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La maman, la fille et … la mamie ! (2)

La maman, la fille et … la mamie !  (2)



Les vacances ont débuté et le quartier s’est dépeuplé. Pendant cette saison, nous sommes plus souvent dehors. Mes enfants sont venus passer quelques jours avec les petits-enfants. Après leur départ, je reprends mes vieilles habitudes.
Aujourd’hui, il fait beau et comme je le fais souvent, j’ai décidé d’aller faire une balade dans la forêt. J’emporte mon appareil photo au cas où je rencontrerais des animaux ou plus simplement de beaux papillons. Je connais bien cette forêt, j’y vais souvent. J’évite de faire du bruit en marchant pour ne pas effrayer la faune. Je m’arrête près de l’étang où les cerfs et les sangliers viennent boire mais, bien qu’il fasse très chaud, aucun a****l n’est présent. Je continue ma balade et me dirige vers une petite clairière. En m’approchant, j’entends des rires, je me rapproche encore et j’entends des gens parler, je m’approche plus près sans faire de bruit et je reconnais une voix d’homme et une autre de femme, j’entends aussi des rires et des gloussements. Je me poste à un endroit d’où je devrais voir sans être vu. En effet, je vois un homme et une femme en train de s’embrasser, l’homme a une main sur les fesses de la femme et il la serre tout contre lui avec l’autre main. La femme le repousse, certainement par jeu. L’homme dégrafe le jean de la femme et passe sa main à l’intérieur. Je n’entends que des bribes de leurs échanges verbaux, cependant ils semblent parler d’argent. Ça devient intéressant, je prépare mon appareil photo, qui heureusement est équipé d’un bon zoom. Je prends quelques photos et, tout à coup, je reste stupéfait. La femme, c’est Jessica, la petite voisine à qui j’ai donné des cours. Le type a sorti son portefeuille et lui tend un billet de banque. Elle le prend et s’agenouille, le type baisse son pantalon, elle prend sa bite dans la bouche et commence à le sucer. Je suis stupéfait, je n’aurais jamais pensé que cette jeune fille fasse des choses pareilles ! Le type lui met la main sur la tête pour l’accompagner. Au bout d’un moment, le type lui demande quelque chose, elle n’a pas l’air d’accord, mais il ressort son portefeuille dans lequel il prend un autre billet de banque qu’il lui tend, une discussion s’ensuit, que je n’entends pas, ils parlent trop bas, le type ressort un autre billet, alors Jessica prend les billets et les met dans sa poche. Elle descend son pantalon et sa petite culotte et se penche en avant, les mains sur une souche, en écartant les jambes. Le type lui met une main sur une hanche et avec l’autre il guide sa bite vers le sexe de la jeune fille. Il la pénètre d’un coup de reins. Il pose alors sa main libre sur l’autre hanche et la prend à grands coups de boutoir. Elle pousse des soupirs et des petits cris que j’entends parfaitement. Inutile de vous dire que mon appareil photo ne s’arrête pas, heureusement que j’ai une bonne carte mémoire ! Quelques minutes après, le type sort de sa chatte, je me dis que vu ce qu’il lui a mis, il a dû décharger. Non, il reprend sa bite bien bandée pour lui remettre, elle hurle mais il continue de la pénétrer, je pense qu’il lui prend le cul, il lui met quelques tapes sur les fesses et elle s’arrête de crier. Lui a repris ses allers-retours rapides et, quelques minutes après, il quitte ses fesses et sort sa bite débandée, pleine de sperme. Il s’essuie avec un mouchoir. Elle prend sa petite culotte pour nettoyer son cul dégoulinant. Elle se rhabille, lui aussi. Enfin je peux le voir, c’est un type de 45 à 50 ans, il porte le bouc. Je ne le connais pas, il ramasse une veste posée sur une souche et remet sa cravate. En partant, ils se rapprochent de moi et j’entends qu’elle lui dit :
– Tu es un vrai salaud, on était d’accord que tu m’enculerais pas, tu m’as fais mal avec ta grosse bite.
– Dis, p’tite pute, vu ce que tu m’as pris comme blé, je me suis remboursé avec ton cul !
– Je ferai plus ça avec toi !
– Ça m’étonnerait, p’tite salope, dans quelque temps tu auras tout dépensé et tu viendras toi-même me proposer ta bouche, ta chatte et même ton petit cul contre un peu de blé !
– En plus de ça, t’as pas mis de capote !
– Bon t’arrête de m’emmerder sinon je te fiche une fessée et je te reprends le fric que je t’ai donné !
– Ah, non !
– Alors, fais pas chier et ferme là !
Et ils partent.

Depuis cette journée, je retourne à la clairière assez souvent, mais je ne vois plus personne. Jusqu’à cette après-midi où, comme la fois précédente, j’entends des rires et des cris. Je me rapproche sans bruit et reprends la position que j’avais. Je vois trois personnes qui, apparemment sont en train de se faire plaisir. Un homme que je vois de dos, est agenouillé derrière une femme, elle-même à quatre pattes, il a les mains sur ses hanches. Vu les mouvements d’avant en arrière exercés par son bas-ventre, j’en conclus qu’il est en train de se la faire. Le type a le pantalon sur les genoux et la femme a les cuisses nues. Devant elle, allongé sur une couverture, un autre type, dont la bite est dans la main de la femme, elle doit le masturber. Après quelques minutes, je me rends compte que la femme essaie de sucer le type couché, mais étant donné la puissance et la rapidité des coups de queue que lui met l’autre mec, elle ne parvient pas à garder la bite dans sa bouche. Une bonne dizaine de minutes passent et le type qui la prend se crispe en poussant un râle, puis il arrête ses va-et- vient et, quelques instants après, se lève ; je le reconnais alors, il s’agit de Greg, le jeune voisin. La femme, les fesses à l’air, du sperme dégoulinant de sa chatte, a repris sa fellation. Le type qu’elle suce dit alors à Greg :
– T’as fini ?
– Oui, je lui ai mis sa pétée !
– Bon alors à mon tour de l’enfiler.
Ils parlent fort, je les entends bien. Le type et la femme se lèvent, je reconnais Jessica ! Je suis perplexe, elle se fait mettre par son frangin ! L’autre gars doit avoir à peu près l’âge de Greg, certainement un de ses copains. Il va se la faire aussi, c’est une vraie salope cette gamine ! Elle remet la couverture en place. Greg interpelle son pote :
– Avant de l’enfiler, n’oublie pas de passer à la caisse.
– Oui bien sûr, c’est toujours le même prix ?
– Toujours et le préservatif est gratuit !
Là, je suis abasourdi, Greg fait payer ses copains pour baiser sa sœur ! Le mec donne l’argent à Greg, enfile la capote et rejoint Jessica sur la couverture, elle se met sur le dos, retrousse sa jupe, écarte les cuisses, remonte les genoux et le mec s’allonge sur elle. Elle semble avoir l’habitude de faire ça. Aussitôt, son partenaire la prend dans la position du missionnaire. Un moment après ils changent de position, le mec se couche sur le dos et Jessica vient s’empaler sur sa bite, il lui retire son tee-shirt et dégrafe son soutif pour caresser ses petits seins. Il dit à Greg :
– C’est les seins de ta mère que j’aimerais peloter, ah cette paire qu’elle a !
– Je comprends, mais c’est plus cher.
– Oh ? C’est pas vrai ! Elle fait ça aussi ta mère ? J’suis partant ! Combien c’est ?
– Je déconne, ma mère se fait pas sauter par n’importe qui ! Pour l’instant, occupe-toi des seins de ma frangine et prends bien ton pied !
Jessica monte et descend rapidement sur sa hampe, elle donne un rythme soutenu à la pénétration, le jeune mec, qui la baise à grands coups de reins, ne tient pas longtemps et se vide les couilles dans la petite chatte de la demoiselle. Il se retire, enlève la capote, se nettoie la bite et remet son futal. Jessica ajuste sa jupe, remet son soutif et son tee-shirt. Greg prend la couverture et ils repartent vers leur domicile, comme s’il ne s’était rien passé.

Mi-août, je reçois la visite de Flora, à qui je dois cinq heures de cours ! Eh oui ! Elle me demande si je peux commencer les révisions avant la rentrée. Je lui propose de donner 2 heures de cours pour chacune des matières à Greg et à Jess et elle ne me réglera que 7 heures. Nous sommes d’accord et, le lendemain, j’ai droit à une excellente fellation qu’elle m’offre agenouillée devant moi, qui suis resté debout ! Sentiment de domination à voir cette jeune femme prosternée à mes pieds et cette bouche qui avale ma queue pour me donner du plaisir. Ce qu’elle fait très bien puisque peu de temps après, je gicle dans sa bouche en râlant. Début septembre, c’est la rentrée. En accord avec Flora, nous arrêtons les cours que nous pourrons toujours reprendre si nécessaire.

Début octobre, Flora me demande si je peux donner à nouveau des cours dans les 3 matières à Greg et à Jess. Ils ont des bonnes notes mais elle préférerait qu’ils restent « parmi les meilleurs ». Je lui réponds qu’il n’y a pas de problème. Elle me dit alors que ça va faire beaucoup de gâteries, je lui réponds que ce n’est pas pour me déplaire mais que j’ai une idée, que je lui exposerai dans peu de temps.

Le mercredi après midi, je reçois d’abord Greg, puis Jess. Elle porte un petit nœud dans les cheveux, c’est très mignon, très frais ! Je pense que, tout à l’heure, je vais lui en mettre un autre, un peu plus gros, ailleurs. Après le cours, je lui dis que j’ai besoin de lui parler. Je lui explique que les cours reviennent chers à sa mère et qu’elle pourrait l’aider à les régler en faisant par exemple un peu de ménage chez moi. Elle me répond qu’elle ne sait pas faire le ménage. Je lui dis alors que si elle préfère faire autre chose, une chose pour laquelle elle serait plus douée, on peut en parler. Elle me dit qu’elle n’est douée pour rien. Je lui réponds que je connais un domaine dans lequel elle semble exceller et je lui montre les photos de la clairière avec le type de 50 ans.
– Dans ce domaine, ma petite Jessica, je trouve que tu n’es pas mauvaise !
– Mais comment avez-vous eu ces photos ?
– Je me promenais un jour dans le bois et je suis tombé par hasard sur ton ami et toi.
– Vous y allez souvent dans ce bois ? demande-t-elle, inquiète.
– Jamais, c’était la première et la dernière fois, je suis incapable de retrouver l’endroit. Elle a l’air un peu rassurée.
– Et toi, tu y vas souvent ?
– Oh non, c’était la première fois et je n’y suis pas retournée, c’est lui qui connaissait.
– Explique-moi un peu ce que tu as fait avec cet homme, et d’abord qui c’est ?
– C’est un ancien copain de ma mère.
– Et il te donne de l’argent en échange de relations sexuelles, ta mère le sait ?
– Non bien sûr. Et je l’ai fait qu’une fois, enfin deux. L’année dernière, le jour de la rentrée, ma mère n’a pas pu m’accompagner, elle a demandé à son copain s’il pouvait le faire, il a accepté et m’a emmenée le matin au collège, j’avais mis une petite jupe et un tee-shirt moulant, il m’a dit que j’étais très jolie et qu’il viendrait me rechercher à la sortie, j’ai accepté, j’étais fière de monter dans sa belle voiture. En revenant, il m’a caressé les cuisses en passant la main sous ma jupe puis il s’est arrêté dans un chemin ombragé et m’a dit « t’as déjà fait l’amour avec un garçon ? ». Je lui ai dit non, mais j’en ai déjà caressé avec la main. « T’as déjà pris le sexe d’un garçon dans ta bouche ? ». Je lui ai dit aussi non, pensant qu’il ne m’embêterait plus. Mais pendant ce temps, il a mis ses doigts dans ma minette et il m’a chatouillée, et ça m’a fait du bien. Il s’en est vite aperçu et m’a dit « tu mouilles, t’en as envie, hein ? ». Je lui ai dit « oui mais seulement avec tes doigts ». Il est sorti de la voiture, en a fait le tour, a ouvert la portière et m’a dit « regarde-moi et retire ta culotte » ; je lui ai demandé pour quoi faire ; il m’a répondu que c’était pour mieux me chatouiller. J’ai enlevé ma culotte, il a retroussé ma jupe, écarté mes cuisses et a mis son visage sur ma foufoune, puis j’ai senti sa langue dans ma chatte, puis il a rentré les doigts et a sucé mon clito, c’était vraiment bon, personne ne m’avait encore fait ça, j’ai bien joui. Je lui ai dit que ça m’avait fait du bien, il m’a dit « maintenant, à toi d’être gentille avec moi », il a sorti sa bite déjà bien raide et m’a dit de le sucer. J’ai essayé, bien que ça me dégoûtait un peu, mais ça ne devait pas être bien car quelques minutes après il m’a dit de laisser tomber, qu’on allait faire autre chose. Il a baissé le dossier du siège, m’a allongée dessus, a écarté mes cuisses, a mis sa queue sur mon minou et m’a pénétrée immédiatement en me disant « excuses-moi, mais j’ai trop envie ! ». Il m’a fait mal en entrant dans mon ventre mais, une fois la douleur passée, ses allers-retours m’ont procuré à nouveau du plaisir et il m’a fait jouir une seconde fois avant de gicler dans ma chatte. Enfin, il m’a dit que je l’excitais depuis longtemps en tortillant mon petit cul et que ça faisait un moment qu’il avait envie de me sauter. Puis il m’a ramenée à la maison et m’a donné de l’argent pour que je ne parle de cela à personne. Quand vous avez pris les photos, c’était la deuxième fois qu’il me prenait.
– Et ce type, c’est toujours le copain de ta mère ?
– Oh, non il y a longtemps qu’ils ne sont plus ensemble !
– Elle a un autre copain, sans doute.
– Non depuis quelque temps elle n’a personne, on est étonnés avec Greg, c’est pas son genre de pas avoir de copain !
– Bien, en résumé, tu ne tailles pas très bien les pipes, tu n’es plus vierge de la chatte, ni de l’anus puisque le copain de ta mère t’a prise des deux côtés. Tout cela laisse des possibilités et voilà ce qu’on va faire, on dira à ta mère que tu fais quelques petits travaux de ménage et autres chez moi pour régler les cours que je te donne. En réalité bien sûr, tu m’accorderas tes faveurs. Je t’apprendrai ainsi plein de choses sur les pratiques sexuelles, tu pourras notamment t’entraîner à me faire d’excellentes fellations.
– Et si je ne veux pas faire ça avec vous ?
– C’est ton droit, mais je montre les photos à ta mère, c’est aussi mon droit.
– Bon j’ai compris, c’est d’accord.
– Bien, on va donc commencer tout de suite puisque je t’ai donné un cours tout à l’heure. Déshabille-toi !
– Vous voulez que je me mette toute nue ?
– Ne me fais pas répéter puisque tu as compris !
Elle enlève son jean, son pull et son tee-shirt.
– Je vais enlever le reste puisque tu ne le fais pas ! Assieds-toi dans le fauteuil. Je me mets à genoux devant elle et je retire sa culotte. Je découvre son minou, déjà poilu, j’insère un doigt entre ses petites lèvres et remonte vers son clitoris que je commence à chatouiller.
– Alors, c’est lui qui est sensible, nous allons voir ça, écarte un peu tes jambes, petite nymphette. Je pose mes lèvres sur sa petite chatte et entame des caresses linguales sur ses petites lèvres et les parois de son vagin, puis je remonte vers son clito, je le suce un peu avec mes lèvres et continue à le titiller avec ma langue, tandis que trois doigts visitent son vagin et qu’un autre s’introduit dans son anus. La jeune fille mouille à tout va, c’est une véritable fontaine, comme sa mère ! Je n’ai pas besoin de continuer longtemps pour que la demoiselle ait un violent orgasme. Je caresse ses fesses rondes et fermes, entre lesquelles il doit être très agréable de séjourner. Tiens, c’est une idée.
– Viens ma belle, je vais t’élargir l’anus. Elle me dit :
– Non, vous allez me faire mal !
– Non, ne t’inquiète pas, je vais te préparer et si tu ressens une douleur, dis-le moi !
Je l’emmène dans la chambre, la fais mettre à quatre pattes, je dégrafe son soutif pour caresser ses seins tout à l’heure quand je l’enculerai. Après avoir bien lubrifié son anus et assoupli son sphincter, je présente ma bite devant sa rosette et en force lentement l’accès ; je lui demande si ça va, elle dit oui, je continue et, une fois que le gland est passé, j’ai l’impression d’être aspiré par le conduit. Je suis maintenant au fond de son cul. Elle a toujours son petit nœud dans les cheveux et en plus, comme je l’avais prévu, un gros nœud dans le cul. Ma bite subit une pression intense, j’ai l’impression d’être dans un étau tant elle est étroite. Je lui demande si elle a mal, elle répond sûr non. Je commence à bouger, à faire quelques va-et-vient, lentement, très lentement. Ma bite est tellement serrée que si je continue, je vais décharger, je me penche un peu sur elle pour lui att****r les seins dont les pointes sont dures comme du béton. Je lui dis :
– Ça va, Jessica ? Je ne te fais pas mal ?
– Non, vous me faites pas mal du tout. Au contraire, c’est agréable de vous sentir planté là. Je pense que si vous me prenez bien je vais jouir.
– Je ne peux pas ma belle, je suis tellement excité que si je bouge, je décharge, je profite encore un peu de ta chaleur et je vais t’envoyer la sauce.
– Vous avez mis un préservatif ?
– Non ma chérie, mais ne t’inquiète pas, tu n’as aucun risque de tomber enceinte.
Je me penche sur elle, caresse ses seins, l’embrasse dans le cou et je lui demande :
– Bouge un peu tes fesses, il ne me faut que ça pour jouir.
Elle bouge son petit cul lentement, comme si elle faisait un huit, et aussitôt je sens la sève qui monte et j’explose entre ses reins en râlant. Moi aussi, j’ai un orgasme très puissant.
Elle me dit :
– C’est la première fois qu’on me fait pas mal en me prenant comme ça ! Je lui donne une serviette et lui dis :
– On t’a prise souvent comme ça ? Je sens que la question la gêne un peu.
– Ben, un peu, oui.
– Et t’aimes ça ?
– Ben, non !
– La prochaine fois j’essaierai de te faire jouir et je t’offrirai un petit ustensile qui va habituer ton sphincter à se dilater. Tu vas adorer !
Elle se nettoie, se rhabille et repart chez elle.
Il me reste à expliquer à Flora que sa fille fait un peu de ménage et de repassage chez moi pour régler ses cours.
Vers 19 h, la sonnette retentit, c’est Flora qui vient voir si ça s’est bien passé. Je la fais entrer, elle n’a pas fermé la porte qu’elle me saute au cou et me donne un baiser bien baveux, elle me dit :
– Je te dois deux cours, mais je suis un peu en retard ce soir pour faire le repas, si ça ne te dérange pas je pourrai les régler tout à l’heure.
– Bien sûr belle amie, ou plus tard si tu préfères, quand tu voudras mais en fait tu ne m’en dois qu’un seul, je me suis arrangé avec Jessica, elle accepte de faire quelques bricoles chez moi pour régler ses cours.
– Ah bon ! Je suis super étonnée, d’habitude elle ne veut jamais rien faire ; rien que mettre la table, c’est tout une comédie.
– Eh bien avec moi, elle a accepté. Mais tu sais, ça va pas chercher bien loin !
– Oui, je me doute. Un de ces soirs, ça te dirait qu’on passe plusieurs heures ensemble ?
– Bien sûr, avec plaisir, mais il faut que j’accumule des cours alors !
– Je voulais te proposer, si tu veux, on ne compte plus, on fait ce qui nous plait quand ça nous plait, d’accord ?
– Tu veux dire comme des amants ?
– A moins bien sûr que tu n’aies quelqu’un d’autre !
– Non, je n’ai personne et j’accepte ta proposition avec plaisir, mais dis-moi, tu ne me trouves pas un peu vieux pour une jeune femme comme toi ?
– Non, d’abord tu ne fais pas ton âge et en plus tu me baises bien, c’est le principal. Je peux passer ce soir vers 21 h, un petit 69 ça te dirait ? Ou autre chose si tu préfères.
– Un petit 69, ça sera parfait. Je vais te donner une clé, tu n’auras pas à attendre devant la porte que j’ouvre.
A 20h45, la porte s’ouvre, c’est Flora, elle porte un manteau ; je lui dis :
– Tu as froid, ma belle ?
– Je suis gelée, dit-elle avec un petit sourire et elle ouvre lentement son manteau ; dessous, elle ne porte rien d’autre qu’une paire de bas noirs autofixants, agrémentés d’un lacet en soie rouge dans les jarretières. Magnifique ! Je fais :
– Waouh ! Et habillée comme ça, tu penses repartir chez toi avant demain ?
– Eh oui, je travaille demain, il faut aussi que je me repose !
– C’est juste, moi je me lève quand je veux ! Elle s’assoit près de moi sur le canapé, exposant ce corps qui va encore me procurer beaucoup de bonheur !
– Justement j’ai un service à te demander, ma mère m’a appelée, elle a acheté un nouveau lecteur/enregistreur de DVD et elle a un problème de branchement avec sa télé, pourrais-tu passer la voir et l’aider à brancher son matériel, demain matin ou vendredi matin ?
– C’est loin d’ici ?
– Non, à 10 minutes en voiture.
– OK pour demain matin alors, 11h ça ira ?
– Je vais voir tout de suite. Pendant ce temps, ma main s’est faufilée entre ses cuisses, pour explorer son minou. Je trouve rapidement son clito que je commence à caresser, pendant que j’att**** un mamelon avec ma bouche et que je le suce et le mordille. Rapidement, clito et téton durcissent, sa respiration devient haletante et elle commence à pousser de petits soupirs. Elle me dit :
– Arrête, j’appelle ma mère.
– Te gêne pas pour moi, et aussitôt je reprends l’extrémité de son sein dans ma bouche et je continue ma caresse sur son clito.
– Allo, maman c’est Flora, demain 11 h, ça irait ? ………
– C’est un voisin qui viendra, oui un monsieur … très bien et très gentil ……
– Son prénom c’est … Alain. ……..
– Non, t’inquiète pas … ma respiration est haletante … parce que … j’ai … couru. ……..
– Oui, c’est ça, à … demain. Puis elle continue et me dit :
– Tu n’es pas sympa … Alain.
– Pourquoi ? Tu n’aimes pas ?
– Si, j’adore … mais pas avec ma mère … au téléphone !
– Bah, elle ne s’est aperçue de rien !
– J’espère, autrement … elle va encore me … traiter de salope !
Je l’invite à m’accompagner dans la chambre où nous serons mieux pour batifoler. Elle retire son manteau, je me déshabille, nous nous allongeons sur le lit et commençons par une série de bisous et de caresses. Après avoir longtemps embrassé ses seins et mordillé ses tétons, tout en chatouillant son clito avec mes doigts, mon visage descend vers sa forêt. Mes lèvres et ma langue investissent son minou. Après quelques caresses buco-vaginales, je prends possession de son clito que je suce et titille rapidement, je descends aussi un peu plus bas sur son anus ; comme d’habitude Flora mouille beaucoup et jouit plusieurs fois en serrant ma tête entre ses cuisses. Je m’arrête un peu pour lui laisser reprendre ses esprits. Elle me dit :
– C’est super bon, j’adore quand tu me lèches, au lieu de faire 69, tu ne voudrais pas me prendre ? J’ai envie de jouir avec ta queue dans ma chatte.
– Tes désirs sont des ordres, adorable enfant ! Mais permets-moi d’enfiler un préservatif d’abord.
– Ce n’est plus la peine, tu es mon amant maintenant, mais si tu préfères avec …
– Non ma belle, moi aussi je préfère sans, avec ma maîtresse. Je me couche sur elle et la pénètre à la missionnaire d’un seul coup, tellement elle est mouillée. Elle fait « Ah ! », croise ses jambes sur mon dos et me dit :
– Vas-y, fouille-moi bien, baise-moi comme une chienne, j’ai envie d’être prise vigoureusement ! Je l’enfile à grands coups de reins et elle ne met pas longtemps à atteindre un nouvel orgasme ; dès que je sens sa jouissance proche, je prends ses lèvres pour échanger un baiser langoureux. Lorsqu’elle a terminé, elle dit :
– J’adore, je me suis régalée, elle est bonne ta queue, mais toi, tu n’as pas joui !
– Ben, non.
– On recommence, je ne peux pas te laisser comme ça, et puis j’aimerais te sentir gicler dans mon ventre. Cette discussion se déroule alors que je suis toujours bien bandé au fond de sa chatte. Je reprends mes allers-retours et parviens à me retenir pour attendre son nouvel orgasme. Je me lâche lorsque je sens ses muscles se crisper et je décharge au moment où elle atteint le nirvana. Après une série de bisous, nos corps entrelacés se détachent l’un de l’autre, elle me dit :
– C’était vraiment bon, j’aimerais passer toute une nuit avec toi.
– Moi aussi, dès qu’on en aura l’occasion … on s’aimera toute la nuit !
Elle remet son manteau et me dit :
– Ca t’a plu cette idée ?
– C’étais super érotique, j’ai beaucoup aimé, merci belle enfant !
– De rien papa, n’oublie pas ma mère demain matin !
– Ne t’inquiète pas, je serai chez elle à 11h.
– Je passerai demain soir pour voir comment ça s’est passé.
– Tu viens quand tu veux, ma chérie, tu as une clé et tu es toujours la bienvenue, surtout avec ton manteau !
– Cochon !

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