Samedi après-midi, j’ai reçu un courriel par le biais de mon blog. Le message disait ceci : es-tu aussi horny que tu le laisses paraître? J’aimerais bien te voir en action. Si intéressé, texte moi au numéro suivant (…) Vous comprendrez que je n’inscrirai pas le numéro de cellulaire. Intrigué, je répondis aussitôt en lui textant qu’il n’avait qu’à m’inviter chez lui pour le savoir. Sans attendre trop longtemps, mon cellulaire vibra avec, comme message, une adresse à Laval. Je dois avouer que je trouvais ça un peu bizarre mais j’ai toujours été attiré par ce genre d’aventure où l’on ne sait pas ce qui se passera. Et s’il m’avait donné son adresse, ça ne devait pas être dangereux. Donc, à vingt heures, je montai dans ma voiture et me rendis là où on m’attendait.
Je croyais devoir me retrouver en ville mais la maison se situait plutôt à l’extérieur du milieu urbain, soit sur une sorte de route non éclairée et où les maisons ne s’avoisinaient pas vraiment. Mais par chance, j’avais donné l’adresse à une amie, par pure précaution. Dans ma jeunesse, je m’y serais jeté tête première mais sans doute qu’en vieillissant, on devient plus peureux. Mais tout de même, ça m’excitait de me rendre dans cet endroit inconnu et surtout, n’ayant jamais vu le mec en question. Je ne connaissais rien de lui; pas même son âge, son look. Tout ce que je savais, c’était qu’il voulait me mettre à l’épreuve et je lui montrerais qu’une baise ne me faisait pas peur. J’arrivai enfin, empruntant une petite route de terre qui menait à une maison ancestrale, toute faite de pierres de champs. Il y avait des bâtiments tout autour mais la noirceur m’empêchait de constater leur raison d’être. Je me stationnai donc devant la maison et descendit de ma voiture pour gravir l’escalier qui menait à la porte d’entrée. Sans même sonner, cette dernière s’ouvrit, me laissant voir un homme d’une soixantaine d’année. Il n’était pas vraiment mon genre mais lorsqu’il me sourit en m’incitant à entrer, je le trouvai charmant. Il était grand, mince, de beaux cheveux grisonnants et était vêtu d’un jeans et d’une chemise à carreaux. Aussitôt la porte refermée derrière moi, je me débarrassai de mon manteau et de mes bottes (il neigeait) et restai plantai là, attendant qu’on m’offre de passer au salon… ou tout de suite dans la chambre. Mais non, le mec ne bougeait pas, se contentant de me regarder de la tête aux pieds en souriant. Je me dis donc qu’il n’était pas déçu de mon physique vu qu’il souriait à pleines dents mais son silence me laissait perplexe. Et soudain, il glissa sa main gauche sur mes fesses et dit : « ça sera parfait. Tu as un cul dur comme du roc ». Je le remerciai et là, il m’incita à passer au salon avant de m’offrir quelque chose à boire. Je savais maintenant de quoi avait l’air l’inconnu et même s’il ne me plaisait pas réellement, je me disais que sa queue me remplirait tout de même le cul. Je n’avais pas fait tout ce chemin pour rien.
– Je te suis depuis un moment sur ton blog et je dois avouer que les vidéos que tu y mets sont assez explicites sur ta façon de vivre ta sexualité.
– Ce qui veut dire?
– Tu ne sembles pas avoir beaucoup de tabou et tu donnes réellement l’impression d’adorer le cul sous toutes ses formes.
– Il faut s’entendre, lui dis-je pour l’informer que certaines choses pouvaient tout de même me dégoûter. Je ne suis nullement s**tophile ou zoophile. Je ne te touche pas à cela.
– Ne t’inquiète pas, moi non plus.
J’en fus soulagé cependant, quelque chose me disait que ce mec attendait quelque chose en particulier mais je ne parvenais pas à le cerner tout à fait. Je commençais légèrement à me poser de sérieuses questions sur son compte. Pourquoi insistait-il sur le fait que je lui paraissais quelqu’un de spécial quant à ma sexualité? Je lui posai donc la question franchement et il rit, tout simplement, avant de me réponse : « Je sais que tu aimes te faire fourrer sans condom car tu l’écris ouvertement sur ton blog et que tu apprécies les orgies et par tes albums, je vois bien que je ne suis pas ton genre d’homme. Tu aimes les mecs musclés et dis-moi si je me trompe mais les blacks t’excitent vraiment ». Il voyait juste le vieux et je dû le lui avouer mais ça ne m’éclairait pas plus sur ses intentions. « Je suis un voyeur, poursuivit-il. J’aime regarder des beaux mecs dans ton genre se faire baiser à fond. A mon âge, je sais bien de toute façon que je ne pourrais pas me taper un mec comme toi sans le payer et quelque chose me dit que tu n’es pas une pute. J’ai quelque chose à te proposer qui pourrait, je l’espère, te plaire ». Je soupirai discrètement, intrigué par la proposition mais tout aussi craintif. Que me voulait ce bonhomme et pourquoi m’avait-il invité chez lui si ce n’était pour me baiser? Il se disait voyeur mais nous n’étions que nous deux. Désirait-il que je me masturbe devant lui? Si ce n’était que cela, j’aurais pu le faire chez moi, seul dans ma chambre ou mon salon. Et c’est alors que le tout se concrétisa lorsqu’un black, musclé à souhait, fit son apparition. Il était beau comme un dieu, dans la mi-vingtaine, vêtu d’un simple boxer qui laissait entrevoir une queue déjà bien dure. Le vieux voulait donc que je me fasse baiser par ce black pendant qu’il nous regarderait, sans doute en se crossant. Et je dois avouer que je n’avais rien contre, ne résistant nullement lorsque les bras musclés m’incita à me lever. Lentement, il déboutonna ma chemise, me caressant le torse de ses grosses mains noires tandis qu’il se plaçait derrière moi, me susurrant à l’oreille : « Tu sens ma bite contre ton cul. Tu aimerais que je te l’enfonce bien profondément entre les fesses? Je suis certain que tu rêves déjà de la sentir s’enfoncer dans ton cul bien ouvert, disait-il en me tripotant le sexe par-dessus mon jeans. Et en plus, je te le remplirai de mon foutre chaud et gluant, à moins que tu préfères le manger ». Je croyais que ma bite allait exploser tellement elle avait pris de l’ampleur et j’espérais que le black allait la délivrer de mon jeans mais non, il continuait à me caresser et je sentais sa respiration haletante derrière moi, sa bouche collée contre mon oreille. « Tu aimerais que je déboutonne ton jeans parce que ta queue est bien dure et grosse. Tu aimerais que je la tienne dans ma main ou mieux encore, que je la suce entre mes grosses lèvres de black mais tu dois attendre que je le fasse car c’est moi qui décide ». Je fronçai les sourcils, comprenant que ce mec était un maître et que moi, je devenais sa chose, sa pute qui se ferait contrôler tout au long de la baise. Ça m’allait, ne me retrouvant pas dans l’inconnu. Ce n’était pas la première fois qu’un mec prenait tout en main et de le savoir si mâle et musclé, j’aimais bien l’idée. Je jetai un œil sur le vieux qui nous fixait; il ne se touchait pas, se contentant de nous regarder sans rien manquer. C’est à ce moment que je me dis que je ferais ma bonne action de la journée en lui offrant un spectacle et ce, tout en profitant au maximum de ce corps tout en muscles qui se tenait toujours derrière moi. Je sentais sa queue qui se collait contre mon cul et ses mains qui me caressaient partout, s’attardant sur ma bite. Je sentais ses doigts me la tripoter, entrer lentement dans mon jeans pour en ressortir aussitôt. Il m’agaçait, rien de plus, et je devais jouer le jeu en me laissant faire. Soudain, le vieux se leva et quitta le salon. Où allait-il? Comment pouvait-il combler son voyeurisme s’il nous laissait seuls dans la pièce? C’est alors que je me dis qu’il devait être allé se changer ou se déshabiller pour revenir flambant nu. Pendant ce temps, le black poursuivait ses caresses, me léchant l’oreille en me chuchotant qu’il savait que j’adorais lui appartenir et qu’il me guiderait. Moi, je gardais le silence jusqu’à ce qu’il me demande si je lui résisterais. Je ne répondis rien et il me pinça un mamelon en m’obligeant à lui dire que je voulais être sa chose, son jouet. J’aime bien qu’on me pince les mamelons mais là, il me faisait mal, très mal. Je répondis donc par l’affirmative pour qu’il lâche prise et c’est ce qu’il fit, me rappelant qu’à compter de maintenant, je ferais ce qu’il voulait. Je ne savais plus si je trouvais le jeu amusant ou non mais je demeurais tout de même super excité à la pensée que sa grosse queue se retrouverait en moi pour me labourer le troufignon. Et soudain, il me poussa légèrement, m’incitant à marcher hors du salon. Sans doute voulait-il m’amener dans une chambre où le vieux devait nous attendre, la queue en main. Nous empruntâmes un corridor et lorsque nous passâmes devant une chambre, que je croyais être celle du vieux, le black me poussa davantage pour m’obliger à continuer mon chemin. Arrivé au bout du corridor, il ouvrit une porte et j’entrevis un escalier. Qu’allions-nous faire au sous-sol? Pourquoi ne pas aller dans la chambre? « Descends, me dit-il brusquement. Fais ce que je te dis ». Je lui obéis, empruntant l’escalier qui nous menait dans une pièce mal éclairée. Je fus libérer de ma crainte lorsque je vis le vieux bien installé dans un fauteuil, nu, la queue bien bandée. Je savais qu’il ne me voulait pas de mal sinon, il ne m’aurait pas invité dans sa propre maison. Le black me dit de rester là, sans bouger, pendant qu’il augmentait l’éclairage. C’est alors que je vis tous les accessoires qui remplissaient la cave. Ce n’était même pas un sous-sol mais une vraie cave de béton, tant le plancher que les murs. Et ces anneaux d’ancrage un peu partout, une croix de St-André, un carcan en bois sur pieds, une longue table avec des godes de toutes les grosseurs et des fouets, des baillons de bondage, des pinces à mamelon, des colliers. Je me retrouvais dans un donjon et je ne savais plus si je désirais poursuivre le jeu. Il m’était bien arrivé de baiser avec des accessoires comme des menottes ou des godes mais là, me retrouver en position d’esclave, je n’étais plus certain. Sans doute mon visage en dit-il long car le vieux me rassura en me disant que rien ne me serait fait sans mon consentement. Je jetai un œil sur le black qui se tenait près du vieux, comme s’il attendait que je consente ou non à l’expérience car pour moi, c’était une première. Mais de voir ce corps si musclé, si brun foncé et surtout, d’imaginer sa queue sous son boxer m’incita à me jeter tête première dans cette aventure qui pouvait être super plaisante. Je souris et le black comprit qu’il pouvait me baiser à fond, comme il l’entendait… ou plutôt comme le vieux le désirait. Je ne savais même pas qui était ce black. Était-il un ami, un prostitué? Je ne savais rien de lui. Et c’est alors qu’un autre mec entra, sortant d’une porte au fond de la cave. Woww… Je capotais. Je me retrouvais devant un arabe aux cheveux noirs et aux yeux bruns, comme je les aime.
« Ça te plait? me demanda le vieux. Je me souviens que sur l’un des vidéos sur ton blog, tu as dit que tu aimais les arabes ». Je ne savais plus où donner de la tête. Il s’approcha de moi. Il n’était vêtu que d’un jeans, pieds et torse nus. Doucement, il colla ses lèvres contre les miennes et ouvrit sa bouche pour me donner sa langue tout en me caressant le torse. « Tripote-lui la queue, dit le black en s’approchant de nous deux. Fais la lui exploser dans son jeans ». Je compris alors que l’arabe était, lui aussi, au service du black. Ce dernier nous dirigerait tout au long de la baise et maintenant, je me plaisais réellement à me savoir là, avec cet arabe qui m’embrassait toujours à pleine bouche. « Attache-le à la croix ». Sans rouspéter, je me laissai conduire au fond de la pièce, me retrouvant les poignets et les chevilles bien attachés aux anneaux de fer, les bras et jambes écartés. Le black s’approcha de moi et me pinça les mamelons, provoquant une souffrance qui me fit grimacer. L’arabe, lui, s’agenouilla devant moi et se mit à me manger la queue par-dessus mon jeans. Tout ce que je voulais, c’était qu’il libère ma bite qui se trouvait plutôt serrée et qui me provoquait une petite douleur. Soudain, le black me cracha au visage avant de me gifler. Il sortit sa queue de son boxer et obligea l’arabe à le sucer. De voir cette énorme queue bien bandée ne m’aidait pas à perdre mon érection et le bruit que laissait entendre l’arabe montrait bien que cette bite s’enfonçait dans le fond de sa gorge. Le chanceux; j’aurais préféré me retrouver là, à genoux, à sucer le black au lieu d’être attaché à cette croix. Soudain, l’arabe se vit pousser, tombant sur le côté, restant là sans bouger. Sans nul doute était-il habitué, lui, à cela car il semblait attendre les ordres du black. Ce dernier marcha vers la table et prit les pinces à mamelon. Je me doutais qu’elles étaient pour moi et je ne me trompai pas. Curieusement, ça me plut. Je trouvais la douleur excitante, quoi qu’elle ne fût pas à l’extrême. « Allume la chandelle la beurette », ordonna le black. Le mec se leva et empoigna une grosse chandelle placée sur une tablette. Il l’alluma et, sachant parfaitement quoi en faire, vint vers moi. Je me souvenais assez bien, pour l’avoir déjà fait, que ça pouvait être désagréable mais avais-je le choix? Je regardais la chandelle qui commençait à couler et l’arabe me la colla sur le torse, la penchant lentement. Je sentis aussitôt une brûlure et je ne sais pas pourquoi, mon regard se pointa sur le vieux qui se masturbait en regardant le spectacle. Il me sourit, rien de plus. « Donne-moi cette chandelle et va chercher l’autre pédale, avisa le black à l’arabe qui s’exécuta aussitôt. Ouvre la bouche, me dit-il. Allez, fais ce que je te dis ». Il n’avait tout de même pas l’intention de laisser couler la chandelle dans ma bouche? Je refusai, trouvant cela un peu moins drôle. De sa large main, il m’ouvrit la bouche et me cracha à l’intérieur. Il se mit à rire et me giflant à nouveau. « Et puis cette queue, elle est en forme à ce que je peux voir, dit-il en me caressant le jeans. Je vois que tu aimes bien être attaché à cette croix. Ça t’excite d’être là, sans pouvoir bouger. Tu aimerais que je sorte ta belle bite de ton jeans? poursuivait-il en laissant couler la cire chaude sur mon corps. Je te trouve trop sexy dans ton jeans, surtout que je sais que tu n’as rien en dessous. Tu es une vraie salope mais ne crains rien, tu vas en avoir pour ton plaisir. Regarde qui arrive ». Je n’avais jamais vu cela de vie. L’arabe revenait avec un autre mec, un blanc cette fois-ci. Il était tout aussi musclé que les deux autres mais sa queue était d’une taille gigantesque; longue et très épaisse. Un brise cul comme on dit souvent.
« Et puis, tu crois que ta rosette sera capable de s’ouvrir devant un tel machin? » Je ne dis rien, regardant l’arabe se débarrasser de son jeans. Il s’agenouilla devant moi et se mit, encore une fois, à me manger la queue par-dessus mon jeans tandis que l’autre mec, approchant un escabeau, le plaça devant moi avant d’y monter. Son énorme queue se trouvait devant moi et il se mit à m’en donner des coups au visage avant de me forcer à ouvrir la bouche. D’un seul coup, il me l’enfonça au fond de la gorge, me forçant à toute la prendre en me tenant le derrière de la tête. Par chance, j’étais habitué au deep-throat mais je devais avouer que ma gorge n’avait encore jamais goûté à une aussi grosse bite. Mais c’était bon, super bon même, surtout que l’arabe avait déboutonné mon jeans pour engloutir ma bite dans sa bouche. « C’est assez la pédale, descends de là, ordonna le black en lui claquant le cul. Et toi la beurette, lève-toi et détache-le ». Tous deux s’exécutèrent aussitôt et je me retrouvai libre, du moins le croyais-je. Le black me prit par le cou et me poussa vers le carcan en bois. Je me retrouvai la tête et les mains coincés, penché par en avant. « Déshabillez-le » L’arabe m’enleva mon jeans et mes bas et je me retrouvai nu, le cul bien en évidence. Le black se plaça devant moi et, sortant sa queue de son boxer, me la rentra dans la bouche. Je me mis à le sucer avidement. « Tu aimes ça ma salope. Tu l’aimes ma bite de black ma chienne en chaleur. Prends-la au complet », dit-il en balançant son bassin d’avant en arrière. Mets-en que j’aimais ça jusqu’à ce que je sente une brûlure au niveau du dos, juste après avoir entendu un claquement. Le mec à grosse queue me fouettait et je capotais. De me savoir à la merci de ces mecs me rendait fou de plaisir et je rêvais qu’au moment où l’énorme bite m’enfoncerait la roulette. Depuis que je l’avais eu dans la bouche, je l’imaginais me fourrer à fond et à grands coups brusques mais pour l’instant, ce mec me rouait de coups de fouet sur le dos et sur les fesses. Le black se recula pour laisser place à l’arabe qui se pencha devant moi, me présentant son cul qu’il me colla au visage. Je sortis ma langue et le mangeai avec appétit, laissant entendre de petits cris chaque fois que le fouet me touchait la peau. Et le black se débarrassa de son boxer avant de prendre sa queue en main pour l’enfouir au complet dans le cul de l’arabe. Je voyais cette bite noire entrer et sortir de ce cul bombé et musclé et j’entendais l’enculé se lamenter de plaisir. Et le black la sortit et me la rentra à nouveau dans la bouche. Je pouvais goûter l’intérieur du cul de l’arabe et c’était bon. Il recommença à le fourrer et ainsi de suite pendant que l’autre continuait à me fouetter. J’étais au comble de l’extase. Si quelqu’un m’avait touché la queue, j’aurais explosé sur le champ. De voir ce black enculer l’arabe avec tant de fougue. D’entendre l’arabe gémir à haute voix. Et maintenant, je sentais que l’autre mec glissait sa queue entre mes fesses. Jamais je n’avais été aussi excité (désolé pour les potes qui m’ont baisé). Et soudain, je sentis quelque chose de froid entre mes fesses. Je sus aussitôt que le mec me plaçait un spéculum anal. Je n’avais encore eu affaire à cela. Je sentais mon troufignon qui s’ouvrait de plus en plus et si le mec persistait, je craignais d’en souffrir un peu mais non, il engagea un super gode dans mon trou, le faisant glisser lentement mais sûrement. Je le sentais s’enfoncer et se retirer et je savais que ce n’était pas un minuscule jouet. Pendant ce temps, le black persistait à creuser le cul de l’arabe pour ensuite me l’enfourner dans la bouche. Je ne pensais même plus au vieux tellement j’avais du plaisir, me demandant pourquoi j’avais toujours eu des tabous face au sado-maso. Je prenais un réel plaisir à me laisser conduire et surtout, à n’avoir aucune maîtrise de la situation. Il y avait trois supers mecs musclés qui pouvaient faire de moi ce qu’ils désiraient et moi, j’aimais ça au max; un black, un arabe et un blanc à queue gigantesque. Que pouvais-je demander de mieux? « Ok, c’est le temps de faire plaisir à monsieur Poirier », dit le black en quittant le cul de l’arabe. Je savais maintenant le nom du vieux et si le black l’appelait par monsieur, ce n’était pas un ami. On me libéra du carcan et on m’obligea à me coucher sur la table. Je n’avais pas vu les lanières de cuir et je me retrouvai, sur le dos, pendant qu’on m’attachait les poignets et qu’on relevait mes jambes avant de lier mes chevilles à des cordes provenant du plafond. J’étais en position pour me faire fourrer à fond. Le black monta sur la table et s’assied sur mon torse. Je remarquai qu’il n’était plus aussi bandé et compris très vite pourquoi en sentant sa pisse me couler dessus. Les deux autres le rejoignirent et, eux aussi, se mirent à me pisser dessus, l’arabe m’ouvrant la bouche pour que je boive son urine chaude et salée. Ça goûtait bon et la moiteur que ça provoquait sur mon corps me rendait, encore une fois, fou de plaisir. Le black quitta la table et se plaça exactement à la bonne place pour m’enfoncer sa queue dans le cul mais non, il continua à me pisser dessus mais cette fois-ci, entre les fesses. L’arabe m’obligea à prendre sa queue en bouche tandis qu’il continuait à pisser mais cette fois-ci, directement dans ma gorge. L’autre mec, lui, s’était mis à pisser sur la tête de l’arabe, l’urine dégoulinant le long de son visage. Et enfin, je sentis une vraie queue s’introduire en moi. Le black prenait un malin plaisir à me fourrer à grands coups en me traitant de salope et de chienne qui n’attendait que d’être labourer par un vrai mec. « Tu aimes ça salope. Tu aimes que ma queue te défonce la rosette. Tu aimes savoir qu’un black te fourre sans capote. Tu aimes sentir gigoter ma bite dans ton troufignon de salope. Dis-le que tu aimes ça ». Aussitôt, je laissai entendre, entremêlé de mes gémissements, que j’adorais sentir une queue de black dans mon cul de blanc. L’arabe, répondant au geste du black, le rejoignit et prit sa place. Maintenant, je capotais de sentir une queue d’arabe me labourer et il savait y faire, croyez-moi. Et l’autre mec, avec sa grosse queue, me remplissait la bouche et je me demandais quand il rejoindrait les autres. Et soudain, il prit place sur ma queue et se l’enfonça dans le cul, opérant un mouvement de haut en bas. Ses mouvements prirent une telle ampleur que j’avais peur de jouir et je ne le voulais nullement. J’avais trop de plaisir pour en finir aussitôt. Soudain, j’entendis le vieux : « Ok, c’est le temps du grand coup ». Que voulait-il dire par là? L’arabe se retira de moi et l’autre mec se releva et quitta la table. On me détacha et je me levai pendant que le black se couchait, à son tour, sur la table. « Allez, embarque ma chienne ne chaleur. Je vais te montrer ce que c’est que d’être fourrer par des vrais mecs ». Je grimpai et pris place sur sa queue qui s’enfonça immédiatement au complet. Je compris ce qu’étais le grand coup quand je sentis une autre queue s’introduire en moi. Et ce n’était pas n’importe laquelle mais celle du blanc; la gigantesque queue en pleine érection tentait de se frayer un chemin dans mon trou de balle alors qu’il y avait déjà une queue en mouvement. Et par magie, elle entra, glissant lentement pour se retrouver au complet, bien profonde, opérant un mouvement de va-et-vient en glissant sur la bite du black. Je dois avouer qu’au début, je grimaçai mais le plaisir fit en sorte qu’après seulement quelques secondes, j’en aurais pris une troisième. Et le pauvre arabe lui, que faisait-il pendant ce temps? Ses gémissements me firent croire que le vieux l’enculait. Sans doute voulait-il jouir en lui pendant qu’il me regardait me faire fourrer par ces deux bêtes musclées. Avec un geste assez féroce, le black me rapprocha la tête de la sienne et me cracha au visage avant de m’embrasser à pleine bouche. J’entendais la respiration haletante du mec derrière moi qui m’enfonçait sa large queue à grands coups brusques. « Petit salope, me dit le black en me giflant, tu jouis comme jamais. Pas capable de te contenter d’une queue, il t’en faut deux dans le cul en même temps. Vous êtes satisfait monsieur Guy? Maintenant tu espères qu’on te remplisse de notre foutre? Tu ne penses qu’à sentir la chaleur de notre yaourt glisser le long de ton cul et bien voilà, profites-en », dit-il en jouissant en moi et oui, je sentis le liquide couler en moi et je l’entendis crier son plaisir en laissant entendre des jurons. Il se retira et l’autre mec accéléra ses mouvements pour, lui aussi, me remplir le panier de son foutre chaud et gluant en me criant dans les oreilles. Il se retira à son tour et, croyant que c’était terminé, l’arabe prit place derrière moi et me pina fortement pour jouir en moi. Il recula et, croyant encore une fois que c’était terminé, je me retrouvai, cette fois-ci, avec la queue du vieux dans le cul. Il n’était pas venu dans l’arabe comme je le croyais et en quelques coups, il gicla, lui aussi, son sperme en moi. Quatre mecs venaient de m’enculer pour me remplir; c’était génial. Du sperme coulait entre mes fesses et, de sa langue, l’arabe me lécha le tout. Par de petites contractions de l’anus, je lui en donnai encore plus et à la vitesse à laquelle il gobait tout, je sus qu’il adorait cela. Je me débarrassai complètement de tout ce yaourt qui se retrouva dans la bouche de l’arabe qui, disons-le, savait opérer avec sa langue. Je me retournai, me couchant sur le dos et aussitôt, l’arabe se mit à me sucer. Je vous jure que ce mec était un vrai délice avec sa langue et je lui remplis la bouche de mon foutre qu’il avala complètement, nettoyant ma queue en profondeur. Sans mot dire, il quitta la pièce, suivit du mec à grosse queue, me laissant seul avec le black et le vieux. « Et bien, je vois que tu ne mens pas sur ton blog. Tu es une vraie salope de première classe », me dit le vieux en quittant, lui aussi, la cave. Resté seul avec le black, j’entrepris d’enfiler mon jeans mais il m’arrêta. « Laisse-moi te regarder encore un peu. Tu sais que tu un superbe mec pour ton âge. Tu aimerais faire équipe avec moi? » Je le regardai en fronçant les sourcils et il comprit que je ne captais pas tout à fait ses paroles. « Tu pourrais, comme moi, faire ce genre de clients. Tu pognerais à fond ». Je me mis à rire et le remerciai de ses compliments. « Je ne crois pas qu’à l’âge que je suis rendu, qu’il est temps de changer de carrière », lui répondis-je. « On pourrait tout de même se revoir, gratuitement je veux dire ». Et pourquoi pas? Je lui laissai mon numéro de cellulaire et enfila mon jeans avant de monter rejoindre le vieux qui, je vous le jure, était couché dans son lit et dormait profondément.
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