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Dominé dans le bus de nuit

Dominé dans le bus de nuit



« Tout est en ordre Monsieur, vous êtes au siège 42. »

Le temps de mettre mes valises en soute, je rentre dans le bus et marche vers ma place. Je suis au fond, côté fenêtre. Parfait, j’ai besoin de me reposer après cette semaine. Je suis parti voir mon ancien plan cul dans le sud de la France. Elle est incroyablement belle, des fesses bien rebondies et des seins sensibles. Nous avons fait l’amour toute la semaine, et mon excitation était à son maximum.

Le bus fait quelques pauses sur le chemin, et un arrêt plus long à Paris vers 20h est prévu, avant de reprendre le trajet de nuit. J’ai tout prévu pour ne pas m’ennuyer : un livre, une console de jeu et de la nourriture, évidemment. Je m’installe donc au fond du bus, presque vide. Pour cause : je prends toujours mes vacances hors saison car mon horaire me le permet, et c’est moins cher. J’ai mis mon jogging pour plus de confort, et retiré mes chaussures, il fait bien assez chaud dans le car.

Dix minutes plus tard, un homme imposant arrive vers le fond du car. Il est un peu gros, mais surtout assez musclé, dans un t-shirt très moulant. Il est très imposant, il doit faire 1m90. Il scrute les numéros des places, pendant que je l’imagine à côté de moi. Malgré la grandeur des places, je risque d’être assez serré à côté de lui !

Finalement, ma prédiction se réalise, l’homme trouve son numéro, baisse lentement mes yeux sur moi. Surpris, je lève ma tête et croise son regard. Il me fait un petit sourire suivi d’une poignée de main. Comme nous allions passer un bon moment ensemble, il décide de se présenter. Il s’appelle Luc, il a 36 ans et il se rend à Bruxelles pour rendre visite à un ami. Je réponds en expliquant que j’ai 20 ans, que je suis étudiant en informatique et que je suis passionné de jeux vidéo. Il m’écoute avec attention, me posant des questions et créant une petite discussion inattendue pour créer un climat agréable.

Très vite, la discussion se porte sur les amours. Je lui explique que je suis plutôt libre de faire ce que je veux, vu que j’ai quitté ma dernière copine deux semaines plus tôt. Lui, par contre, est marié mais entretient une relation plutôt ouverte avec sa femme. Souvent séparés par la distance à cause du travail, ils forment un couple plutôt libre. Il m’explique qu’elle se fait souvent baiser un peu partout, et qu’il aime ça. Il est du genre dominant, m’explique-t-il. Sa seule règle : « Toujours tout immortaliser, en photo ou en film pour l’envoyer à l’autre ».

Je trouve ça plutôt original, et il n’hésite pas à me montrer un exemple. On y voit sa femme se faire prendre par deux mecs sans aucune retenue. Elle se fait littéralement démonter sans aucun respect, et je dois bien reconnaitre que ça m’excite. Il voit mon embarras et me rassure :

– Ne t’inquiète pas ! C’est normal de réagir comme ça quand on voit une chienne comme elle. Elle adore ça, elle se laisse dominer et s’abandonne complètement à ses maîtres.

Cette déclaration ne me laisse pas indifférent, et je sens une boule d’excitation dans mon corps. Il me propose de mater d’autres vidéos, le mettant en scène. On le voit pilonner toutes sortes de femme, avec une bite d’une taille assez énorme. Toutes ses vidéos me rendent dingue, et heureusement le chauffeur décide à ce moment de nous expliquer rapidement le voyage, et le véhicule démarre.

Après environ 20 minutes de voyage, où je joue à la console et qu’il lit un livre, je sens sa main se coller près de ma cuisse. Son corps entier envahit littéralement le siège, je suis de plus en plus poussé sur la gauche vers la fenêtre. Je me sens oppressé, et pour un voyage aussi long ça ne va pas être de la tarte. Je regarde légèrement son immense main, et mon regard se pose sur son entrejambe. On voit clairement le contour de son engin. Je perds ma concentration et je rate le niveau dans le jeu.

– Tu n’es pas très concentré ? demanda-t-il.

– Non, c’est un niveau vraiment difficile en plus, répondis-je.

– Oui j’y jouais avant. Il faut vraiment bien gérer ce passage, dit-il en posant sa main sur ma cuisse.

Cette fois je n’en peux plus, je brule de l’intérieur. Je me sens dominé par Luc et ses attouchements renforcent mon excitation. Je continuais de perdre. Soudain, il prit ma console et me dit :

– Tu ne fais que rater, tu continueras plus tard. Maintenant, suce-moi. »

Le ton direct et le culot m’empêchent de dire quoi que ce soit. Ce n’est pas une demande, ni une envie, c’est un ordre. Je ne sais pas quoi faire, la personne la plus proche est deux sièges devant et je me trouvais coincé avec lui. Je sens sa force dans son regard, et à quel point je n’ai pas du tout mon mot à dire.

Un petit regard pour balayer autour de nous et voir que, évidemment, personne ne regarde vers l’arrière du bus. Je défais doucement sa ceinture, pour ne pas faire de bruit. Il ne m’aide pas, je sens juste son regard et sa présence au-dessus de moi. Je parviens finalement à sortir son pénis de son caleçon. J’ai du mal à la tenir en main, à cause de sa taille. Je baisse doucement la tête, et le prend en bouche.

J’entoure difficilement le gland, surpris par la circonférence de l’engin. Je tente des vas-et-viens sans grand succès, ma bouche n’est pas habituée à un tel calibre. Il effectue des pressions sur ma nuque, me forçant à aller de plus en plus loin, au risque de faire du bruit. Juste à ce moment-là, j’entends le bruit caractéristique du déclencheur d’un appareil photo sur mobile. J’étais sa proie et il m’a eu.

Je commence à y prendre plaisir, et lui aussi. Sa main appuie de plus en plus fort, et son sexe est bien gonflé. Soudain, il me prend la tête avec les deux mains pour la bloquer, et tout son sperme se déverse directement dans ma gorge. Je fais un bruit étouffé, mais assez reconnaissable. Il le savait. Il voulait que je sois honteux, que tout le bus sache que je venais de le sucer comme une petite pute. Pour enfoncer le clou, il remet sa ceinture sans discrétion. Les personnes du fond du bus doivent avoir tout entendu de notre petit manège. Et pourtant, ce n’est que le début…
e me rassieds, et je reprends mes esprits. Je venais de sucer un inconnu dans le bus, et bien que j’ai aimé, je n’avais été traité que comme un vulgaire objet sexuel, un trophée.

Luc ne m’accorde aucune importance. Sitôt son pantalon remis, il est en train de lire son journal. Je me sens souillé. J’avais tout avalé et bien que le goût ne me choque pas, j’ai l’impression de puer le sperme. Pendant dix minutes, je ne fis rien. Je repense à ce que je viens de faire avec une impression de dégout, mais aussi une excitation folle. Je n’avais pas réfléchi, et je m’étais laissé aller à ses commandes, exactement comme sa chienne de femme.

– Je peux récupérer ma console ? lui dis-je, pour briser le silence.

– Non, d’ailleurs passe-moi ton sac deux secondes. J’ai deux trois trucs à régler.

Un peu surpris, je lui passe mon sac. Je sens qu’il ne blague pas et je ne veux pas créer d’ennuis avec lui.

– Comme ce n’est pas mon genre de faire du chantage avec mes dossiers photos privés. J’ai besoin d’un autre moyen de pression, m’explique-t-il. Je vais confisquer tes affaires. Si tu veux quoi que ce soit, tu n’aurais qu’à me demander.

Je suis abasourdi. Je n’arrive même pas à me défendre face à ce mec qui vient de m’humilier et de voler mes affaires. Je n’ose même rien dire, tellement je me sens con.

– Je peux avoir un peu d’eau ? lui demandais-je en rentrant complètement dans son jeu.

– Oui tu m’as bien sucé, tu peux en prendre.

Je bois ce que je peux pour faire passer mon haleine de sperme. Il me tient, je suis piégé. Je me demande à quelle sauce il va me cuisiner. Son regard ne traduit rien, mais je sais qu’il a déjà en tête ce qu’il veut me faire. Soudain, il prend son sac et me tend un plug anal.

– Tu vas t’enfoncer ça dans les toilettes pour te dilater, me dit-il. Mais tu ne fermes pas la porte à clé pendant que tu l’enfiles. Prépare-toi au maximum pour que ça ne te fasse pas mal au moment de la pénétration. Reste dedans pendant au moins 20 minutes.

Je ne sais même pas ce qui me pousse, mais je prends son plug. J’essaie de le dissimuler dans ma poche, ce qui m’es formellement refusé par Luc. Il veut que je le tienne bien visible dans ma main. J’enjambe mon bourreau, et traverse le milieu du bus, avec ce plug en main. Je n’ose pas me retourner pour voir les regards.

Je me mets dans la cabine des toilettes. Pendant un instant, j’hésite à fermer la porte. Puis je me ravise, s’il le découvre, je ne sais pas ce qu’il me fera. Je m’installe, ça pue l’urine. J’abaisse doucement mon pantalon, et une pensée me traverse l’esprit. Les personnes à l’avant du bus ne m’ont pas vu aller aux toilettes, elles ne vont pas hésiter à rentrer. Les personnes à l’arrière m’ont vu rentrer avec ce plug, si je suis tombé sur des pervers, ils ne vont pas hésiter à forcer l’entrée également.

Finalement, je me dis que je ne peux rien n’y faire, et qu’avec un peu de chance, il ne m’arrivera rien.

J’analyse le plug, il est plutôt épais. J’ai déjà sucé un mec, j’ai même pris, mais ça m’avait fait mal et ça n’avait pas duré. Ici, je ne sais même pas si ça va rentrer… Je me mets à la sucer, en mettant un maximum de salive pour lubrifier. Je l’enfonce petit à petit, mais impossible de l’enfoncer complètement. Je me repose assis deux secondes, il faut croire que cette situation m’excite je bande comme un fou.

Deuxième essai, je renfonce doucement le gros plug. Il rentre, la douleur est là mais elle s’estompe petit à petit.

« CLACK »

Le bruit typique des toilettes de bus. Un homme se trouve devant moi, immobile avec des yeux grands ouverts.

Je peux comprendre sa surprise. Face à lui se trouve un jeune mec de 20 ans, pantalon baissé, avec un plug à moitié enfoncé dans l’anus. Le silence de deux secondes qui suit me parait être une éternité.

C’est un jeune homme dans le milieu de la vingtaine. Je l’ai vu dans la file avant de rentrer avec une femme qui doit être sa compagne, ils ne s’adressaient pas la parole. Il a des cheveux courts bruns, des petites lunettes rondes et des yeux bleu-vert.

Il me regarde, et entre naturellement dans la cabine. Il ferme la porte à clé, abaisse son pantalon et sort sa bite. Elle est de taille moyenne, quelque chose que je peux prendre en bouche disons.

– T’as l’air d’être une petite salope toi. Ouvre la bouche, et avale tout.

J’ouvre la bouche, un peu surpris. Le mec approche sa bite de ma bouche, et se met à uriner dedans. Je suis trop surpris, j’essaye d’avaler ce que je peux mais une grande quantité de liquide coule sur le sol. C’est chaud, salé et ça me dégoute, mais je sais que si je crie, tout le bus va le remarquer. Il m’en reste encore beaucoup dans la bouche quand il finit, et il attend patiemment que j’ai fini de tout avaler.

Je me sens humilié, je déteste ça mais je n’ai pas eu d’autre choix que de faire ce qu’il me dit.

Une fois qu’il a fini, il me fixe du regard. Je comprends ce qu’il attend. Je viens naturellement englober sa bite pour la nettoyer. Que c’est bon d’avoir dans la bouche quelque chose que je peux avaler en entier ! Très vite, je la sens durcir dans ma bouche. Je me donne au maximum, je joue avec ses couilles et je le suce comme je peux. Je fais mon possible pour le faire juter le plus vite possible, pour pouvoir vite retourner au fond du bus.

– T’es vraiment une bonne chienne, me dit-il. J’ai entendu un mec se faire sucer bruyamment au fond du bus, je me disais bien que ça pouvait être qu’un jeune soumis qui a soif de bite. Qu’est-ce que t’attends pour t’enfoncer ce joli jouet ?

Ça confirme ce que je pensais, tout le monde a entendu cette scène. Je réalise seulement maintenant la merde dans laquelle je suis, surtout qu’il reste plus de 13h de voyage. Cependant, il a raison. Avec toute cette agitation, j’ai oublié le plug que je dois m’enfoncer. Je le récupère et utilise la pisse comme lubrifiant. En le suçant, je me l’enfonce petit à petit. Mon excitation a bien dilaté mon anus, et il rentre plus facilement que la première fois.

– J’ai bien envie de te prendre, mais on n’a pas la place ici. Et puis, avec cette odeur de foutre, ma femme comprendrait que je me suis tapé une belle salope dans son dos. Pourtant, j’ai quand même envie de t’honorer comme la pute que tu es. Ouvre la bouche.

Un nouvel ordre, et je me rends compte que je réfléchis de moins en moins. Docile, je relâche sa bite et ouvre la bouche. Il se masturbe frénétiquement près de mon visage, je peux voir ses couilles rétrécir quand il se met à me jouir dessus. D’abord un énorme jet sur tout le visage, puis plein de petits jets près de ma bouche et mon nez.

La scène doit être pitoyable. Je suis au milieu d’une cabine remplie d’urine, le visage couvert de sperme avec un plug dans l’anus. Heureusement pour moi, je sens plus le sperme que l’urine. Le jeune homme sort de la cabine, et me laisse seul dans ces toilettes minuscules.

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