De temps en temps Maîtresse Sonia me fait faire la pute pour elle, mon cul et ma bouche lui arrondissaient ainsi facilement les fins de mois. Pour cela, nous avons trouvé un petit bois près de Paris, assez fréquenté même en semaine. Le rituel est toujours le même, je reçois un sms dans l’après midi du style « tu bosses ce soir salope… ».
Je me prépare alors dans mon 15 m2 en rentrant du boulot, épilation, lavement, maquillage, tenue sexy etc..
Puis, à la nuit tombée, après avoir bien intégré mentalement mon statut de pute, maîtresse vient me récupérer et direction le bois. Ce soir là j’ai un long manteau en skaï noir jusqu’aux chevilles, pratiquement à poil dessous avec juste des bas résilles et un string. J’ai une perruque blonde et avec mon maquillage et mes talons aiguilles je fais vraiment pute.
Dans le bois il y a une allée suffisamment éloignée où les voitures qui s’engagent sont obligées de faire demi tour au rond point du fond, c’est l’endroit idéal, maîtresse me laisse au rond point et va se garer un peu plus haut dans l’allée de sorte qu’elle puisse à la fois voir les occupants des véhicules qui la croisent mais aussi me prévenir de me cacher dans le bois en actionnant les feux stop en cas de doute. Dans le cas contraire je dois me dandiner au ras des portières en proposant mes tarifs et mes services de pute me laissant toucher souvent par des mains plus que baladeuses, puis si entente c’est à couvert dans le sous bois que j’effectue ma prestation rémunérée.
Ce soir là, nous étions arrivés vers 23h et jusqu’à 3 h du matin je n’ai eu droit qu’à une dizaine de « vrais » clients, les autres n’allant pas plus loin que la simple curiosité de voir et toucher. Le premier, un papi un peu timide a voulu que je le suce dans sa voiture, après avoir hésité un instant je me suis laissée convaincre de monter dans la voiture. Il bandait mou mais ce salaud savait m’enfoncer ses doigts dans le cul ! Il a été long à venir mais j’en ai reçu une bonne dose dans la bouche, ces grosses couilles étaient bien pleines, ça devait faire longtemps qu’il ne les avait pas vidées. Pendant que je le suçais dans sa voiture, d’autres s’étaient garées et je n’avais pas vu que des voyeurs mataient mes fesses à travers les vitres.
Quand je suis sortie évidemment j’étais inquiète car ils avaient l’air excités tous. Je leur ai dis que c’était payant et ils sont presque tous partis en râlant qu’ils étaient encore tombés sur une pute. Un tunisien a essayé de négocier car il avait trop envie de baiser mais je savais que je n’avais pas le droit, en râlant il m’a payée puis entrainée dans le bois. Là, il n’a même pas voulu que je le suce, il avait une belle bite bien tendue, il m’a appuyée contre un arbre m’a demandé un préservatif et m’a sodomisée sans aucune préparation, heureusement que j’étais bien dilatée car il m’a bien remplie avec sa queue. Il n’a pas été très long heureusement car il me donnait de sacré coups de reins bien à fond et qui me faisaient mal. Il s’est mis à trembler debout sur ses jambes quand il a joui en arabe. Comme si je n’existais plus il a jeté le préservatif, s’est essuyé avec son mouchoir et il a tourné les talons.
Puis j’ai eu droit à un couple bizarre : on est rentré dans le bois puis elle a voulu que son mari me suce pendant qu’elle lui enfonçait ses doigts puis un gode dans le cul. Ensuite elle l’a allongé dans l’herbe, la bouche grande ouverte et lui a pissé dedans, elle aurait bien voulu que je l’encule en même temps mais je n’arrivais pas à bander. Alors elle me tendit le gode et je lui ai travaillé l’anus en le suçant. L’effet a été immédiat, la pisse de sa femme conjuguée avec ma pipe et le gode planté dans son cul, il m’a balancé lui aussi une bonne rasade de foutre chaud et amer dans la bouche. La sienne avait un goût d’urine quand elle me demanda d’y recracher sa semence qu’il avala d’un trait pour finir en faisant jouir madame sous mes coups de langue. Ils sont repartis satisfaits et moi aussi car ils m’ont donné plus que le tarif demandé. Mis à part un tunisien qui m’a enculé comme un sauvage contre un arbre tous les autres ont simplement voulu que je les suce. Mon maquillage avait coulé et mon haleine ne devait pas être terrible à force de prendre les jets de sperme sur ma langue et la figure. Vers 3h du matin, les voitures se faisant de plus en plus rares, maîtresse vint récupérer son dû, qu’elle a jugé très insuffisant. J’ai reçu une gifle magistrale quand j’ai essayé de lui expliquer qu’ils ont tous préféré ma bouche et son tarif moindre à mon cul que je n’avais pas assez mis en valeur selon elle. Alors de colère et sans ménagement elle m’a traîné derrière la voiture, m’a coincée la tête et le buste dans le coffre arrière avec le capot, le cul bien en l’air à la vue de tous. Elle en a profité pour m’administrer une cuisante fessée, pour m’insulter copieusement et dans sa colère elle disait m’offrir gratuitement à tous les passagers de la prochaine voiture. La fessée terminée, sa colère fit place au silence; je n’osais plus bouger, tremblais à l’idée de ce qui pouvait encore m’arriver dans cette situation plus que cocasse. Après quelques minutes interminables, j’entendis le moteur d’une voiture stopper derrière la notre. J’avais très peur, je l’entendais discuter avec un homme mais j’avais du mal à suivre avec la tête dans le coffre. Ils plaisantaient sur ma posture plutôt originale et mon cul et mon cul bien rouge, elle lui disait que j’étais une salle pute qui n’avait pas assez travaillée et qui méritait une bonne correction. Lui était visiblement plus intéressé par Maîtresse, mais au final ils avaient décidés qu’elle lui ferait une bonne pipe à condition qu’il m’éclate bien le cul une fois bien dur. Comme pour contrôler la marchandise qu’on lui proposait, la main froide de l’inconnu s’est posée sur mes fesses et ne se gênait plus pour tâter la marchandise.
J’ai senti Maîtresse au niveau de mes mollets qui avait commencé à le sucer pendant qu’il s’amusait à bien m’écarter, à me frapper le cul, à me cracher dans la raie, à m’enfoncer ses doigts. Au bout de quelques minutes, sans doute bien excité par la situation et la bouche de maîtresse il me prit fermement par les hanches et m’encula d’un coup sans prévenir. Heureusement que mon tunisien avait déjà fait le passage car il était bien monté le salaud, je le sentais bien ! Il m’a secouée en cadence sous les encouragements de maîtresse sans se soucier si je supportais le traitement; le capot frottait mon dos au rythme de ses va et vient mais il s’en foutait royalement, il prenait son pied dans mon cul et c’est tout ce qui comptait pour lui. Je sentais aussi les mains de Maîtresses qui me trayait comme une vache par-dessous à me faire mal. Dès qu’il a dit qu’il allait jouir, Maîtresse l’a fait « déculer » et lui a demandé de tout me balancer dans la bouche. Je me suis vite mise à genoux, il a arraché et jeté sa capote et m’a enfilé sa queue direct dans la gueule, il a jouit presque de suite une grosse quantité de foutre, je croyais qu’il n’allait jamais finir de me remplir la bouche ! Maîtresse lui gueulait de bien m’en foutre partout, que je n’avais été bonne qu’à ça ce soir, qu’à bouffer des queues…
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