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LA FEMME MÛRE ET LE POMPIER

LA FEMME MÛRE ET LE POMPIER



LU SUR LE NET:

Je suis pompier. Comme tous les ans, entre novembre et décembre, les pompiers font leur tournée annuelle de calendriers. Sur ma petite commune, je le fais tout seul. Sur le parking, en descendant de mon 4X4, je remarque une femme d’une cinquantaine d’années que je connais de vue. Elle est vêtue très chic, d’une longue jupe fendue et d’un petit blouson de cuir. Elle m’adresse un charmant sourire avant de monter dans sa voiture. Par politesse, je lui rends son sourire. Elle démarre et vient vers moi. Elle baisse sa vitre et me dit :

– Bonjour ! Vous faites déjà votre tournée ?

– Oui, je vais commencer !

– Comptez-vous passer chez moi aujourd’hui ?

– Sans doute ! Mais pas avant 13 heures !

– Alors passez donc à cette heure-là, cela me convient très bien. A tout à l’heure !

Elle me dit cela avec un autre joli sourire et un petit signe de la main. Je n’y prête pas trop attention, car un pompier en tenue attire toujours un peu les jolies dames. Mais tout de même … A l’heure dite, je sonne à sa porte. Elle m’ouvre rapidement.

– Oui, entrez !

Elle m’accompagne et me fait asseoir dans son salon. Elle s’était changée et portait maintenant un chemisier rouge, une jupe noire à mi-cuisses, des collants ou des bas noirs et des mules fourrées roses.

– Que puis-je vous offrir ? Apéritif, bière, jus de fruits ?

– Je suis plutôt jus de fruits, nous ne buvons pas pendant le service !

– Ne bougez pas, je reviens !

Je la regardais partir vers sa cuisine et remarquais ses fesses bien moulées et ses jambes galbées à la perfection. Cette femme était un canon, j’avais déjà vu que sa poitrine gonflait bien son chemisier.

Elle revient avec un plateau qu’elle pose sur la table basse. Je m’aperçois, au moment où elle se penche pour me servir, qu’elle a défait deux boutons de son chemisier et que j’ai, devant les yeux, une vue extraordinaire dans son décolleté. Ce que je vois m’éblouit : un soutien-gorge à balconnets rose qui fait ressortir deux magnifiques seins bien ronds et très appétissants. Elle prend son temps pour nous servir, il n’y a aucun doute, cette femme est en train de m’allumer et je sens le trouble s’installer dans mon esprit… et dans mon pantalon !

Pas de doute, une fois assise, elle me pose des questions sur mon métier de pompier, puis m’explique que son mari, colonel de l’Armée de Terre est en manœuvres. Tout en discutant, elle s’amuse à croiser et décroiser ses jambes lentement, faisant remonter sa jupe et me laissant le temps de mater. C’est là que j’aperçois la lisière de dentelle de ses bas et des jarretelles roses. Elle n’est pas dupe de mon manège et me lance un sourire coquin. Je la sens aussi excitée que moi. Elle se lève pour me resservir et c’est le même spectacle de sa poitrine ronde dans un écrin de dentelle rose. Mais c’est lorsqu’elle se rassoit que tout bascule. Cette fois, elle ne croise plus les jambes, elle les écarte offrant à ma vue non seulement les bas et les jarretelles, mais surtout son entrejambe, rose également. Ma queue me fait mal, je bande comme un taureau. Elle poursuit sa conversation, moi je ne sais plus où je suis, je bafouille. Elle a un sacré culot ! Maintenant, elle écarte complètement les genoux et je m’aperçois que je ne la regarde même plus, j’ai les yeux rivés sur la tache humide faite par son jus d’amour qui décolore son fond de culotte. Que c’est beau !

Comme elle voit que je n’arriverais pas à bouger, tétanisé par cette vision, la bite prête à éclater, elle vient s’asseoir à mes côtés et prend le calendrier. Elle me dit que je suis mignon sur la photo, qu’elle aime beaucoup mon uniforme, que si elle avait été un garçon, elle aurait voulu être pompier … tout en me donnant de petits coups de genou. Elle finit par laisser tomber le calendrier et pose sa main sur ma cuisse. Elle me caresse doucement en remontant, tandis que je laisse tomber ma tête en arrière et que e ferme les yeux. En sentant mon sexe tout dur, cette fieffée cochonne me dit :

– Tu aimes vraiment le rose ?

Elle amène son visage vers le mien. Tout en continuant à me caresser la braguette, elle passe des coups de langue sur mes lèvres, pour finir dans un baiser torride et baveux plutôt violent. Sa main pénètre dans mon Kermel (pantalon de pompier) et je pousse un petit cri d’excitation. Elle sort ma queue et me branle un peu tout en enfonçant encore sa langue dans ma bouche. Puis elle s’agenouille devant moi et descend mon pantalon et mon caleçon. Elle regarde ma bite tendue.

– Dis donc, t’es bien foutu ! En plus tu te rases la bite ! J’adore les bites rasées ! Je suis sûre qu’elle a bon goût !

Et elle m’enfourne jusqu’au fond de la gorge tout en massant mes couilles. Je ne vais pas résister et réussis à l’écarter.

– Hummm ! Hummm ! Qu’elle est bonne ! En plus, elle est bien longue ! Oh, la jolie petite perle blanche, là, au bout !

Elle me suce à nouveau. C’est la perfection, jamais je n’avais reçu un tel traitement de faveur. Elle ne me quitte pas des yeux pour voir toutes mes réactions, j’ai rarement vu un regard aussi lubrique ! Elle aime ça, cette salope et elle sait y faire.

– Ah ! Tu aimes sucer, cochonne ! Dis-moi que tu aimes ça !

– J’adore ça ! Dis-moi encore des mots crus, ça m’excite encore plus !

– Vas-y, suce bien ! Je vais juter dans ta bouche ! Tu vas tout avaler !

– J’adore te sucer ! C’est la première fois que je suce une bite et des couilles sans poils ! Ca me fait mouiller !

– Laisse-moi toucher ta chatte !

– Non ! Attends ! Crache ton foutre dans ma bouche ! Tu auras tout ce que tu veux après !

Alors, elle s’installe sur le canapé en retroussant bien haut sa jupe qui la gênait, me laissant apercevoir sa jolie lingerie rose et noire. Elle ne suçait pas, elle gardait mon nœud dans la bouche et me branlait doucement, en faisant couler sa salive le long de la hampe aux veines gonflées. Je crus que mes couilles explosaient, tant la quantité de sperme que je lâchais au fond de sa gorge me semblait énorme. Elle n’a pas bronché, a tout avalé. Puis elle a nettoyé délicatement le gland avec le bout de sa langue, jouant à étirer les filaments translucides avant de les avaler dans un bruit de succion. Elle vint se blottir contre moi.

– Quelle dose ! Je n’en ai jamais avalé autant d’un seul coup ! Mais dis donc, j’ai la chatte en feu, moi !!!

Elle se fait très câline. Elle est splendide avec ses sous-vêtements roses et ses bas noirs. Il ne m’est jamais arrivé de rencontrer une femme comme ça. Elle vient même m’embrasser. Ce drôle de goût, c’est mon sperme et ça la fait rire !

Je mets ma main sur sa culotte pour constater dans quel état est son minou, si ce qu’elle dit est bien vrai.

– Elle est trempée, ta fente ! Et même inondée ! Ce n’est plus une culotte, c’est une éponge ! Cochonne !

– Oh oui ! Caresse-la ! Hmmm, que c’est bon !

Je la fais mettre debout devant moi, dégrafe sa jupe qui s’étale à ses pieds, pendant qu’elle arrache presque son chemisier. Elle est splendide, tout en rose, un corps bien conservé dans des sous-vêtements magnifiques. Délicatement, en la prenant par les hanches, je descends la culotte qui, heureusement, était passée par-dessus le porte-jarretelles. Les poils de sa toison sont complètement aplatis, tant ils sont trempés. C’est une véritable femme fontaine.

– Approche, je vais te sucer la chatte !

– Attends, je vais m’essuyer un peu avec ma culotte, sinon tu vas te noyer !

Elle s’essuie doucement et, en même temps, écarte ses poils collés et ses grandes lèvres boursouflées, offrant à ma vue un véritable enchantement : un vagin tout rose, tout luisant de mouille translucide. Je lui fais écarter les cuisses, m’agenouille devant elle et suce son abricot tout gluant de son jus d’amour. J’avale tout ce qui s’échappe de sa fente. Son goût est merveilleusement salé et elle en sécrète une grosse quantité, c’est une véritable source qui semble ne pas vouloir se tarir. Je vois qu’elle n’en peut plus. Aussi, je la fais allonger pour continuer mon œuvre. Je parviens à dégager son mignon clitoris.

– Oh oui ! Oh oui ! Lèche-moi bien partout ! Aspire mon bouton ! Oui, comme ça ! Tu me fais du bien, mon salaud ! Bois mon jus, toi aussi !

Je donne de grands coups de langue sur son clito gonflé et rouge, je l’aspire entre mes lèvres, je le mordille gentiment. Elle adore ça. Elle a sorti un sein tout blanc de son soutien-gorge et triture un mamelon tout sombre. Sans le faire exprès, je lèche sa rondelle. Elle sursaute de plaisir. Du coup, je reste dessus pour lui prodiguer une feuille de rose en enfonçant le bout de ma langue dans son petit trou bien serré.

– Oh oui ! Oh oui ! Bouffe-moi le cul ! C’est trop bon ! C’est la première fois qu’on me lèche aussi bien ! J’ai envie que tu me baises, maintenant, je veux ta queue bien au fond de ma chatte ! Je veux jouir avec ta bite !

D’elle-même, elle se met en levrette en me regardant. Je lui demande un préservatif.

– Vous avez un suivi médical sérieux, vous les pompiers ?

– Oui, bien sûr !

– Alors, baise-moi sans ! C’est meilleur et ça n’irrite pas. Et puis je ne risque rien. Allez, vite, ta queue !!!

Je présente ma bite raide à sa fente, qui fuit abondamment. Au moins, pas besoin de lubrifiant ! Je vois le nœud, puis la hampe s’enfoncer dans cet antre gluant et brûlant. La tête tournée vers moi, elle me regarde, la bouche ouverte. Quand je suis bien au fond, je m’agrippe à son porte-jarretelles et je commence des va-et-vient tout en douceur.

– Oh oui ! Oh oui ! Je sens bien ta queue ! Que tu es doux, que c’est bon !

J’accélère mes va-et-vient pour la rendre encore plus folle. Sa tête ballotte d’un côté à l’autre. Son sein libéré apparaît parfois sous son aisselle.

– Plus vite, plus vite, c’est bon, continue !

Je fais entrer et sortir ma bite à toute vitesse, mon ventre claque contre ses fesses charnues dans un bruit obscène. Elle crie son plaisir par des mots incompréhensibles. Elle aime ça. Son jus s’échappe, coule sur mes couilles rasées, ses parois sont toutes dilatées, son vagin me semble immense. Et pourtant, tout à coup, elle se raidit, serre ses fesses, m’emprisonne carrément, pousse un cri plus puissant et s’affale sur le canapé, m’entraînant à sa suite, toujours collés. Elle vient de jouir. Elle réagit très vite, me bouscule sur le tapis, s’allonge sur moi et, avant que j’aie pu faire quoi que ce soit, elle saisit ma bite turgescente, la place devant sa fente gluante et s’empale d’un trait, jusqu’à la matrice. Elle reste là un petit moment, en profite pour dégrafer son soutien-gorge de dentelle rose, se couche sur moi, m’offrant la douceur extrême de ses seins veloutés sur le torse. C’est elle qui mène la danse, en imprimant des mouvements de rotation, en malaxant ma bite avec ses muscles intimes. De temps en temps, elle se relève et vient gratter mes couilles en passant sa main par-derrière. C’est tout simplement divin et je n’en peux plus.

D’un mouvement brusque, je me dégage de son étreinte étouffante, je la retourne sur le dos, relève bien haut ses jambes revêtues de ses bas noirs et pose ses chevilles sur mes épaules. Je la saisis par les hanches et je la pénètre à fond. De ses mains en coupe, elle m’offre ses seins que je peux lécher en me penchant. Le mouvement que j’imprime à ma queue est plus rapide, je sens monter la jouissance. Elle s’en aperçoit, prend mes joues dans ses mains et les caresse.

– Viens, mon beau pompier ! Viens jouir dans ta grosse cochonne ! Remplis-moi de ton jus, je sais qu’il est bon ! Viens ! Viens ! Je jouis aussi !!!!!!!!!!

Il ne m’en faut pas plus. J’envoie au fond de son vagin crémeux quatre grosses giclées de sperme brûlant qui la font pâmer de bonheur.

Nous restons là un grand moment, silencieux, blottis l’un contre l’autre.

Cette aventure s’est renouvelée jusqu’à son départ pour cause de mutation de son mari.

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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