que je me persuadât tout seul que c’était à coup sûr un de ces reves bizarres qu’on fait parfois… je suis donc allé en cour comme a une journée normale.
Je ne vis pas la CPE ce jour ci. Ni le reste de la semaine d’ailleurs. Ce qui me conforta dans l’idée que j’avais juste rêvé.
J’appris ensuite qu’elle avais pris un « arrêt maladie » pour la semaine, et refusait de recevoir quiconque dans son appartement, même son propre conjoint.
Étrange.

Le lundi suivant, journée classique et ennuyeuse de lycée entre cours de philo et de maths, dont je vous passe les details, j’avais presque oublié cette histoire quand soudain en fin de journée, on frappat a la porte de ma classe, un pion dit « Antoine tu est convoqué dans le bureau de la CPE, après le cours. »
N’y comprenant rien, les cours finissait a 17heures ce jour là, et j’etait sencé aller dormir chez un pote, cela allait retarder notre partie de console.
Je soupira.
La fin de l’heure fut longue, et je la passait à repenser à ce rêve bizarre qui semblait si réel que j’avais fait la semaine passée avec la CPE… j’avais mal à la tête.

Finalement l’heure sonnât, et je suis allé dans le bureau de la CPE, un peu intrigué, pour voir ce qu’elle me voulait.
On me dit qu’elle était absente, et qu’il faudrait patienter jusqu’à 18heures. Super…
Je m’asseya près de la porte et prévu mon pote qu’il vallait mieux annuler la soirée de ce soir, et que je rentrerais chez mes parents plutôt. Ceci fait, je me mis à traîner sur mon téléphone pour passer le temps.

Vers 18heures, je vit la CPE arriver. Toujours aussi charmante, dans un grand vêtements noir très classe et féminin. Sexy.

Elle me souris, et dit: « viens suis moi antoine, je ne vais pas te manger »
Ce que je fit.
On traversât les couloirs de la salle des profs, ou les enseignant était en train de partir pour rentrer chez eux. Elle me dit:
« As tu le permis de conduire? J’ai oubliée un dossier chez moi… j’habite à 5 minutes. C’est vraiment trop bête, peux tu m’emmener? »
A ces mots, un peu agacé, j’accepta… étrangement, j’eu l’impression que ces rêves bizarres était encore en train de se produire… j’en vint à me demander si ce n’était pas réel…

On arriva à sa voiture. Elle me lançait ses cles, et me dit « ce soir c’est toi mon chauffeur antoine. Alors, regarde bien la route! » avec un clin d’œil complice.

Sans vraiment comprendre, ( il faut croire que je suis un peu con parfois) on s’installât je démarrât la voiture.

Elle mis de la musique. Puis se mis à chanter. Très mignonne.
Soudain, en sortant du parking, elle glissa sa main sur mon jean… surpris, je la regarda. Elle me fit son sourire qui en dit long… aussitôt tout me revint… je n’avais donc pas rêvé… de reçut un énorme shoot de testosterone en réalisant la situation…
bordel. Elle défit ma braguette avec son regard de salope… mon sexe se sentait très à l’étroit dans mon jean… je dit:
« Tu veux que je m’arrête ? »
Elle repondit « surtout pas… laisse toi aller antoine. » tout en saisissant mon sexe entre ses petits doigts. Hummm….
je lui saisis la cuisse.
Elle baissa mon pantalon aux chevilles et crachat dans sa main. Elle me dit: « je vais te guider maintenant antoine. »
Je lui glissat ma mains sous le jean… et commençât à lui titiller le clitoris. Je dit: « C’est décidé, je ne passerai plus les vitesses du trajet. »
Elle ria, et me dit « ne t’en fait pas, je peux très bien manier pour toi ces deux leviers de vitesse… avec une voix et un regard de salope a en faire bander un moine. »
Ça y est, ma queue était 100% au garde à vous.

Bordel… je lui caressait le clitoris de plus en plus vigoureusement… elle gémit… et eue son premier orgasme. Elle inonda son jean. Hum..

« Antoine… tes doigts sont vraiment faits pour jouer avec une chattz.. » me dit elle. Tout en me branlant. « A mon tour maintenant, mon poulain… »
Dit elle en retirant son haut et en se mettant seins nus à côté de moi, dans la circulation… je n’avais qu’une envie, ne pas regarder la route et m’occuper d’elle.
La salope! Elle me frustrait.
Elle me dit: « tu a été très méchant avec moi la dernière fois antoine. Tu a complètement détruit mes seins. A cause de toi, j’ai dû poser un arrêt maladie d’une semaine le temps que ça disparaisse… je n’ai vu personne depuis. A mon tour maintenant de m’amuser… »
Je remarqua qu’en effet sous une fine couche de maquillage une partie de mes suçons était encore bien visibles…

Elle se glissa ensuite sur mon siège, attrapa mon sexe, et posa ses lèvres dessus… « hummm… c’est un monstre » répétât elle. Je bandait a mort.

Elle entrepris de me sucer le gland. Les trajectoires de ma conduite fluctuait en fonction de la trajectoire de sa langue sur ma queue… c’était très peu sécuritaire. Mais putain qu’est-ce que je m’en foutait.
En revanche, c’était une torture de devoir regarder la route. J’avais de plus en plus envie de la défoncer, et c’était bien son but…

Elle me pompa comme la derniere des salope.comme je ne connaisait pas la route, elle me dirigeait et m’indiquait la direction en pointant ma bite dans la direction voulue. Extrêmement excitant.
Une fois arrivé chez elle entiers, par mirzcle, et sans avoir été surpris, par « encore plus miracle »
Elle daigna lâcher sa tétine, et me dit « tu viens prendre un café? »
J’entendis clairement: « tu viens me défoncer? »
J’ai dit « pourquoi pas! »
J’ai pensé clairement « Putain que oui tu vas ravaler ce petit sourire de m’avoir fait souffrir ma belle… »
Elle a souris,
Et on courru hors de la voiture à moitié à poil jusqu’à son appartement, toujours en me tenant par la bite, et moi en l’agrippant par la fesse, sinon c’est pas drôle.

Heureusement personne ne nous a vus.

On se retrouve dans l’ascenseur à moitié à poil, j’arrache son soutif et je vire son petit jean serré. Elle fait de même avec mon t shirt et mes vetements.
On se retrouve à poil dzns l’ascenseur, je l’att**** par les fesses, la souleve, la plaque au mur, elle croise ses jambes autour de ma taille, et je glisse mon sexe dans sa petite chatte. et on se roule une énorme pelle. Elle gémit.
L’ascenseur monte lentement… je met quelques légers coups de bassins pour amorcer la penetration.
Quand tout à coup, ding, l’ascenseur s’arrête et ce n’est pas notre étage.
Gros blanc. La porte s’ouvre, et melanie, une fille de mon lycée, se trouve de l’autre côté…
On resta immobiles, bouches bée, sans dire un mot. Toujours à poils, toujours Julie la CPE les jambes autour de ma taille, et mes 22cm a l’entrée de sa chatte qui essaient de rentrer le gland…
La scène est surréaliste.
Melanie reste elle aussi bouche bée, et immobile, et dit timidement « désolée, je… je vais prendre les escaliers… »
l’ascenseur se referme ensuite, puis repart. Ouf, quel malaise. Mais il nous falut moins de 5 secondes pour poursuivre ce qu’on avais entamés.
Sans se soucier du bruit, je lui limais la chatte la tenant en bout de bras, pour bien entrer ma queue progressivement en elle… elle se tortillait comme un ver de terre.
Une fois arrivés à son étage, ok se précipita à sa porte, toujours nu, à la porter, ma bite à moitié dans sa chatte,
Je la plaquât contre sa porte et lui fit ouvrir.
Enfin tranquilles.

Une fois rentres chez elle, et la porte claquée, on put se lacher.je la plaquât le dos contre son mur d’entrée, pour lui limer la chatte. Heureusement qu’il n’y avais pas de voisins, car le mur absorbait tout mes coups de bassins.
Je prenais un plaisir fou. Je gémissais, et elle hurlais comme une folle.
« Putain antoine vas y défonce moi… ton jeune monstre me dechire putain… remplis moi de ton sperme, engrosse ta CPE, mon poney. chevauche moi comme ta pire chienne, defonce moi, ENCULE MOI!!! »

Ce que me disais cette chienne m’excitait plus que tout, je lui mettait désormais de grands coups de bassin de toute la longeur de ma queue sans aucune retenue. Je m’amusais à faire claquer mes couilles le plus fort possible contre ses fesses à chaque coup de rein.
Son enorme80H se faisait secouer dans tout les sens juste devant mon visage. Plusieurs fois,j’y ai mis la tête dedans pour lui dévorer les tétons et lui faire de nouveaux suçons encore plus gros. Je me foutait complètement de son copain, tout ce qui compte c’est que Je sentait sa petite chatte étirée a en craquer, et j’adorais ça.

Fatiguant un peu, et voulant changer un peu de position, je la transportât jusqu’à sa cuisine, ou le la posât, toujours les cuisses en l’air et embrochée au bout de ma queue, sur le plan de travail de sa cuisine, pour avoir sa chatte à hauteur de ma queue. Pour lui maintenir la chatte bien ecartee, je lui relevât les cuisses, passât mes bras sous ses genoux, pour lui att****r le dos derrière, et la caler cuisses bien en l’air, à ma merci.

Quel délice pour les yeux de voir cette perfection feminine a gros Cul et à gros seins, totalement à sa merci sur son plan de travail de cuisine, entre la planche à découper et sa corbeille de fruits… elle en Pris un coup sur les fesses.

Je la limait de toutes mes forces. Elle hurlat et eue plusieurs orgasmes dans cette position. Je profitait de la vue dégagée pour lui doigtait le clito en même temp de lui limer la chatte. Quel plaisir… indescriptible.
Elle roulait de l’oeil sous mes coups de reins. J’avais jamais autant pris de plaisir dans une femme.

Elle me répétât « encule moi antoine, encule moi. Je veux que tu m’encule. Je veux sentir ta grosse queue profondément en moi, Je veux faire ma première sodomie avec ta bite de poney… »
Ce qui m’excita et l’intéressa terriblement. C’était aussi ma première fois, je n’avais jamais sodomiser une fille avant ça.

Prévoyante, elle avait fait un lavement de 17 à 18heures… c’est donc pour ça que je l’ai attendue… elle savais déjà…
A l’idée qu’elle ai prévue à l’avance que je l’encule, mon envie redoubla.

Je la retourna d’un tour de main, lui mis quelques fessees bien rougeoyantes, et cherchat un meuble idéal pour m’occuper d’elle.

Mon attention se portât sur un superbe canapé plat, à hauteur de genoux, dans la salle en face de la superbe baie vittee avec vue sur la ville.
Quoi de mieux que de la prendre en levrette avec un semi reflet de nous dans la vitre, plus une vue imprenable sur le panorama… elle vit que je regardait le canapé, et compris de suite ou je voulais en venir. Elle se leva, s’agenouilla devant moi, et mis une disaine de grands coups de gorge sur ma queue pour la laver de sa cyprine, puis elle se dirigea sur le canapé plat, en position levrette, ses gros seins qui touchais lé tissus, en cambrant son cul de reve en ma direction et en gigotant d’impatience.

Hum:… impossible de résister à la tentation. J’approchat et lui enfonça mon index dans le cul. Elle poussa un petit cri strident. Elle twerka sur mon index.
J’entrepris ensuite de la prendre en levrette, le temp de l’ elargir un minimum.

Je posât mon gland à l’entrée de sa chatte, et BLAM! Elle se précipita dessus et mis un grand coup de bassin pour en rentrer un maximum d’un coup.
Elle regretta immédiatement ce geste zn hurlant de douleur… on ne peux pas faire n’importe quoi, elle apprendra de ses erreurs.

Je commenca enfin à lui limer la chatte en levrette au gres de ses envies de sautiller sur ma bite, tout en encaissant mon sexe, je la vois dans son sac à main sortir du poppers, qu’elle avais du acheter en prévision, pour se dilater l’anus un maximum. Je la vois en prendre une dose maximale, tout en la defoncant en levrette en lui triturant le trou du cul, impeccablement propre net et sans bavures. Je mis un doigt, puis deux; puis trois, puis mon gland…. a chaque fois elle hurlais. Le poppers faisait peu à peu effet, pour la première fois j’enfonçais mes 22 centimetres leeeeentement, centimetre par centimetres, dans le cul de ma CPE afin d’un sonder le contenu. Ce fut également une première pour moi. Je sentait mon sexe à l’intérieur d’elle suivre la direction de son intestin… ou plutôt chasser ses organes et intestins pour laisser place à ma queue. terriblement excitant.

Ça y est, je l’encule. Je l’encule même à fond. Cette fois pas de pitié, je fait de son gros cul de chienne mon nouveau sac à baise. Je lui met de grands coups de queue qui font entrer un maximum d’air dans son anus beant, si Bien qu’elle en pète a répétition sur ma queue au rythme de mes vas et viens… original.
Le plaisir est immence. Je passe mes doigts et ma queue de son cul beant à sa chatte, et inversement. Elle hurle: « mon cul… putain mon cul salaud… je suis désolée mais je peux pas m’empêcher de peter.. je sens chaquz centimetre de ton monstre me ravager de l’intérieur…. mais où était tu pendant toutes ces années… t’es né pour m’enculer mon poney: t’as 7ans de moins que moi mais je veux ta putain de grosse bite.
Elle enchaîna plusieurs orgasmes…

Je lui ravage l’anus avec un malin plaisir un peu vindicatif, en souvenir du temps où elle me sucait au volant en voiture sans que je puisse rien faire.

Pour finir, me sentant sur le point de jouir, je lui met une grosse fessée, la retourne, la giffle, elle encaisse en souriant comme une chienne, en me suppliant de l’att****r par le cou… ce que je fit. J’envoyat valdinguer les magasines stupides sur la table de sa cuisine, puis je la souleva et la posa dos à la table, cuisses bien en l’air. Ma queue en direction de son cul et de sa chatte, bien orientés vers moi.
Je lui saisis ensuite fermement le cou à deux mains… lui met une bonne giffle de politesse, et je commence à la baiser de nouveau de toute mes forces. Elle hurle de plaisir, et jouis à nouveau de plus belle.
Ma pauvre queue au bord de la jouissance , lui balance de violents coups de reins dans le cul, bien serré.

Nous hurlons de plaisir.

Quand soudain, n’en pouvant plus, je décide de repasser dans sa chatte pour me terminer.
Et renforçant entièrement mes 22cm, et en la bourrinnant toujours en lui tenant le cou à deux mains,
elle poussa un cri de chienne en chaleur qui m’achevât…
Toujours aussi hyperspermique, je déchargeât 16 violents jets de sperme bien au fin fond de sa chatte, avec de puissant spasmes ejaculatoires comme à mon habitude.
Ces spasmes lui déclenchèrent de nouveau un orgasmes très puissant…
Nous jouissons ensembles je sens sa petite chatte se gonfler et mes couilles pleines à craquer s’alléger considérablement…
Elle hurle « oh non antoine encore ma chatte… il faut pas mais qu’est-ce que ça m’excite!!! Tu vas finir par m’engrosser mon poney… » Tout en dégoulinant de mon sperme.

Le cul et la chatte dilatée, et la bite éprouvée par les frottements,
Elle m’invita à partager son lit, et
Nous nous endormons ensembles, épuisés, dans les bras de l’autre.

FIN de la partie 2!

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire