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Ma tante de 45 ans est sublime (2)

Ma tante de 45 ans est sublime (2)



Samedi soir

Ma tante partit dans la foulée faire des courses, sans oublier de me demander ce qui me ferait plaisir.
Je lui répondis que cela ne m’importait peu.
Elle s’était habillée rapidement.

Elle rentra vers 18 heure.

J’étais décontracté devant la télé.
Je n’évoquai pas nos ébats de l’après-midi.
Je la sentis contrariée à l’extrême.

 » Dis donc Chantal , j’y pense , toi qui aime ton jardin, aurais tu un instant pour me montrer ton fameux potager ? « .
 » Oui , tu fais bien de me le dire, viens que je te montre tout ce que je récolte ! « .

Ma tante s’était mise en jupe, avec un petit chemisier assez décolleté pour une fois.
Nous fîmes le tour de son potager, qui à vrai dire, ne me passionna nullement sauf la maîtresse de maison …

 » Bien Jean, tu as vu ce que j’ai planté . Ça t’a plu ? « .
 » On peut dire que tu as la main verte ! « .
 » C’est gentil Jean … je suppose que tu veux quelque chose avant de partir ? ».

Moi qui pensai passer la soirée avec ma tante …
Je fus déçu sur le coup.

 » Et si ta tante t’offrait un petit gin tonic comme tu aimes ? « .
 » Ah je ne dirai pas non ! « .

Elle s’éclipsa dans la cuisine, puis ramena nos deux verres dans le salon.
Tout en dégustant notre gin, je la regardai puis je me lançai.

 » C’était pas mal cet après-midi ma Tatie ? « .
 » Arrête de m’appeler Tatie , j’ai horreur de ça ! « .

Chantal était agacée, tracassée par notre situation.
Elle n’arrêtait pas de changer de position sur son canapé.

 » Bon, comme on dit , j’ai fait une bêtise avec toi ce matin et même si ça te parait bête, je suis la soeur de ta mère et tu pourrais être mon fils ! « .
 » Tu es ma tante mais aussi ma maîtresse ! « .
 » Oui enfin , je ne sais ce qui m’a pris « .
 » Alors c’était une erreur, mais je crois quand même que tu as aimé ? « .
 » Mais enfin ça n’est pas la question ! Tu as 18 ans et j’en ai 45 ! « .
 » Et alors c’était génial non ? « .
 » Bon, si tu veux savoir, c’était très bien ! Te voila rassuré ? « .

Je la regardai sans dire un mot, ma tante fut visiblement agacée de s’être laissée aller avec moi.
Ca commençait mal tout ça …
Ma tante ôta ses chaussures.
Elle était ainsi pieds nues, les courses lui avaient donné mal à ses pieds si mignons.

 » En plus j’ai mal aux pieds et je suis fatiguée ».
 » Il faut te détendre, je vais te faire un petit massage ».
 » Qu’as tu encore dans la tête … ? « .
 » Tu me fais confiance ? « .
 » Evidemment « .
 » Bon approche tes pieds ! « .
 » Attends , je vais les laver et ça me fera du bien « .

5 minutes plus tard, ma tante réapparaissait souriante avec des petites mules.

 » Oui les mules ça fait plouc , mais je suis bien dedans « .
 » Approche et enlève tes chaussons ou tes mules ! « .

Je reprenais le dessus, et ma tante qui aimait être dirigée, s’exécuta, …à ma plus grande joie.
Elle s’assit sur le canapé et je me déplaçai pour me mettre à ses cotés.
Elle détendit ses jambes, puis mît ses pieds sur mes genoux, en prenant soin d’enlever ses chaussons.
Quelle vision : ma tante en jupe avec ses jambes sur moi .
Ses pieds, mon fantasme éternel !

Je commençai à saisir son pied droit et lui prodiguai, à l’aide de mes mains, des mouvements amples et linéaires.
Comme j’aimai lui caresser ses orteils, puis mes mouvements se firent sur la voûte de chaque pied.
Je pris successivement chacun de ses pieds dans mes deux mains.
Mes mains passaient et repassaient sans cesse à la base du talon, pour revenir à ses orteils.
Ses pieds étaient de pures merveilles à caresser.
J’insistai sur le dessus de ses orteils où la peau se trouvait si lisse, si douce au toucher.
J’aurais pu passer des heures pour les garder dans mes mains.
Je bavardais avec ma tante durant ce temps, comme si de rien n’était.

 » Ca te fait du bien ..? ».
 » Oui …c’est pas mal  » dit-elle, en fermant les yeux.

Je continuai en regardant les pieds de ma tante.
Ils étaient soignés, le vernis rose pâle sur ses ongles m’excitait au plus haut point, ils étaient longs et bien dessinés.
C’était juste mon impression, mais ma tante possédait de véritables « pieds de rêve ».

 » Tu es vraiment douée ! « .
 » Je te l’avais dit « .
 » On dirait que tu aimes t’occuper de mes pieds ! « .
 » J’adore ça mais uniquement avec toi « .

Ma tante apprécia ma remarque pour le moins charmante à son encontre.
Mais le temps passa et il fut bientôt 20h.
À mon grand désespoir, je dus suspendre mon massage.

Ma tante avait retrouvé sa forme.

 » Tu veux dîner avec moi ce soir …? « .

Je lui répondis que oui, mais en toute simplicité.
Nous mangeâmes relativement rapidement, pour finir à 21h.
Ma tante s’affaira à la cuisine, tandis que je débarrassai la table.

Je ne pus m’empêcher une fois dans la cuisine, de venir derrière elle, la prendre par la taille et lui voler un baiser dans le cou.
Je sentis un frémissement de sa part.

 » J’aime ce que tu fais, ça me rassure » me dit-elle.

J’en profitai pour glisser ma main sous son chemisier et surprise (!) , elle ne portait pas de soutien gorge …dire que je ne l’avais pas remarqué, trop affairé à m’occuper de ses pieds magnifiques.
Elle ne moufta guère et continua de rincer un verre .

 » Arrête Jean …. » .
 » Je sais que tu aimes et ne me dis pas le contraire … »

Je déboutonnai son chemisier, pour finir par lui enlever.

 » Les voisins vont nous voir ! « .

Sur le coup, je réalisai que nous étions en face de la fenêtre.
Nous nous déplaçâmes près du frigo.
Elle avait ses superbes seins devant moi, les tétons en pointe, elle se tint très droite sur le moment.
Comme elle fut femme fatale dans l’instant, je fondai devant elle.
Sans perdre le nord, je rajoutai.

 » Voila …on ne peut plus te voir ma chérie ».

Elle me fit un sourire puis s’approcha pour commencer à m’embrasser.
Nos lèvres se collèrent l’une à l’autre.
J’avais soulevé sa jupe et je lui malaxai ses superbes fesses.

 » Alors, on a changé d’avis ma tante ? « .
 » Je ne sais pas mon chéri « .

Je ne rêvai point, ma tante venait de m’appeler « mon chéri » en toute simplicité.
J’éteignis la lumière de la cuisine ce qui donna, avec la lumière du réverbère de la rue, un coté interdit de ce que nous faisions.
Dans l’obscurité , j’en profitai pour lui enlever sa jupe …et sa petite culotte.
Ma tante était entièrement nue, exception faite de ses chaussons.

Je devinai ses formes, ses épaules si frêles .
Je la serrai contre moi en lui caressant son intimité relativement humide.
Ses seins ne furent pas épargnés par mes caresses généreuses.
Je sus qu’elle ne prendrait pas l’initiative aussi je fus carrément direct.

 » Je crois bien que nous serions mieux dans le canapé … ».

Elle ne répondit pas.
Je saisis sa main, à noter au passage que ma tante avait des doigts très fins, et je la dirigeai vers le salon.

La télé était restée allumée, avec une émission culturelle ennuyeuse, mais qui donnait un certain charme à notre action du moment.
Je l’installai sur le canapé, puis je commençai à l’embrasser.
Ma tante en redemandait, elle m’embrassait désormais en me tenant le visage avec ses mains !
Au vu de ses rapports avec Andrew, je comprenais sa fougue …

J’étais assis sur le canapé.
Elle se leva brusquement et se mît devant moi .
Mains sur les hanches, elle me regarda.

Sans le savoir, elle dégageait une féminité peu commune dans cette posture.
Sa façon de positionner ses mains lui donnait une allure virile, tant en restant ultra sexy.
J’étais tombé sous le charme de ma tante, mon âme était « à genoux » devant un tel éclat de félinité.

 » Tu sais Jean pour ce matin …ça était génial  » en me faisant un grand sourire .
 » Pour moi aussi ma Tatie « .
 » Oh arrête avec tes Tatie « .
 » J’aime te voir râler ! « .

Elle se mît à rire puis se déplaça.
Elle vint sur mes genoux à califourchon.
Sans vulgarité aucune, je me suis mis à peloter les fesses de ma tante, puis à lui passer mes mains dans le dos, pour remonter vers ses épaules .

Je sentis ses tétons bien durs contre mon torse, avec son souffle dans mon cou.

 » Chantal , tu sais que tu commences à me plaire ? « .
 » Attends mon neveu, j’aimerais te faire plaisir  » me répondit-elle, avec un large sourire.

Mon pantalon se déboutonnait tout seul …
Ma tante me le retira.
Elle sortit ma verge de mon caleçon et commença avec ses superbes doigts, à glisser de bas en haut, en touchant mon prépuce avec son pouce.
Puis, Chantal se lécha la bouche avec sa langue, comme pour mieux m’allumer !
J’avais comme l’impression qu’elle voulut se faire pardonner d’avoir été désagréable.

Elle ôta mon caleçon pour s’agenouiller, puis commença à me caresser les cuisses.
Elle déposa des baisers sur ma verge.

Assis sur le canapé, je ne pus que promener mes mains dans la chevelure de ma tante, à genoux pour la circonstance.
Avec sa langue, elle entreprit avec une extrême douceur de remonter jusqu’à mon gland .
Arrivée à sa hauteur, elle promena sa langue à son gré, sur mon sexe gonflé à bloc.
Je rajoute que « mon membre » , ne demandait qu’à se faire aspirer par la bouche délicieuse de ma tante.
Chantal continua son petit manège, amusée de l’attente qu’elle provoquait en moi.

Quel délice !
Ma tante était une experte .
Elle commença à me sucer tout le gland tandis que ses mains me caressèrent tout mon torse .
Elle m’aspirait, me pompait comme elle en avait envie …
Elle s’y prenait avec une telle dextérité, un tel sérieux de bien faire, que cela aurait pu s’apparenter à une déclaration d’amour …

 » Ca va mon chéri ?  » me dit-elle .

Que devais je lui répondre ?
Que j’étais au septième ciel ?
Qu’elle me suçait comme une reine ?
Que dans sa façon de faire, c’était comme une déclaration d’amour avec ses lèvres déposées sur ma verge ?

Je la pris par les épaules, j’étais au bord de l’implosion et je l’invitai à « s’installer » sur moi .

Elle se leva, les cheveux un peu en bataille, puis se pencha pour me donner ses lèvres une nouvelle fois.

 » On aurait pas dans l’idée de baiser sa tante ? « .
 » Viens sur moi chérie « .
 » A vos ordres chef ! « .

Elle se mît sur moi avec une extrême précision.
Ma tante pénétra en moi de manière inéluctable, elle y prit un plaisir certain.

 » Qu’est ce que j’aime avec toi … Jean « .
 » Je suis en toi , j’adore ça « .
 » Oui tu es en moi , je te sens bien mon chéri « .
 » Tatie … J’ai envie que ça dure « .
 » Mon cher neveu ,comme c’est parti entre nous , ça va durer « .

Je sentis son orifice brûlant de désir, l’envie de la lécher me traversa l’esprit.
Je la caressai de partout, je l’embrassai à pleine bouche.
La chaleur de tout son corps se propagea au mien .

Je la regardai pendant qu’elle oscillait avec son bassin, elle y prenait un sacré plaisir.

 » Excuse moi pour tout à l’heure , j’étais énervée .
Tu me pardonnes ? « .
 » A une seule condition ! « .
 » Dis moi … ».
 » Que je continue à t’appeler Tatie « .
 » Ouiii tu peux et continue de bien me pénétrer ».

Et son corps, dont je caressai toutes les extrémités, jusqu’à ses pieds repliés, se mît à frissonner de plaisir.

Ma tante continuait de manière inexorable à rentrer en moi, toujours avec une infinie douceur.

Je la sentais « venir à moi ».
Douce sensation de posséder ma tante qui se donnait à moi au fur et à mesure.
Ma verge parcourait ce voyage sans fin, s’enfonçant dans le corps toujours aussi sublime de ma tante.
Chantal avait posé ses mains sur mes épaules, comme pour mieux se « tenir » à son cavalier.
Son cavalier « bloqua » sa cavalière si chère, en l’entourant avec ses bras.
Cette sensation d’être « prisonnière » excita ma tante.

J’avais ma tante en moi, dans son salon.
Sa peau était brûlante, ses lèvres tièdes.
Dieu qu’elle était belle dans cette posture.

Je possédai ma tante, cette femme mûre qui m’avait tant fait fantasmer.
Elle de son côté poussa quelques petits cris, tout imprimant une cadence aléatoire pour mieux se préparer à un orgasme que je devinai.

Puis ma tante se rapprocha de moi, prit mon visage entre ses mains et se mît à m’embrasser, comme si elle s’apprêtait à jouir.

Du coup, je la pris par les hanches pour mieux la « balancer » en arrière et la faire revenir vers moi, en exigeant un baiser.
Et maintenant je la pénétrais de plus belle et elle en redemandait !
Elle était trempée de sueur, son souffle s’accélérait.
Nous continuions de nous embrasser de plus belle, sachant que nous allions jouir mutuellement.

 » Je suis à toi Jean , serre encore plus fort « .

Ma tension devait atteindre 20 ou 22 avec de tels mots sortis de la bouche de ma tante.
N’en pouvant plus et la serrant de plus belle, j’explosai littéralement en elle avec des râles sauvages.
Elle planta ses ongles avec cette fois un long cri qui sortait de son coeur .

 » Oh la vache ! Comme tu me baises bien !!! « .
 » Ouiii mon amour … »
 » Tu me fais jouir petit salaud !! « .
 » Lâche toi ma douce … « .

Sur ce, elle se jeta sur moi pour me rouler une pelle mémorable, comme on dit.
Elle y mit tout son amour, tout son coeur, toute sa rage de ses années d’abstinence.
Je restai en elle un long moment avec quelques spasmes qui à chaque fois la submergèrent de bonheur .

 » Je savais que ce serait aussi bon que la dernière fois , tu me baises comme un dieu mon neveu « .
 » Rien qu’à te regarder … tu m’enchantes « .
 » Oh ouiiii …  » soupira ma tante.

Elle avait ses deux mains posées sur mon visage et nous n’arrêtions plus de nous embrasser …
Plus rien n’existait au monde, juste ma tante et moi en train de faire l’amour.
Nous avions fait don de nos corps l’un à l’autre.
Tel un binôme, elle faisait ce qu’elle voulait de moi, moi je devinais ce qu’elle faisait.

Je la gardai en moi par pure gourmandise, je voulus resté en elle, dans cette position  » de toute éternité ».
Elle fut en quelque sorte « toute à moi » durant ce moment.

Elle aimait être dirigée par instant.
Aussi je fis ce que je voulais d’elle, je la basculai en arrière pour mieux la reprendre vers moi, avec un coup de rein au passage.

 » Chéri ? « .
 » Oui ma Chantal ? « .
 » C’est somptueux ce que tu fais de moi en moment, là, maintenant « .
 » C’est comme une histoire d’amour qui commence « .

Elle se recula, me fit un sourire et m’offrit ses superbes lèvres en guise de réponse.

Après ce moment d’extase, elle vint lentement se mettre à mes côtés repliée près de moi .

Je continuai à lui caresser ses fesses somptueuses.

 » Tu sais que cela fait longtemps que tu me plais ?  » lui dis-je.
 » Ah j’avais remarqué depuis que tu es arrivé … mais je vais te faire une confidence : tu es bien bâti, intelligent, beau et tu me fais très bien l’amour « .
 » Et ? « 
 » Que me trouves-tu donc ? j’ai 25 ans de plus que toi, tu pourrais être mon fils « 
 » Regarde toi dans une glace et tu comprendras , je t’ai toujours trouvée super sexy et oublie ton âge … ».
 » Alors si je comprends bien , il faut que je profite de toi  » me dit Chantal en rigolant.
 » Profite ma tante, tu ne seras pas déçu ! « .
 » Je ne me fais aucun souci mon neveu « .

Chantal vint m’embrasser dans le cou.
Nous ne parlâmes plus .
Des paroles furent inutiles .
Sa tête se posa sur mon épaule .
Nous furent si bien ce soir là …

Dimanche matin

Il était environ 6h.
La lumière du jour venait de me réveiller .
La fenêtre était ouverte et entendre les oiseaux me comblait de bonheur .
Ma tante dormait à poing fermé .
Évidemment à l’heure du réveil …j’étais comme on dit en forme !

Je m’approchai de Chantal en lui faisant un baiser dans le cou, elle se réveilla un peu hagard .
Elle me jeta un regard avec les yeux qui pétillent et un petit sourire, puis elle m’attrapa avec ses bras comme une invitation à venir sur elle , invitation qui ne se refuse pas (!) .
Nous échangeâmes un long baiser, un baiser matinal avec ma tante si attirante, si sexy au réveil.
Chantal se rallongea sur le dos, se débarrassa des draps.
Elle mit ses bras derrière la tête puis écarta les jambes, prête à me recevoir .

 » T’es incroyable Tatie !! … » en souriant .
 » Je suis avec mon jeune mâle alors j’en profite ! « .

Elle me regardait en souriant, jambes écartées, son sexe reluisant, toujours aussi superbe avec ses lèvres que l’on a envie d’aspirer .
Qu’elle était belle ma tante dans cette position, totalement offerte à moi.

 » Toi ..tu as envie de te faire lécher ! … ».
 » A peine mon neveu ! … » en se positionnant encore plus en face de moi, prête à se faire « déguster » par son neveu.

Il était 6h du matin, j’avais devant moi ma tante nue, me souriant, les jambes écartées, les bras relevés, son sexe ruisselant à la lumière du jour.
C’était complètement fou à voir.
Je ne pus m’empêcher de la couvrir de baisers puis de descendre lentement le long de son corps tout en caressant sa peau si douce, si « femme » …
Je continuai de la regarder, puis je lui dis.

 » Tu es à moi « .
« Je suis à toi , fais ce que tu veux de moi mon chéri  » me dit-elle avec ses yeux qui se remplissaient du désir de se faire lécher, se faire baiser par son neveu.

A coups de langue, je m’emparai de son intimité qui dégageait une odeur matinale propre à elle, très agréable.
Je la léchai de plus belle en lui caressant sa superbe poitrine de mes mains enchantées .
Et plus je léchai ma tante Chantal et plus j’accédai à son antre mystérieuse qui s’ouvrit lentement.

 » Tu me dégustes délicieusement … ».
 » Mais tu sais que tu es très appétissante le matin ma tante ! « .
 » A voir ta tête, je n’en doute pas une seconde « .

Ma bouche toute entière était trempée, recouverte de sa substance qui abondait, telle une source qui ne demandait qu’à être ravivée.
Chantal se mit à pousser de longs gémissements puis elle me dit d’une voix douce :

 » Tu sais t’y prendre avec moi … ».
 » Avec toi , c’est si facile … je devine ton corps ma chérie ».
 » Oh je sais … » dit-elle accompagné d’un large sourire.
 » Jean ça faisait tellement longtemps, je me sens si bien avec toi « .
 » Oui ma tante chérie mais moi aussi ça faisait longtemps que je voulais coucher avec toi « .
 » Ah bon ? … ».
 » Je te raconterai ça plus tard « .

Je continuai mon oeuvre entre les cuisses de ma tante adorable.
Dès lors, sa chatte béante était devenue « ma chose », je faisais tout avec elle.
Tantôt je léchais son clitoris, merveille de l’anatomie féminine, tantôt je lui glissais ma langue au fond son vagin, ses lèvres intimes tellement dilatées me recouvrant toute la bouche.
Elle s’offrait de plus en plus à moi, elle écartait ses jambes divines pour mieux se faire lécher.
Je possédais ma tante en lui glissant mes mains sous son bassin pour mieux la saisir .
Ma tante gémissait de plus belle .

 » Tu aimes que je te lèche ».
 » Oui , ouiii …. oh ouiii !! j’adore tout ce que tu me fais « .

J’avais la tête plongée dans ses cuisses.
C’était un délice de lécher Chantal tôt le matin.
Voir son regard émerveillé sous mes coups de langue, la voir frissonner fut pour moi un rêve éveillé.

Je pensais clairement en la regardant :
– la merveille est dans l’instant.
J’avais « ma merveille » en face de moi.

Je pouvais saisir ses hanches, son buste et lui peloter ses jolis seins sans qu’elle n’émette un seul son.
Tout en continuant à lui donner le plaisir qu’elle ne refusait pas, je me remémorai..
Elle était enfin « à moi », celle que j’avais vue à tant de fêtes, d’anniversaires …
Celle que je désirais tant en ce moment et qui m’était dorénavant promise, au regard de son comportement rempli d’amour à mon égard.
Celle qui m’avait tant fait fantasmer étant adolescent.

J’avais baisé ma tante deux fois hier et ce matin, je recommençais de plus belle.
Au regard de ses gémissements intempestifs, je compris que ma tante désirait autre chose.
Cette envie soudaine de ma tante se fit à haute voix.

 » Approche mon neveu , viens au dessus de moi, j’ai une grosse envie de ton sexe ce matin ! « .
 » Ma tante est très gourmande ce matin « .
 » J’aime te donner du plaisir et puis elle est si belle « .
 » Dans ce cas ma Tatie .. »

C’est avec un large sourire que je vins me positionner au dessus de sa tête, elle avait pris soin de garder son oreiller sous sa jolie frimousse.
La sensation que j’éprouvai fut pour le moins fort agréable, j’étais « assis » sur la poitrine de ma tante dont je sentais les seins sous mes propres fesses !

Chantal me saisit la verge d’une manière autoritaire, elle entreprit avec la pointe de sa langue de toucher la pointe de mon gland.
Elle appliqua sa langue contre mon méat sur ma verge non décalotté ce qui impliqua plus de sensations.
Le plaisir qu’elle me procura fut un mélange de subtilité et de sensualité.
Ma tante était d’une habilité redoutable avec sa langue.
Elle me regardait en souriant tout en faisant glisser mon sexe sur ses lèvres humides, puis elle redressait sa tête pour me prendre en entier.
Ce « manège » dura plusieurs minutes, ma tante aimait follement me sucer.
Je n’ajouterai rien me concernant …

Au bout de ces minutes de bonheur, je saisis sa tête pour lui faire comprendre d’aller plus profondément.
Pas besoin d’insister beaucoup, ma tante se réservait cet instant depuis longtemps car aussitôt, elle me prit en bouche sauvagement !

 » Oh toi , tu avais envie de me sucer depuis un bout de temps « .
 » Et comment l’as-tu deviné ?  » avec un large sourire de satisfaction accompagné du plaisir de continuer son ouvrage .
 » Tes yeux te trahissent Chantal … « .

Le sourire qu’elle me fit, respirait le plaisir qu’elle se plaisait à vouloir sucer son cher neveu.
Elle « m’aspira » d’une seule traite.
Mon sexe était dans sa bouche pour mieux sortir, puis pour mieux regoûter à la chaleur de son palais, en entrant à nouveau .
Chantal n’avait d’yeux que pour ma verge, comme hypnotisée par elle.
Elle la choyait comme une jeune mère couvre son petit. Elle devenait contemplative de ma verge, elle donnait des coups de langues avec lenteur, comme pour mieux savourer mon sexe.
C’était dorénavant elle qui me dégustait.

 » Comme tu me suces bien Chantal ! « .
 » J’adore te sucer et en plus …elle est si belle ! « .

Dans ma courte expérience sexuelle et venant de ma tante, ce fut un joli compliment.
Chantal reprit avec enthousiasme son « travail » et avec ce qu’elle venait de me dire, je m’aperçus qu’elle était comme en admiration devant mon sexe.
Elle fit des temps d’arrêt, pour mieux l’embrasser, lui faire des bisous (!).
J’adorai tellement ça … qu’il me fallut intervenir !

 » Chantal … Je crois qu’il faudrait que tu arrêtes « .

Elle insista pour me garder en bouche …
Je me détachai avec délicatesse pour me mettre en position « d’attaque ».
D’un bref revers de son avant-bras, ma tante s’essuya la bouche et s’allongea sur le dos.

Je me dressai devant elle à genoux sur le lit.
Quel spectacle !
Ma tante, jambes écartées avec ses mains en croix derrière la tête qui me sourit.
Sa chatte « en attente » de me recevoir.

 » Baise moi mon chéri … « .
 » Mais c’est bien ce que je compte faire mon amour ! « .
 » Je suis à toi ! « .

Délicatement, je la pris part les hanches.
Je la pénétrai avec une douceur extrême .
Son sexe ne fit aucune difficulté pour m’accueillir, bien aidé par nos préparatifs.
Je « coulissai » dans ma tante à merveille.
Elle me fit des petits bisous dans le cou, tout en me caressant le dos.
Elle voulait « me sentir » en elle.
Dans ses gestes, je devinai chez ma tante un besoin d’amour, ou de se sentir aimé tout simplement.
En fait, j’avais l’impression que ma tante était tombée follement amoureuse de moi !

J’imprimai la cadence, ce qui engendra quelques soupires de satisfaction de sa part.
Elle avait les jambes en l’air et tandis que je continuai mes lents va et vient en elle, j’attrapai ses pieds et les portai à ma bouche.
Je léchai la voûte de ses sublimes pieds puis, je me mis à sucer ses orteils .
Cette situation me transcenda !
J’avais les pieds de ma tantes dans ma bouche et je la pénétrais en même temps .
Je ne pouvais rêver mieux .

 » Oh j’aime ce que tu fais avec mes pieds, jamais on ne me l’a fait « .
 » Je t’adore ma tante, je t’adore toute entière « .
 » Je vois … »

J’avalais littéralement ses pieds, je réalisais mon fantasme d’adolescent.
Je baisais ma tante en lui léchant les pieds et je l’entendais soupirer de plaisir, gémir de se faire pénétrer.
Cette femme mûre qui était la soeur de ma mère s’abandonnait au fils de sa propre soeur.
À vrai dire, j’en avais oublié les liens du sang qui nous unissaient.
J’étais en train de baiser une sublime femme, de plus de 25 ans mon aîné que je faisais jouir à volonté !

 » Oh Jean comment fais tu pour me baiser aussi bien ? on croirait qu’on se connaît depuis toujours !  » s’exclama-t-elle.
 » Oui depuis toujours ma belle Chantal … si tu savais comme j’aime être en toi ! « 

Ma tante m’embrassa sur le champ.
Nous changeâmes de position pour continuer en levrette, position adéquate pour me donner une vision de son cul parfaite.
Chantal se mit sur ses coudes, elle m’offrit une vue « panoramique » de son derrière.
Je caressai ses fesses comme une pouliche, prête à recevoir sa semence.
Elle fut si cambrée que j’aperçus les belles lèvres pendantes de son intimité.
Je continuai mes caresses tout en me positionnant.

Tout en douceur, j’introduis mon membre dans le bel orifice de ma tante.
Je retrouvai la chaleur intérieure de son intimité que j’avais abandonnée quelques minutes.
Comme je me sentis à nouveau bien dans la chair de ma jolie partenaire, au chaud, cette chaleur propre à ma tante tant aimée.
Entre plusieurs glissements de ma verge gorgée de sang dans la belle chatte de Chantal, je ne pus m’empêcher avec mon pouce d’effleurer son anus furtivement.
Je ressortis d’elle et me mis sauvagement à « polir » son joli derrière avec ma langue.
Je lui léchai son cul de rêve !

 » J’aime beaucoup ce que tu fais Jean… ».

Qu’elle sentait bon à cet endroit …et sans hâte aucune, je lui rentrai un doigt en ayant pris soin de bien lubrifier cet endroit si sacré chez une femme.

 » Mais que fais-tu Jean ? … » s’interrogea-t-elle .
 » J’ai envie de te prendre par derrière mon amour …tu l’as déjà fait ? « .
 » Oui mais il y a longtemps et ce ne fut qu’une fois …je n’avais pas aimé alors pas maintenant … ».

Il faut dire que son derrière en évidence était une véritable provocation, ses fesses étaient comme une invitation au désir.
Je lui caressai le dos tout en laissant mon doigt à l’intérieur en faisant des allers retours afin de décontracter ses muscles.
Elle me disait « arrête Jean » d’une voix bien faible …

Fesses à l’air, ma tante se laissa faire et tout en retirant mon doigt, je lui léchai à nouveau sa chatte bien ouverte, tout en remontant le long de son derrière affolant.
Je sentis un petit frémissement de sa part lorsque ma langue se fit plus insistante entre ses merveilleuses fesses.
Un puis deux doigts rentrèrent successivement dans son derrière , le terrain était prêt (!).
Ma tante se tenait bien cambrée, toujours aussi excitante, elle m’offrait sans le savoir une vue diabolique de son corps.

 » Tu l’as déjà fait ? … ».
 » Oui ma Tatie chérie, tu vas aimer … ».

Je mentis éperdument .
Ça je l’avais fait ! … avec une telle maladresse que le souvenir pour ma partenaire de l’époque en était encore douloureux.
Mais cette fois-ci, j’avais bien préparé « le terrain » pour rendre les choses plus aisées.
Je lui léchai une dernière fois son joli cul en y déposant une salive suffisante.
Ma langue continua de dilater son bel orifice avec une précision infime de manière circulaire .

Je saisis Chantal pour l’avoir bien en face de moi tout en lui relevant son merveilleux derrière.
Elle fut ainsi plus cambrée, « prête » à se faire prendre.
Encore un de mes fantasmes en train de s’accomplir, prendre ma tante par le cul !

J’approchai méticuleusement « mon sabre » vers ce superbe derrière en lui écartant les fesses.
J’avançai avec prudence la partie de mon gland à l’intérieur de Chantal qui ne dit mot.
Je sentis qu’elle était contractée, aussi je lui caressai la chatte ainsi que son point culminant pour la rassurer.
Je fis des petits va et vient et délicatement j’enfonçai mon sexe de près de la moitié .
Mon bassin étant contre ses fesses si douces, cette sensation me fut irrésistible sur le plan purement jouissif.

Ma tante se tenait bien cambrée, sur ses coudes telle une bonne élève !
Je continuai « ma progression » à l’intérieur de son cul magnifique.
J’arrivai au bout de ce voyage passionnant, en donnant une sorte d’assaut final ,avec un coup de rein sec.
Ma tante poussa un petit cri étouffé puis je repris lentement mes mouvements.
Elle commença avec une respiration plus profonde à éprouver du plaisir.
Des mouvements de son bassin commencèrent à apparaître, preuve que ma tante commençait à apprécier de se faire prendre par son neveu.

Dorénavant, ma verge avait pris le dessus sur le cul de ma tante.
Ma verge n’était plus prise comme un étau dans son orifice, qui maintenant se dilatait ,au fur et à mesure que je lui limais cette partie si chère à nous deux.
Cette pratique taboue effrayante pour ma tante au départ, était dorénavant largement appréciée par la dite personne !

 » Oh Jean … C’est si bon ce que tu me fais … ».
 » Je le savais Chantal ! …tu aimes …? « .
 » Oui c’est si nouveau pour moi , si bon aussi … « .

Ma tante était à moi, docile telle une jument que je chevauchais, et qui au départ se voulait farouche pour devenir aimante, amoureuse, demandeuse de cette pratique …
Au bout d’un moment , la vision de son cul, la chute de ses reins et ses gémissements incessants eurent raison de moi .
Mes mains se crispèrent sur la croupe offerte de ma tante.
J’étais dans cette orifice totalement dilaté, si cher aux femmes, orifice que je domptais comme un « cowboy » faisant un rodéo.
C’en était trop.

Cette paire de fesses magnifiques dans laquelle je venais pour repartir, avait eu raison de moi …
Je jouissais pleinement dans le cul de ma tante !
Ma tante avait un orgasme foudroyant à son tour …

 » J’en peux plus … « .
 » Je t’aime !!!! … » cria-t-elle de plaisir ….
 » Tu es toute à moi , tu es moi , je suis toi !!!  » lui dis-je toute en profitant de la chaleur de son cul, à la peau si blanche et douce d’une belle femelle de 45 ans, qui jouissait comme une gamine !
 » Va plus loin !! Continue de me prendre …j’adore ça ! « .

J’explosais dans le cul de ma tante que je saisissais à pleines mains, pour mieux la contrôler, pour mieux la faire jouir .
Mais je sentais que la fin était proche, alors j’entrais dans son cul comme j’en sortais avec une facilité déconcertante pour une jouissance toute personnelle.

Plus je pénétrais le derrière de ma tante et plus je pensais à ce jour d’août …
Qui m’aurait dit en ce jour d’août, quand j’étalai de la crème sur le corps de ma tante, que je me retrouverai en train de la culbuter, de lui donner du plaisir en la pénétrant dans son somptueux derrière ?
Moi même, je n’y aurais songé une seule minute.
Et pourtant, ce fut le cas.

Quelle douceur de rentrer dans la chaleur du cul de ma tante, avec ses fesses bien fermes …
Baiser une vraie femme, pas une gamine d’une vingtaine d’années, voila ce que j’aimais par dessus tout avec ma tante.
Le fait qu’elle ait 45 ans représentait une sorte de défi pour moi.
Etre capable de faire jouir une femme qui a vécu, était en quelque sorte une façon de me prouver, qu’au delà du Mont Blanc, j’atteignais l’Everest representé par ma tante chérie.
Au lieu de sauter une gamine de mon âge, je faisais l’amour à une femme.

Une femme qui prenait le chemin de la femme idéale dans mon esprit.
Comme on dit : Chantal était devenue « le féminin » de mon esprit.
Je trouvais cette phrase très expressive, dans ma vision de ma relation avec ma tante si sensuelle, si femme.

Je ne savais pas combien de temps l’occasion me serait donnée de la baiser, mais j’en profitais un maximum.

 » Oh non de dieu que c’est bon de te prendre par le cul ma tante chérie « .
 » Ouiiii mon Chérie à moi ! … comme c’est bon de te sentir en moi « .

Avec de tels propos, j’exultai intérieurement.
Exténué…je me retirai d’elle avec amour tout en continuant à lui baiser le cul.
Puis Chantal se mît sur le dos et j’attrapai son sexe avec ma bouche, pour vulgairement lui bouffer la chatte toute entière .

 » Mais tu n’arrêtes jamais ? « .
 » Pas avec toi … ».

Je n’étais pas rassasié de ma superbe tante.
Je voulais ce matin la baiser de partout, abuser de tout son corps, de ses moindres recoins.
Elle « m’amena » ses lèvres pour mieux se faire bouffer.

Avec deux doigts dans son sexe et mes lèvres contre ses lèvres intimes, nous ne fîmes qu’un.
Ce fut jusqu’au moment où je sentis qu’elle se déversait littéralement en moi, pour jouir une nouvelle fois tout en se cambrant.
Ma tante avait eu près de trois orgasmes !

Comme le visage de ma tante était beau quand elle poussa son cri de jouissance.
Je la vis seule au monde, seule dans son monde de plaisir, de plénitude, de béatitude.
Et je continuai sans mes doigts à lui bouffer la chatte, mes lèvres ne sachant que faire du jus qui s’écoula de ma douce.

 » Oh Jean … Tu me fais jouir … J’adore ».
 » Je t’adore ma belle Tatie « .
 » Oui je suis ta Tatie à toi que tu aimes bien baiser « 

Je continuai à goûter ma tante.
Ses lèvres étaient parfumées, je les embrassai goulûment avec la passion qui me submergea ,tandis que mon coeur battait à tout rompre, puis Chantal me murmura apaisée …

 » Je crois qu’il faudra que tu recommences … ».
 » Laisse un peu de temps quand même ! « .

Ma tante explosa de rire.
Elle était si heureuse.

Quelle apothéose ! …puis Chantal se rallongea repue de plaisir.
Nous nous embrassâmes longuement mêlant nos langues habilement, je bus sa salive , elle but la mienne …

Il fut près de 9h .
Je me levai et pris une bonne douche quand j’entendis dans l’escalier ma tante.
Elle arriva dans la cuisine en robe de chambre uniquement .
Je lui préparai un café et l’attrapai par la taille tout en ouvrant sa robe pour la coller contre moi.
Elle sentait bon et avait les traits tirés, ce qui lui donna encore plus de charme.
Je sentis sa poitrine toujours « généreuse » et je lui caressai ses fesses avec tendresse.
Subitement je lui fis un bisou dans le cou et commençai à lui sucer un de ses seins, puis l’autre.

Ma tante était excitée mais contrariée.

 » Jean…je dois aller voir ton oncle à l’hôpital cet après-midi « .
 » Alors on va se dire à demain …mais c’était super …enfin je crois « .
 » Ouiii, c’était merveilleux et on recommencera … ».

La fin de sa phrase fit naître en moi un sentiment de soulagement.
Comment dire, « j’étais » dorénavant avec ma tante, comme une sorte de couple.

 » J’ai une faveur à te demander pour demain ? « .
 » Je t’écoute mon chéri « .
 » Demain, tu viens en jupe mais je veux que tu ne mettes pas de culotte …fais le pour moi « .
 » Ah non Jean ! Tout mais pas ça ! « .
 » Fais moi plaisir … « .

Ma tante me fit néanmoins un sourire malicieux.
Je lui fis un baiser furtif sur sa bouche adorée puis je partis …
J’avoue que l’après-midi passa aussi vite que ma soirée … exténuante.

Je venais de baiser ma tante, elle y avait pris goût.
Le « challenge » que je lui avais proposé pour demain, m’avait donné des idées tonitruantes à faire avec elle au bureau.
Faire des choses en cachette ajoute du mystère … et qui dit mystère peut être synonyme de sensations nouvelles.

Je savais désormais ma tante prête à tout pour me faire plaisir, faire plaisir à son neveu, son homme à elle.
Mon imagination débordante allait de paire avec ma belle Chantal, femme mûre par excellence qui me faisait toujours autant fantasmer …

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